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Cette Ligne Directrice décrit une méthode pour déterminer expérimentalement la valeur du coefficient de partage (n-octanol/eau) (Poe), lorsque son logarithme décimal est compris entre -2 et 4 (et quelquefois 5). Cette méthode n'est pas applicable aux substances tensio-actives. Le coefficient de partage est défini comme le rapport des concentrations d'équilibre d'une substance dissoute dans un système à deux phases constitué de deux solvants pratiquement immiscibles.

L'essai doit être conduit à une température comprise entre 20°C et 25°C, maintenue constante à ± 1°C. On effectue trois essais avec des pourcentages n-octanol/eau différents. Pour chacun des trois essais, on préparera en double les récipients d'essai contenant des quantités exactement mesurées des deux solvants et de la solution mère. Après agitation, les deux phases sont généralement séparées par centrifugation. Il est nécessaire de déterminer les concentrations de la substance d'essai dans les deux phases. Les méthodes analytiques susceptibles de convenir sont la photométrie, la chromatographie en phase gazeuse et la chromatographie liquide à haute performance. La quantité totale de la substance dans les deux phases doit être calculée et comparée à la quantité introduite au départ. Les résultats de chaque essai permettent de déduire une valeur de Poe. Les six valeurs du log Poe doivent s'inscrire dans un intervalle de ± 0,3 unités.

Anglais
  • 27 juil. 1995
  • OCDE
  • Pages : 9

Cette Ligne directrice décrit plusieurs méthodes et dispositifs pour déterminer la température ou l’intervalle de températures de la transition de la phase solide à la phase liquide ou vice-versa.

Le point de fusion est défini comme la température à laquelle se produit le changement de la phase solide à la phase liquide à la pression atmosphérique. Ceci est considérablement affecté par les impuretés. La sélection d’une méthode particulière dépend principalement de l'état d'agrégation physique de l'échantillon et de la capacité de la substance à être facilement, difficilement ou non pulvérisable. Les méthodes présentées sont : le tube capillaire dans un bain liquide, le tube capillaire dans un bloc métallique, le banc chauffant de Kofler, le microscope à fusion, l’analyse thermique différentielle, l’analyse calorimétrique différentielle, le point de congélation, et le point d’écoulement.

Anglais

La méthode d'essai décrite dans cette Ligne directrice, est prévue pour définir les effets létaux et sublétaux des produits chimiques sur les premiers stades de vie des espèces examinés.

Les premiers stades de vie des poissons sont exposés à, au moins, cinq concentrations de la substance d'essai dissoute dans l'eau, de préférence dans des conditions de renouvellement continu du milieu, ou s'il y a lieu, dans des conditions semi-statiques. L'essai commence en plaçant les oeufs fécondés (au moins 60) dans les chambres d'essai, et continue au moins jusqu'à ce que tous les poissons témoins s’alimentent de façon autonome. Les effets létaux et sublétaux sont évalués et comparés aux valeurs témoin pour déterminer la concentration la plus basse pour laquelle on observe un effet, et la concentration sans effet observé. Le rapport d'étude inclut la mesure des concentrations de la substance d'essai dans l'eau à intervalles réguliers (cinq au moins), de l'oxygène dissous, du pH, la dureté et la salinité totale, du poids et de la longueur des poissons, ainsi que les observations d'apparence anormale, de comportement anormal, de l’éclosion et de la survie.

Anglais

Cette Ligne directrice décrit l'essai de Zahn-Wellens/EMPA. Elle est employée pour déterminer la biodégradabilité inhérente.

Un mélange contenant la substance d'essai non-volatile et hydrosoluble, les substances nutritives minérales et une proportion relativement importante de boue activée en milieu aqueux est agité et aéré à 20-25°C à l'obscurité ou sous lumière diffuse, pendant une durée pouvant atteindre 28 jours. Des contrôles, ne contenant que de la boue activée et des substances nutritives minérales mais aucune substance d'essai, sont réalisés en parallèle. La capacité fonctionnelle de la boue activée est étudiée grâce à l’utilisation d’un composé de référence (éthylèneglycol, diéthylèneglycol, laurylsulfonate ou aniline). Les récipients d’un essai-type sont au nombre de 1 ou 2 pour la suspension d'essai et pour le témoin avec inoculum et 1 pour le contrôle de procédure. Le processus de biodégradation est suivi en déterminant la Demande Chimique en Oxygène (DCO) ou par dosage du Carbone Organique Dissous (COD) dans les échantillons filtrés, prélevés quotidiennement ou à d'autres intervalles de temps. Il est obligatoire de suivre le COD dans la suspension d'essai et les témoins avec inoculum en parallèle. Le pourcentage de biodégradation au moment de la prise d'échantillon est donné par le rapport du COD éliminé (ou DCO) (ce dernier étant corrigé de la valeur obtenue dans le témoin), après chaque intervalle de temps, sur la teneur initiale en COD. Ce pourcentage est porté sur un graphique en fonction du temps pour donner la courbe de biodégradation. L'essai est considéré valide, si le contrôle de la procédure montre qu'au moins 70% de la substance de référence ont été éliminés en 14 jours et si la diminution du COD (ou de la DCO) dans la suspension d'essai se fait graduellement au cours du temps (jours ou semaines), ce qui indique un phénomène de biodégradation.

Anglais
  • 17 juil. 1992
  • OCDE
  • Pages : 29

Cette Ligne directrice décrit deux méthodes pour la biodégradabilité en eau de mer.

La méthode du flacon agité consiste en la dissolution d'une quantité prédéterminée de substance d'essai dans le milieu d'essai pour obtenir une concentration de 5-40 mg/l de carbone organique dissous (COD). Cinq flacons, au moins, doivent être utilisés, deux pour la suspension d'essai : deux pour le blanc et un pour le contrôle de la procédure. La solution de la substance d'essai dans le milieu d'essai est incubée, sous agitation, dans l'obscurité ou dans la lumière diffuse, dans des conditions aérobies, à une température fixe qui sera normalement comprise entre 15-20°C. La durée maximum recommandée d'essai est environ 60 jours. La dégradation est suivie des mesures de COD (dégradation finale) et, dans certains cas, d'analyses spécifiques (dégradation primaire). La méthode du flacon fermé consiste en la dilution d'une quantité prédéterminée de substance d'essai dans le milieu d'essai, à une concentration d'habituellement 2-10 mg/l de substance (une ou plusieurs concentrations peuvent être employées). La solution est maintenue dans un flacon rempli fermé, dans l'obscurité, dans un bain-marie ou une enceinte thermostatée entre 15-20°C. La dégradation est suivie en analysant l'oxygène sur une période de 28 jours, mais si la valeur du témoin pour la demande biologique en oxygène reste en dessous d’une limite de 30 %, l'essai pourra être prolongé. Vingt-quatre bouteilles au moins sont utilisées (8 pour la substance d'essai, 8 pour le composé de référence et 8 pour l’eau de mer avec des nutriments). Toutes les analyses sont exécutées en doublon. Quatre déterminations d'oxygène dissous, au moins, sont effectuées (jour 0, 5, 15 et 28) en employant une méthode chimique ou électrochimique.

Anglais

La mobilité personnelle et le transport des marchandises augmentent dans nos sociétés. Dans le même temps, la qualité de vie et celle de notre environnement, désormais sujets d'importance capitale, est diminuée à bien des égards par les nuisances du transport : nuisances sonores, pollution, vibrations et intrusion visuelle. De telles nuisances peuvent cependant être diminuées si elles sont dûment prises en compte lors de la planification des infrastructures de transport par exemple, en proposant des itinéraires alternatifs, des écrans anti-bruit, en préservant l’héritage archéologique et la nature (la faune et la flore)

La soixante-dix-neuvième Table ronde examine les études environnementales menées pendant la construction des infrastructures et montre comment les résultats peuvent être intégrés au processus décisionnel. Par exemple, en procédant au choix définitif des itinéraires, en évaluant le degré des nuisances et en définissant des valeurs seuils et en donnant une valeur monétaire aux effets.

Anglais
  • 24 févr. 1987
  • OCDE
  • Pages : 1

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 401 “Toxicité orale aiguë” a été supprimé le 17 décembre 2002.

Anglais

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 479 «Toxicologie Génétique : Essai in vitro d'Échange de Chromatides-soeurs sur Cellules de Mammifère» a été supprimé le 2 avril 2014.

Anglais
  • 23 oct. 1986
  • OCDE
  • Pages : 5

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 484 "Toxicologie Génétique : Spot Test chez la Souris" a été supprimé le 2 avril 2014.

Anglais

L'essai de translocation héréditaire chez la souris détecte les changements chromosomiques structurels et numériques des cellules germinales de mammifères, mis en évidence dans la descendance de première génération.

Les types de changements de chromosome détectés dans ce système d'essai sont des translocations réciproques. Les porteurs des translocations et les femelles XO montrent une fertilité réduite, ce qui permet de sélectionner la descendance de première génération pour l'analyse cytogénétique. On observe cytogénétiquement des translocations dans des cellules méiotiques en diacinèse métaphase I des individus mâles. L'essai est habituellement réalisé par l'analyse de la progéniture masculine de première génération. 500 mâles environ de première génération par niveau de dose sont nécessaires. Un niveau de dose, habituellement la dose la plus élevée liée à la production d’effets toxiques minimaux, est administré par intubation orale ou injection intrapéritonéale. Deux programmes de traitement sont possibles, l'administration unique de la substance d'essai ou l'administration de la substance d'essai 7 jours/semaine pendant 35 jours. La substance d'essai peut être sous forme solide, liquide, vapeur ou gazeuse. Pour tester des hétérozygotes de translocation, l’essai de fertilité de progéniture de première génération, ou l’analyse cytogénétique de toute la descendance masculine de première génération sont possible. Une substance d'essai ne produisant ni une augmentation statistiquement significative du nombre de translocations observées pour au moins un des points de l’essai, ni une augmentation du nombre de translocations observées, liée à la dose, statistiquement significative, est considérée non mutagène dans ce système.

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Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 480 " Genetic Toxicology: Saccharomyces cerevisiae, Gene Mutation Assay " a été supprimé le 2 avril 2014.

 

Anglais

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 481 "Toxicologie Génétique : Saccharomyces cerevisiae, Essai de Recombinaison Mitotique " a été supprimé le 2 avril 2014.

Anglais

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 482 "Toxicologie Génétique : Lésion et Réparation d'ADN - Synthèse Non Programmée de l'ADN (UDS) sur Cellules de Mammifère - in vitro" a été supprimé le 2 avril 2014.

 

Anglais

Les effets létaux dominants (LD) causent la mort embryonnaire ou foetale. L’induction d'un événement létal dominant après exposition à une substance d'essai (liquide, solide, vapeur ou gaz,…) indique que la substance a affecté le tissu germinal des espèces d'essai. Les effets létaux dominants sont souvent le résultat des aberrations chromosomiques (anomalies structurales et numériques), mais les mutations géniques et les effets toxiques ne peuvent pas être exclus.

Cette Ligne directrice recommande des rats ou des souris comme espèces d'essai. Généralement, des mâles sont exposés à la substance d'essai et accouplés aux femelles vierges non traitées. Le moyen le plus employé est l'administration unique de la substance d'essai par voie orale ou par injection intrapéritonéale. Normalement, trois niveaux de dose devraient être employés. Les différentes étapes de la formation des cellules germinales peuvent être testées séparément en employant différents intervalles d'accouplement. Les femelles sont sacrifiées après une période appropriée, et le contenu des utérus est examiné pour déterminer les nombres d'implants et d'embryons vivants et morts. Le calcul de l'effet létal dominant repose sur la comparaison du nombre d'embryons implantés vivants par femelle dans le groupe traité et dans le groupe témoin.

Anglais
  • 04 avr. 1984
  • OCDE
  • Pages : 10

Cette Ligne directrice inclut deux méthodes : un essai de toxicité par contact sur papier et un essai avec un sol artificiel. L’espèce recommandée est Eisenia foetida (Michaelsen).

L’essai de dépistage initial (essai de contact sur papier filtre) implique d'exposer des vers de terre aux substances d'essai sur papier filtre humide afin d'identifier les produits chimiques potentiellement toxiques pour les vers de terre dans le sol. Cinq doses au moins, choisies dans une série géométrique, et dix répliques au moins (un ver par fiole) pour chaque traitement devraient être employées. Des essais sont faits dans l'obscurité et pendant une période de 48 heures. L'essai avec le sol artificiel fournit des données de toxicité plus représentative de l'exposition naturelle des vers de terre aux produits chimiques. Il implique de maintenir des vers de terre dans les échantillons d'un sol artificiel de composition précisément définie. Cinq concentrations, d'une série géométrique, de la substance d'essai sont appliquées. Une concentration ne provoquant aucune mortalité et une concentration provoquant une mortalité totale devraient être employées. Quatre réplicats pour chaque traitement sont recommandées. La mortalité est relevée les jours 7 et 14 après l’application.

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Le but de cette Ligne directrice est de déterminer les effets d'une substance administrée avec de la nourriture aux oiseaux.

Des oiseaux sont alimentés par un régime contenant la substance d'essai à différentes concentrations pendant une période de cinq jours. Deux groupes de contrôle et un groupe de traitement pour chacun des cinq niveaux (au moins) de concentrations alimentaires de la substance d'essai devraient être employés. Chaque groupe se compose de 10 oiseaux. La durée minimum de l'essai est de huit jours : cinq jours d'alimentation avec la substance d'essai, suivis de trois jours d'alimentation normale. Des équipements appropriés pour l’élevage d’oiseaux en local clos sont nécessaires. Ceux-ci incluent des mécanismes de régulation de la température, de l'humidité et de la lumière au besoin, ainsi que des cages de capacité suffisante pour élever des oiseaux. La mortalité et les signes de toxicité sont enregistrés quotidiennement. Les observations suivantes devraient être faites pendant l'essai : des signes d'intoxication et de tout autre comportement anormal, la mortalité, le poids corporels et la consommation de nourriture.

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  • 04 avr. 1984
  • OCDE
  • Pages : 14

Le but de cette Ligne directrice est de déterminer les effets sur la reproduction d'une substance administrée avec de la nourriture aux oiseaux.

Des oiseaux sont alimentés par un régime contenant la substance d'essai à différentes concentrations pendant une période de moins de 20 semaines. Un minimum de trois concentrations alimentaires de la substance d'essai est exigé. La concentration maximum d'essai recommandée est de 1000 ppm. Les oiseaux peuvent être répartis dans les cages, soit en couple (au moins 12 cages par groupe d'essai), soit un mâle et deux ou trois femelles (au moins 8-12 cages par groupe) Les oiseaux sont amenés, par modification de la photopériode, à pondre des oeufs. Les oeufs sont rassemblés sur une période de dix semaines, artificiellement incubés et éclosent, et les jeunes sont élevés pendant 14 jours. Les équipements appropriés pour élever des oiseaux, de préférence en local clos, sont nécessaires. On observe la mortalité des adultes, la production d'oeufs, les oeufs fêlés, l'épaisseur de la coquille (au moins deux oeufs de chaque cage), la viabilité, l’éclosabilité et les effets sur de jeunes oiseaux pendant l'étude.

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Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 477 « Toxicologie Génétique : Essais de Mutation Létale Récessive liée au Sexe chez Drosophila melanogaster » a été supprimé le 2 avril 2014.

Anglais
  • 04 avr. 1984
  • OCDE
  • Pages : 1

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 204 "Poisson, Toxicité Prolongée: Étude sur 14 Jours" a été supprimé le 2 avril 2014.

 

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Ce rapport sur l'évolution des investissment ext prestations dans les transports dans les Etats de la CEMT en 1980 est divisé en quatre chapitres récapitulatifs et une Annexe statistique. Le Chapitre 1 décrit les grandes tendances du transport de voyageurs et de marchandises pour chacun des modes au cours des quinze dernières années. Le Chapitre 2 concerne les transports ferroviaires examinés sous l'angle non seulement du trafic, mais encore des réseaux et de l'exploitation. Le Chapitre 3 a trait aux transports routiers, à la taille des infrastructures, au parc de véhicules et à son exploitation. Enfin, les voies navigables intérieures, les ports et les transports par conduites sont décrits au Chapitre 4. La deuxième partie est une rapport statistique sur les accidents de la route en 1981.

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