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La Communauté européenne (CE) est le deuxième donneur multilatéral d'aide au développement (après la Banque mondiale). Elle se classe au cinquième rang des 22 Membres du Comité d'aide au développement (CAD) de l'OCDE par l'ensemble de ses programmes, qui ont connu une croissance moyenne de 3.3 pour cent par an au cours des cinq dernières années, tandis que l'effort global des Membres du CAD accusait un recul de 4.7 pour cent par an. Les ressources allouées par la Communauté aux pays à faible revenu n'ont cependant pas progressé au même rythme, ces dernières années, que le budget d'APD dans son ensemble.
Les programmes de la CE sont régis par une organisation et des structures de gestion complexes, et la Commission est confrontée, en matière de mise en oeuvre, à un réel défi pour adapter son mode de fonctionnement à la poursuite des objectifs convenus dans le domaine du développement. D'importants remaniements ont été opérés dans la structure de la Commission européenne, notamment avec la création d'un Service commun chargé de la mise en oeuvre des activités de coopération pour le développement arrêtées par les quatre directions générales. Il reste cependant nécessaire de renforcer la capacité des délégations sur le terrain à travailler de concert avec les partenaires afin que ceux-ci fassent leurs les politiques mises en place et que la coordination soit optimale.
La CE a un rôle décisif à jouer dans l'élaboration de politiques de développement plus cohérentes. C'est ce que souligne ce rapport à travers l'analyse de domaines comme l'agriculture, les accords de pêche et les subventions à la flotte de pêche de la Communauté. La coordination avec les autres donneurs semble quant à elle sur la bonne voie, ce qui est de bon augure pour l'avenir du partenariat entre donneurs et pays bénéficiaires.
Les examens du CAD en matière de coopération pour le développement prévus en 1998 concernent, outre la Communauté européenne, les Membres du CAD suivants : l'Allemagne, le Canada, l'Espagne, les Etats-Unis, la Finlande et le Luxembourg.

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Ce rapport annuel contient des informations détaillées sur le volume et la composition de la dette extérieure de 172 pays et territoires (de fait, tous les pays du monde hors OCDE) à la fin de 1997 et les chiffres révisés correspondants pour 1996. Y figurent également des estimations des paiements à effectuer en 1998 au titre de l'amortissement de la dette à long terme.
Ces données sont communiquées à l'OCDE par les gouvernements et les institutions de crédit des pays Membres et par les principales organisations internationales. Des règles de notification unifiées et une mise à jour régulière permettent de présenter des données complètes, cohérentes et actualisées, de la dette extérieure. Autant d'atouts qui rendent cette publication irremplaçable pour tous ceux qui souhaitent effectuer des comparaisons internationales et analyser les risques par pays.

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Les accords de libre-échange que l'Union européenne a signés avec certains pays du Bassin méditerranéen sont conçus avant tout pour encourager une plus grande intégration économique régionale. Ils concrétisent aussi une nouvelle approche des phénomènes migratoires qui consiste à favoriser le développement des pays de départ. Les transformations attendues sont-elles de nature à modifier les paramètres de la décision d'émigrer ?
Cet ouvrage tente d'apporter une réponse à cette question. Il souligne les contrastes qui caractérisent la situation démographique et économique dans le Bassin méditerranéen. Etayé de nombreuses études de cas, il fournit une analyse lumineuse des effets de la libéralisation des échanges sur l'équilibre socio-politique des pays tiers méditerranéens et examine les mutations engendrées sur le marché du travail. Enfin, il met en évidence les obstacles à surmonter afin d'adapter les structures économiques, les infrastructures sociales et les ressources humaines aux niveaux requis par l'ouverture des échanges et l'accroissement des flux d'investissements étrangers.

Entre 1960 et 2020, la population de l'Afrique de l'Ouest aura été multipliée par cinq, même dans l'hypothèse optimiste d'une augmentation de l'utilisation des moyens de contraception. Cette explosion démographique sans précédent s'accompagne d'un autre changement majeur : l'insertion de la région dans l'économie mondiale qui, déjà perceptible au lendemain de la Seconde guerre mondiale, est devenue particulièrement forte depuis les indépendances.

Ces deux chocs auront des effets prolongés sur les économies et les sociétés ouest-africaines. En particulier la distribution de la population subira de profondes modifications, le nombre d'urbains devant être multiplié par 20 au cours de la même période. La croissance démographique, les migrations et les dynamiques de peuplement influent considérablement sur les formes d'organisation économiques, politiques, sociales et institutionnelles. Dans ce contexte, contrairement à une idée généralement admise, les Africains de l'Ouest produisent, consomment, échangent et accumulent du capital dans des proportions qui sont largement sous-estimées par les comptes nationaux. L'étude s'efforce de cerner avec plus de précision cette économie réelle qui détermine l'activité et le mode de vie des populations de la région.

Cette étude a été réalisée avec l'appui de la Commission européenne, de la Banque africaine de développement, de la Banque mondiale, de la Belgique, du Canada, des États-Unis, de la France et des Pays-Bas.

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Depuis quelques années, les autorités américaines se sont appliquées à restaurer la confiance des milieux politiques et de l'opinion publique dans les programmes d'aide étrangère, autour desquels le soutien s'était érodé. Le nouveau Plan stratégique de l'USAID, paru en septembre 1997, vise à produire des résultats concrets en soutenant les efforts déployés par les pays en développement et en transition pour obtenir des avancées économiques et sociales durables et pour participer plus étroitement à la solution des problèmes mondiaux. Un ambitieux exercice a été engagé en vue à la fois de réformer le système de gestion de l'aide, de définir des objectifs plus précis et d'intensifier les relations de partenariat. Il n'en reste pas moins que le volume des ressources consacrées par les Etats-Unis à l'aide publique au développement a continué de s'effriter. En pourcentage du PNB, celui-ci classe désormais les Etats-Unis au dernier rang, et de loin, des Membres du Comité d'aide au développement (CAD) de l'OCDE.
Lors de son examen triennal de la politique et du programme d'aide des Etats-Unis le 6 avril 1998, le CAD s'est félicité des mesures qui ont été prises et a formé le voeu que les réformes et initiatives lancées portent tous leurs fruits. Après les grandes inquiétudes qu'avait suscité, ces dernières années, dans la communauté internationale le fléchissement général des financements d'APD et des ressources en personnel affectés au programme d'aide des Etats-Unis, les premiers signes de redressement du budget de l'aide aux pays en développement sont les bienvenus ; cette tendance a d'ailleurs été confirmée par le Président Clinton, lequel s'est engagé à demander un accroissement de l'enveloppe allouée à l'aide à l'Afrique, qui retrouverait ainsi ses niveaux élevés passés.
Il est essentiel que les Etats-Unis s'appliquent à favoriser le développement par les politiques qu'ils mènent dans tout un éventail de domaines. Lors de l'examen, une attention particulière a donc été portée aux travaux réalisés par l'USAID dans les domaines de la démocratie, du développement participatif, de la bonne gestion des affaires publiques, des conflits et de l'aide d'urgence, ainsi qu'à la Transition Initiative, qui vise à répondre à des besoins se situant à la charnière de l'aide d'urgence et de l'aide au développement. La politique commerciale des Etats-Unis fait également l'objet d'analyses, ainsi que ses contributions multilatérales et son action en faveur de l'égalité entre les sexes.
En 1998 sera examinée la politique de coopération pour le développement des Membres suivants du CAD : l'Allemagne, le Canada, la Communauté européenne, l'Espagne, la Finlande et le Luxembourg.

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  • 09 Oct 1998
  • Ricardo French-Davis, Helmut Reisen
  • Pages: 264

Les pays destinataires de flux importants de capitaux sont exposés à des risques si ces flux ne se transforment pas en investissements productifs à long terme : telle est la leçon de la crise asiatique de la fin des années 90. Cette publication, issue d'un projet conjoint du Centre de Développement de l'OCDE et de la Commission économique des Nations unies pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), passe en revue les politiques d'un groupe d'importants pays latino-américains confrontés à des entrées massives de capitaux. Les auteurs soulignent que les politiques nationales ont une incidence sur les effets des entrées de capitaux. Ils montrent que certains pays, en particulier le Chili et la Colombie, sont ainsi parvenus à diriger les apports de capitaux vers l'investissement et à réduire de la sorte le risque d'instabilité dans le secteur financier. Ces mesures conduisent à une gestion efficace des entrées de capitaux étrangers. Elles favorisent la création d'un environnement stable orienté vers la croissance et propice à de nouveaux investissements externes judicieux. Les enseignements de cette étude concernent aussi bien l'Amérique latine que d'autres régions du monde.

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  • 06 Oct 1998
  • Dieter Weiss, Ulrich Wurzel
  • Pages: 260

Dans la région méditerranéenne, l'Égypte reste à la traîne en matière de réformes économiques. Ce livre en donne les raisons.
Selon les auteurs, le système politique égyptien est, par nature, hostile à la réforme car il repose dans une large mesure sur le clientélisme et la domination de puissants groupes d'intérêt. De plus, la position stratégique de l'Égypte dans la politique moyen-orientale a favorisé les flux d'aide, créant un bien-être économique illusoire qui a rendu le besoin de changement moins perceptible. L'Égypte a ainsi pu échapper aux pressions du marché. Or, comme le montre cette étude, ces pressions sont le seul véritable stimulant d'une réforme fondamentale.

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  • 25 Sept 1998
  • Angus Maddison
  • Pages: 214

L'originalité de cet ouvrage réside dans la profondeur de champ de l'analyse. Utilisant une approche comparative, l'auteur explique pour quelles raisons le rôle de la Chine dans l'économie mondiale a considérablement fluctué au cours du dernier millénaire. D'ici 2015, la Chine devrait retrouver la place de première puissance économique mondiale qui lui revient naturellement et fut la sienne jusqu'à la fin du XIXe siècle.
Cette étude réévalue l'ampleur et le sens du renouveau de l'économie chinoise depuis une cinquantaine d'années en recourant à des techniques quantitatives couramment utilisées dans les pays de l'OCDE mais qui, jusqu'ici, n'avaient pu être appliquées à la Chine.
Rédigé par l'auteur de nombreux travaux d'histoire économique comparée, dont deux best-sellers du Centre de Développement de l'OCDE, cet ouvrage est indispensable pour tous ceux qui souhaitent comprendre le rôle passé, présent et futur de la Chine dans l'économie mondiale.

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Cette analyse des tendances récentes des mouvements et des politiques migratoires couvre l'ensemble des pays de l'OCDE et quelques pays non membres. Elle présente une description détaillée des flux, des différents canaux d'immigration et de la nationalité des migrants concernés.  Ce rapport dresse aussi un inventaire des politiques menées en matière de maîtrise des flux, d'intégration des immigrés et de coopération internationale.

Cette analyse d'ensemble est complétée par trente notes détaillées présentant les caractéristiques dominantes de chaque pays ; une étude comparative sur l'emploi temporaire des étrangers décrivant les différentes catégories de travailleurs concernés ainsi que les conditions de recrutement et de séjour ; et une annexe statistique comprenant les données disponibles les plus récentes sur les populations étrangères ou immigrées, les travailleurs étrangers, les flux migratoires et les naturalisations.

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  • 06 Sept 1998
  • Centre d’Etudes Prospectives et d’Informations Internationales, Centre for Economic Policy Research, OECD
  • Pages: 240

L'analyse comparative de la transition dans les pays d'Europe centrale et en République populaire de Chine met en évidence des similitudes et des différences souvent assimilées, à tort, à des approches différentes du même problème. En fait, l'environnement propre à ces deux grandes régions (puisque la Chine, par sa taille, constitue à elle seule une région), tout comme leur situation interne, renvoient à des réalités d'une extrême complexité qui rendent le processus de transition également complexe.
Cet ouvrage se compose de chapitres initialement conçus comme des documents distincts et préparés pour la Conférence conjointe du Centre de développement de l'OCDE, du CEPR et du CEPII à Budapest. Ils analysent et comparent le processus de transition dans les différents régimes de droit en question. Les auteurs examinent en particulier trois grands domaines d'intérêt commun : les finances publiques, le régime des échanges avec l'extérieur et l'intermédiation financière et un chapitre critique synthétise leurs conclusions à la fin de chaque partie. Leur analyse fait apparaître des différences, certes, mais aussi des similitudes, à partir desquelles il est possible de dégager des conclusions générales en matière de politique économique applicables à toutes les sociétés en transition.

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  • 29 Jul 1998
  • OECD, North-South Centre of the Council of Europe
  • Pages: 164

L'intérêt pour le concept de société civile connaît un renouveau remarquable. Dans le domaine de la théorie politique, ce concept est actuellement considéré comme un instrument pouvant permettre de sortir de certaines impasses théoriques et politiques. Mais que signifie ce concept ? La société civile peut-elle réellement faire office de contrepoids face à des pouvoirs publics qui ont perdu le contact avec la population ? Sans doute convient-il d'adapter le concept occidental de société civile lorsque celui-ci s'applique aux économies en développement où des facteurs et des valeurs culturels différents entrent en jeu.
Cet ouvrage relève un défi : il définit le rôle de la société civile dans le promotion des objectifs de développement au sein même des sociétés en développement. Il compare les activités et les attitudes des différents éléments de la société civile dans le processus de développement et montre comment ceux-ci peuvent gagner en efficacité. Il montre également que les pouvoirs publics ne devraient pas essayer de remplacer leurs propres activités de développement par celles de la société civile.

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Dans son Enoncé de politique étrangère intitulé Le Canada dans le monde, le gouvernement canadien réaffirme sa volonté de jouer un rôle actif dans les efforts déployés à l'échelle internationale en faveur de la paix et de la prospérité mondiales et fixe un certain nombre d'objectifs ambitieux à son programme de coopération pour le développement.
Le Canada entreprend des efforts importants pour apporter une réponse cohérente aux grands problèmes du monde et le Comité d'aide au développement (CAD) s'est félicité du processus de complète restructuration engagé par l'Agence canadienne de développement international (ACDI) pour se doter des moyens indispensables pour mener à bien sa mission ambitieuse. L'ACDI est, au sein du CAD, un des premiers organismes d'aide à abandonner l'approche sectorielle classique au profit d'une approche thématique en concentrant son attention sur les résultats effectivement obtenus plutôt que sur les moyens mis en oeuvre. Cette initiative prometteuse mérite d'être suivie avec la plus grande vigilance et devrait apporter des enseignements utiles pour les autres donneurs.
L'ampleur et la portée des efforts déployés par le Canada au plan international -- qui s'enracinent sans conteste dans les valeurs, les intérêts et les capacités de la société canadienne -- sont toutefois limitées par les compressions de dépenses publiques opérées face à la charge de la dette publique. Le Comité craint que les réductions successives du budget de l'aide n'entament la capacité du Canada de répondre aux attentes de ses citoyens comme de la communauté internationale.
Les autres examens en matière de coopération pour le développement prévus pour 1998 seront consacrés aux Membres du CAD suivants : le Royaume-Uni, l'Espagne, les Etats-Unis, l'Allemagne, la Communauté européenne, la Finlande et le Luxembourg.

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  • 17 Jul 1998
  • OECD Development Centre
  • Pages: 136

Dans de nombreux pays africains, des conflits violents ont freiné le développement économique et social, quand ils ne l'ont pas tout simplement fait reculer. Pour gérer les tensions politiques et sociales de façon non violente, il faut adopter des modes de "gouvernance" appropriés au processus de développement. Mais, pour être efficace, la prévention des conflits requiert une connaissance approfondie de leurs origines et de leur dynamique. Cet ouvrage est le fruit d'une réunion organisée par le Centre de Développement et le Comité d'Aide au Développement de l'OCDE. Il passe en revue les possibilités offertes aux donneurs dans le cadre des efforts menés pour prévenir les conflits et renforcer les perspectives de développement social, économique et politique pacifique. Malgré la complexité du sujet, les auteurs ont pu dégagé des conclusions prudentes de nature à intéresser les décideurs. Au plan national, des programmes d'action doivent promouvoir la justice sociale, politique et économique ; faire participer la société civile aux affaires publiques à travers un transfert des compétences, connaissances et ressources ; définir des modes de gestion des conflits efficaces ; et prendre en compte les différents groupes et intérêts dans la société. Dans le cadre d'efforts de développement accrus, la communauté internationale devrait, quant à elle, être plus sensible à la problématique des conflits. Son rôle est d'offrir aux groupes concernés les moyens de négocier leur propre solution aux conflits et non de leur imposer des solutions de l'extérieur.

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La politique britannique en matière de développement international est en pleine mutation. Le nouveau gouvernement élu en mai 1997 a créé un ministère du développement international (le DFID - Department for International Development), avec, à sa tête, un secrétaire d'Etat qui fait partie du Cabinet. Ce ministère a un mandat beaucoup plus large que ses prédécesseurs ; il est notamment chargé d'assurer la cohérence de toutes les politiques du Royaume-Uni touchant au développement. Pour la première fois en vingt ans, le gouvernement a publié un Livre blanc sur le développement international. Ce document met l'accent sur certains objectifs clés du développement international et affirme la volonté du gouvernement de respecter l'objectif visant à réduire de moitié d'ici l'an 2015 la proportion de la population des pays en développement vivant dans l'extrême pauvreté.
Lors de son examen triennal des politiques et programmes d'aide britanniques, le Comité d'aide au développement de l'OCDE (CAD) s'est félicité de la nouvelle politique du Royaume-Uni. La création du DFID, doté d'un mandat élargi qui couvre la totalité de l'aide bilatérale et multilatérale, l'accent mis sur le renforcement de la coordination internationale, et le rôle confié à ce ministère d'assurer la cohérence de toutes les politiques touchant au développement, lui ont paru de bon augure. Le CAD a par ailleurs souligné qu'en focalisant ses efforts sur l'éradication de l'extrême pauvreté, le DFID, comme ses partenaires du CAD, devra s'attacher à concevoir ses programmes et à en mesurer les résultats en fonction de leurs retombées pour les pauvres.
Les prochains examens des politiques de coopération pour le développement prévus en 1998 porteront sur : le Canada, l'Espagne, les Etats-Unis, l'Allemagne, la Communauté européenne, la Finlande et le Luxembourg.

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  • 27 Mar 1998
  • OECD, Asian Development Bank
  • Pages: 252

En s'appuyant sur des scénarios réalisés par la Banque asiatique de développement (BAD) et le Centre de Développement de l'OCDE, cet ouvrage analyse les moyens de consolider la croissance économique à long terme de l'Asie, au profit de l'économie mondiale dans son ensemble. Au-delà des difficultés économiques actuelles, des perspectives de croissance forte attendent les pays asiatiques pour peu qu'ils s'emploient efficacement à renforcer leurs institutions nationales, à soutenir l'investissement dans le capital humain et à préserver leur capital environnemental. Cet ouvrage est le fruit de la troisième conférence du Forum international sur les perspectives asiatiques, organisé chaque année par la BAD et le Centre de Développement de l'OCDE. Ce Forum a pour vocation d'encourager les échanges d'idées entre spécialistes asiatiques et européens sur des questions économiques importantes pour ces deux régions.

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Les Pays-Bas sont depuis longtemps parmi les bailleurs de fonds les plus performants, aussi bien par le volume de leur aide publique au développement (APD) que par le soin avec lequel elle a été utilisée et la constante recherche d'une plus grande efficacité.
Lors de l'examen triennal de la politique et du programme d'aide des Pays-Bas auquel il a procédé, le Comité d'aide au développement (CAD) s'est tout particulièrement intéressé à la réorganisation ambitieuse, voire téméraire, entreprise en 1996 par les Pays-Bas dans leur dispositif de coopération pour le développement. Cette refonte porte aussi bien sur le processus budgétaire que sur la structure des postes au ministère des Affaires étrangères et dans les ambassades auprès des pays bénéficiaires. Le CAD a également apprécié l'intention des Pays-Bas de concentrer leur action sur l'éradication de la pauvreté par le développement économique et social.
L'effort d'APD des Pays-Bas, qui avait fléchi entre 1986 et 1994 en pourcentage du PNB, s'est renforcé entre 1994 et 1996. En 1996, les Pays-Bas se sont classés au quatrième rang des Membres du CAD par leur rapport APD/PNB et au cinquième par le volume absolu de leur aide. Le Comité a félicité les Pays-Bas pour ces résultats et exprimé l'espoir de voir se poursuivre le travail de sensibilisation et d'information du public, grâce auquel l'aide recueille déjà un large soutien dans l'opinion publique néerlandaise.
Les examens en matière de coopération pour le développement programmés pour 1998 porteront sur les Membres du CAD suivants : Canada, Espagne, Etats-Unis, Allemagne, Communauté européenne, Finlande et Luxembourg.

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  • 09 Mar 1998
  • OECD, Inter-American Development Bank
  • Pages: 248

Quels sont les effets de la décentralisation en Amérique latine ? Cet ouvrage examine les problèmes soulevés par la décentralisation politique dans la région et identifie les défis à relever. La décentralisation délègue en effet un certain degré de responsabilité financière aux gouvernements locaux et pourrait ainsi compromettre les objectifs fixés au niveau central en matière budgétaire et fiscale. Cette question se pose avec une acuité particulière à l'heure où il est nécessaire de conjuguer les progrès de la démocratisation avec la rigueur budgétaire requise par le marché international.
Cet ouvrage rassemble les contributions présentées lors du huitième Forum annuel sur les perspectives latino-américaines, organisé conjointement par le Centre de Développement de l'OCDE et la Banque interaméricaine de développement. Les analyses des économistes sont confrontées à l'expérience pratique de décideurs de plusieurs pays d'Amérique latine, ce qui offre au lecteur un exposé stimulant des avantages et des risques de cette tendance à la décentralisation pour le développement économique. Ricardo Hausmann propose "dix commandements" particulièrement intéressants qui pourraient servir de règles à la gestion budgétaire dans les démocraties décentralisées. Ces propositions, et d'autres encore, alimentent de manière aussi vivante que pertinente le débat sur cet enjeu de premier plan.

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Confronté depuis quelques années à de sérieux problèmes, le système belge de coopération pour le développement est aujourd'hui à un tournant critique. Un plan d'action a été élaboré par le Secrétaire d'Etat à la Coopération et des réformes fondamentales ont été entreprises. Ce plan d'action, intitulé "Annoncer la couleur -- Plan d'avenir pour la coopération belge au développement", a été favorablement accueilli par le Comité d'aide au développement (CAD) de l'OCDE. Lors de son examen triennal de la politique et du programme d'aide de la Belgique le Comité a également pris note de la volonté du Secrétaire d'Etat de concevoir un programme de coopération qui dépasse le cadre des considérations économiques et sociales, et tienne pleinement compte des valeurs fondamentales de la société.
Compte tenu des pratiques optimales en usage parmi les donneurs, le Comité s'est déclaré favorable à différentes mesures susceptibles d'augmenter l'efficience et l'efficacité du programme belge de coopération pour le développement :
accroître l'efficacité par une plus grande décentralisation des tâches d'exécution et contrôler l'efficience grâce à une politique active de suivi, d'évaluation et de rétroaction des résultats ; améliorer la qualification du personnel en renforcant les formations sur les thèmes-clés du développement et en instaurant un système de rotation entre le siège et les représentations locales ; élaborer des stratégies par pays basées sur une approche de partenariat ; concentrer les efforts de coopération technique sur le renforcement des capacités locales.
Au cours de l'année 1998 des examens de politique en matière de coopération pour le développement sont prévus pour les Membres du CAD suivants : Canada, Espagne, Etats-Unis, Allemagne, Communauté européenne, Finlande et Luxembourg.

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Le Mexique est un pays aux facettes multiples. Du fait de leur diversité géographique, ethnique, de traditions culturelles et historiques spécifiques, chacun des territoires qui composent cette fédération appelle une politique de développement adaptée. Dans le même temps, l'évolution des structures politiques vers une plus grande décentralisation va modifier les équilibres économiques politiques et sociaux. Le Mexique est confronté à deux défis majeurs : comment maintenir la cohérence de l'action publique tout en exprimant une forte volonté de décentralisation ? Comment concilier développement des territoires et développement national tout en jouant pleinement la carte de l'intégration dans l'économie mondiale ? Cette étude permet de mieux cerner ces enjeux et d'éclairer ainsi, dans le domaine de la politique régionale, les choix politiques de la prochaine décennie. De nombreux tableaux, cartes et graphiques étayent ces analyses.

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En cette fin de XXe siècle une ère nouvelle se profile, déjà tangible dans l'accélération des mouvements internationaux de biens, de services, de capitaux, d'information et de technologie. Il y a de bonnes raisons d'espérer qu'elle débouchera sur davantage de sécurité, de prospérité et de justice à l'échelle mondiale. Mais certaines évolutions actuelles font également naître des inquiétudes légitimes.
Instinctivement, nous doutons du bien-fondé d'un modèle de développement dans lequel un cinquième de la population mondiale vit dans des conditions d'extrême pauvreté et où le fossé qui sépare les riches des pauvres continue de se creuser. Beaucoup de peuples et de pays risquent d'être laissés pour compte si le processus de mondialisation ne fait pas une plus large place aux intérêts de tous et aux valeurs communes. Une certitude s'impose cependant : la nouvelle ère mondiale ne sera durable que si elle se fonde sur l'intégration.
Quel rôle la coopération pour le développement doit-elle jouer face aux évolutions économiques, politiques, sociales et environnementales à l'oeuvre à l'échelle planétaire ? La mise en oeuvre d'une véritable stratégie mondiale de partenariat pour le développement a-t-elle progressé ? Comment faire de cette stratégie la pierre angulaire de l'aide au développement ? Le Rapport sur la coopération pour le développement livre les analyses les plus complètes sur les efforts déployés l'année passée et trace des lignes d'action essentielles pour comprendre et construire l'avenir.

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