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Ce rapport livre des données comparatives sur l’innovation concernant certaines technologies d’atténuation du changement climatique et d’adaptation à ses effets dans le contexte de l’Afrique. L’analyse de ces données éclaire l’élaboration des politiques visant à encourager les transferts internationaux de technologies et le renforcement des capacités nationales d’innovation. Nous proposons une analyse détaillée du rôle de l’Afrique dans la mise au point de ces technologies (invention), avant d’étudier le marché technologique qu’elle représente (à l’aune des dépôts de brevets). Nous abordons en outre brièvement la question du développement de technologies au niveau international (co-invention) en Afrique. Si l’activité inventive des pays africains dans ces domaines est généralement faible par rapport à d’autres pays, les technologies d’atténuation et d’adaptation y tiennent toutefois une place primordiale. Qui plus est, la co-invention internationale concernant la plupart de ces technologies est bien plus fréquente en Afrique que dans le reste du monde. Enfin, les offices africains de la propriété intellectuelle délivrent davantage de brevets aux technologies climatiques qu’aux autres technologies. Soulignons cependant que les inventions protégées sont relativement peu nombreuses en Afrique, et que la propriété intellectuelle n’y dresse donc pas d’obstacle au transfert et à la diffusion des technologies

This paper was prepared by the Africa Partnership Forum (APF) Support Unit* for discussion during Session 1 on “Environmental Issues and Climate Change” at the 10th Meeting of the Africa Partnership Forum in Tokyo on 7-8 April 2008.

This paper* was prepared for discussion during Session 3 on Climate Change at the 12th Meeting of the Africa Partnership Forum held in Rome, 10 June 2009. It addresses the issues of enhanced action on adaptation, technology development and transfer and enhanced action on the provision of financial resources and investment.

L’objectif de ce document est de discuter de quelques questions liées à la manière de communiquer l’incertitude autour des projections des futures prestations de retraite aux adhérents des plans de retraite à cotisations définies. En particulier, le but est de présenter un simulateur de risque de retraite développé par le régulateur chilien (Superintendencia de Pensiones, SP) qui aborde directement la manière de transmettre cette incertitude et vise à susciter une réponse proactive de la part des individus pour qu’ils cotisent d’avantage et pendant plus longtemps.
This working paper offers an evaluation of the performance of the port of Marseille-Fos, an analysis of the impact of the port on its territory and an assessment of policies and governance in this field. It examines declining port performance over the last decades and identifies the principal factors that have contributed to it. The effect of the ports on economic and environmental questions is studied and quantified where possible. The value added of the port cluster of Marseille-Fos is calculated and its interlinkages with other economic sectors and other regions in France delineated. The paper outlines the impact of the ports? operations, and shows how their activities spill over into other regions than the one in which the port of Marseille-Fos is located. The major policies governing the ports are assessed, along with policies governing transport and economic development, the environment and spatial planning. These include measures instituted by the port authorities, as well as by local, regional and national governments. Governance mechanisms at these different levels are described and analysed. Based on the report?s findings, recommendations are proposed with a view to improving port performance and increasing the positive effects of the port of Marseille-Fos on its territory.
Français
  • 19 déc. 2012
  • Olaf Merk, Claude Comtois
  • Pages : 69
Ce document de travail propose une évaluation de la performance du port de Marseille-Fos, une analyse de l?impact de ce port sur son territoire et une appréciation des politiques et de la gouvernance dans ce domaine. Il fait le constat du caractère déclinant de la performance portuaire au cours des dernières décennies et identifie les principaux déterminants de ce phénomène. Les différents impacts du port (en termes économiques et environnementaux) sont identifiés et quantifiés lorsque c?est possible. La valeur ajoutée du cluster portuaire du Marseille-Fos a été calculée et ses interconnexions avec d?autres secteurs économiques et d?autres régions de France ont été identifiées. Le rapport montre divers impacts du port, mais indique que beaucoup de ces impacts ont des retombées dans une autre région que celle dans laquelle le port de Marseille-Fos est situé. Les principales politiques à l?égard du port, des transports, du développement économique, ainsi que de l?environnement et de l?aménagement du territoire ont été évaluées. Cela inclut les politiques à l?échelle des autorités portuaires et aux échelles locales, régionales et nationales. Les mécanismes de gouvernance à ces différents niveaux sont décrits et analysés. A partir de l?analyse de ce rapport, des recommandations sont formulées afin d?améliorer la performance portuaire et d?augmenter l?impact positif du port de Marseille-Fos sur son territoire.
Anglais
This paper provides an overview of current government schemes promoting corporate reporting of greenhouse gas (GHG) emissions and analyses their main building blocks. It describes the drivers and challenges for governments, companies and investors in dealing with GHG reporting and includes 4 case studies examining in more depth the domestic GHG emission reporting schemes of the UK, France, Japan and Australia. This work is part of a project with UNCTAD, the Climate Disclosure Standards Board (CDSB) and the Global Reporting Initiative (GRI) on consistency of climate change reporting.
Pour adapter les systèmes de retraite aux tendances démographiques, de nombreux pays réduisent les niveaux des retraites publiques par répartition et relèvent les âges de départ à la retraite. Dans ce contexte, les retraites par capitalisation pourraient jouer un rôle majeur pour éviter des écarts d’adéquation. Toutefois, comme le montre ce document, la couverture des pensions privées par capitalisation, telle que mesurée par les taux d’adhésion, est fortement inégale entre les pays et entre les individus, en particulier dans les systèmes volontaires. Certains pays ont rendu les pensions par capitalisation obligatoires (par ex. l’Australie, le Chile)ou quasi-obligatoires (par ex. le Danemark, les Pays-Bas) pour s’assurer que la plupart des travailleurs sont couverts et ont ainsi accès à une retraite complémentaire suffisamment élevée. En revanche, dans d’autres pays, où les prestations des retraites publiques par répartition sont relativement faibles, l’offre privée par capitalisation reste volontaire. La faible couverture des pensions par capitalisation dans ces pays devrait être un souci politique majeur. De récentes initiatives politiques en Allemagne et en Nouvelle-Zélande, impliquant l’introduction d’incitations financières (et l’adhésion automatique en Nouvelle-Zélande), ont été efficace à augmenter la couverture parmi les plus hauts niveaux au sein des dispositifs de retraites volontaires, mais des écarts de couverture demeurent et doivent être abordés.
D'un point de vue historique, les récessions économiques qui trouvent leur origine dans des excès en matière de crédit et des phénomènes de surendettement tendent à s'inscrire dans la durée, que le secteur financier reste sain ou non. Il n'existe aucune bonne raison de penser que la crise mondiale actuelle diffère en quoi que ce soit de ce schéma. En outre, nous faisons valoir dans ce document que les mesures prises à ce jour par les pouvoirs publics face à la crise, tant sur le plan macroéconomique que structurel, ne permettront pas de revenir à une croissance durable. Les mesures de relance monétaire et budgétaire peuvent certes renforcer la demande globale à court terme, mais elles contribuent à alourdir une dette qui exerce déjà un effet inverse de plus en plus fort. Quant aux mesures structurelles destinées à préserver les structures de production d'avant la crise, tant dans le secteur financier que dans l'industrie, elles ne tiennent pas compte du fait que ces structures n'étaient pas viables à l'origine. D'autres mesures s'imposent pour atteindre l'objectif de « croissance forte, durable et équilibrée » défini par le Groupe des Vingt (G20). Elles peuvent notamment prendre la forme d'une coopération internationale accrue entre pays débiteurs et créanciers (tant en matière de taux de change que de structures de production), d'un recours plus poussé à des formes explicites de restructuration de la dette (tant pour les ménages que pour les emprunteurs souverains), ainsi que de mesures structurelles destinées à rehausser la croissance potentielle et à renforcer la viabilité des dettes. Malheureusement, la mise en oeuvre de telles mesures reste entravée par des obstacles pratiques et politiques considérables. Nous pourrions éviter de futures crises de la dette d'une ampleur similaire à celle que nous connaissons aujourd'hui en utilisant les politiques monétaire, macro prudentielle et budgétaire de manière plus symétrique sur la durée du cycle économique. Par rapport aux comportements antérieurs, cela impliquerait une résistance plus vigoureuse aux phases d'expansion financées par le crédit, et une plus grande disposition à accepter l'effet d'assainissement des phases de contraction légère de l'activité. Les mesures destinées à garantir la stabilité financière sont certes importantes, mais secondaires.

The announcement by American President G.W. Bush and Indian Prime Minister Singh on 18 July 2005 of an agreement on civil nuclear co-operation marked a fundamental change in three decades of American policy on trade in nuclear equipment and applied technology which brooked no exceptions.

Français
Lors de la COP 17, à Durban, les pays ont défini un nouveau mécanisme de marché pour promouvoir les mesures d’atténuation offrant un bon rapport coût / efficacité. Cette action s’inscrit dans la continuité des principes convenus lors de la COP 16 et qui visent à « stimuler l’atténuation dans de vastes secteurs de l’économie », « contribuer à une diminution nette et/ou à la prévention des émissions mondiales de gaz à effet de serre » et « aider les pays développés à atteindre une partie de leurs objectifs d’atténuation ». Le présent document envisage, pour fixer les crédits des groupes d’émetteurs, de retenir des niveaux de base ambitieux comme fondement d’un nouveau mécanisme de marché qui soit conforme aux principes énumérés précédemment. Il s’interroge également sur la manière de définir les groupes d’émetteurs et envisage différentes approches pour rendre ces niveaux de base plus ambitieux, notamment en exploitant les projections en matière d’émissions et les critères de performance. Sont aussi présentés les éléments possibles d’un processus qui aboutirait à fixer des niveaux de base en vue de leur reconnaissance internationale. Le document s’inspire des nombreuses analyses déjà réalisées sur les niveaux de base d’émissions dans une perspective de mécanisme de marché, et il prend en compte les dernières évolutions résultant des négociations internationales.
Le déficit de la balance des opérations courantes de la Turquie s'est creusé pour atteindre près de 10 % du PIB en 2011 et n’a rétréci que très graduellement depuis. Il importe de déterminer dans quelle mesure ce déficit est excessif. Pour explorer la question, des repères doivent être établis. Ce document de travail calcule et propose de tels repères, à partir des méthodes de viabilité de la balance courante, et d’équilibre macroéconomique. La méthode standard d’équilibre macroéconomique ne tient cependant pas compte de l’incertitude inhérente au processus de sélection du modèle, vu le nombre important de déterminants possibles de la balance des opérations courantes. Ce document élargit la méthode d’équilibre macroéconomique afin de tenir compte de cette incertitude, en utilisant les techniques de choix de modèles par estimateur Bayesien. Les résultats obtenus à partir des deux méthodes suggèrent que les repères de balance courante pour la Turquie pourraient se situer entre 3% et 5½ pour cent du PIB, en ligne avec les estimations précédentes mais nettement en-dessous des récents niveaux de déficit du compte courant. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE de la Turquie, 2012 (www.oecd.org/eco/surveys/turkey).
La prise de conscience de l’importance de l’éducation financière a permis la mise en place d’un nombre croissant de stratégies nationales sur l’éducation financière, tant dans les pays en voie de développement que dans les pays développés. Ces structures promeuvent une coopération facilitée et plus durable entre les parties intéressées et les parties prenantes, évitant la duplication de ressources et permettant le développement de feuilles de route plus adaptées et articulées avec des objectifs mesurables et réalistes basés sur des évaluations nationales ciblées. L’analyse comparative qui en est faite montre comment les pays ont surmontés certains défis comme le manque de ressources, l’identification d’une institution coordinatrice, et comment ils ont réussis à réunir l’ensemble des parties prenantes atour d’un objectif commun et sont passés efficacement à la phase opérationnelle.

Les expériences analysées dans ce rapport offrent une image globale de la situation 2011-2012 ainsi qu’une sélection d’outils et de solutions pertinentes qui pourront être transposés dans différents contextes nationaux.

Ce rapport comparatif doit être considéré comme un document complémentaire aux Principes de haut niveau sur les stratégies nationales pour l’éducation financière, préparés par l’OCDE et son réseau international sur l’éducation financière (INFE).

This report analyses the latest generation of “national cybersecurity strategies” in ten OECD countries and identifies commonalities and differences. The analysis reveals that cybersecurity policy making has become a national policy priority and relies on holistic strategies supported by stronger leadership which aims to drive economic and social prosperity and protect cyberspace-reliant societies against cyber-threats.
Les niveaux d’endettement sont montés en flèche depuis le milieu des années 90 et atteignent des sommets historiques dans la zone de l’OCDE. Un endettement important peut créer des vulnérabilités, qui amplifient et répercutent les chocs macroéconomiques et les variations des prix des actifs. Par ailleurs, dans ces conditions, les ménages et les entreprises n’ont plus la possibilité de lisser leur consommation et leurs investissements et les gouvernements d’amortir les chocs négatifs. L’expérience semble indiquer que, lorsque les niveaux d’endettement du secteur privé, en particulier ceux des ménages, sont supérieurs à la tendance, la probabilité de récession s’accroît. Les indicateurs du levier financier donnent moins de signaux d’alerte et ne se détériorent généralement qu’une fois que l’activité économique commence à se ralentir et que le prix des actifs baissent. La dette publique augmente généralement après le début d’une récession, ce qui laisse penser que la dette migre entre les bilans. Certaines mesures telles que la mise en place d’une réglementation micro-prudentielle efficace et de cadres permettant de faire face au surendettement et de maintenir la dette publique à des niveaux prudents peuvent aider les économies à résister à des chocs défavorables. D’autres actions possibles, comme la correction de certains biais dans les codes des impôts qui favorisent le financement par l’emprunt et des mesures macro-prudentielles ciblées, aideront à réduire les niveaux d’endettement et à contenir le gonflement de la dette dans l’avenir.
Quels sont les effets de l’endettement sur la stabilité macroéconomique ? La réponse à cette question a des conséquences importantes car les niveaux d’endettement publics et privés atteignent des sommets historiques dans les pays de l’OCDE. S’il est vrai que l’accumulation de dettes peut aider à lisser l’activité réelle, un endettement élevé affaiblit les bilans des entreprises, des ménages et de l’État. Un fort endettement peut être à l’origine de vulnérabilités, qui amplifient et répercutent les chocs macroéconomiques et les variations des prix des actifs dans l’économie et au plan international. L’expérience montre que des niveaux élevés d’endettement limitent la possibilité pour les ménages et les entreprises de lisser leur consommation et leurs investissements et, pour les gouvernements, d’amortir les chocs défavorables. Les données d’observations semblent aussi indiquer que lorsque la dette du secteur privé, en particulier celle des ménages, dépasse la tendance, la probabilité de récession s’accroît. Par ailleurs, lorsque les niveaux d’endettement sont élevés, les récessions sont généralement plus sévères.
L’accumulation de dettes amène à se préoccuper des répercussions de ce phénomène sur la stabilité économique. Ce document met en lumière les conséquences d’un niveau élevé d’endettement du point de vue de l’instabilité macroéconomique en identifiant les principaux déterminants de l’évolution de la dette dans un certain nombre de pays. Les pays choisis ont connu de longues périodes de désendettement, identifiées par la datation du point de retournement. L’analyse montre que les PIB est plus variable au cours de la phase de désendettement. On distingue toutefois deux groupes de pays. Dans un premier groupe (Allemagne, Israël, Mexique et États-Unis), l’activité économique a souvent rebondi durant la phase de désendettement. Dans un second groupe, au contraire, la plus forte instabilité caractérisant la phase de désendettement s’est accompagnée d’une atonie de l’activité économique. Les pays du second groupe (Japon et Suède, par exemple) ont en commun le fait que leur niveau plus élevé d’endettement a été imputable à une explosion des prix des actifs. Lorsque les prix des actifs flambent, le secteur financier réduit l’offre de crédit, ce qui pèse sur l’activité économique. Les résultats semblent indiquer aussi que, dans bien des cas, les épisodes de désendettement ont fait suite naturellement à une poussée des prix des actifs utilisés comme nantissement ou à une libéralisation financière, qui a facilité un recours excessif à l’emprunt.
S’appuyant sur un vaste ensemble de pays de l’OCDE, ce document étudie le lien entre la dette et la stabilité macroéconomique en comparant l’évolution des agrégats des bilans et de la production économique dans des contextes d’endettement élevé et de faible endettement. Si la relation entre la dette et la croissance économique a fait l’objet de nombreuses études, il n’a guère été prêté attention à l’impact de la dette sur la volatilité et les moments supérieurs des distributions de la croissance de la production. Ce document comble cette lacune. Il constate que les phases d’expansion financée par le recours à l’endettement durent généralement plus longtemps mais se terminent par un ralentissement plus marqué de l’activité. La plus grande amplitude des cycles conjoncturels en situation de fort endettement reflète une plus haute instabilité macroéconomique mais aussi des risques extrêmes plus élevés et des asymétries défavorables dans les distributions de la croissance de la production. Les pertes de bien-être liées à ces phénomènes justifient les interventions des pouvoirs publics visant à éviter une accumulation excessive de dette ex ante.
Ce document à caractère définitionnel et d’inventaire vise à fournir une revue complète des concepts et définitions liés aux investissements « verts » utilisés actuellement sur le marché. L’objectif de cette recherche n’est pas de prendre position pour une définition particulière mais plutôt d’explorer ce qui est généralement utilisé, s’il existe des points communs et des incohérences et quelles leçons peuvent être tirées de cette analyse.

Le document examine comment les investissements « verts » sont définis à travers différentes classes d’actif (actions, obligations and investissements alternatifs) et fournit également certaines estimations de la taille de ces investissements. Le document conclut que, étant donné le manque de consensus autour de l’usage et de la définition du terme « vert », l’approche la plus productive pourrait être d’adopter une attitude ouverte et dynamique au regard des définitions et des standards, les institutions internationales et les gouvernements pouvant adopter « une approche de gouvernance pour l’investissement vert ».

This work seeks to quantify investment in Organisational Capital (OC) by looking at the task content of occupations. It relies on the literature suggesting OC to be embodied in a firm’s workforce and defines OC as those tasks performed by employees – irrespective of their occupational titles – likely to affect a firm’s medium to long-term functioning. Using US Occupational Information Network (O*NET) data, it operationalises the task-based definition and identifies 84 occupations, including 22 managerial occupations, performing OC related tasks. Employment and earnings data from the US are used to calculate investment in OC at macro and 2-digit sectoral levels. Estimates suggest that previous measures seemingly underestimated investment in OC at the macro level, and that large sectoral differences exist. Manufacturing shows significant own-account investment in OC relative to the value added it generates. Services appear as larger purchasers of OC from external sources, relative to own-account investment. Building on the insights of the labour mobility literature about the disruptive effect of (voluntary) job separations, this work uses employee tenure and turnover data for the US to obtain sector specific depreciation rates. Estimates mainly range between 10% and 25% and suggest that OC depreciates more slowly than previously assumed.
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