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  • Across OECD countries, 18% of students skipped classes at least once in the two weeks prior to the PISA test, and 15% of students skipped a day of school or more over the same period.
  • Few students in high-performing school systems skip classes or days of school.
  • For students in OECD countries, skipping classes is associated with a 32-point lower score in mathematics, while skipping days of school is associated with a 52-point lower score.
  • Truancy is observed among all students, whether advantaged or disadvantaged.
Français
  • Dans les pays de l’OCDE, durant les deux semaines précédant les épreuves PISA, 18 % des élèves ont séché au moins un cours, et 15 % des élèves au moins une journée entière de classe.
  • Dans les systèmes d’éducation très performants, rares sont les élèves qui sèchent des cours ou des journées entières de classe.
  • Dans les pays de l’OCDE, les élèves qui sèchent des cours ou des journées entières de classe obtiennent un score en mathématiques inférieur de respectivement 32 et 52 points.
  • L’absentéisme touche tous les élèves, qu’ils soient issus de milieux socio economiques favorisés ou défavorisés.
Anglais
  • Au lendemain de la crise financière de 2008, un nombre significatif de pays ont réduit leurs dépenses publiques d’éducation. Malgré l’augmentation du PIB dans la plupart des pays de l’OCDE entre 2009 et 2010, les dépenses publiques au titre des établissements d’enseignement ont chuté dans un tiers d’entre eux.
  • Entre 2009 et 2011, les salaires des enseignants ont été soit gelés, soit réduits dans 12 des 25 pays de l’OCDE qui disposent de données, ce qui pourrait avoir pour effet de décourager les étudiants très performants qui souhaitaient embrasser cette carrière.
  • La demande d’enseignement et de formation est en constante augmentation alors même que les mesures d’austérité font pression sur les ressources allouées à l’éducation. Dans les années à venir, les établissements d’enseignement devront obtenir davantage de résultats, mais avec des moyens plus restreints.
Anglais
Ces 50 dernières années, nombre de comparaisons internationales de l'éducation ont inclus, sous une forme ou une autre, une mesure des possibilités d'apprentissage (opportunity to learn, OTL) des élèves au cours de leur scolarité. Les résultats ont généralement confirmé la notion de bon sens selon laquelle l'exposition des élèves dans la cadre scolaire aux concepts évalués, matérialisée sous forme de mesure temporelle, présente une corrélation avec les connaissances apprises par les élèves, telles que mesurées par l'évaluation. Ce qui n'a pas été démontré, en revanche, c'est le lien qui existe entre la nature des éléments spécifiques auxquels les élèves ont été exposés au cours de leur scolarité et leur performance à tout type d’évaluation des connaissances appliquées, telle que le PISA. Le présent document de travail étudie cette question dans le cadre de l’enquête PISA 2012 qui, pour la première fois, faisait figurer plusieurs items relatifs aux possibilités d’apprentissage dans son questionnaire destiné aux élèves. Il en ressort qu'il existe une corrélation significative entre les possibilités d'apprentissage et les résultats des élèves, tant dans l’évaluation papier-crayon principale que dans l’évaluation informatisée proposée à titre d’option, et ce à tous les niveaux – national, établissements d’enseignement et élèves. Dans tous les pays, au moins l'un des trois indices composites des possibilités d’apprentissage, si ce n'est tous (exposition aux problèmes lexicaux, exposition aux mathématiques formelles et exposition aux problèmes de mathématiques appliquées), présente une corrélation significative avec le niveau de compétence sur l’échelle PISA globale de culture mathématique, ainsi que sur les quatre sous-échelles variations et relations, espace et formes, quantité et incertitude et données. En outre, les résultats indiquent que la variation des indices des possibilités d’apprentissage influe sur la performance des élèves, laissant donc entrevoir des implications en termes d'égalité des chances.
This report analyzes the specific factors that affect the competitiveness of developing countries in global value chains (GVCs), and how these factors differ across four major economic sectors: agriculture, extractive industries, manufacturing and offshore services. Although integration into GVCs allows firms in developing countries to participate in international trade without developing the full range of capabilities required to produce a product or service, it will not automatically translate into positive development gains from trade without the appropriate policies to build productive capacity and ensure inclusive growth and upgrading capabilities. In order to inform these policies, it is necessary to identify the various local factors that affected the capacity of developing countries to meet GVC and RVC requirements, including their productive capacity, infrastructure and services, the business environment, trade and investment policies and industry institutionalization. The report identifies the need for further data and analysis in many areas, in particular the trade-related policy implications of TiVA-GVCs for developing countries, including emerging economies. This would provide a starting point for the discussion of the domestic policies and actions needed to promote and support developing countries’ beneficial participation in value chains and inform aid for trade interventions promoting effective integration into markets via GVCs.
Ce court document analyse la dégradation de la balance commerciale de la France depuis plus de quinze ans. Alors que la perte de parts de marché à l’exportation est comparable à celle des grands pays de l’OCDE à l’exception de l’Allemagne, elle est une des plus fortes des pays de la zone euro. Les déterminants de cette évolution semblent être généraux (plutôt que concentrés dans le secteur industriel) et refléter des faiblesses générales du côté de l’offre productive.
La pauvreté et les inégalités de revenus se sont aggravées depuis le déclenchement de la crise. Certes, certaines mesures budgétaires ont permis d’alléger le fardeau de l’ajustement, mais à mesure que la récession s’amplifiait, le chômage a augmenté, les revenus ont diminué et les tensions sociales se sont avivées. Les mesures de retour à l’emploi et l’aide aux plus vulnérables restent des priorités pour assurer une croissance inclusive et répartir équitablement les coûts de l’ajustement. Compte tenu de l’étroitesse de la marge de manoeuvre budgétaire, cela suppose de poursuivre les réformes pour mieux cibler l’aide sociale, notamment les prestations au logement, étendre l’assurance-chômage et introduire un revenu minimum sous conditions de ressources. Il est également essentiel d’asseoir durablement un accès universel à des soins de santé de qualité. Par ailleurs, il est important d’engager des politiques actives du marché du travail bien conçues pour insérer les chômeurs, en particulier les jeunes, sur le marché du travail. Parallèlement, il faut renforcer l’efficacité le mécanisme d’inspection du travail pour garantir une application intégrale du code du travail. Enfin, des mesures décisives de lutte contre la fraude fiscale sont aussi indispensables à l’équité sociale. Les réformes adoptées par les pouvoirs publics dans nombre de ces domaines sont les bienvenues et doivent être poursuivies.
Le Brésil a accompli des progrès remarquables en termes de réduction de la pauvreté et des inégalités. Cela tient au dynamisme de la croissance mais aussi à l'efficacité des politiques sociales. En dehors de la croissance, ce sont les services publics et les transferts monétaires qui ont été les facteurs les plus importants, notamment les seconds dans le cadre du programme Bolsa Familia, qui a été couronné de succès. S'agissant des services publics, l'amélioration de l'accès à l'éducation a joué un rôle majeur, en permettant à davantage de Brésiliens d'obtenir des emplois mieux payés. Néanmoins, les problèmes de pénurie d'infrastructures scolaires limitent le nombre d'heures d'enseignement dont bénéficient les élèves. Il faut abaisser les taux élevés d'abandon des études par le biais d'interventions précoces consistant par exemple à développer l'éducation préscolaire, ainsi qu'en réduisant les taux de redoublement et en apportant un soutien plus individualisé aux élèves à risque. On pourrait également rehausser la qualité de l'enseignement en développant la formation en cours d'emploi des enseignants et en renforçant les mesures d'incitation qui récompensent leurs bons résultats. Le bilan des services publics est mitigé dans les domaines de la santé et des transports. Les services de santé publique sont largement accessibles mais ils pâtissent d'un financement insuffisant, et le nombre de places offertes pour la formation du personnel médical doit être accru. Le système public de transports urbains souffre d'un manque d'investissements, alors qu'il est urgent de consacrer des ressources à la modernisation des capacités. S'agissant des transferts monétaires, la réussite de Bolsa Familia et des nouveaux dispositifs mis en place dans le cadre global du programme Brasil sem Miseria est remarquable, mais les prestations de retraite représentent toujours une proportion excessive des transferts sociaux. En accordant une plus grande importance au programme Brasil sem Miseria en général et à Bolsa Familia en particulier, tout en limitant la croissance réelle des dépenses de retraite à l'avenir, les autorités renforceraient l'efficacité des dépenses sociales en termes de réduction de la pauvreté et des inégalités. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE du Brésil, 2013 (www.oecd.org/eco/etudes/bresil).
La question de savoir si la migration peut être une force d'équilibre sur le marché du travail est un critère non négligeable pour l’optimisation d’une zone monétaire. Elle est particulièrement importante dans un contexte où les disparités du marché du travail connaissent des niveaux élevés et croissants, en particulier au sein de la zone euro où il n'existe pas de mécanisme de taux de change à même de jouer ce rôle. Nous espérons apporter un éclairage nouveau sur cette question en comparant les flux migratoires avant et après la crise au niveau régional en Europe et aux États-Unis , et leur combinaison avec les chocs asymétriques du marché du travail. Nous avons constaté que les flux migratoires récents ont réagi de manière assez significative aux élargissements de l'UE en 2004 et 2007 et aux changements du marché du travail, en particulier en Europe. En effet, contrairement à la situation qui prévalait avant la crise et aux résultats des études empiriques antérieures, il semblerait que la réponse de la migration à la crise ait été considérable en Europe, contrairement aux États-Unis où la crise et la faible reprise ultérieure n'ont pas été accompagnées par une plus grande mobilité interrégionale des travailleurs en réaction aux chocs du marché du travail. Nos estimations semblent suggérer que si tous les changements de population mesurés en Europe sont dus à la migration à des fins d'emploi - c'est à dire une estimation de la limite supérieure - jusqu'à environ un quart des chocs asymétriques du marché du travail seraient absorbés par la migration dans l'année. Cependant, dans la zone euro, cette réaction s'explique principalement par la migration de ressortissants de pays tiers. Même au sein du groupe des ressortissants de la zone euro, une partie importante des mouvements de libre circulation émanent de migrants de pays tiers ayant pris la nationalité de leur pays d'accueil de la zone euro.
Demand for non-renewable natural resources is forecast to rise steadily over the coming decades. Underlying trends of long-term rising demand and falling supply of mineral resources will inevitably increase pressure on prices and intensify competition for scarce resources. This can create a substantial opportunity for development for minerals-rich countries. However, as suggested by the “resource curse” debate, broad-based economic development based on the extractive industries is far from assured. History suggests that not all countries, in particular many of those outside the OECD area, have benefitted economy-wide from their mineral resources: good governance and good policies are essential to benefit from their huge potential growth.

Some countries have successfully regulated their mining sectors without resorting to highly distortive policies such as export restrictions. One such country is Botswana. This paper examines some of the policies in place in Botswana that have contributed to the governance and management of its substantial minerals sector. Lessons are drawn for minerals-rich countries keen to manage their raw materials sectors for increased economy-wide growth.

Ce rapport présente les résultats mis en évidence par les indicateurs de l'OCDE destinés à évaluer l'incidence de certaines mesures de facilitation sur les échanges des pays en développement. Seize indicateurs sur la facilitation des échanges (IFE) ont été construits, correspondant aux principaux domaines qui font l’objet de négociations à l'OMC. L’objectif était d'estimer les effets des mesures prises face aux obstacles particuliers créés par les procédures applicables au commerce et au passage des frontières dans un pays donné. Les domaines qui semblent influer le plus sur les volumes et les coûts du commerce, aussi bien à l'importation qu’à l'exportation, sont la disponibilité des renseignements relatifs au commerce, la simplification et l'harmonisation des documents, la rationalisation des procédures et l'utilisation de processus automatisés. L'effet combiné des améliorations apportées dans ces domaines est supérieure à la simple addition des effets de chacune ; il en résulte une réduction de 14.5 % du coût total du commerce pour les pays à faible revenu, de 15.5 % pour les pays à revenu moyen inférieur et de 13.2 % pour les pays à revenu moyen supérieur.
Anglais
Higher education plays an important role in providing people with skills for innovation, but a number of important questions remain as to what kind of higher education teaching can be conducive to the strengthening of skills for innovation. This report aims to shed light on this issue by reviewing the current evidence on the effectiveness of problem-based learning compared with more traditional approaches in higher education teaching. It explores the extent to which problem-based learning can be an effective way to develop different discipline-specific and transferable skills for innovation. Research, primarily from the field of medicine, shows that problem-based learning appears to be beneficial in fostering certain aspects of skills for innovation. In addition, the report explores the literature on direct teaching behaviours that may help foster student learning in more traditional teaching settings. Despite the promising evidence linking problem-based learning and effective teaching in higher education to certain aspects of skills for innovation, more work is needed in this area. There is strong potential for further research to provide additional important insights into the development of skills for innovation.

The main hallmarks of the global financial crisis were too-big-to-fail institutions taking on too much risk with other people’s money while gains were privatised and losses socialised. It is shown that banks need little capital in calm periods, but in a crisis they need too much – there is no reasonable ex-ante capital rule for large systemically important financial institutions that will make them safe. The bank regulators paradox is that large complex and interconnected banks need very little capital in the good times, but they can never have enough in an extreme crisis. Separation is required to deal with this problem, which derives mainly from counterparty risk. The study suggests banks should be considered for separation into a ring-fenced non-operating holding company (NOHC) structure with ring-fencing when they pass a key allowable threshold for the gross market value (GMV) of derivatives, a case which is reinforced if the bank has high wholesale funding and low levels of liquid trading assets. The pricing of derivatives and repos would become more commensurate with the risks if the NOHC proposal were to be pursued as a unifying strategy for the different national approaches. Most of the objections to this structure are summarised and rebutted. Other national proposals for separation in Switzerland, the Volcker rule, the Vickers rule, and the Liikanen proposal are argued to be inferior to the ring-fenced NOHC proposal, on the grounds that empirical evidence about what matters for a safe business model is not taken properly into account.
JEL classification: G01, G15, G18, G20, G21, G24, G28
Keywords: Financial crisis, derivatives, bank business models, distance-to-default, structural bank separation, banking reform, GSIFI banks

The main hallmarks of the global financial crisis were too-big-to-fail institutions taking on too much risk with other people’s money: excess leverage and default pressure resulting from contagion and counterparty risk. This paper looks at whether the Basel III agreement addresses these issues effectively. Basel III has some very useful elements, notably a (much too light “back-up”) leverage ratio, a capital buffer, a proposal to deal with pro-cyclicality through dynamic provisioning based on expected losses and liquidity and stable funding ratios. However, the paper shows that Basel risk weighting and the use of internal bank models for determining them leads to systematic regulatory arbitrage that undermines its effectiveness. Empirical evidence about the determinants of the riskiness of a bank (measured in this study by the Distance-to-Default) shows that a simple leverage ratio vastly outperforms the Basel Tier 1 ratio. Furthermore, business model features (after controlling for macro factors) have a huge impact. Derivatives origination, prime broking, etc., carry vastly different risks to core deposit banking. Where such differences are present, it makes little sense to have a one-size-fits-all approach to capital rules. Capital rules make more sense when fundamentally different businesses are separated.
JEL classification: G01, G15, G18, G20, G21, G24, G28
Keywords: Financial crisis, Basel III, derivatives, bank business models, distance-todefault, structural bank separation, banking reform, GSIFI banks

The results of an IMF study on controls on capital inflows in emerging economies, using a probit regression approach, are first replicated and tested for stability. The IMF results, downplayed by the authors, have been used by others to suggest controls can be helpful in a crisis situation. However, the stability findings suggest the results are not sufficiently robust to make strong claims in this regard. The same 37 countries and the IMF capital control measures are then used in a panel regression study to examine the impact of capital inflows on annual real GDP growth around the Global Financial Crisis. The results between the pre-crisis and the crisis periods are inconsistent with the IMF study – finding that capital restrictions on inflows (particularly debt liabilities) are most useful in good times when inflows to emerging markets are strong and upward pressure on managed exchange rates and reserves accumulation is greatest. However, lower controls on bonds and on FDI inflows seem to be associated with better growth outcomes during the crisis period studied. These findings are more consistent with studies that see capital controls as part of exchange rate targeting policies and concerns about excess reserves accumulation.
JEL Classification: C23, C25, F21, F43, G01
Keywords: Capital controls, economic growth, emerging economies, financial crisis

The paper explores the issue of macro-prudential policies in the light of empirical evidence on the determinants of bank systemic risk, and the effectiveness of capital controls. In many ways this reflects a step back in time towards sector approaches to monetary policy that were so prevalent in the 1960s, 1970s and early 1980s. Complexity and interdependence is such that proposals on these issues should be treated with care until much more is understood about the issue.
JEL Classification: C23, C25, F21, F43, G01.
Keywords: Macro-prudential policies, capital controls, economic growth, emerging economies, financial crisis.

The increase in the human life span is a testament to the economic, social and medical progress made over the course of the last century. However, an ageing population brings some new challenges both to healthcare systems and to medicine in terms of the increased manifestation of specific diseases primarily seen in the elderly. Biomedical innovation, and in particular research into “omics technologies”, offers the promise of new means of detection, prevention and treatment of age-related disabilities and diseases. But the development of these new technologies will not be without challenges, in particular with respect to the difficulty of translating technological advances into innovation in the clinical setting. This report provides a synthesis of a March 2013 workshop organised by the OECD and the Human Genome Organisation (HGO) which focused on latest advances in omics technologies for healthy ageing and the policies and practices needed to facilitate their responsible development and integration in medical research, innovation and health policy.
Ce document examine l'état du secteur bancaire en Europe. Au niveau agrégé, les données empiriques suggèrent que les pays baltes, Chypre, la Grèce et l'Irlande, en particulier, sont touchés par une forte diminution du crédit à la suite de la crise financière. Ce désendettement est principalement dû à une réduction de l'offre transfrontalière de crédit. Nous examinons également la capitalisation du système bancaire européen, en utilisant les données boursières de novembre 2013. Dans le scénario de base qui consiste à restaurer à 3 % le ratio de levier fondé sur la capitalisation boursière, 84 milliards d’euros de capitaux supplémentaires seraient nécessaires pour les 60 plus grandes banques.

Au niveau des banques, le tiers supérieur des banques les mieux capitalisées (avec un ratio de levier fondé sur la capitalisation boursière bien au-dessus de 4 %) continue de prêter. En revanche, le deuxième tiers de banques de capitalisation intermédiaire (entre 3 et 4 %) et le troisième tiers des banques faiblement capitalisées (bien en-dessous de 3 %) montrent une forte diminution des prêts. En outre, le ratio entre valeur de marché et valeur comptable est inférieur à un pour ces banques. Le marché donne ainsi à ces banques une valeur inférieure.

Nos résultats fournissent la preuve prima facie d'une chute du crédit en Europe. Une autre retombée de la crise financière est une augmentation, bien que très modeste, de la concentration du secteur bancaire dans les pays en difficulté (Espagne, Grèce, Irlande, Italie et Portugal). Le renforcement de la stabilité financière à travers des fusions et acquisitions (forcées) semble se faire au détriment de la concurrence.

Améliorer les transitions de l’école à l’emploi et assurer aux jeunes des meilleures opportunités professionnelles après l’entrée sur le marché du travail sont des buts partagés par les pays développés et émergents car ils peuvent contribuer à augmenter le potentiel productif de l’économie et à accroitre la cohésion sociale. Toutefois, les défis auxquels les pays sont confrontés pour atteindre ces objectifs et les politiques requises varient entre les pays émergents et les économies plus avancées. Ce document analyse la réussite des jeunes sur le marché du travail dans 16 pays : huit pays émergents et huit économies avancées. En vue de cette analyse, ce document expose les différences et similarités dans les mesures de politique économique que les pays ont à leur disposition pour faire face aux défis émergeants.
This paper takes stock of the available legal protection for trade secrets (undisclosed information) in a broad sample of countries. Drawing on national and international material, the paper develops and presents an indicator of the stringency of protection of trade secrets (the Trade Secrets Protection Index) and provides an assessment of variation in the available protection. The result is a finding that while the sample countries have some similarities, notably with respect to definition and scope of trade secrets, they have many more substantial dissimilarities with respect to implementation of protection for trade secrets. For example, differences are particularly pronounced in evidence gathering and discovery, protection of trade secrets during litigation, technology transfer requirements and the effectiveness of legal systems with respect to enforcement. This diversity is reflected in the wide range of scores in the Trade Secrets Protection Index. Such variation in the stringency of protection for trade secrets may influence firm-level decision-making and may have implications for some aspects of economic performance (in particular, in relation to innovation).
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