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Le but de cette Ligne directrice est de déterminer les effets d'une substance administrée avec de la nourriture aux oiseaux.

Des oiseaux sont alimentés par un régime contenant la substance d'essai à différentes concentrations pendant une période de cinq jours. Deux groupes de contrôle et un groupe de traitement pour chacun des cinq niveaux (au moins) de concentrations alimentaires de la substance d'essai devraient être employés. Chaque groupe se compose de 10 oiseaux. La durée minimum de l'essai est de huit jours : cinq jours d'alimentation avec la substance d'essai, suivis de trois jours d'alimentation normale. Des équipements appropriés pour l’élevage d’oiseaux en local clos sont nécessaires. Ceux-ci incluent des mécanismes de régulation de la température, de l'humidité et de la lumière au besoin, ainsi que des cages de capacité suffisante pour élever des oiseaux. La mortalité et les signes de toxicité sont enregistrés quotidiennement. Les observations suivantes devraient être faites pendant l'essai : des signes d'intoxication et de tout autre comportement anormal, la mortalité, le poids corporels et la consommation de nourriture.

Anglais
  • 04 avr. 1984
  • OCDE
  • Pages : 14

Le but de cette Ligne directrice est de déterminer les effets sur la reproduction d'une substance administrée avec de la nourriture aux oiseaux.

Des oiseaux sont alimentés par un régime contenant la substance d'essai à différentes concentrations pendant une période de moins de 20 semaines. Un minimum de trois concentrations alimentaires de la substance d'essai est exigé. La concentration maximum d'essai recommandée est de 1000 ppm. Les oiseaux peuvent être répartis dans les cages, soit en couple (au moins 12 cages par groupe d'essai), soit un mâle et deux ou trois femelles (au moins 8-12 cages par groupe) Les oiseaux sont amenés, par modification de la photopériode, à pondre des oeufs. Les oeufs sont rassemblés sur une période de dix semaines, artificiellement incubés et éclosent, et les jeunes sont élevés pendant 14 jours. Les équipements appropriés pour élever des oiseaux, de préférence en local clos, sont nécessaires. On observe la mortalité des adultes, la production d'oeufs, les oeufs fêlés, l'épaisseur de la coquille (au moins deux oeufs de chaque cage), la viabilité, l’éclosabilité et les effets sur de jeunes oiseaux pendant l'étude.

Anglais

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 477 « Toxicologie Génétique : Essais de Mutation Létale Récessive liée au Sexe chez Drosophila melanogaster » a été supprimé le 2 avril 2014.

Anglais
  • 04 avr. 1984
  • OCDE
  • Pages : 1

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 204 "Poisson, Toxicité Prolongée: Étude sur 14 Jours" a été supprimé le 2 avril 2014.

 

Anglais

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 479 «Toxicologie Génétique : Essai in vitro d'Échange de Chromatides-soeurs sur Cellules de Mammifère» a été supprimé le 2 avril 2014.

Anglais
  • 23 oct. 1986
  • OCDE
  • Pages : 5

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 484 "Toxicologie Génétique : Spot Test chez la Souris" a été supprimé le 2 avril 2014.

Anglais

L'essai de translocation héréditaire chez la souris détecte les changements chromosomiques structurels et numériques des cellules germinales de mammifères, mis en évidence dans la descendance de première génération.

Les types de changements de chromosome détectés dans ce système d'essai sont des translocations réciproques. Les porteurs des translocations et les femelles XO montrent une fertilité réduite, ce qui permet de sélectionner la descendance de première génération pour l'analyse cytogénétique. On observe cytogénétiquement des translocations dans des cellules méiotiques en diacinèse métaphase I des individus mâles. L'essai est habituellement réalisé par l'analyse de la progéniture masculine de première génération. 500 mâles environ de première génération par niveau de dose sont nécessaires. Un niveau de dose, habituellement la dose la plus élevée liée à la production d’effets toxiques minimaux, est administré par intubation orale ou injection intrapéritonéale. Deux programmes de traitement sont possibles, l'administration unique de la substance d'essai ou l'administration de la substance d'essai 7 jours/semaine pendant 35 jours. La substance d'essai peut être sous forme solide, liquide, vapeur ou gazeuse. Pour tester des hétérozygotes de translocation, l’essai de fertilité de progéniture de première génération, ou l’analyse cytogénétique de toute la descendance masculine de première génération sont possible. Une substance d'essai ne produisant ni une augmentation statistiquement significative du nombre de translocations observées pour au moins un des points de l’essai, ni une augmentation du nombre de translocations observées, liée à la dose, statistiquement significative, est considérée non mutagène dans ce système.

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Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 480 " Genetic Toxicology: Saccharomyces cerevisiae, Gene Mutation Assay " a été supprimé le 2 avril 2014.

 

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Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 481 "Toxicologie Génétique : Saccharomyces cerevisiae, Essai de Recombinaison Mitotique " a été supprimé le 2 avril 2014.

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Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 482 "Toxicologie Génétique : Lésion et Réparation d'ADN - Synthèse Non Programmée de l'ADN (UDS) sur Cellules de Mammifère - in vitro" a été supprimé le 2 avril 2014.

 

Anglais
  • 24 févr. 1987
  • OCDE
  • Pages : 1

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 401 “Toxicité orale aiguë” a été supprimé le 17 décembre 2002.

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La mobilité personnelle et le transport des marchandises augmentent dans nos sociétés. Dans le même temps, la qualité de vie et celle de notre environnement, désormais sujets d'importance capitale, est diminuée à bien des égards par les nuisances du transport : nuisances sonores, pollution, vibrations et intrusion visuelle. De telles nuisances peuvent cependant être diminuées si elles sont dûment prises en compte lors de la planification des infrastructures de transport par exemple, en proposant des itinéraires alternatifs, des écrans anti-bruit, en préservant l’héritage archéologique et la nature (la faune et la flore)

La soixante-dix-neuvième Table ronde examine les études environnementales menées pendant la construction des infrastructures et montre comment les résultats peuvent être intégrés au processus décisionnel. Par exemple, en procédant au choix définitif des itinéraires, en évaluant le degré des nuisances et en définissant des valeurs seuils et en donnant une valeur monétaire aux effets.

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La méthode d'essai décrite dans cette Ligne directrice, est prévue pour définir les effets létaux et sublétaux des produits chimiques sur les premiers stades de vie des espèces examinés.

Les premiers stades de vie des poissons sont exposés à, au moins, cinq concentrations de la substance d'essai dissoute dans l'eau, de préférence dans des conditions de renouvellement continu du milieu, ou s'il y a lieu, dans des conditions semi-statiques. L'essai commence en plaçant les oeufs fécondés (au moins 60) dans les chambres d'essai, et continue au moins jusqu'à ce que tous les poissons témoins s’alimentent de façon autonome. Les effets létaux et sublétaux sont évalués et comparés aux valeurs témoin pour déterminer la concentration la plus basse pour laquelle on observe un effet, et la concentration sans effet observé. Le rapport d'étude inclut la mesure des concentrations de la substance d'essai dans l'eau à intervalles réguliers (cinq au moins), de l'oxygène dissous, du pH, la dureté et la salinité totale, du poids et de la longueur des poissons, ainsi que les observations d'apparence anormale, de comportement anormal, de l’éclosion et de la survie.

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Cette Ligne directrice décrit l'essai de Zahn-Wellens/EMPA. Elle est employée pour déterminer la biodégradabilité inhérente.

Un mélange contenant la substance d'essai non-volatile et hydrosoluble, les substances nutritives minérales et une proportion relativement importante de boue activée en milieu aqueux est agité et aéré à 20-25°C à l'obscurité ou sous lumière diffuse, pendant une durée pouvant atteindre 28 jours. Des contrôles, ne contenant que de la boue activée et des substances nutritives minérales mais aucune substance d'essai, sont réalisés en parallèle. La capacité fonctionnelle de la boue activée est étudiée grâce à l’utilisation d’un composé de référence (éthylèneglycol, diéthylèneglycol, laurylsulfonate ou aniline). Les récipients d’un essai-type sont au nombre de 1 ou 2 pour la suspension d'essai et pour le témoin avec inoculum et 1 pour le contrôle de procédure. Le processus de biodégradation est suivi en déterminant la Demande Chimique en Oxygène (DCO) ou par dosage du Carbone Organique Dissous (COD) dans les échantillons filtrés, prélevés quotidiennement ou à d'autres intervalles de temps. Il est obligatoire de suivre le COD dans la suspension d'essai et les témoins avec inoculum en parallèle. Le pourcentage de biodégradation au moment de la prise d'échantillon est donné par le rapport du COD éliminé (ou DCO) (ce dernier étant corrigé de la valeur obtenue dans le témoin), après chaque intervalle de temps, sur la teneur initiale en COD. Ce pourcentage est porté sur un graphique en fonction du temps pour donner la courbe de biodégradation. L'essai est considéré valide, si le contrôle de la procédure montre qu'au moins 70% de la substance de référence ont été éliminés en 14 jours et si la diminution du COD (ou de la DCO) dans la suspension d'essai se fait graduellement au cours du temps (jours ou semaines), ce qui indique un phénomène de biodégradation.

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  • 17 juil. 1992
  • OCDE
  • Pages : 29

Cette Ligne directrice décrit deux méthodes pour la biodégradabilité en eau de mer.

La méthode du flacon agité consiste en la dissolution d'une quantité prédéterminée de substance d'essai dans le milieu d'essai pour obtenir une concentration de 5-40 mg/l de carbone organique dissous (COD). Cinq flacons, au moins, doivent être utilisés, deux pour la suspension d'essai : deux pour le blanc et un pour le contrôle de la procédure. La solution de la substance d'essai dans le milieu d'essai est incubée, sous agitation, dans l'obscurité ou dans la lumière diffuse, dans des conditions aérobies, à une température fixe qui sera normalement comprise entre 15-20°C. La durée maximum recommandée d'essai est environ 60 jours. La dégradation est suivie des mesures de COD (dégradation finale) et, dans certains cas, d'analyses spécifiques (dégradation primaire). La méthode du flacon fermé consiste en la dilution d'une quantité prédéterminée de substance d'essai dans le milieu d'essai, à une concentration d'habituellement 2-10 mg/l de substance (une ou plusieurs concentrations peuvent être employées). La solution est maintenue dans un flacon rempli fermé, dans l'obscurité, dans un bain-marie ou une enceinte thermostatée entre 15-20°C. La dégradation est suivie en analysant l'oxygène sur une période de 28 jours, mais si la valeur du témoin pour la demande biologique en oxygène reste en dessous d’une limite de 30 %, l'essai pourra être prolongé. Vingt-quatre bouteilles au moins sont utilisées (8 pour la substance d'essai, 8 pour le composé de référence et 8 pour l’eau de mer avec des nutriments). Toutes les analyses sont exécutées en doublon. Quatre déterminations d'oxygène dissous, au moins, sont effectuées (jour 0, 5, 15 et 28) en employant une méthode chimique ou électrochimique.

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La substance d’essai est administrée en dose graduée à plusieurs groupes de mâles et de femelles.

Les mâles doivent être traités pendant un minimum de quatre semaines. Les femelles doivent être traitées tout au long de l’étude, soit approximativement 54 jours. Cette Ligne directrice utilise le rat. Il est recommandé que chaque groupe commence avec au moins dix animaux de chaque sexe. Généralement, au moins trois groupes d’essai et un groupe contrôle doivent être utilisés. Des niveaux de dose peuvent être basés sur l'information des essais de toxicité aiguë ou sur des résultats d’études à doses répétées. La substance d'essai est administrée oralement et quotidiennement. L'essai limite correspond à un niveau de dose d’au moins de 1000 mg/kg de poids corporel. Les résultats de cette étude incluent des mesures (pesée, consommation de nourriture/eau) et observations quotidiennes détaillées, de préférence chaque jour en même temps, de même qu’une autopsie générale et l'histopathologie. Les résultats de cette étude de toxicité devraient être évalués en termes d'effets observés, autopsie et résultats microscopiques. En raison de la période courte du traitement du mâle, l'histopathologie du testicule et l'épididyme doivent être pris en compte avec les données de fertilité, lors de l’évaluation des effets reproducteurs mâles.

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  • 27 juil. 1995
  • OCDE
  • Pages : 5
Cette Ligne directrice liste les méthodes servant à déterminer la densité de liquides et de solides. Elle ne donne qu'une courte description de ces méthodes. La densité d'une substance est le quotient de sa masse par son volume et est exprimée en  kg/m3.
Plusieurs méthodes sont applicables uniquement aux substances liquides : l'aréomètre, la méthode du corps immergé (toutes les deux sont des méthodes de flottabilité) et le densimètre oscillant. Ces méthodes sont applicables aux liquides dont la viscosité dynamique ne doit pas dépasser 5 Pa s dans le cas de l'aréomètre et du densimètre oscillant et 20 Pa s pour la méthode du corps immergé. La méthode pour les solides uniquement est le pycnomètre de comparaison à air. Le volume d'un échantillon du solide dans l'air ou dans un gaz inerte est mesuré dans un cylindre calibré de volume variable. Après quoi l'échantillon est pesé. Les méthodes pour les liquides et solides sont la balance hydrostatique (méthode de flottabilité) et le pycnomètre. La viscosité dynamique des liquides ne doit pas dépasser 5 Pa s dans le cas de la balance hydrostatique et 500 Pa s pour le pycnomètre.
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  • 27 juil. 1995
  • OCDE
  • Pages : 7

Cette Ligne directrice décrit des méthodes pour déterminer le point d’ébullition de substances d’essai. Le point d’ébullition d’un liquide est défini comme la température (en Kelvin) à laquelle la pression de vapeur est égale à la pression atmosphérique standard de 101.325 kPa.

L’influence des impuretés sur le point d’ébullition dépend de la nature de l’impureté. Les méthodes décrites dans cette Ligne directrice peuvent être appliquées à des substances liquides et à bas point de fusion, si toutefois celles-ci ne subissent pas de changement chimique à des températures inférieures au point d’ébullition. Les méthodes sont : l’ébulliomètre, la méthode dynamique, la méthode de distillation, la méthode selon Siwoloboff, la détection photoélectrique, l’analyse thermique différentielle, l’analyse calorimétrique différentielle. La détection photoélectrique et l'analyse thermique permettent de mesurer le point d'ébullition et le point de fusion. La méthode dynamique présente l'avantage de servir aussi à déterminer la pression de vapeur.

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Cette Ligne directrice est employée dans l'estimation et l'évaluation des effets toxiques de composés organophosphorés.

Des doses quotidiennes de la substance d’essai sont administrées oralement (de préférence par gavage ou via des gélules de gélatine) à des poules pondeuses domestiques (âgées de 8 à 12 mois) pendant 28 jours. Les animaux sont observés au moins quotidiennement jusqu’à 14 jours après la dernière dose. Des mesures biochimiques sont entreprises sur des poules choisies de façon aléatoire parmi chaque groupe après la dernière dose. Deux semaines après la dernière dose, le reste des poules est tué et l'examen histopathologique est entrepris. Le groupe de traitement devrait contenir au moins douze poules. Généralement, au moins trois groupes de traitement devraient être employés. Le niveau de la dose la plus élevée devrait être choisi dans le but d'induire des effets toxiques ; ensuite un ordre décroissant des niveaux de dose devrait être choisi. Un essai limite peut être réalisé si aucun effet n’est prévu à une dose de 1000 mg/kg pc/j. Les résultats de cette étude incluent une pesée au moins une fois par semaine, de la biochimie (estérase neurotoxique, acétylcholinestérase) et des observations détaillées, de même qu’une autopsie générale et de l'histopathologie. Les résultats de cette étude devraient être évalués en termes d'incidence, sévérité, et corrélation des effets comportementaux, biochimiques et histopathologiques et de tous les autres effets observés dans chacun des groupes traités et de contrôle.

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  • 27 juil. 1995
  • OCDE
  • Pages : 7

Cette Ligne directrice décrit des méthodes pour déterminer la tension superficielle (en N/m) des solutions aqueuses. Les méthodes sont basées sur la mesure de la force qu'il est nécessaire d'exercer verticalement sur un étrier ou un anneau, en contact avec la surface du liquide, afin de le séparer de la surface, ou d'un plat, dont un bord est en contact avec la surface, afin d'arracher le film formé.

Il y a quatre méthodes différentes : la méthode de la plaque, la méthode de l'étrier, la méthode de l'anneau et la méthode de l'anneau harmonisée de l'OCDE. Elles sont décrites en détail dans la norme ISO 304-1985. Les méthodes décrites s'appliquent aux solutions aqueuses de la plupart des substances indépendamment de leur degré de pureté. La concentration doit être 90% de la solubilité à saturation, mais doit être au-dessous de 1g/l. Ceci sera donc effectué sous un dispositif de couverture pour éviter des interférences à 20°C environ. L'anneau est immergé en dessous de la surface de la solution. Alors, le porte échantillon, sur lequel est posé le récipient, est abaissé graduellement et à une vitesse constante d'approximativement 0.5 cm/min pour détacher l'anneau de la surface jusqu'à ce que la force maximum soit atteinte. La force est lue sur le tensiomètre. Après exécution de la première mesure, des mesures sont répétées jusqu'à ce qu'une valeur constante de tension superficielle soit atteinte.

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