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Une évaluation économique correctement menée peut montrer au décideur publique si un investissement dans un projet est un bon usage de ressources et contribuer à la décision d’approuver, reporter ou rejeter le projet. Les fondements micro-économiques d’équilibre partiel de l’analyse coûts-bénéfices sont cependant mis en question par des projets tels que le Grand Paris Express, un projet qui doit transformer le niveau de développement économique de l’aire qu’il desservira.
Un tel projet pose de multiples défis en termes de modélisation, prévisions et évaluation, notamment la décision contrefactuelle de faire autre chose et en ce qui concerne la représentation du système économique à l’intérieur duquel la population, l’emploi et les revenus dépendent de la réalisation ou non du projet. Il faut décrypter les implications concrètes de concepts tels que les bénéfices économiques d’agglomération afin de prévoir les réactions de secteurs dont les réponses à des changements d’accessibilité sont des facteurs déterminants des résultats de l’investissement dans ce projet.
L’objet de ce rapport est d’examiner la conduite d’une évaluation dans un contexte qui pose un réel défi.
Ce rapport fait partie de la série des Analyses de politiques spécifiques du Forum International des Transports (FIT). Ce sont des études sur des thèmes d’actualité du domaine de la politique des transports menées par le FIT à la requête d’un pays
- Selon l’Enquête internationale sur l’enseignement et l’apprentissage (TALIS) de l’OCDE, en moyenne, les chefs d’établissement indiquent se livrer fréquemment à un certain nombre d’activités en rapport avec l’encadrement pédagogique. Ce n’est toutefois pas le cas dans tous les pays et un pourcentage important de chefs d’établissement déclarent que leur formation initiale n’incluait aucune formation à l’encadrement pédagogique.
- Bien que la formation continue puisse aider à pallier ces manques, de nombreux chefs d’établissement font état de différents obstacles à leur participation à ce type de formation, notamment un manque de soutien et de possibilités, ainsi que des obstacles d’ordre personnel et professionnel.
- Les pays où les élèves de 15 ans affichent des performances élevées en termes de comparaisons internationales sont en général les mêmes pays où ces élèves, une fois devenus jeunes adultes, tendent à obtenir de bonnes performances entre 26 et 28 ans.
- Les systèmes d’éducation doivent s’assurer que leurs élèves ont un bon niveau de compétence lorsqu’ils arrivent au terme de leur scolarité obligatoire et que ces compétences continuent par la suite à être entretenues et développées.