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This paper was originally prepared for the OECD Working Party No. 1 under the authority of the OECD’s Economic Policy Committee. Jens Høj and Giuseppe Nicoletti work for the OECD Economics Department as a senior economist in the Country Studies Branch and as Head of the Structural Policy Analysis Division 1, respectively. Vincenzo Galasso is an Associate Professor of Economics at Università Bocconi in Italy and Thai-Thang Dang is a private sector consultant. The authors wish to thank Jean Philippe Cotis, Jørgen Elmeskov, Michael P. Feiner, Christopher Heady, Nick Johnstone and many other colleagues in the OECD Economics Department as well as representatives from OECD member countries for useful comments on a previous version of the paper.
Andrea Bassanini and Romain Duval are economists at the Directorate for Employment, Labour and Social Affairs and the OECD Economics Department, respectively. Catherine Chapuis-Grabiner, Sébastien Martin and Rebecca Oyomopito provided excellent research assistance. Comments from Sveinbjorn Blöndal, Wendy Carlin, Jean-Philippe Cotis, Martine Durand, Jorgen Elmeskov, Michael P. Feiner, David Howell, Etienne Lehmann, Edmond Malinvaud, John P. Martin, Giuseppe Nicoletti, Stefano Scarpetta, Paul Swaim, Raymond Torres and participants to the joint WP1/WP5 EPC-ELSAC meeting in Paris, January 2006, and the Séminaire Fourgeaud, Paris, May 2006, are also gratefully acknowledged. Any errors are the responsibilities of the authors alone. The views expressed in this paper are those of the authors, and do not necessarily reflect those of the OECD or of its member countries.
The author is grateful to Jyoti Rahman, David Gruen, Lewis Evans, Ben Dolman, Robert Ewing, Graeme Davis, Janine Murphy, Gene Tunny, Dave Turner and Sveinbjörn Blöndal for helpful comments in preparing this paper. The views expressed are those of the author and not necessarily those of the Treasury or the Australian Government.
This article builds on and extends the quantitative part of OECD Trade Policy Working Paper No 35 co-authored by Enrico Pinali and Massimo Geloso-Grosso. The Working Paper includes detailed case studies as well as a discussion of specific GATS issues related to the logistics services sector. The author would like to thank Dale Andrew, Henk Kox and Delegates to the Working Party of the Trade Committee for useful comments on the Working Paper and Paul Swaim and Mark Pearson for useful comments and suggestions on this version. The usual disclaimer applies.
The authors would like to thank Chris Heady (OECD Directorate for Financial and Enterprise Affairs) and Dirk Pilat (OECD Directorate for Science, Technology and Industry) for valuable comments on an earlier draft of the paper. In addition, the contributions from all of our colleagues on the OECD Project on “Environmental Policy and Firm-Level Management” are gratefully acknowledged. (See Johnstone 2006 for a full list of contributors and other outputs from the project.) In particular the insights of Toshi Arimura (Department of Economics, Sophia University, Japan) in the area of research and development have been extremely valuable.
Andrea Bassanini et Romain Duval sont deux économistes qui travaillent respectivement à la Direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales et au Département des affaires économiques de l’OCDE. Catherine Chapuis-Grabiner, Sébastien Martin et Rebecca Oyomopito leur ont apporté un concours remarquable en matière de recherches. Nous tenons également à remercier chaleureusement pour leurs commentaires Sveinbjorn Blöndal, Wendy Carlin, Jean-Philippe Cotis, Martine Durand, Jørgen Elmeskov, Michael P. Feiner, David Howell, Etienne Lehmann, Edmond Malinvaud, John P. Martin, Giuseppe Nicoletti, Stefano Scarpetta, Paul Swaim, Raymond Torres ainsi que les participants à la réunion conjointe du groupe de travail n° 1 chargé de l’analyse des politiques macroéconomiques et structurelles (Comité de politique économique) et du groupe de travail n° 5 sur l’emploi (Comité de l’emploi, du travail et des affaires sociales) qui s’est tenue à Paris, en janvier 2006, et du séminaire Fourgeaud (Paris, mai 2006). La responsabilité d’éventuelles erreurs incombe aux seuls auteurs. Les points de vue exprimés dans ce document sont ceux des auteurs ; ils ne reflètent pas nécessairement les points de vue de l’OCDE ou des pays membres de l’Organisation.
Le présent article poursuit et développe la partie quantitative du document de travail de l’OCDE sur la politique commerciale n° 35 dont les auteurs sont Enrico Pinali et Massimo Geloso-Grosso et qui comporte des études de cas détaillées et une discussion de points spécifiques de l’Accord général sur le commerce des services (AGCS) dans le secteur de la logistique. L’auteur souhaite remercier ici Dale Andrew, Henk Kox et les membres du Groupe de travail du Comité des échanges pour leurs commentaires utiles sur le document de travail, ainsi que Paul Swaim et Mark Pearson pour de précieux commentaires et suggestions sur la présente version. Les avis et opinions présentés dans ce document n’engagent que son auteur.
À l’origine, ce document a été élaboré à l’intention du Groupe de travail n° 1 de l’OCDE, sous l’autorité du Comité de politique économique de l’OCDE. Jens Høj et Giuseppe Nicoletti travaillent pour le Département des affaires économiques de l’OCDE en qualité d’économiste en chef de la branche des études nationales et de chef de division, Division de l’analyse des politiques structurelles 1, respectivement. Vincenzo Galasso est Professeur associé d’économie à l’Université Bocconi, en Italie, et Thai-Thang Dang est consultant dans le secteur privé. Les auteurs tiennent à remercier Jean-Philippe Cotis, Jørgen Elmeskov, Michael P. Feiner, Christopher Heady, Nick Johnstone et de nombreux collègues du Département des affaires économiques de l’OCDE, ainsi que des représentants des pays membres de l’OCDE pour leurs précieux commentaires sur une version antérieure de ce document.
L’auteur remercie Jyoti Rahman, David Gruen, Lewis Evans, Ben Dolman, Robert Ewing, Graeme Davis, Janine Murphy, Gene Tunny, Dave Turner et Sveinbjörn Blöndal des précieuses remarques faites lors de la rédaction de cet article. Les opinions exprimées ici n’engagent que lui et ne sont pas nécessairement partagées par le Trésor ou le gouvernement australien.
Les auteurs tiennent à exprimer toute leur gratitude à Chris Heady (Direction des affaires financières et des entreprises de l’OCDE) et Dirk Pilat (Direction de la science, de la technologie et de l’industrie) pour leurs précieuses remarques sur une version antérieure de cet article. Ils souhaitent par ailleurs remercier de leurs contributions tous leurs autres collègues du projet de l’OCDE intitulé « Politique d’environnement et gestion d’entreprise ». (Voir Johnstone 2006 pour une liste exhaustive des personnes ayant collaboré à ce projet, ainsi que des autres résultats auxquels il a abouti.) Les lumières de Toshi Arimura (Département d’économie, Sophia University, Japon) dans le domaine de la recherchedéveloppement ont en particulier été d’une extrême utilité.
This article addresses a gap in the research literature on mergers in higher education by giving special consideration to the human resource dimension. It focuses on the forced merger of two higher education institutions that was implemented in Northern Ireland over 20 years ago and from which the University of Ulster was established. The authors draw upon the views of the university staff who experienced this merger and who were still employed by the university in 2006. The article emphasises how the merge affected staff and influenced their subsequent experiences, as academics and administrators.
by Rosalind Pritchard and Arthur Williamson
The paper looks at financial market innovation and how it has led to the rapid growth of structured products. It explores the mechanisms that come into play as assets inside these products (mortgages, credit card receivables, etc.) suffer losses. The potential size of such losses is currently concerning financial markets, and the paper looks at various ways to quantify the issues and where, going forward, pressures are most likely to arise. The problem is seen mainly as a stock adjustment issue (related to inventories of assets etc.) that is going to require time to set right. Time could well be more important than the cost of capital. The idea of a super fund to buy up unwanted assets should be seen in this context. The paper goes on to look at financial market implications, including the credit supply process, spreads, and the dollar.
Cet article a pour objectif de parer à un manque dans la littérature consacrée à la recherche sur les fusions dans l’enseignement supérieur en abordant plus particulièrement la dimension humaine de la question. L’article porte sur la fusion forcée de deux établissements de l’enseignement supérieur en Irlande du Nord il y a plus de 20 ans, à l’issue de laquelle fut fondée l’Université d’Ulster. Les auteurs s’appuient sur les vues du personnel de l’université présent au moment de la fusion et travaillant toujours à l’université en 2006. L’article porte plus spécifiquement sur la manière dont le personnel a été affecté par cette fusion et sur leurs expériences ultérieures, en tant qu’universitaires et membres de l’administration.
par Rosalind Pritchard et Arthur Williamson
Over the summer, financial markets weakened substantially as some of the risks that had built up during a period of easy financing, in particular in the housing market, materialised. Volatility has increased, and while equity markets have regained strength, tensions remain on credit markets....
Governments in several OECD countries have responded to that demand, by starting or re-introducing the issuance of very long (20 to 30 years) and ultra-long (30 years and longer) bonds, provided that the issuance of those bonds is consistent with the cost-risk objectives of the minimisation of borrowing cost subject to a preferred level of risk. Consequently, there has been an increase in the supply of (ultra-)long bonds as a percentage of total bonds outstanding in many markets. An important consideration for issuers is that pension funds and insurance companies are to an important degree buy-and-hold investors. This may lead to illiquid markets in long-dated paper when the ongoing supply of (ultra-)long government bonds remains below a certain critical level, resulting in higher government borrowing costs than paper issued in liquid markets. From a medium-term strategic issuers’ perspective, a liquid market in (ultra-)long bonds requires substantial and regular issues by government debt managers.
Changes in regulatory standards and the adoption of new international reporting standards have increased the focus on liability-driven investing by pension funds. The study concludes that it is likely that there will be some re-allocation of the assets of many pension funds and insurance companies toward (ultra-)long bonds. However, views differ as to the pace and magnitude of such a re-allocation.
résuméLa gestion de la dette publique et l’évolution du marché des titres d’État à (ultra) long terme
La demande d’obligations à échéances éloignées a augmenté, sous l’effet de plusieurs facteurs : durcissement de la réglementation relative à la congruence des actifs et des passifs applicables aux fonds de pension, nouvelles normes comptables internationales et nouvelles réglementations fondées sur les risques pour les sociétés d’assurance. Dans plusieurs pays, les fonds de pension et les sociétés d’assurance sont de gros investisseurs en obligations à échéances éloignées. Les projections faisant état d’un vieillissement rapide des populations et de l’allongement de l’espérance de vie dans la plupart des pays de l’OCDE indiquent que la demande de titres à ultra long terme ne peut que s’accroître encore.
Les gouvernements de plusieurs pays de l’OCDE réagissent à cette demande en introduisant ou réintroduisant des émissions de titres à très long terme (20 à 30 ans) et à ultra long terme (30 ans et plus), dès lors que ces émissions sont cohérentes avec leurs objectifs ‘coût-risque’ de minimisation du coût d’emprunt pour un niveau de risque préféré. On a donc assisté sur de nombreux marchés à une augmentation de l’offre d’obligations à (ultra) long terme en pourcentage de l’encours total d’obligations. Considération importante pour les émetteurs, les fonds de pension et les sociétés d’assurance sont dans une large mesure des investisseurs qui suivent une politique de type « acheter pour conserver ». Cela peut conduire à des marchés illiquides des titres à échéances éloignées lorsque l’offre de titres d’État à (ultra) long terme reste inférieure à un certain seuil critique, ce qui accroît les coûts d’emprunt des pouvoirs publics par rapport aux titres émis sur des marchés liquides. Du point de vue des émetteurs ayant une stratégie à moyen terme, un marché liquide des obligations à (ultra) long terme suppose des émissions substantielles et régulières de la part des gestionnaires de la dette publique.
L’évolution des normes réglementaires et l’adoption des nouvelles normes de communication financière ont accru la tendance des fonds de pension à orienter leurs investissements en fonction de leurs engagements. Selon les conclusions de l’étude, on assistera probablement à une certaine réallocation des actifs de nombreux fonds de pension et sociétés d’assurance au profit des obligations à (ultra) long terme. Néanmoins, les avis divergent quant au rythme et à l’ampleur de ce phénomène.
There has been rapid growth in the share of assets under control of hedge funds over the past decade and, as a result, these entities have now become firmly entrenched in the universe of investment vehicles and, in turn, have themselves become important investors. Against this background, the OECD Committee on Financial Markets (CMF) discussed specific issues related to these entities on several occasions as part of its market surveillance activity. The present article provides a summary of selected aspects of recent CMF discussions related to hedge funds, focusing in particular on the responses to a questionnaire on hedge funds that was circulated prior to the CMF meeting in May 2007 to inform the discussion at that meeting. These various discussions suggested that a consensus is emerging that the most efficient way to address any policy concerns related to the activity of hedge funds is to focus on hedge fund investors and counterparties rather than on these entities themselves. Only a minority of countries are considering policy actions in a variety of areas, but many respondents seem to underline the need for public authorities to continue monitoring developments regarding hedge funds.
• The first part of the Checklist provides guidance on developing an adequate policy framework for enhancing integrity in public procurement;
• The second part focuses on how to implement this framework, from needs assessment to contract management and payment. The Checklist is based on applying good governance elements, in particular transparency, good management, corruption resistance, accountability and control to enhance integrity in public procurement.