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Cet article soutient l'idée que les universités fabriquent des connaissances relevant des biens publics à travers la « destruction créative » du capital social. Elle est présentée comme une reformulation contemporaine de l'idéal humboldtien de l'unité de la recherche et de l'enseignement : la recherche « crée » (c'est-à-dire qu'elle concentre) du capital social, qui est alors « détruit » (c'est-à-dire diffusé) par le biais de l'enseignement. Le présent document répond aux récentes atteintes à l'intégrité de l'université en tant qu'institution associée au postmodernisme et à ce que l'on appelle la « nouvelle production de connaissances », qui évaluerait les universités suivant des indicateurs de performance axés sur le client. Cet article examine et fait la critique de l'apparition de ces indicateurs, puis des suggestions constructives d'indicateurs spécifiquement conçus pour mesurer les qualités dans lesquelles les universités excellent spécifiquement.
Le secteur des télécommunications s’est transformé sous l’effet d’une activité concurrentielle de plus en plus vigoureuse dans un environnement qui connaissait des changements réglementaire et technique rapides. A mesure de la croissance des nouvelles technologies et de l’entrée de concurrents, les entreprises cherchent un accès aux réseaux de leurs concurrents. Les règles de connection des réseaux peuvent être essentielles au succès de réseaux, les nouveaux comme ceux déjà en place, et peuvent avoir des effets significatifs sur l’investissement. En fait, les questions les plus complexes auxquelles ont à répondre les régulateurs dans un marché des télécommunications potentiellement concurrentiel ont fréquemment trait aux conditions d’accès d’un réseau à un autre. L’une des raisons du caractère critique du problème tient à ce que aussi longtemps que les souscripteurs sont seulement connectés à un réseau, ce réseau là est en situation de monopole même si différents réseaux ont été en concurrence pour attirer le souscripteur...
La relation complexe entre politique des échanges et politique de la concurrence est à l’étude à l’OCDE depuis des années. En réponse à la Déclaration ministérielle de Doha (novembre 2001), l’OCDE a intensifié ses efforts, mettant l’accent sur les sujets proposés aux paragraphes 23 à 25 de la Déclaration : i) les principes clés de non discrimination, de transparence et d’équité procédurale ; ii) une action réelle contre les ententes injustifiables ; iii) un traitement spécial et différencié/flexibilité et progressivité ; iv) coopération volontaire en matière de législation de la concurrence ; v) examen par les pairs et autres mécanismes possible de mise en conformité ; vi) le renforcement des capacités ainsi que celui des institutions de concurrence. Ce document présente une synthèse du travail qui a été accompli sur chacun de ces sujets par le groupe conjoint sur les échanges et la concurrence et le comité de la concurrence de l’OCDE. Il a été discuté à l’occasion du Forum mondial conjoint sur les échanges et la concurrence en mai 2003 et qui a rassemblé des participants de plus de 70 économies, des organisations internationales et des organisation non gouvernementales pour dialoguer et faire progresser le débat. Les actes de ce forum ont été également publiés...
Afin d’accroître l’efficience de ses activités, la CE a défini six domaines prioritaires, ainsi que trois grandes questions transversales. Cet effort de recentrage tient au fait que la CE a pris conscience de l’avantage comparatif qu’elle possède pour ce qui est de relier le commerce et le dialogue politique à la coopération pour le développement, et traduit le souci de renforcer sa complémentarité avec les Etats membres. Le cadre global de sa politique de coopération pour le développement et les plans d’action sectoriels font ressortir l’articulation à établir avec la lutte contre la pauvreté. Le recours croissant aux approches sectorielles, notamment au soutien budgétaire, est aussi destiné à renforcer l’appropriation à l’échelon local, l’efficience et l’efficacité. La CE restera néanmoins confrontée à des problèmes de capacités pour la définition de ses stratégies de mise en œuvre et le renforcement du dialogue sur les mesures à prendre.