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Les adultes âgés de 55 à 65 ans sont moins compétents en littératie et en numératie que ceux âgés de 25 à 34 ans. Les différences de compétences liées à l’âge varient sensiblement entre les pays, ce qui semble indiquer que les politiques mises en oeuvre dans le domaine des compétences peuvent avoir une incidence sur l’évolution de ces dernières au cours de la vie. Si les adultes plus âgés ont en général un niveau de compétences inférieur à celui des plus jeunes, ils ne sont pas moins bien lotis – voire réussissent parfois mieux – que ces derniers en termes de résultats sur le marché du travail.
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Selon l’Évaluation des compétences des adultes, même les adultes ayant le plus faible niveau de compétences en littératie possèdent certaines compétences de base en lecture, bien que le niveau de ces dernières varie considérablement entre les pays. Les compétences de base en lecture se font jour à la fois dans l’exactitude et la vitesse de la réponse aux tâches de lecture – deux indicateurs du degré d’aisance et d’automaticité de la lecture. Parmi les adultes peu compétents en littératie, ceux passant l’évaluation dans une autre langue que leur langue maternelle affichent un niveau bien plus faible de compétences de base en lecture que les locuteurs natifs de la langue de l’évaluation.
Anglais
Aucun pays ou économie ayant participé à l’enquête PISA 2012 ne peut affirmer que tous ses élèves de 15 ans ont acquis un bagage de compétences minimum en mathématiques, en comprehension de l’écrit et en sciences. Quelque 28 % des élèves se situent en deçà du niveau seuil de competences dans au moins l’une de ces matières, en moyenne, dans les pays de l’OCDE. L’obtention de mauvais résultats scolaires à l’âge de 15 ans ne résulte pas de l’action d’un facteur de risque isolé, mais plutôt de la combinaison et de l’accumulation de différents obstacles et désavantages entravant le parcours des élèves tout au long de leur vie. Les élèves fréquentant des établissements où le soutien et le moral des enseignants, ainsi que leurs attentes à leur égard, sont d’un niveau plus élevé, sont moins susceptibles d’être peu performants en mathématiques, même après contrôle du niveau socio-économique des élèves et des établissements.
Anglais
En 2012, les élèves de 15 ans passaient plus de deux heures en ligne chaque jour, en moyenne, dans les pays de l’OCDE. Surfer sur Internet pour s’amuser et participer à des réseaux sociaux sont les activités en ligne les plus répandues parmi les élèves de 15 ans : 70 % d’entre eux indiquent effectuer l’une d’elles tous les jours ou presque. Les élèves passant plus de six heures en ligne par jour en dehors du cadre scolaire sont plus susceptibles de se sentir seuls à l’école, d’arriver en retard et d’obtenir de moins bons résultats en mathématiques. En moyenne, dans les pays de l’OCDE, 7 % des élèves passent autant de temps en ligne un jour ordinaire de semaine.
Anglais
Dans les pays de l’OCDE, 5 % des élèves espèrent devenir enseignants : 3 % des garçons et 6 % des filles. Le profil académique des élèves espérant devenir enseignants varie, mais dans nombre des pays de l’OCDE, ces élèves ont un niveau de compétences en mathématiques et en compréhension de l’écrit inférieur à celui d’autres élèves ambitieux qui espèrent devenir cadres, mais dans un autre domaine. L’enquête PISA montre qu’en moyenne, le pourcentage d’élèves espérant devenir enseignants est plus important dans les pays où le niveau de salaire des enseignants est plus élevé.
Anglais
La Classification internationale type de l’éducation (CITE) est le cadre de référence utilisé pour classer les programmes éducatifs et les certifications correspondantes par niveaux d’éducation et domaines d’études. Les définitions et les concepts fondamentaux de la CITE ont été établis de manière à être internationalement valides et applicables à l’ensemble des systèmes d’éducation. Deuxième révision majeure de cette classification, la CITE 2011 prend en compte des évolutions importantes dans la structure de l'enseignement tertiaire résultant de la mise en œuvre du processus de Bologne en Europe, le développement des programmes d’éducation de la petite enfance et un intérêt accru pour les statistiques relatives aux résultats de l'éducation, comme le niveau de formation. La CITE 2011 a été utilisée pour la première fois pour la collecte des données des indicateurs publiés dans cette édition 2015 de Regards sur l’éducation. Cette nouvelle classification offre de nouvelles perspectives analytiques, tant au niveau de l’enseignement tertiaire qu’à celui de l’éducation de la petite enfance. La classification CITE des domaines d’études a fait l’objet d’une révision distincte. La Classification des domaines d’études et de formation de la CITE 2013 (CITE-F 2013) sera utilisée pour la première fois dans l’édition 2017 de Regards sur l’éducation.
Anglais
En moyenne, dans les pays de l’OCDE, la confiance des élèves en leur capacité à résoudre des problèmes de mathématiques (leur efficacité perçue en mathématiques) est associée à une différence de 49 points de score dans cette matière – soit l’équivalent d’une année de scolarité. Il existe une corrélation étroite entre d’un côté, la confiance des élèves en leur capacité à résoudre des problèmes de mathématiques pures et appliquées, et de l’autre, le fait qu’ils aient déjà été exposés ou non à des tâches similaires en classe. Lorsque l’on compare des élèves présentant des résultats scolaires et un niveau socio-économique similaires, ceux dont les parents aspirent à ce qu’ils suivent des études supérieures font généralement part d’un niveau plus élevé d’efficacité perçue en mathématiques que ceux dont les parents ne nourrissent pas des attentes aussi élevées à leur égard.
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Le niveau de formation des parents continue d’influer sensiblement sur celui de leurs enfants : un individu est ainsi 4.5 fois plus susceptible de suivre des études supérieures si l’un de ses parents est diplômé de l’enseignement supérieur que si ses deux parents ont un niveau de formation inférieur au deuxième cycle du secondaire. Les inégalités observées dans l’enseignement supérieur reflètent dans une large mesure les étapes antérieures de la scolarité. Dans le deuxième cycle du secondaire, les élèves issus de milieu défavorisés sont ainsi moins susceptibles de bien réussir aux évaluations PISA, de terminer avec succès ce cycle d’enseignement et même d’aspirer à suivre des études supérieures. Néanmoins, les établissements d’enseignement supérieur peuvent encore jouer un rôle important dans la réduction des inégalités. En plus de rendre l’enseignement supérieur plus accessible aux étudiants issus de milieux défavorisés, les politiques doivent les soutenir et améliorer leur réussite à ce niveau d’enseignement.
Anglais
Singapour arrive en tête du classement à l’évaluation PISA de la compréhension de l’écrit électronique, suivi de la Corée, de Hong-Kong (Chine), du Japon, du Canada et de Shanghai (Chine). Les élèves d’Australie, du Canada, de Corée, des États-Unis, d’Irlande et de Singapour présentent le niveau le plus avancé de compétences en navigation web. Plus souvent que les élèves d’autres pays, ils sélectionnent soigneusement les liens à suivre avant de les ouvrir et suivent les liens pertinents aussi longtemps que la résolution du problème le nécessite. Il existe une forte corrélation entre la performance des pays en compréhension de l’écrit électronique et la qualité de la navigation des élèves sur texte électronique.
Anglais
En 2013, la grande majorité des adultes de la plupart des pays de l’OCDE étaient au moins diplômés du deuxième cycle du secondaire, faisant de la réussite de ce niveau d’enseignement le seuil minimal à atteindre pour réussir son entrée sur le marché du travail et se maintenir dans l’emploi ou poursuivre ses études. Les jeunes quittant le système scolaire avant la fin du deuxième cycle du secondaire rencontrent non seulement des difficultés sur le marché du travail, mais présentent également un niveau particulièrement faible de compétences cognitives par rapport aux diplômés du deuxième cycle du secondaire. Chez les 15-29 ans, les premiers sont ainsi deux fois plus susceptibles que les seconds d’obtenir de faibles scores en numérative. En moyenne, dans les pays de l’OCDE, le taux de chômage des 15-29 ans ne faisant plus d’études est inférieur de 13 points de pourcentage chez les diplômés du deuxième cycle du secondaire par rapport à celui observé chez les jeunes n’ayant pas atteint ce niveau de formation. L’obtention d’un diplôme de l’enseignement tertiaire réduit encore ce taux de 5 points de pourcentage.
Anglais
  • Lors du choix de l’établissement de leur enfant, les parents de tous les pays et économies participants accordent une très grande importance aux résultats scolaires, mais sont souvent encore plus attachés à la sécurité, à la qualité de l’environnement et à la réputation de l’établissement.
  • Les enfants dont les parents jugent les résultats scolaires très importants obtiennent 46 points de plus en mathématiques que ceux dont les parents n’y attachent pas d’importance.
Anglais
  • Le rapport New Insights from TALIS 2013: Teaching and Learning in Primary and Upper Secondary Education (Nouveaux éclairages de TALIS 2013 : Enseigner et apprendre dans le primaire et le deuxième cycle du secondaire [OCDE, 2014a]) offre une vue d’ensemble des enseignants et de l’enseignement dans le primaire et le deuxième cycle du secondaire pour une sélection de pays ayant participé en 2013 à l’Enquête internationale sur l’enseignement et l’apprentissage (TALIS) de l’OCDE.
  • Les femmes représentent la majorité du corps enseignant dans la plupart des pays, et ce à tous les niveaux d’enseignement. Malgré ce constat et le fait que la plupart des chefs d’établissement soient d’anciens enseignants, les femmes sont nettement moins nombreuses parmi les chefs d’établissement, quel que soit le niveau d’enseignement.
  • Les enseignants du primaire travaillent en général dans des établissements où les chefs d’établissement font plus souvent état, par comparaison avec le deuxième cycle du secondaire, d’un manque de matériel et/ou de personnel pouvant diminuer la capacité de leur établissement à offrir un enseignement de qualité. En outre, dans de nombreux pays, les établissements présentant un fort pourcentage d’élèves défavorisés sur le plan socio-économique font face à des pénuries de ressources clés plus importantes, ce qui vient s’ajouter au contexte déjà difficile dans lequel s’inscrivent les élèves et les enseignants de ces établissements.
Anglais
  • Dans les pays de l’OCDE, plus d’un tiers des hommes enseignant dans le primaire ont désormais plus de 50 ans.
  • Dans les pays de l’OCDE, l’âge moyen des enseignants du secondaire a augmenté d’un mois chaque année au cours des dix dernières années.
  • Seuls quelques pays ont réussi à mettre en place des politiques à même d’abaisser de façon significative la moyenne d’âge des enseignants.
  • L’augmentation du nombre de femmes dans le corps enseignant n’entraîne plus la baisse de l’âge moyen de ce dernier, la moyenne d’âge des enseignantes augmentant à rythme plus soutenu que celle des enseignants.
Anglais
  • Les sciences sociales sont le domaine d’études le plus prisé dans les formations tertiaires non professionnelles. Un nouvel inscrit sur trois y choisit une formation en sciences sociales, commerce ou droit.
  • L’égalité entre les sexes est presque acquise dans la plupart des domaines d’études, notamment dans le domaine des sciences sociales et des services ; toutefois, d’importants écarts subsistent entre hommes et femmes dans les domaines de l’informatique et de l’ingénierie (à dominante masculine), et de la santé, de la protection sociale et de l’éducation (à dominante féminine).
  • Dans les pays de l’OCDE, près d’un étudiant en mobilité internationale sur quatre suit une formation dans le domaine du commerce et de l’administration (23 %). Le pourcentage d’étudiants en mobilité internationale est plus faible, en général, dans les domaines débouchant sur les professions de la fonction publique, tels que l’éducation (3 %) ou la santé et la protection sociale (9 %).
Anglais
  • Dans un contexte économique incertain, les pays doivent faire des choix entre la nécessité d’un programme d’austérité et le besoin d’investir dans la formation d’une main d’oeuvre hautement qualifiée.
  • Le lien que l’on observe entre les dépenses par étudiant et les taux d’obtention d’un diplôme de niveau tertiaire est ténu – à niveaux de dépenses égaux, les pays obtiennent des résultats très différents.
  • Le nombre d’années nécessaires à l’obtention d’un diplôme varie fortement d’un pays de l’OCDE à l’autre mais il apparaît que l’allongement de la durée des études n’est pas forcément une garantie d’obtenir une main d’oeuvre mieux qualifiée.
  • Le risque d’obtenir une population trop qualifiée semble faible : des taux de scolarisation plus élevés n’entraînent pas d’augmentation du taux de chômage des diplômés. Au contraire, l’écart entre les individus les plus éduqués et les moins éduqués en matière de taux d’emploi montre que les pays doivent continuer à former une population de jeunes actifs hautement qualifiés.
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  • Entre 2000 et 2011, le nombre d’étudiants en mobilité internationale a plus que doublé. Aujourd’hui, près de 4.5 millions d’étudiants suivent une formation de niveau tertiaire dans un pays dont ils ne sont pas ressortissants.
  • Les effectifs les plus importants d’étudiants en mobilité internationale sont originaires de Chine, de Corée et d’Inde. Les étudiants asiatiques représentent 53 % de l’effectif total d’étudiants en formation à l’étranger.
  • Ces dernières décennies, le marché international de l’éducation a vu l’émergence de nouveaux acteurs, tels que l’Australie, l’Espagne, la Fédération de Russie, la Nouvelle-Zélande et, plus récemment, la Corée. À l’inverse, le pourcentage d’étudiants en mobilité internationale a reculé dans certains des pays d’accueil traditionnellement les plus attractifs – en Allemagne et aux Etats Unis, par exemple.
  • Les pays tirant un bénéfice croissant de la mobilité internationale des étudiants, la concurrence qu’ils se livrent pour attirer et retenir ces étudiants a entraîné ces dix dernières années un remaniement de la carte des pays d’accueil.
Anglais
  • Le coût salarial des enseignants par élève augmente avec le niveau d’enseignement. En Belgique (Communauté flamande), en Espagne et en France, l’écart de coût salarial annuel entre l’enseignement primaire et le premier cycle de l’enseignement secondaire dépassait 1 800 USD selon les chiffres de 2010.
  • Entre 2000 et 2010, le coût salarial des enseignants par élève a augmenté dans presque tous les pays, de l’ordre d’un tiers dans l’enseignement primaire et d’un quart dans le premier cycle de l’enseignement secondaire.
  • C’est le salaire des enseignants qui est le facteur le plus déterminant de l’évolution du coût salarial ; vient ensuite la taille des classes.
  • Des niveaux de dépenses similaires d’un pays à l’autre peuvent masquer des choix politiques contrastés.
Anglais
  • Selon la moyenne calculée sur la base de 15 pays de l’OCDE, un homme de 30 ans peut espérer vivre 51 ans de plus s’il est diplômé de l’enseignement tertiaire, mais seulement 43 ans de plus s’il n’est pas diplômé du deuxième cycle du secondaire. Chez les femmes, la différence d’espérance de vie en fonction de ces deux niveaux de formation est moins marquée.
  • Selon la moyenne calculée sur la base de 27 pays de l’OCDE, 80 % des jeunes diplômés de l’enseignement tertiaire déclarent voter, contre seulement 54 % des jeunes non diplômés du deuxième cycle du secondaire. La différence de taux de participation électorale en fonction du niveau de formation est bien moins importante dans les groupes d’âges supérieurs.
  • L’éducation peut apporter d’importants bienfaits à la société, non seulement en améliorant les perspectives d’emploi et les revenus, mais également en renforçant les compétences et en améliorant le statut social et l’accès aux réseaux. S’ils prenaient la pleine mesure de l’impact de l’éducation, les décideurs seraient mieux à même de faire face à tout un ensemble d’enjeux sociaux.
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  • En moyenne, dans 25 pays de l’OCDE, l’avantage économique à long terme qu’un individu retire d’un diplôme de l’enseignement tertiaire, par comparaison avec un diplôme du deuxième cycle de l’enseignement secondaire, dépasse 175 000 USD pour un homme et 110 000 USD pour une femme.
  • En moyenne, dans les pays de l’OCDE, l’avantage économique à long terme des diplômés de l’enseignement tertiaire représente environ le double de celui des individus dont le niveau de formation est inférieur ou égal au deuxième cycle de l’enseignement secondaire.
  • Pour les contribuables, le rendement net de l’investissement public dans une formation dans l’enseignement supérieur dépasse 91 000 USD pour un homme et 55 000 USD pour une femme, en moyenne, dans les pays de l’OCDE.
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À une époque où le niveau de formation joue un rôle de plus en plus déterminant dans la réussite sur le marché du travail, comment le vivier de talents des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur évolue-t-il à travers le monde ? Selon les analyses les plus récentes de l’OCDE, ce vivier de talents est non seulement en plein essor depuis 10 ans, mais il devrait même s’accroître encore bien davantage d’ici 2020.

Comme exposé dans ce nouveau numéro des synthèses de l’OCDE Indicateurs de l’éducation à la loupe, d’ici 2020, dans les pays de l’OCDE et du G20, plus de 200 millions de jeunes de 25 à 34 ans seront diplômés de l’enseignement supérieur, et la Chine et l’Inde compteront, à elles seules, 40 % de ces derniers, contre seulement un peu plus de 25 % pour les États-Unis et l’Union européenne.

En outre, l’essor rapide de l’enseignement supérieur dans les pays du G20 non membres de l’OCDE a modifié en profondeur la répartition du vivier de talents entre les pays. Il y a 10 ans, un diplômé de l’enseignement supérieur âgé de 25 à 34 ans sur six était originaire des États-Unis, une proportion similaire était originaire de Chine, 12 % venaient de la Fédération de Russie et environ 10 % chacun de l’Inde et du japon. Toutefois selon les estimations de l’OCDE, en 2010, la Chine se plaçait désormais en tête du classement, avec 18 % des 25-34 ans diplômés de l’enseignement supérieur, suivie par les États-Unis (14 %), la Fédération de Russie et l’Inde (11 % chacun), et enfin le Japon (7 %).

Ces tendances devraient, selon toute attente, se confirmer, voire même s’accentuer, dans les années à venir, soulevant des questions clés comme la capacité d’absorption future du marché du travail face à l’offre de plus en plus importante de diplômés.

Ne manquez pas les prochains numéros des Indicateurs de l’éducation à la loupe pour consulter chaque mois des analyses et conseils en matière d’action publique sur les questions d’éducation les plus importantes de l’actualité, à partir des données présentées dans Regards sur l’éducation, la publication phare du programme INES sur les indicateurs des systèmes d’enseignement de l’OCDE.

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