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Dans chaque pays, petit ou grand, la science et la technologie (S-T) revêtent une importance primordiale dans l’instauration d’une économie basée sur le savoir. Dans les pays appartenant au peloton de tête, la S-T porte ses fruits quand elle est induite par des politiques scientifiques favorisant les programmes à long terme. Et ces programmes sont étroitement liés à une maîtrise anticipative des coûts budgétaires.

En Bulgarie, le secteur des sciences et de la technologie reflète bon nombre des difficultés économiques et sociales que rencontre le pays dans son ensemble. Il souffre d’un manque chronique de moyens financiers et a mis du temps à moderniser son appareil de recherche fondamentale. Faute d’une politique cohérente à long terme dans le domaine scientifique et technologique, ces insuffisances se trouvent accentuées. Malgré ces lacunes, l’examen montre que la Bulgarie possède le potentiel humain et scientifique nécessaire à la mise en place d’un système efficace de S-T qui peut considérablement contribuer au développement économique national.

Cet examen présente un panorama du secteur de la S-T en Bulgarie et de ses liens avec l’enseignement. Il traite de divers thèmes au nombre desquels :

  • La législation.
  • Les mécanismes institutionnels mis en place dans le domaine de la recherche et de l’enseignement, notamment à travers les exemples de l’Académie bulgare des sciences et des établissements d’enseignement supérieur.
  • Les mécanismes de budgétisation.
  • La coopération régionale et internationale, et notamment les initiatives de l’Union européenne.
  • L’impact de la fuite des cerveaux et du vieillissement sur les ressources humaines.

Un échantillon d’études de cas et de pratiques exemplaires en matière de politique de S-T sert à illustrer l’analyse. Le dernier chapitre comprend une série de recommandations. Cet examen sera utile aux décideurs publics ainsi qu’aux professionnels du monde entier.

Cette étude s'inscrit dans le cadre des relations de coopération que l'OCDE entretient avec les économies non membres à travers le monde.

 

English

Le Système Général Harmonisé de Classification et d'Étiquetage des Produits Chimiques définit la corrosion cutanée comme la survenue de lésions irréversibles de la peau après l'application d’une substance d'essai.

La substance d'essai (150 µL pour des liquides ou des solides auxquels sont ajouté 150µL de l'eau désionisée) est appliquée pendant une durée n’excédant pas 24 heures sur les surfaces épidermiques des disques de peau (trois disques de peau sont employés pour chaque substance d'essai et de contrôle) dans un système d'essai à deux compartiments dans lequel les disques de peau font office de séparation entre les compartiments. Les disques de peau sont pris sur des rats âgés 28-30 jours euthanasiés. Les substances corrosives sont identifiées par leur capacité à produire une perte de l’intégrité du stratum corneum normal et de sa fonction de barrière, qui est mesurée par la réduction du RET au-dessous d'un seuil d'avertissement (5kΩ pour le rat). Une étape de coloration incorporée à la procédure d'essai permet de déterminer si l'augmentation de la perméabilité ionique est due à la destruction physique du stratum corneum.

English

L'essai décrit dans cette Ligne directrice permet l'identification des substances et des mélanges chimiques corrosifs ; et permet également d'identifier les substances et mélanges non-corrosifs. Le protocole d'essai peut également fournir une indication pour la distinction des substances plus ou moins corrosives pour la peau. Cette Ligne directrice n'exige pas l'utilisation de tissu d'animal ou d’animal vivant pour l'évaluation de la corrosivité cutanée.

La substance d'essai (solide ou liquide) est appliquée localement et uniformément sur un modèle tridimensionnel de peau humaine, comportant au moins un épiderme reconstruit avec un stratum corneum fonctionnel. Deux réplicats sont employés pour chaque traitement (durée d'exposition), et pour les contrôles. Les substances corrosives sont identifiées sur la base de leur capacité à réduire la viabilité cellulaire en dessous des valeurs seuils définies pour des périodes d'exposition spécifiques. Le principe de l'essai sur modèle de peau humaine repose sur l'hypothèse que les produits chimiques corrosifs peuvent pénétrer le stratum corneum par diffusion ou érosion, et sont cytotoxiques pour les couches cellulaires sous-jacentes.

English

This Test Guideline is designed to be used for assessing the effects of chemicals in soil on the reproductive output (and other sub-lethal end points) of the earthworm species Eisenia fetida or Eisenia andrei.

Adult worms are exposed to a range of concentrations of the test substance either mixed into the soil or applied to the soil surface. The range of test concentrations is selected to encompass those likely to cause both sub-lethal and lethal effects over a period of eight weeks. The limit test corresponds to one dose level of 1000 mg/kg. This study includes the observation of unusual behaviour and morphology, the counting and weighing of the adult worms after the four primary weeks, the number of juveniles hatched at the end of the second 4-week period. The reproductive output of the worms exposed to the test substance is compared to that of the control(s) in order to determine the no observed effect concentration (NOEC) and/or ECx by using a regression model to estimate the concentration that would cause a x % reduction in reproductive output. The test concentrations should bracket the ECx so that the ECx then comes from interpolation rather than extrapolation.

French
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 22

This Test Guideline is designed to be used for assessing the effects of chemicals on the reproductive output of the enchytraeid worm, Enchytraeus albidus Henle 1873, in soil.

Adult enchytraeid worms are exposed to a range of concentrations of the test substance mixed into an artificial soil. Ten worms are randomly allocated to each test vessel. A range-finding test should be used, for two weeks, in case of no sufficient information. The duration of the definitive test is six weeks. At the end the total number of juveniles produced by parent animal and the survival of parent animals are assessed. The limit test corresponds to one dose level of 1000 mg/kg. The study report should include the adult morphological changes, the number of offspring. The reproductive output of the animals exposed to the test substance is compared to that of the control(s) in order to determine the no observed effect concentration (NOEC) and/or ECx by using a regression model to estimate the concentration that would cause a x % reduction in reproductive output. The test concentrations should bracket the ECx so that the ECx then comes from interpolation rather than extrapolation.

French

Cette méthode d’essai est conçue pour évaluer les effets des produits chimiques dans le sol sur le taux de reproduction (et d'autres critères sub-létaux) de deux espèces de lombric : Eisenia fetida ou Eisenia andrei.

Des vers adultes sont exposés à une gamme des concentrations de la substance d'essai, mélangée dans le sol ou appliquée sur la surface du sol. La gamme des concentrations d'essai est choisie pour couvrir les concentrations susceptibles de provoquer des effets à la fois sub-létaux et létaux, sur une période de huit semaines. L'essai limite correspond à un niveau de dose de 1000 mg/kg. Cette étude inclut l'observation de comportements inhabituels et de la morphologie, le comptage et le pesage des vers adultes après les quatre premières semaines et le nombre de juvéniles éclos à la fin de la deuxième période de quatre semaines. Le taux de reproduction des vers exposés à la substance d'essai est comparé à celui des témoins afin de déterminer la concentration sans effet observé (CSEO) et/ou la CEx, en utilisant un modèle de régression pour estimer la concentration qui entraînerait une réduction de x% du taux de reproduction. Les concentrations expérimentales doivent couvrir la CEx de façon à ce que la CEx soit interpolée plutôt qu’extrapolée.

English

The test described in this Test Guideline allows the identification of corrosive chemical substances and mixtures and it enables the identification of non-corrosive substances and mixtures when supported by a weight of evidence determination using other existing information. The test protocol may also provide an indication of the distinction between severe and less severe skin corrosives. This Test Guideline does not require the use of live animals or animal tissue for the assessment of skin corrosivity.

The test material (solid or liquid) is applied uniformly and topically to a three-dimensional human skin model, comprising at least a reconstructed epidermis with a functional stratum corneum. Two tissue replicates are used for each treatment (exposure time), and for controls. Corrosive materials are identified by their ability to produce a decrease in cell viability below defined threshold levels at specified exposure periods. The principle of the human skin model assay is based on the hypothesis that corrosive chemicals are able to penetrate the stratum corneum by diffusion or erosion, and are cytotoxic to the underlying cell layers.

French
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 22

Cette Ligne directrice est conçue pour évaluer les effets des produits chimiques sur la reproduction d’un ver enchytrée, Enchytraeus albidus Henle 1873, dans le sol.

Des enchytrées adultes sont exposés à une gamme de concentrations de la substance d'essai mélangée à un sol artificiel. Dix vers sont aléatoirement assignés à chaque récipient d'essai. Un essai de détermination de l’ordre de grandeur des concentrations devrait être utilisé, durant deux semaines, si des informations manquent. La durée de l'essai définitif est de six semaines. À la fin de l’essai le nombre total de vers juvéniles produits par animal parent et la survie des animaux parents sont évalués. L'essai limite correspond à un niveau de dose de 1000 mg/kg. Le rapport d'essai inclut les changements morphologiques des adultes, le nombre de descendants. Le taux de reproduction des animaux exposés à la substance d'essai est comparé à celui des témoins afin de déterminer la concentration sans effet observé (CSEO) et/ou la CEx, à l'aide d'un modèle de régression pour estimer la concentration qui entraînerait une réduction de x% du taux de reproduction. Les concentrations expérimentales doivent couvrir la CEx, de façon à ce que la CEx soit interpolée plutôt qu'extrapolée.

English

The Globally Harmonised System for the Classification and Labelling of Chemicals defines skin corrosion as the production of irreversible tissue damage in the skin following the application of a test material.

The test material (150 µL for liquids or solid with 150 µL of deionised water added on the top) is applied for up to 24 hours to the epidermal surfaces of skin discs (three skin discs are used for each test and control substance) in a two-compartment test system in which the skin discs function as the separation between the compartments. The skin discs are taken from humanely killed rats aged 28-30 days. Corrosive materials are identified by their ability to produce a loss of normal stratum corneum integrity and barrier function, which is measured as a reduction in the TER below a threshold level (5kΩ for rat). A dye-binding step incorporated into the test procedure permits to determine if the increase in ionic permeability is due to physical destruction of the stratum corneum.

French
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 8

This Test method has been designed to provide information on absorption of a test substance, (ideally radiolabelled), applied to the surface of a skin sample separating the two chambers (a donor chamber and a receptor chamber) of a diffusion cell. Static and flow-through diffusion cells are both acceptable.

Skin from human or animal sources can be used. Although viable skin is preferred, non-viable skin can also be used. The skin has been shown to have the capability to metabolise some chemicals during percutaneous absorption. In this case, metabolites of the test chemical may be analysed by appropriate methods. Normally more than one concentration of the test substance is used in typical formulations, spanning the realistic range of potential human exposures. The application should mimic human exposure, normally 1-5 mg/cm2 of skin for a solid and up to 10 µl/cm2 for liquids. The temperature must be constant because it affects the passive diffusion of chemicals. The absorption of a test substance during a given time period (normally 24h) is measured by analysis of the receptor fluid and the distribution of the test substance chemical in the test system and the absorption profile with time should be presented.

French
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 15

The method described in this Test Guideline is based on soil column chromatography in disturbed soil. Two types of experiments are performed to determine (i) the leaching potential of the test substance, and (ii) the leaching potential of transformation products in soils under controlled laboratory conditions.

At least duplicate leaching columns are packed with untreated, air-dried and sieved soil (< 2 mm) up to a height of approximately 30 cm. Afterwards they are saturated and equilibrated with an “artificial rain” solution and allowed to drain. Then the surface of each soil column is treated with the test substance (non-volatile in water and soil) and/or with aged residues of the test substance. Artificial rain is applied to the soil columns and the leachate is collected. After the leaching process the soil is removed from the columns and is sectioned into an appropriate number of segments depending on the information required from the study. A reference substance (atrazine or monuron) should be used in the leaching experiments. For each soil segment and leachate fraction, the amounts of test substance, transformation products, non-extractables and, if included, of the reference substance should be given in % of applied initial dose.

French

The purpose of this test is to measure the time course of biodegradation of a test substance at low concentration in aerobic natural water and to quantify the observations in the form of kinetic rate expressions. The test is performed in batch by “pelagic test” or “suspended sediment test” to simulate a water body with suspended solids or re-suspended sediment.

The test flasks are incubated in darkness at an environmental temperature under aerobic conditions and agitation during 60 days normally. At least two different concentrations of test substance (non-volatile or slightly volatile organic) should be used. The maximum test concentration should be less than 100µg/L (biodegradation following first order kinetics) and the lowest test concentration preferably in the range of ‹1-10µg/L. Two subsamples should be withdrawn from each test flask at each sampling time. Degradation is followed at appropriate time intervals, by measuring either the residual 14C or the residual concentration of test substance. The total mineralisation and the primary biodegradation are determined by a different 14C labeling part of the molecule. Periodic measurements of pH and oxygen concentration in the test system must be conducted.

French
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 16

This Test Guideline describes a laboratory test method to assess abiotic hydrolytic transformations of chemicals in aquatic systems at pH values normally found in the environment (pH 4 – 9). This Guideline is designed as a tiered approach; each tier is triggered by the results of the previous tier.

Sterile aqueous buffer solutions of different pH values (pH 4, 7 and 9) are treated with the non-labelled or labelled test substance (only one concentration, which should not exceed 0.01 M or half of the saturation concentration). They are incubated in the dark under controlled laboratory conditions (at constant temperatures). After appropriate time intervals, buffer solutions are analysed for the test substance and for hydrolysis products. The preliminary test should be carried out for 5 days at 50 ± 0.5°C and pH 4.0, 7.0 and 9.0. The second tier consists of the hydrolysis of unstable substances, and the third tier is the identification of hydrolysis products. The higher Tier tests should be conducted until 90 % hydrolysis of the test substance is observed or for 30 days whichever comes first.
French

Le but de cet essai est de mesurer la biodégradation en fonction du temps d'une substance d'essai présente en faible concentration dans une eau naturelle aérobie et de quantifier les observations sous la forme d'expressions cinétiques. L'essai est réalisé par lots par « l'essai pélagique » ou « l'essai en suspension de sédiments » pour simuler un plan l'eau contenant des solides en suspension ou des sédiments resuspendus.

Les flacons d'essai sont incubés dans l'obscurité, à la température environnementale, en aérobiose et sous agitation pendant normalement 60 jours. Au moins deux concentrations différentes de substance d'essai (organique non-volatile ou légèrement volatile) devraient être employées. La concentration maximum de la substance d’essai devrait être de moins de 100µg/L (biodégradation suivant une cinétique de premier ordre) et la plus basse concentration de substance d'essai de préférence comprise dans l’intervalle ‹1-10µg/L. Deux sous-échantillons sont prélevés de chaque flacon d'essai à chaque temps de prélèvement. La dégradation est suivie à intervalles de temps appropriés, en mesurant le 14C résiduel ou la concentration résiduelle de la substance d'essai. La minéralisation totale et la biodégradation primaire sont déterminées par le marquage au 14C de différentes parties de la molécule. Des mesures périodiques du pH et de la concentration en oxygène dans le système d'essai doivent être conduites.

English
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 9

Cette méthode d’essai a été conçue pour fournir des informations sur l'absorption d'une substance d'essai (idéalement radiomarquée) appliquée à la surface d'un échantillon de peau séparant les deux compartiments (un compartiment donneur et un compartiment receveur) d'une cellule à diffusion. Des cellules à diffusion statique ou dynamique peuvent indifféremment être utilisées.

Les peaux d’humain ou d’animaux peuvent être employées. Bien qu’une peau viable soit préférée, une peau non viable peut également être employée. Il a été démontré que la peau peut métaboliser certains produits chimiques pendant l'absorption cutanée. Dans ce cas, les métabolites du produit chimique d'essai peuvent être analysés par des méthodes appropriées. Normalement, plusieurs concentrations de la substance d’essai sont utilisées dans les formulations types, de façon à couvrir une gamme réaliste d’expositions humaines potentielles. L’application devrait simuler l'exposition humaine, normalement 1-5 mg/cm2 de peau pour un solide et jusqu'à 10 µl/cm2 pour des liquides. La température doit être constante parce qu’elle influe sur la diffusion passive des produits chimiques. L'absorption d'une substance d'essai au cours d'une période donnée (normalement 24h) est mesurée par l'analyse du fluide récepteur et la distribution de la substance d'essai dans le système d'essai. Le profil d'absorption en fonction du temps devrait être présenté.

English
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 8

The in vivo percutaneous absorption study set out in this Test Guideline provides the linkage necessary to extrapolate from oral studies when making safety assessments following dermal exposure. The in vivo method, described in this guideline, allows the determination of the penetration of the test substance through the skin into the systemic compartment.

The test substance, preferably radiolabelled, is applied, for a fixed period of time, to the clipped skin of animals at one or more appropriate dose levels in the form of a representative in-use preparation. The rat is the most commonly used species. At least four animals of one sex should be used for each test preparation and each scheduled termination time. A known amount of the test preparation is evenly applied to the site. This amount should normally mimic potential human exposure, typically 1-5 mg/cm² for a solid or up to 10 µl/cm² for liquids. A relevant exposure period (typically 6 or 24 hours) should be used, based on the expected human exposure duration. The animals should be observed for signs of toxicity/abnormal reactions at intervals for the entire duration of the study. This study includes: daily measurements (excreta), regular detailed observations, as well as sacrifice at the scheduled time and blood collected for analysis.

French
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 10

L'étude d'absorption cutanée in vivo présentée dans cette Ligne directrice fournit des éléments nécessaires pour extrapoler des études orales lors d’évaluations de sécurité après une exposition cutanée. La méthode in vivo, décrite dans cette Ligne directrice, permet la détermination de la pénétration de la substance d'essai à travers la peau dans le compartiment systémique.

La substance d'essai, de préférence radiomarquée, est appliquée, pendant une période fixe, sur la peau rasée des animaux à un ou plusieurs niveaux de dose appropriés, sous la forme d’une préparation d’usage représentative. Le rat est l’espèce généralement la plus utilisée. Au moins quatre animaux d'un sexe devraient être employés pour chaque préparation d'essai et chaque durée prévue. Une quantité connue de la préparation d'essai est appliquée. Cette quantité devrait normalement imiter l'exposition humaine potentielle, en général de 1-5 mg/cm² pour un solide ou jusqu'à 10 µl/cm² pour des liquides. Une période d'exposition de référence (en général 6 ou 24 heures) devrait être employée, en fonction de la durée éventuelle de l’exposition humaine. Les signes de la toxicité et les réactions anormales sont observés par intervalles pour la durée entière de l'étude. Cette étude inclut des mesures quotidiennes (excrétions), des observations détaillées régulières, de même que l’euthanasie à un moment donné et des prélèvements sanguins pour analyse.

English
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 15

La méthode décrite dans cette Ligne directrice est basée sur la chromatographie sur colonne de sol avec un sol mélangé. Deux types d'essais sont exécutés pour déterminer (i) le potentiel de lixiviation de la substance d'essai, et (ii) le potentiel de lixiviation des produits de transformation dans les sols dans des conditions contrôlées en laboratoire.

Au moins deux colonnes de lixiviation sont remplies de sol non traité, séché à l'air et tamisé (< 2 mm) jusqu'à une hauteur d’environ 30 cm. Elles sont saturées et équilibrées avec une solution de «pluie artificielle » et on les laisse s’égoutter. Ensuite, la surface de chaque colonne de sol est traitée avec la substance d'essai (non-volatile dans l'eau et le sol) et/ou avec les résidus « âgés » de la substance d'essai. La pluie artificielle est appliquée aux colonnes de sol et le lixiviat est recueilli. Après que la lixiviation, le sol est enlevé des colonnes et est fractionné en un nombre de segments dépendant des informations à tirer de l’étude. Une substance de référence (atrazine ou monuron) doit être employée dans les essais de lixiviation. Pour chaque fraction de sol et de lixiviat, les quantités de substance d'essai, de produits de transformation, de fractions non extractibles et, le cas échéant, de la substance de référence doivent être indiquées en pourcentage de dose initiale appliquée.

English
  • 23 Nov 2004
  • OECD
  • Pages: 15

Cette Ligne directrice décrit une méthode d’essai, en laboratoire, permettant d’évaluer les transformations hydrolytiques abiotiques des substances chimiques en milieux aquatiques, à des valeurs de pH normalement rencontrées dans l’environnement (pH de 4 à 9). Cette Ligne directrice décrit une approche à plusieurs niveaux ; chaque niveau est déclenché par les résultats du niveau précédent.

Des solutions aqueuses tampon, stériles, de différents pH (pH 4, 7 et 9) sont traitées avec la substance d’essai marquée ou non (une seule concentration n’excédant pas 0.01M ou la moitié de la concentration de saturation), puis incubées dans l’obscurité dans des conditions expérimentales contrôlées (à des températures constantes). Après des intervalles de temps appropriés, on analyse les solutions tampon pour déterminer la concentration de la substance d’essai et des produits d’hydrolyse. L’essai préliminaire doit être réalisé pendant 5 jours à 50 ± 0,5 °C et aux pH suivants : 4,0, 7,0 et 9,0. Le niveau 2 consiste en l’hydrolyse des substances instables, et le troisième niveau est l’identification des produits d’hydrolyse. Les essais des niveaux supérieurs doivent être conduits jusqu’à 90 pour cent d’hydrolyse de la substance d’essai, ou pendant 30 jours, au premier des deux termes échus.

English

Cette Ligne directrice décrit une épreuve de toxicité aiguë pour évaluer des effets des produits chimiques sur les daphnies (habituellement Daphnia magna Staus).

De jeunes daphnies, âgées de moins de 24 heures au début de l'essai, sont exposées à une gamme des concentrations de la substance d'essai (au moins cinq concentrations) pendant une période de 48 heures. L'immobilisation est enregistrée à 24 heures et à 48 heures et comparée aux valeurs contrôles. Les résultats sont analysés afin de calculer la CE50 à 48h. La détermination de la CE50 à 24h est facultative. Au moins 20 animaux, de préférence divisés en quatre groupes de cinq animaux chacun, devraient être employés à chaque concentration d'essai et pour les contrôles. Au moins 2 ml de solution d'essai devraient être prévus pour chaque animal (c.-à-d. un volume de 10 ml pour cinq daphnies par récipient d'essai). L'essai limite correspond à un niveau de dose de 100 mg/l. Le rapport d'étude inclut l'observation des daphnies immobilisées à 24 et 48 heures après le début de l'essai, et les mesures d'oxygène dissous, de pH, de la concentration de la substance d'essai, au début et à la fin de l'essai.

English
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