1887

Browse by: "2005"

Index

Index par titre

Index par année

/search?value51=igo%2Foecd&value6=2005&sortDescending=true&sortDescending=true&value5=2005&value53=status%2F50+OR+status%2F100+OR+status%2F90&value52=&value7=&value2=&option7=&value4=subtype%2Farticle+OR+subtype%2Fworkingpaper+OR+subtype%2Fpolicybrief&option5=year_from&value3=&option6=year_to&fmt=ahah&publisherId=%2Fcontent%2Figo%2Foecd&option3=&option52=&sortField=prism_publicationDate&sortField=prism_publicationDate&option4=dcterms_type&option53=pub_contentStatus&option51=pub_igoId&option2=&page=7&page=7

La société du savoir, qui se caractérise par sa forte intensité de recherche et par le phénomène de la concurrence, fait passer les établissements d'enseignement supérieur-EES au premier plan. Certes, de par le monde, nombreux sont les EES qui ne mettent pas en avant leur effort de recherche et qui ne désirent pas pratiquer la recherche de manière intensive, mais la majorité d’entre eux souhaitent intensifier leur action dans ce domaine, car ils sont persuadés que l’enseignement supérieur ne saurait s’en passer. Les EES sont en train de prendre des décisions critiques sur les ressources humaines à mobiliser, le cadre de la recherche, le lien indissociable entre l’enseignement et la recherche, la structure de l’organisation et de la gestion ou bien le financement. Les pouvoirs publics arrêtent eux aussi leurs choix et se servent des instruments politiques et financiers dont ils disposent pour définir la mission des établissements, les priorités à respecter et les systèmes d’enseignement supérieur. Mais s’ils veulent véritablement élargir l’accès à la société du savoir et faire en sorte que l’enseignement supérieur apporte une contribution plus importante au développement économique et social, il leur faut aller plus loin. La présente contribution s’appuie sur le « losange » de l’avantage compétitif, dû à Michael Porter, pour illustrer les rapports complexes entre la mission des établissements et les contraintes politiques ; il propose un changement de stratégie et de politique pour permettre aux établissements d’exploiter librement leur potentiel. Il y a là matière à réflexion pour les établissements comme pour les pouvoirs publics.

Anglais

The research-intensive and competitive knowledge society is putting HEIs (higher education institutions) under the spotlight. While many HEIs around the world do not proclaim or wish to be research-intensive institutions the majority desire to intensify their research activity because it is seen as a sine qua non of higher education. Accordingly, HEIs are busy making critical strategic choices concerning human resources, the research environment, the teaching-research nexus, organisational and management structure, and funding. Governments are also making choices, using policies and financial instruments to help shape institutional mission, priorities and HE systems. But if governments genuinely desire to widen access to the knowledge society and achieve a greater contribution from higher education to economic and social development more is required. This paper applies Porter’s diamond of competitive advantage to illustrate the complex relationship between institutional mission and policy constraints, proposing changes in strategy and policy to unlock potential. There are important lessons for both institutions and government.

Français
Toute économie peut éprouver des difficultés à répondre aux critères de Maastricht pour adhérer à la zone euro, surtout en raison des problèmes posés par l’«impossible trinité», selon laquelle il n’est pas possible de poursuivre à la fois les objectifs de stabilité du taux de change et de l’inflation tout en maintenant la liberté des mouvements de capitaux. Cependant, pour les économies plus défavorisées qui sont en train de rattraper le niveau de vie des membres les plus riches de l’UME, les difficultés sont encore amplifiées. Cela s’explique par le fait que les économies dont la croissance de la productivité est très rapide peuvent enregistrer des effets Balassa-Samuelson plus marqués, se traduisant par des taux d’inflation constamment plus élevés ainsi que par une appréciation progressive des taux de change réels d’équilibre. Si une certaine appréciation nominale est autorisée durant la phase de participation au MCE-II, les réglementations applicables ne permettent pas aisément d’indiquer l’ampleur de l’appréciation attendue. Cela peut se traduire par une instabilité des taux de change et rendre les économies en phase de rattrapage plus vulnérables aux défis de l’impossible trinité. De plus, les pays qui ont instauré récemment des piliers de système de retraite par capitalisation entraînant des coûts de transition élevés pourraient éprouver des difficultés à respecter les critères de Maastricht en matière de finances publiques. On ne sait pas encore si les modifications récentes du Pacte de stabilité et de croissance allègeront la pression fiscale à court terme sur les pays qui ont amélioré la viabilité à long terme de leurs finances publiques au prix d’une détérioration à court terme de leurs déficits budgétaires. L’exemple de la Slovaquie est utilisé pour illustrer ces points et un certain nombre d’orientations de politique économique sont proposées pour minimiser les risques. Ce Document de travail se rapporte à l'Étude économique de l'OCDE de la République slovaque, 2005 (www.oecd.org/eco/etudes/slovaquie).
Ce document technique se propose d’élargir le débat sur « la croissance au bénéfice des pauvres ». Prendre exclusivement en compte le revenu comme dimension de la pauvreté néglige ses dimensions hors revenu. Après une étude des thèses en vue sur les liens entre croissance économique, inégalités et réduction de la pauvreté, l’article questionne la définition propre de « la croissance au bénéfice des pauvres » et la manière de la mesurer. La Bolivie présente un cas d’école illustrant l’utilité d’élargir les outils d’analyse de cette croissance aux dimensions hors revenu de la pauvreté, et elle offre de précieux nouveaux repères sur les différentes évolutions des deux sphères de la pauvreté. La croissance en Bolivie a davantage bénéficié aux pauvres dans le registre hors revenu que dans le registre du revenu. L’analyse développe qu’un recours aux outils d’une croissance bénéfique aux pauvres élargis aux dimensions hors revenu de la pauvreté améliore sensiblement notre compréhension des tendances des indicateurs de la sphère hors revenu. Une telle compréhension est fondamentale pour une appréciation judicieuse des liens entre pauvreté en matière de revenu et pauvreté hors revenu tout au long de la distribution du revenu global. C’est également important pour agir sur la pauvreté et pour définir des politiques d’intervention. Cette compréhension permet aussi d’approfondir en les comparant l’analyse des mérites relatifs de la croissance économique et des interventions directes visant à améliorer les paramètres hors revenu de la pauvreté.
Cette communication étudie les forces et les faiblesses du système de santé suédois et les défis qui le guettent. Elle examine plusieurs pistes pour améliorer l'accès aux soins de premier recours, notamment différentes manières de rémunérer les médecins généralistes; elle s'efforce également de déterminer si l'accès aux soins est plus ou moins équitable qu'à l'étranger et traite du rôle des honoraires payés par les patients. L'étude s'attache ensuite au temps maximum d'attente pour les actes de chirurgie non vitale et à la manière de réduire les disparités de qualité entre régions. L'étendue de la décentralisation est mise en question dans la mesure où elle pourrait avoir une incidence sur la qualité des soins et sur l'efficacité de la dépense tout particulièrement en gériatrie et en psychiatrie. L'étude examine des mécanismes pour améliorer le fonctionnement du secteur hospitalier y compris l'introduction du paiement à l'acte et la création d'hopitaux à but lucratif. Enfin, l'étude réfléchit à la manière d'assurer la stabilité et la pérennité des ressources financières du secteur.
Le principal problème économique de la Suède est le taux élevé d’absentéisme pour cause de maladie ou d’invalidité. Cette communication expose le problème et examine les mesures prises par d’autres pays pour y remédier. Il souligne l’importance de fonder le système d’assurance-maladie sur le principe de l’obligation mutuelle. Ceci suppose de responsabiliser davantage le travailleur malade, l’employeur et le bureau d’assurance sociale pour que l’intéressé reprenne son activité le plus rapidement possible.

L’analyse économétrique de la croissance économique et de la productivité distingue en général trois effets des technologies de l’information et des communications (TIC). Premièrement, l’investissement dans les TIC contribue à accroître le stock de capital et améliore donc la productivité du travail. Deuxièmement, le progrès technologique rapide dans la production de biens et services des TIC peut contribuer à faire progresser l’efficience du capital et du travail, ou la productivité multifactorielle (PMF), dans le secteur producteur de TIC. Et troisièmement, une plus large utilisation des TIC dans l’ensemble de l’économie peut aider les...

Anglais

La question des délais d’attente pour les interventions chirurgicales non urgentes financées sur fonds publics soulève des controverses et s’avère parfois déroutante. En particulier, alors que certains pays signalent des délais d’attente significatifs, d’autres en sont exempts. Les délais d’attente constituent un sérieux problème de politique sanitaire dans les 12 pays participant au projet de l’OCDE sur les délais d’attente (Australie, Canada, Danemark, Espagne, Finlande, Irlande, Italie, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Norvège, Royaume-Uni et Suède), alors que ce problème ne se pose pas pour un second groupe de pays (Allemagne, Autriche, Belgique, États-Unis, France, Japon, Luxembourg et Suisse), dans lesquels des...

Anglais

La création d’entreprises nouvelles et le déclin ou la sortie du marché d’entreprises moins productives sont souvent considérés comme des éléments essentiels du dynamisme des entreprises et de la croissance économique des économies de l’OCDE. Les entreprises nouvelles sont considérées comme particulièrement innovatrices et jouent un rôle important en matière de création d’emplois. Sur la base de ces idées, les responsables politiques estiment souvent que les institutions qui encouragent l’entrée d’entreprises sur le marché peuvent à terme renforcer les performances économiques globales de leur pays. Cette étude utilise une nouvelle base de données internationale sur l’entrée et la sortie, la croissance et la survie d’entreprises compilées par Eurostat afin d’examiner...

Anglais

Les pays de l’OCDE ont témoigné de degrés variables de résilience économique au cours de la récente récession conjoncturelle, certains ayant négocié et surmonté mieux que d’autres une série de chocs communs. Dans une certaine mesure, les différences de résilience économique semblent liées à la performance des marchés du logement. En particulier, le dynamisme des prix immobiliers dans certains pays parait avoir dopé la consommation privée et la construction résidentielle et, par là même, contribué à compenser les faiblesses existantes dans d’autres secteurs. On constate que le cadre institutionnel des marchés du logement et des marchés hypothécaires détermine dans une large mesure non seulement l’efficience économique d’ensemble et les revenus réels, mais aussi la propagation des chocs et...

Anglais

Ces vingt dernières années, les échanges internationaux et l’investissement direct étranger (IDE) dans le secteur des services ont connu une remarquable expansion dans presque tous les pays de l’OCDE. Cette évolution s’explique en partie par la mondialisation générale des activités économiques durant cette période, comme le montrent, par exemple, Nicoletti et al. (2003). Cependant, le rythme de l’internationalisation dans le secteur des services a été encore plus rapide que dans les autres secteurs. Entre 1983 et 2003, la part (en dollars) des exportations de services dans les exportations totales de biens et de services de la zone de l’OCDE a progressé de plus de 2 points pour s’établir à un peu moins de 22 pour cent. Il est plus difficile d’estimer la part des transactions portant sur...

Anglais

Le déficit de balance courante des États-Unis a récemment atteint son plus haut niveau historique – environ 5.2 pour cent du PIB – et, même s’il a légèrement baissé depuis, reste très élevé au regard de l’expérience passée (graphique 1). Un déficit de cette ampleur pour une économie d’une aussi grande dimension que celle des États-Unis absorbe une forte proportion de l’épargne mondiale, les actifs américains représentant de ce fait une part de plus en plus grande dans le portefeuille des investisseurs étrangers. À de nombreux égards, les États-Unis demeurent une destination attrayante pour l’investissement, mais on ne sait pas très bien jusqu’à quel point les étrangers continueront d’accumuler au rythme actuel les actions et obligations émises par des résidents des États-Unis1. Bien...

Anglais

Le terme “université” est très ancien, pourtant, à l’aube du XXIe siècle, sa définition demeure extrêmement controversée. Les spécialistes pensent en général que la première université a vu le jour dès le Moyen-âge avec la création de l’Université de Paris et de celle de Bologne (au XIIe siècle environ). D’autres cependant affirment que l’université, selon la définition que l’on en donne, pourrait être apparue des siècles plus tôt (Neave, 1999 ; Welch et Denman, 1997 ; Patterson, 1997). Cet article a pour objet d’ébaucher une classification des universités pour le XXIe siècle,  mettant l’accent sur le rôle que ces établissements jouent dans la diffusion et le progrès du savoir par l’enseignement et la recherche. S’appuyant sur de grands événements qui dans l’histoire ont donné naissance aux différentes formes d’universités, cet article cherche à déterminer si les universités sont faites pour répondre aux forces du marché ou bien pour déclencher le changement dans des sociétés de plus en plus basées sur le savoir.

Anglais

The term “university” has a longstanding history, yet its definition remains highly contentious at the turn of the century. According to conventional scholarship, the first university initially appeared as far back as the 12th century with the formation of the University of Paris and the University of Bologna (circa 1150 AD). Other scholars, however, contend that the university may have begun many centuries earlier, depending on the definition employed (Neave, 1999; Welch and Denman, 1997; Patterson, 1997). The intent of this article is to suggest a classification of universities for the 21st Century, with emphasis placed on the university's role in disseminating and advancing knowledge through scholarship and research. Drawing upon major historic events that have shaped universities in their various forms, this article discusses whether universities are designed to cater to market forces or are catalysts for change in an increasingly “knowledge-based” society.

Français
Cette étude donne des estimations et analyse quelques implications potentielles du vieillissement rapide des employés du secteur public dans plusieurs pays de l'OCDE. Sous des scénarios alternatifs de politique d'emploi public, l'accroissement de l'offre d'emploi disponible pour le secteur privé a été estimée prenant en considération l'évolution future des cohortes de jeunes entrant dans le marché du travail. Ces scénarios suggèrent qu'en absence d'un accroissement considérable de l'utilisation de la force de travail, le maintien de la part de l'embauche dans le secteur public à son niveau historique impliquerait un déclin assez considérable dans la production des services publics. Alternativement, si les niveaux actuels de service public devraient être maintenus, le secteur public devra pendre un part croissant des nouveaux entrants dans le marché du travail, créant un fort effet d'éviction pour le secteur privé. Une autre solution serait d'accroître substantiellement la productivité dans le secteurs publics.
Ce rapport essaye d’expliquer les évolutions observées dans les taux de fécondité dans les pays de l’OCDE, l’accent étant mis sur un angle socio-économique. Il tend à faire comprendre les comportements liés à la fécondité de plusieurs manières : premièrement, en expliquant les évolutions récentes des taux de fécondité et leur relation avec les autres facteurs sociaux ; deuxièmement, en développant et en testant des modèles nouveaux et élargis afin d’expliquer les différences des taux de fécondité observées dans les pays en fonction des caractéristiques du marché du travail, des politiques sociales et fiscales et des caractéristiques individuelles ; troisièmement, en essayant d’identifier les politiques qui ont la plus grande incidence sur les taux de fécondité de par l’effet qu’elles ont sur des variables particulières aux niveaux micro et macro.
Les politiques élaborées pour favoriser le mouvement vers le financement et la distribution privés des services sociaux suivent cinq directions principales. Alors que certaines de ces orientations favorables à la privatisation sont plus directes et transparentes que d’autres, toutes peuvent être poursuivies simultanément. Trois approches s’orientent vers l’accroissement du financement privé et les deux autres vers l’augmentation de la production et de la fourniture de biens et de services par le secteur privé : • Encouragement par le biais d’incitations fiscales • Obligations par le biais de frais pour services rendus • Prescrire par le biais de la législation • Fournir des prestations publiques sous forme d’espèces ou de coupons • Mécanismes d’achat de service. Tout au long de ces cinq directions, l’Etat joue un rôle direct et indirect en stimulant le financement privé ou la distribution de prestations en espèces ou en nature. Toutes les prestations de protection sociale sont dans une certaine mesure subventionnées ou mandatées par l’Etat – c’est en partie l’intervention publique de par leurs moyens légaux et fiscaux qui rendra ces prestations « sociales ». Quelques biens et services sociaux peuvent mieux se prêter que d’autres à la prestation publique ou privée que d’autres. Et les relations traditionnelles entre les pouvoirs publics parmi le gouvernement, le monde des affaires et celui du travail dans différentes sociétés ne manqueront pas d’influencer les trajectoires optimales pour augmenter la responsabilité privée. En suivant la voie de la privatisation, il ne s’agit pas de trouver la voie la plus courte, mais d’éviter les écueils tout au long du chemin et de définir un cap en se gardant de privilégier l’efficacité économique au détriment de l’objectif public de protection sociale.
Avec les OMD et des ambitions renouvelées en matière d’efficacité, les bailleurs ont l’occasion d’expliquer au public ce qu’ils font pour l’aide au développement. A défaut, ils courent le risque de voir le scepticisme croissant des contribuables entamer leur soutien.
Anglais
MDGs and new aid-effectiveness targets are an opprtunity for donors to explain what they do before growing scepticism erodes taxpayer support for aid.
Français
The OECD Guidelines for Multinational Enterprises (the “Guidelines”) are one of many intergovernmental instruments that seek to promote economic, social and environmental progress. The OECD Guidelines do this by establishing concepts and principles for responsible business conduct that help “to ensure that the operation of [multinational enterprises] is in harmony with government policies, to strengthen the basis of mutual confidence between enterprises and the societies in which they operate, to help improve the foreign investment climate and to enhance the contribution to sustainable development...
This is a required field
Please enter a valid email address
Approval was a Success
Invalid data
An Error Occurred
Approval was partially successful, following selected items could not be processed due to error