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Trade deficits and surpluses are sometimes attributed to intentionally low or high exchange rate levels. The impact of exchange rate levels on trade has been much debated but the large body of existing empirical literature does not suggest an unequivocally clear picture of the trade impacts of changes in exchange rates. In addition, much of the evidence on this subject considers currencies of large economies, and overwhelmingly the United States.

This study examines the impact of exchange rates and their volatility on trade flows in two small, open economies – Chile and New Zealand – with three major trading partners, in two broadly defined sectors – agriculture on the one hand and manufacturing and mining on the other. It finds that exchange volatility impacts trade flows in the small, open economies more than was found for larger economies. Findings do not clearly indicate the direction of the impact, i.e. whether this volatility increases or decreases trade in all countries and sectors. Exchange rate levels, on the other hand, affect trade in both agriculture and manufacturing and mining sectors although their magnitude differs depending on the trading partner and sector. Moreover, this study indicates that a depreciation in the exchange rates in Chile and New Zealand would not lead to a strong change in their trade balances with three main trading partners across the board.

Les pays développés se sont engagés dans le cadre de négociations internationales à mobiliser ensemble 100 milliards de dollars par an d’ici à 2020 au service de l’atténuation du changement climatique et de l’adaptation à ses effets dans les pays en développement. Cependant, des données cohérentes et détaillées permettant de suivre l’application de cet engagement font aujourd’hui défaut. Ces informations aideraient aussi les pouvoirs publics et le secteur privé à connaître le volume et la nature des financements actuellement consacrés au domaine du climat, ce qui leur permettrait d’évaluer les progrès et l’efficacité des flux internationaux de financement climatique. Les estimations établies à partir des données disponibles sont très incertaines et incomplètes, d’où il ressort plusieurs problèmes auxquels se heurte la mise en place d’un solide système de suivi. Une question de caractère plus politique est celle de savoir en quels termes il convient de définir d’un commun accord à l’échelon international le « financement climatique » ou, à défaut d’accord sur cette définition, quels types de flux ou d’activités pourraient entrer en ligne de compte dans ces 100 milliards de dollars. Sous un angle plus technique, la difficulté consiste notamment à définir précisément les flux et les sources de financement climatique international, à mettre en évidence les causes et les effets des flux, ainsi qu’à déterminer les limites du financement de l’action pour le climat. Ce rapport examine quelles données sont aujourd’hui disponibles pour assurer un suivi du financement climatique, et fait apparaître la complexité des flux financiers au travers d’exemples de flux internationaux et intérieurs, ainsi que publics et privés. Ces exemples mettent en relief les questions que soulèvent les modalités de comptabilité et de suivi du financement climatique.
L’une des priorités immédiates des pouvoirs publics consiste à faire reculer rapidement le chômage afin de limiter les problèmes sociaux et de réduire les risques d’une montée du chômage structurel. Pour y parvenir, il est indispensable de renforcer les politiques du marché du travail, capables de soutenir la demande de travail. Le programme de travaux publics doit rester temporaire et être davantage axé sur la formation. Les autorités devraient également s’abstenir de relever davantage le salaire minimum. Des réformes structurelles fondamentales sont nécessaires à moyen terme pour que le taux d’activité de la Hongrie ne figure plus parmi les plus bas de la zone OCDE. Il s’agit d’un enjeu majeur dans le contexte du vieillissement rapide de la population. Les pouvoirs publics ont commencé à restructurer le système de prélèvements et de prestations afin d’augmenter les incitations financières au travail et l’offre de main-d’oeuvre. Néanmoins, ils devront consentir des efforts supplémentaires pour veiller à ce que le marché du travail soit plus inclusif. En effet, plusieurs catégories de population sont significativement sous-représentées sur le marché du travail, comme les peu qualifiés, les jeunes, les seniors, les femmes en âge de procréer, les handicapés et les Roms. Des mesures structurelles s’imposent pour développer l’emploi à temps partiel et d’autres formes flexibles d’emploi, réformer les politiques familiales, faciliter l’insertion professionnelle des handicapés, adapter le système éducatif aux besoins du marché du travail, accroître le niveau de qualifications et de compétences à tous les âges, renforcer les incitations à la poursuite de l’activité à un âge avancé et lutter contre la discrimination à l’égard des Roms. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE de la Hongrie, 2012 (www.oecd.org/eco/etudes/hongrie).
  • 12 nov. 2012
  • Jan Corfee-Morlot, Virginie Marchal, Céline Kauffmann, Christopher Kennedy, Fiona Stewart, Christopher Kaminker, Geraldine Ang
  • Pages : 69
La mise en oeuvre d’un développement sobre en carbone et résilient au changement climatique constitue aujourd’hui l’un des objectifs de nombreux gouvernements, et les investissements consacrés aux infrastructures bâties – dans les secteurs de l’énergie, des transports, de l’eau et du bâtiment – représentent une part essentielle du défi à relever. Compte tenu de l’augmentation des besoins en infrastructures et des contraintes budgétaires, ces changements nécessiteront une mobilisation à grande échelle du secteur privé. Or les pouvoirs publics ne possèdent guère d’expérience sur la manière d’intégrer les objectifs climatiques ou relatifs à d’autres questions environnementales dans les cadres d’action pour l’investissement et la planification des infrastructures. Alors que de nombreuses études mettent en avant le rôle des politiques environnementales et climatiques dans la transition vers une économie sobre en carbone et résiliente au changement climatique, le présent document tend à démontrer que d’autres facteurs ont également un rôle décisif à jouer dans cette évolution. Il part du principe que les politiques climatiques et leur efficacité ne peuvent être étudiées isolément, mais doivent être envisagées dans un contexte de politique nationale plus large, en mettant l’accent sur les moyens de favoriser l’investissement et le développement. Ce rapport vise à conseiller les gouvernements sur la manière de créer ou d’améliorer les conditions permettant, au niveau national, d’orienter et d’accroître les investissements du secteur privé dans les infrastructures vertes, ainsi que de financer le passage à une économie sobre en carbone et résiliente au changement climatique et à une croissance plus verte. Ce rapport propose un « cadre d’action pour l’investissement vert » à partir d’une réflexion sur l’investissement dans les infrastructures, considéré exclusivement du point de vue de l’atténuation du changement climatique et de l’adaptation à ses effets. Il met en évidence les opportunités notables et les nombreuses difficultés que suscite aujourd’hui, dans les pays développés et en développement, la mise en oeuvre d’un développement sobre en carbone et résilient au changement climatique par le biais de l’investissement dans la rénovation ou la construction d’infrastructures. Ce rapport suggère qu’il est possible de dégager de multiples avantages, en termes de développement local, de l’investissement dans des infrastructures à bas carbone et résilientes au changement climatique (BRC). Il propose un cadre d’action en cinq points afin de contribuer à définir des réformes nationales susceptibles d’orienter l’utilisation de fonds publics limités tout en encourageant le secteur privé à soutenir la transition par des investissements dans les secteurs d’infrastructures appropriés, de façon à répondre simultanément aux objectifs climatiques et de développement local.
La stratégie de croissance verte du Danemark vise pour l’essentiel à supprimer les combustibles fossiles du système énergétique et à investir dans les technologies vertes, tout en limitant les émissions de gaz à effet de serre (GES). Dans l’ensemble, les mesures en cours devraient permettre au Danemark d’atteindre les objectifs d’atténuation du changement climatique à court terme mais peut-être pas de réaliser ses objectifs les plus ambitieux. Toute la difficulté sera de les atteindre de manière économiquement efficiente et de veiller à ce que ces ambitions contribuent au mieux à l’atténuation des émissions de GES dans le monde ainsi qu’à une croissance plus forte et plus verte au niveau national. Pour faire face à ce défi, le Danemark devra mieux exploiter les interactions avec les politiques mises en oeuvre dans le cadre de l’UE et à l’échelle internationale, trouver le meilleur moyen de soutenir les technologies vertes et réduire les émissions de GES dans les secteurs qui ne relèvent pas du système communautaire d’échange de quotas d’émissions. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE du Danemark, 2012 (www.oecd.org/eco/etudes/danemark).

L’Allemagne s’est engagée à respecter des objectifs ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) en 2020 et ultérieurement. Elle met en oeuvre tout un éventail de mesures pour atteindre ses objectifs d’atténuation du changement climatique, et notamment divers instruments économiques. Ces mesures ont contribué à réduire les émissions nationales de GES, et à atteindre d’autres objectifs. Cependant, il en découle plusieurs prix du carbone (explicites et implicites), qui risquent de nuire à l’efficacité globale par rapport aux coûts de son action. Le présent rapport examine les prix du carbone qui se dégagent de l’application de trois instruments économiques clés en Allemagne : les taxes sur l’énergie, les taxes sur les véhicules et le système d'échange de quotas d'émission de l’UE. Il aborde aussi le recours aux tarifs d’achat pour encourager la production d’électricité moyennant des sources renouvelables, en mettant l’accent sur les coûts implicites de réduction des émissions de GES et les interactions avec d’autres instruments de la politique d’environnement. Ce document de travail se rapporte à l’Examen environnemental de l'OCDE de l’Allemagne, 2012 : http://www.oecd.org/fr/environnement/examensenvironnementauxparpays/examensenvironnementaux delocdeallemagne2012.htm

  • 23 mars 2012
  • Douglas Cooke, Alexander Antonyuk, Isabel Murray
  • Pages : 20
Russia is in the process of one of the most ambitious electricity sector reforms ever undertaken, reflecting the importance of an efficient and reliable electricity sector for promoting economic activity, growth and community prosperity. However, the outcome remains uncertain at this stage. Electricity reform is entering a critical phase in Russia. Hence, the IEA is updating its original work [Russian Electricity Reform: Emerging Challenges and Opportunities, see http://www.iea.org/textbase/nppdf/free/archives/russianelec.pdf].

The new study will outline trends and progress since 2005, and will examine the key remaining challenges drawing on the experience of IEA member countries to inform the analysis as appropriate. It is being undertaken in consultation with key Russian stakeholders to ensure the analysis reflects a sound, evidence-based understanding of the key issues.

This paper outlines some key issues and preliminary views emerging from IEA analysis and consultations to date, and is provided to facilitate more effective consultation and dialogue with key stakeholders. The IEA would welcome comments on the issues and questions raised in this document, or any other observations stakeholders may wish to raise that may be of relevance to this study.

Please forward any written comments in English or Russian to [email protected]. Comments would be gratefully received before close of business, Monday 30 April 2012.

Any other questions in relation to this project should be directed to Douglas Cooke, Project Leader ([email protected]) or Isabel Murray, Russia Programme Manager ([email protected]).

Tntil India adopted the Civil Liability for Nuclear Damage Act, 2010 (Liability Act) and the Civil Liability for Nuclear Damage Rules, 2011 (Liability Rules or Rules),1 no specific legislation was in place to govern nuclear liability or to compensate victims for damages due to a nuclear incident in India.

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On 26 April 1986, the international nuclear community experienced a dramatic “wake-up call” when the reactor core of the Chernobyl Nuclear Power Plant, situated in the former Ukrainian Republic of the Union of Soviet Socialist Republics, melted down. Due to the large volume of radioactive elements which were released into the atmosphere and spread around the globe, particularly across the northern hemisphere, the accident has been categorised as “by far the most devastating in the history of nuclear power”.1 The incident served to dramatically and vividly remind the world of the potentially devastating national and transboundary consequences which may follow a nuclear accident, and it dispelled the myth that nuclear incidents create predominantly national safety risks. Suddenly all countries, even those without nuclear power capacity or situated in relative geographic isolation from nuclear sites, were forced to realise the risks that could be thrust upon them by a nuclear accident, even one occurring in a far distant state. Chernobyl demonstrated that despite the stationary nature of such plants, thanks to global wind currents external damage could be considerable.

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The current state of affairs concerning development in the United States of a permanent repository for disposal of spent nuclear fuel (SNF) and high-level radioactive waste (HLW) is, in a word, uncertain. The President of the United States has asserted that he believes licensing and development of the Yucca Mountain repository should be abandoned, while other important parties believe licensing and development should continue. And not surprisingly, there is a disagreement as to what the law requires and whether the licensing process for the Yucca Mountain repository can be terminated at this point, even if the President would like for that to happen. The future of Yucca Mountain, and the future of radioactive waste disposal in the United States generally, currently are pending before the US Court of Appeals for the District of Columbia Circuit, and eventually the Supreme Court of the United States may decide some of the important legal issues concerning Yucca Mountain’s future. The November 2012 US elections also likely will have a significant impact on future radioactive waste repository development.

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The Bologna Process put in motion a series of reforms for higher education. In Germany, the “Bologna reform” focused national standards and guidelines which served as criteria for obligatory programme accreditation by external bodies. This article reports on the results of an empirical study that examined the effects and limitations of accreditation as a means of monitoring the reform of study programmes. An analysis of 1 380 accreditation decisions taken in the Federal State of Lower Saxony between July 2004 and December 2009 and a series of interviews of key actors in the state’s 36 higher education institutions gave rise to a better understanding of whether accreditation does in fact support HEIs’ quality assurance goals.

Unconditional and conditional quantile regressions are used to explore the determinants of labour earnings at different parts of the distribution and, hence, the determinants of overall labour earnings inequality. The analysis combines several household surveys to provide comparable estimates for 32 countries. The empirical work suggests that, in general, a rise in the share of workers with an uppersecondary or post-secondary non-tertiary degree and a rise in the share of workers on permanent contracts are associated with a narrowing of the earnings distribution. By contrast, a shift in the sector composition of the economy is not found to have a large impact on overall earnings inequality. As for tertiary education, the impact remains ambiguous as there are several offsetting forces.

The International Atomic Energy Agency’s (IAEA) “safeguards system” serves as the foundation of the global nuclear non-proliferation regime, under which the IAEA acts as an auditor, monitor and inspector of state-administered nuclear energy programmes. The system consists of agreements and practices that enable the IAEA to gain a clear picture of a state’s nuclear activities in order to provide credible assurances that nuclear energy is used for exclusively peaceful purposes.

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After the events of September 11, the United Nations Security Council adopted Resolution 1373 (2001) which has been called the “Counter-Terrorism Code” of the world, because it creates legal obligations for all 192 Member States of the United Nations.

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While the African situation displays disparities both within and between countries in terms of economic and human development, on average, many African countries have relatively low school enrolment ratios, highly informal labour markets, high poverty rates, as well as low financial inclusion and financial literacy levels. Against this backdrop, it is desirable to improve the level of financial literacy among the most vulnerable parts of the African population. Well-designed financial education initiatives can reduce demand-side barriers to more effective financial inclusion and can empower vulnerable individuals economically, so that they can better manage household resources and develop income generating activities. This report provides an overview of the status of financial education programmes developed in Africa, discusses their rationale, and offers initial guidance for policy makers. In recent years public authorities, as well as the non-profit and the private sector, engaged in the development of financial education programmes in several African countries. These programmes typically aim at improving financial knowledge and skills, raising awareness of financial issues, and improving financial inclusion. They usually target vulnerable groups, including low-income people, women, and youth, and sometimes deliver financial literacy training in combination with access to financial products.
Cet article s’appuie sur des données portant sur trente années de reformes structurelles dans les pays de l’OCDE et analyse l’impact de ces reformes au cours du temps. Nous cherchons plus particulièrement à identifier l’horizon temporel à partir duquel ces effets se matérialisent ainsi qu’à déterminer la façon dont le positionnement dans le cycle économique ou les arrangements institutionnels en vigueur dans chaque pays affectent les résultats. L’analyse empirique repose sur l’estimation, à différents horizons temporels, de taux de réponse des variables de performances (taux de croissance du PIB, taux d’emploi) à des reformes mises en oeuvre dans le domaine fiscal, sur le marché du travail ainsi que sur le marché des produits. D’après nos résultats, les effets des reformes mettent généralement du temps à se matérialiser. Lorsque des effets significatifs sont obtenus dès le court terme, l’analyse indique que les réformes ne génèrent que très rarement des coûts macroéconomiques alors qu’un certain nombre d’entre elles produisent rapidement des bénéfices. L’absence d’effet récessif majeur semble donc infirmer l’idée selon laquelle les reformes devraient généralement être accompagnées de politiques macroéconomiques accommodantes permettant de compenser les coûts qui y seraient associés. Cependant, les résultats indiquent également que les effets bénéfiques des réformes du marché du travail (tels que celles du système d’assurance chômage ou de la protection du travail) se matérialisent surtout dans des situations de croissance économique alors qu’une détérioration des performances à court terme peut survenir lorsqu’elles sont appliquées en période de ralentissement économique.
This paper provides an overview of the history of the OECD Guidelines for the Security of Information Systems and Networks: Towards a Culture of Security (“Security Guidelines”) since the adoption of their first version in 1992. It explains that the 2002 revision of the Guidelines introduced a fundamental paradigm shift in the way IT security was previously addressed, in order to take into account the emergence of the open Internet and the generalisation of interconnectivity.
Au cours de la crise financière, mondiale, il y a eu un fort intérêt pour les dispositifs de chômage partiel . A l’aide de données portant sur 23 pays de l’OCDE durant la période s’étendant du premier trimestre 2004 au quatrième trimestre 2010, cet article analyse les effets quantitatifs des programmes de chômage partiel sur les résultats obtenus sur le marché du travail en exploitant la variation entre les pays et dans le temps des taux de recours au chômage partiel. L'analyse tient compte des facteurs observables entre les pays qui pourraient affecter la relation entre la situation du marché du travail et la production et aborde également l'endogénéité du recours au chômage partiel par rapport aux conditions du marché du travail. En outre, une attention particulière est accordée à la modélisation des aspects dynamiques de la relation entre la production et les résultats obtenus sur le marché du travail. Les résultats indiquent que le chômage partiel élève la flexibilité des heures en augmentant l'élasticité de la production au temps de travail et aide à préserver les emplois dans le contexte d'une récession en rendant l’emploi et le chômage moins élastique par rapport à la production. Le facteur temps est crucial pour les dispositifs de chômage partiel et constitue une conclusion importante de cet article. Alors que le chômage partiel a contribué à préserver un nombre important d'emplois pendant la crise, son utilisation continue pendant la reprise peut avoir réduit le contenu en emplois de la reprise. À la fin de l’année 2010, l'effet net du chômage partiel sur l'emploi est devenu négligeable, voire négatif. Toutefois, l'impact brut sur le nombre d'emplois sauvés par trimestre reste important et positif dans la plupart des pays.
Cet article étudie le rôle des politiques et des institutions sur la dynamique générale du marché du travail au cours de la crise financière mondiale au moyen de données au niveau des entreprises. Le recours aux données au niveau des entreprises devient nécessaire si les entreprises sont hétérogènes en termes de techniques d’ajustement du facteur travail. Dans ce cas, les différences entre pays en matière de dynamique générale du marché du travail peuvent non seulement provenir de différences des techniques de l’ajustement moyen du facteur travail entre pays - supposées ici être dues en grande partie à des différences d’environnement institutionnel -, mais également d’écarts au niveau de la répartition des chocs entre les entreprises au sein des pays et de la composition des entreprises entre pays. La contribution de cet article est triple. Tout d'abord, cet article fournit des estimations comparables du comportement d'ajustement du facteur travail des entreprises en réponse à des chocs de production entre pays, branches d’activité et taille d'entreprise. Deuxièmement, il fait appel à des méthodes de décomposition pour obtenir une première indication de l'importance des différences entre pays en matière d’ajustement, de répartition des chocs entre les entreprises et de composition des entreprises entre pays. Nous constatons que les différences dans le comportement d'ajustement des entreprises représentent environ 40% de la variation entre pays de la croissance globale de l'emploi pendant la crise financière mondiale. Nous interprétons cela comme une preuve prima facie que les différences d’environnement institutionnel représentent une part substantielle de la variation de la croissance globale de l'emploi pendant la crise. Troisièmement, nous constatons que les dispositions en matière de protection de l’emploi des travailleurs réguliers réduisent l’élasticité de l’emploi à la production, mais augmentent l'élasticité des gains par travailleurs à la production. La protection d’emploi incite les entreprises à ajuster moins à la marge extensive mais davantage à la marge intensive. Pourtant l'impact quantitatif de la protection de l'emploi est limité pour expliquer la variation globale de la dynamique du travail au cours de la crise financière mondiale.
Decarbonising the world?s energy system, moving towards a resource efficient economy and providing energy access for all will require doubling existing investment levels to around USD 2 trillion a year or 2% of GDP. Governments understand that large sums of capital will be required, and many are also realising the need for further recourse to private capital as public finances have become strained in many developed countries. Simultaneously, banking sector provision of long-term finance has become tighter due deleveraging and new financial regulations. With their USD 71 trillion in assets, institutional investors potentially have an important role to play. Given the current low interest rate environment and weak economic growth prospects in many OECD countries, institutional investors are increasingly looking for real asset classes which can deliver steady, preferably inflation-linked, income streams with low correlations to the returns of other investments. Clean energy projects may combine these sought-after characteristics.

Yet – outside the major pension funds and insurance companies – institutional investor allocations to clean energy projects remain limited, particularly when it comes to the types of direct investment which can help close the financing gap. Reasons for institutional investor hesitancy include a lack of information and expertise when it comes to the type of direct infrastructure investment required to finance clean energy projects, and a potentially unsupportive regulatory backdrop. These problems are compounded by a lack of suitable investment vehicles providing the risk/return profile that institutional investors need to manage the risks specific to clean energy projects. There are many species of risk, including regulatory risk stemming from a lack of clarity in terms of environmental and climate policy, and retroactive changes to support mechanisms. Progress is being made – with investor groups coming together to use their scale and build their expertise in clean energy investment. From the public and private sectors, actions are underway to scale up green bond offerings, create risk-mitigating public finance mechanisms and co-investment funding structures. These initiatives need to be encouraged, carefully monitored, and expanded where successful.

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