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This article treats some ideas and issues that are part of ongoing reflection at the OECD. They were first raised in a major research article for the Reserve Bank of Australia conference in July 2008, and benefited from policy discussion in and around that conference. One fundamental cause of the crisis was a change in the business model of banking, mixing credit with equity culture. When this model was combined with complex interactions from incentives emanating from macro policies, changes in regulations, taxation, and corporate governance, the current crisis became the inevitable result. The paper points to the need for far-reaching reform for a more sustainable situation in the future.

This report analyses the impact of failures and weaknesses in corporate governance on the financial crisis, including risk management systems and executive salaries. It concludes that the financial crisis can be to an important extent attributed to failures and weaknesses in corporate governance arrangements which did not serve their purpose to safeguard against excessive risk taking in a number of financial services companies.

Accounting standards and regulatory requirements have also proved insufficient in some areas. Last but not least, remuneration systems have in a number of cases not been closely related to the strategy and risk appetite of the company and its longer term interests. The article also suggests that the importance of qualified board oversight and robust risk management is not limited to financial institutions.

The remuneration of boards and senior management also remains a highly controversial issue in many OECD countries. The current turmoil suggests a need for the OECD to re-examine the adequacy of its corporate governance principles in these key areas.

Higher education in the United States has received much scrutiny in the recent past from the federal and state governments, the press and the general public. In response to this scrutiny, a number of blue ribbon panels have been formed to examine how effectively higher education is serving American society. In this article, I analyse the proceedings and impact of the most recent prominent panel, the Secretary of Education’s Commission on the Future of Higher Education, commonly known as the Spellings Commission. I also briefly examine how the new administration of President Barack Obama is likely to affect colleges and universities in light of the global economic crisis.

Le contexte de la réforme de l’enseignement supérieur aux États-Unis

Ces dernières années, le gouvernement fédéral, les États, la presse et l’opinion publique ont placé l’enseignement supérieur aux États-Unis au centre d’une attention toute particulière. En conséquence de cela, de nombreux groupes d’experts se sont formés pour étudier dans quelle mesure le système d’enseignement supérieur sert efficacement la société américaine.
Cet article examinera les procédures et l’impact de la commission du ministre de l’Éducation sur le futur de l’enseignement supérieur, plus généralement dénommée la commission Spellings, qui constitue le plus important groupe d’experts récemment constitué.
Nous étudierons ensuite brièvement dans quelle mesure la nouvelle administration du Président Barack Obama est susceptible d’affecter les universités dans un contexte marqué par la crise économique mondiale.

Legislatures require reliable, unbiased information to be able to participate constructively in formulating the budget. This article explores the value of an independent budget capacity located in the legislature for expanding parliament’s role in budgeting and for holding the executive accountable.

At the start of the decremental decade of the 1980s, governments encountered many difficulties in making ends meet. This article discusses some of the problems of post-expansive stagnation and the merits of certain techniques such as indexing, global norms, decentralising hard choices and the well-balanced package.

La question de savoir si une société socialement mobile est prédisposée au bien-être subjectif (SWB, d’après le sigle anglais) a rarement fait l’objet d’étude. Ce document vient combler ce manque en la matière en analysant les effets du SWB quant à la mobilité et l’égalité intergénérationnelle des gains dans l’éducation à un niveau sociétal. Cette étude s’est servie d’une information socio-démographique comptant 44 000 individus dans 30 pays membres de l’OCDE tirée de l’enquête World Values Survey. Cette étude montre que le fait de vivre dans une société socialement mobile est propice à une satisfaction de vie individuelle. En séparant la mobilité sociale perçue à celle qui est réelle, nous observons que les deux exercent une influence plutôt indépendante, en particulier dans leur action mutuelle avec les inégalités de revenus. Une interaction positive de mobilité sociale perçue est identifiée, celle-ci limitant son influence globale du bien-être subjectif à la baisse, selon Alesina et al. (2004). A contrario, un fort degré de mobilité sociale réelle génère une influence générale sur l’inégalité des revenus qui diminue le SWB alors que pour une faible mobilité sociale les effets de l’inégalité sont positifs. Ces relations réciproques sont plus solides pour des inégalités de revenus avant transferts qu’après transferts. La mobilité sociale réelle semble être appréciée seulement par les conservateurs, alors que les individus orientés plus à gauche sont indifférents. La robustesse est aussi examinée en utilisant un échantillon mondial.
Societal concerns as they pertain to farming activities play an important role today in the development of national policies. How such concerns are perceived varies from one society to another as do the policy responses (economic instruments and regulations) that governments put in place. These policy responses have in turn implications for trade and international relations. This study examines a number of issues that are part of the current debate and how these are addressed at the domestic level as well as within the framework of applicable provisions of WTO agreements.
Français
Cet avant-projet présente des indicateurs pour évaluer l’autonomie budgétaire des administrations infranationales (AI). Les indicateurs traditionnels – tels que la part des dépenses des AI dans les dépenses totales – sont souvent trompeurs car ils sous-estiment l’influence de la réglementation mise en place par le gouvernement central sur la ventilation des dépenses infra-nationales. Afin d’estimer la véritable autonomie des AI, un ensemble d’indicateurs a été développé sur la base d’une analyse détaillée du pouvoir institutionnel, réglementaire et administratif que le gouvernement central exerce sur les politiques menées par les AI. Les résultats tendent à confirmer que les AI disposent d’une autonomie limitée sur leurs propres dépenses. L’éducation en particulier – souvent le poste budgétaire le plus important des AI – est un domaine fortement modelé par le gouvernement central. Les pays fédéraux tendent à garantir une autonomie budgétaire plus élevée à leurs AI que les pays unitaires. En l’adaptant légèrement, le cadre de cette étude pourrait être appliqué à tous les pays membres de l’OCDE, bien qu’il soit recommandé de limiter l’analyse aux domaines principaux de l’action publique.
À rebours des habitudes de secrets et d’opacité qui ont pu prévaloir par le passé, la transparence constitue désormais un moyen essentiel de mise en œuvre de la politique monétaire. Une étude approfondie des pratiques de onze banques centrales de la zone OCDE confirme la convergence vers toujours plus de transparence. Les résultats empiriques sont cohérents avec l’hypothèse selon laquelle la transparence contribue à l’efficacité de la politique monétaire : en moyenne, les cadres de politique monétaire qui fournissent un meilleur ancrage des anticipations d’inflation et une inflation plus stable s’appuient sur un niveau plus élevé de transparence. Malgré une tendance générale vers davantage de transparence, les pratiques de communication diffèrent encore sensiblement d’une banque centrale à l’autre. Les divergences sont particulièrement marquées s’agissant de la transparence à propos des procédures de décision et de l’orientation future de la politique monétaire. Bien que le degré optimal de transparence sur ces deux sujets demeure un objet de débat, le fait que les troubles financiers actuels obèrent les canaux traditionnels de transmission de la politique monétaire donne à ces deux questions une importance toute particulière.
Cet article utilise le modèle WITCH, un modèle d’équilibre général calculable à progrès technique endogène, afin d’explorer l’impact de diverses politiques climatiques sur les choix de technologies énergétiques et les coûts de stabilisation des concentrations de gaz à effet de serre. Il apparaît que les prix courants et anticipés du carbone ont des effets puissants sur la dépense en R&D et la diffusion des technologies propres. Leur impact sur les coûts de stabilisation dépend de la nature de la R&D : une R&D améliorant l’efficacité énergétique de façon incrémentale a des effets limités, mais une R&D visant à l’émergence de nouvelles technologies sobres en carbone pourrait drastiquement réduire les coûts en cas de succès – notamment dans le secteur non-électrique, où de telles options sobres en carbone sont aujourd’hui rares. Les émissions provenant de sources multiples, garder un éventail d’options aussi large que possible influence davantage les coûts de stabilisation qu’améliorer certaines technologies spécifiques. Du fait des externalités internationales liées à la R&D, les coûts de stabilisation peuvent être encore réduits par une politique complémentaire de R&D mondiale. Cependant, un signal de prix fort est toujours nécessaire.

Nuclear power plant modifications may be needed for a number of different reasons. These include physical ageing of plant systems, structures and components; obsolescence in hardware and software; feedback from operating experience; and opportunities for improved plant safety, reliability or capability. However, experience has also shown that weaknesses in the design and/or implementation of modifications can present significant challenges to plant safety. They can also have a considerable impact on the commercial performance of the plant. It is therefore important that the plant modification process reflect a recognition of the potential impact of human errors and that it incorporate suitable measures to minimise the potential for such errors.

In this context, the NEA Committee on the Safety of Nuclear Installations (CSNI) and its Working Group on Human and Organisational Factors organised an international workshop in 2003 to discuss the role of human and organisational performance in the nuclear plant modification process. This technical opinion paper represents the consensus of specialists in human and organisational factors (HOF) in the NEA member countries on commendable practices and approaches to dealing with nuclear plant modifications. It considers factors that should be taken into account when developing a modification process and identifies some lessons learnt from application of the process. The paper should be of particular interest of nuclear safety regulators and nuclear power plant operators.

This primer aims to provide policy makers a broad-brush understanding of the various dimensions of digital identity management (IdM). Consistent with the Seoul Ministerial Declaration, it also aims to support efforts to address public policy issues for securely managing and protecting digital identities, with a view to strengthening confidence in the online activities crucial to the growth of the Internet Economy.
Broadband networks are increasingly recognised as fundamental for economic and social development. They serve as a communication and transaction platform for the entire economy and can improve productivity across all sectors. Advanced communication networks are a key component of innovative ecosystems and support economic growth. Broadband networks also increase the impact and efficiency of public and private investments which depend on high-speed communications. Broadband is needed as a complementary investment to other infrastructure such as buildings, roads, transportation systems, health and electricity grids, allowing them to be “smart” and save energy, assist the aging, improve safety and adapt to new ideas.

Over the past several decades the international community has increasingly come to rely on periodic multilateral conferences or meetings:  1) as a means for reviewing implementation of a wide variety of legal instruments, including those addressing nuclear non-proliferation, safety, waste management, physical protection and security. Also, the parties to some instruments that do not explicitly mandate review meetings have decided to conduct de facto review meetings to enhance implementation. Although the structure and procedures of these meetings differ in some particulars, they reflect a number of common objectives, organisational arrangements and procedures. This paper seeks to assess the major issues arising from reliance on the review conference;  2) mechanism as a measure for enhancing the effectiveness of multilateral legal instruments, particularly those in the nuclear field. In view of the perceived failure of the 2005 Review Conference of the Parties to the Treaty on the Non-Proliferation of Nuclear Weapons and the need to avoid a similar result at the upcoming 2010 Review Conference, it is hoped that this analysis will provide a timely – and possibly even useful – “review” of the review conference mechanism.

Français
The great difference between our journeys and activity schedules and those of our forebears lies in the much longer distances we travel. By road, and even more so by rail and air, nowadays we can cover hundreds or even thousands of miles in a few hours. Inter-urban mobility is directly affected by these developments. Where international travel by coach and sailing ship used to take weeks, and intercontinental journeys sometimes even longer, we now count the time in hours. The transport revolution has played a major part in the economic history of the last two centuries (Niveau and Crozet, 2000), but it must be emphasized that the change has been gradual. Over two hundred years have passed between the stage-coach and the high-speed train, the clipper and the jet, during which technological progress and the higher speeds it enables have spread relatively slowly. Even with key technological revolutions like the railways, the automobile and the aeroplane, it took several decades for them to become available to the population at large. From this slow percolation of technological progress into the way we live has arisen the idea that steadily increasing mobility is a structural given of modern society. Further, faster seems to have become the general rule, to such an extent that even space travel, so we are told, will become more widely available in the relatively near future. A few very wealthy people have already become the world's first space tourists. It is the self-evident nature of this long-term trend towards increased mobility that we wish to examine in this report, since a number of factors could well undermine the relatively classic assumption that past trends will continue into the future.

This article discusses fiscal reform in Central and Eastern Europe from the perspective of political economy. Following an overview of basic reform trends, the article focuses on the principal drivers and impediments to reform in the region. To conclude, the ingredients of successful reform are examined.

Ce document fournit une vue d’ensemble des tendances passées et futures des taux de surpoids et d’obésité dans les pays de l’OCDE. L’utilisation de données individuelles issues d’enquêtes transversales nationales a permis d’explorer les déterminants principaux et les cheminements sous-jacents à l’épidémie d’obésité, et d’identifier de possibles leviers politiques pour contrer les effets négatifs de ces tendances sur la santé. Premièrement, les projections futures confirment la tendance vers une stabilisation progressive voire une faible baisse des taux de pré-obésité, accompagnée d’une augmentation continuelle des taux d’obésité. Deuxièmement, les résultats suggèrent que des forces divergentes sont en jeu, poussant les taux de surpoids et d’obésité dans deux directions opposées. D’une part, la forte influence d’un environnement obésogène (les aspects de l’environnement physique, social et économique qui favorisent l’obésité) a été confirmée au cours des 20-30 dernières années. D’autre part, l’influence sur le long terme de l’évolution de l’éducation et des conditions socio-économiques a rendu les générations successives de plus en plus conscientes des risques pour la santé liés aux choix de vie, et parfois plus aptes à gérer la pression de l’environnement. Troisièmement, les distributions des taux de surpoids et d’obésité dans les pays de l’OCDE montrent de façon cohérente des disparités marquées selon l’éducation et les conditions socio-économiques chez les femmes (plus éduquées et ayant un statut socio-économique plus élevé, les femmes ont des taux considérablement plus faibles), alors que des résultats variés sont observés chez les hommes. Quatrièmement, les résultats soulignent l’étendu du surpoids et de l’obésité au sein des ménages, et suggèrent que les comportements liés à la santé en particulier ceux concernant l’alimentation et l’activité physique, jouent probablement un rôle plus important que les facteurs génétiques dans la détermination du niveau de l’IMC au sein des ménages.
Les efforts visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) liées au système climatique mondial, notamment dans le cadre du Protocole de Kyoto, risquent d’échouer si les États où s’appliquent des limitations des émissions délocalisent leurs activités de production à forte intensité de carbone vers des pays où ces restrictions ne sont pas imposées et où les facteurs de production primaire sont tributaires de sources qui émettent plus de GES. Ce processus de délocalisation et l’augmentation des ‘échanges de carbone’ vont à l’encontre des réductions des GES envisagées dans les accords internationaux. Cette étude aborde la question des quantités de carbone incorporées dans les échanges en utilisant des sources de données de l’OCDE comparables au plan international (entrées-sorties, commerce bilatéral et émissions de CO2) concernant 41 pays/régions et 17 branches d’activité. Dans les résultats des simulations effectuées avec des scénarios de référence couvrant le milieu des années 1990 et le début des années 2000, on observe des “déficits des échanges” d’émissions de CO2 dans 21 pays de l’OCDE au début des années 2000 et, s’agissant de 16 pays, un accroissement du solde négatif de ces échanges à la fin des années 1990. Si un tiers (860 Mt de CO2) de l’augmentation mondiale des émissions dues à la production a été produit dans des économies non membres de l’OCDE à la fin des années 1990, plus de la moitié des émissions associées à la consommation (1550 Mt de CO2) sont encore imputables à la consommation de la zone OCDE. Les simulations des sensibilités laissent supposer qu’un accroissement de l’intensité des échanges mondiaux a un effet à la hausse sur les émissions incorporées, tandis que les transferts de technologie des pays moins émetteurs de carbone vers les pays gros émetteurs réduisent les émissions mondiales et les soldes négatifs des échanges de carbone.
Ce papier analyse, dans le contexte des crises bancaires passées des pays de l’OCDE, les caractéristiques des ralentissements économiques et de la reprise qui suit, ainsi que de mettre en évidence de possibles effets sur la croissance du potentiel de production. Cette étude se différencie des précédentes par l’utilisation de l’écart de production et du potentiel de l’économie. Les ralentissements qui font suite à une crise bancaire semblent durer plus longtemps avec des pertes plus importantes et avec une réaction négative de l’investissement privé disproportionnée. Le rythme de la reprise est plus modéré et se caractérise par des contributions fortement positives des exportations. Les résultats de l’analyse des conséquences des crises bancaires sur le potentiel de l’économie sont mitigés. La crise bancaire au Japon a affecté négativement le potentiel de production via une baisse de la productivité du travail. Cela peut être relié à la durée des problèmes bancaires qui ont touché le Japon et de leurs conséquences néfastes sur l’allocation du capital. Dans le cas des crises bancaires des pays nordiques qui ont duré moins longtemps, il n’y a pas eu d’effets sur la productivité, bien que temporairement le potentiel ait baissé ce qui provient principalement d’une augmentation du taux de chômage structurel. Cette dernière relation peut refléter l’interaction entre d’une part un ralentissement exceptionnellement sévère et d’autre part des rigidités structurelles sur le marché du travail.
Ce document de travail présente une vue d’ensemble sur les travailleurs du secteur des soins de longue durée (SLD) et passe en revue les réponses des pays à l'accroissement de la demande de travailleurs des SLD. Dans le contexte du vieillissement des sociétés, l’importance des soins de longue durée va se développer dans tous les pays de l’OCDE. En 2005, les dépenses de SLD ne représentaient guère plus de 1 % du PIB dans ces différents pays (Éco-Santé OCDE 2008), mais d’après les projections, cette proportion pourrait atteindre entre 2 et 4 % du PIB à l’horizon 2050 (Oliveira Martins et al., 2006). La part des dépenses de SLD exprimées en pourcentage du PIB augmente en même temps que s’accroît la part de la population âgée de plus de 80 ans. Or, cette part devrait tripler entre 2005 et 2050 et passer de 4 % à 11 ou 12 % sur cette période. Outre le vieillissement, d’autres facteurs pouvant affecter les dépenses futures sont impliqués. Dans 12 pays de l’OCDE pour lesquels on dispose de données, la tendance à l’incapacité sévère chez les personnes âgées ne diminue pas de manière régulière (Lafortune et Balestat, 2007), tandis que le nombre de personnes âgées ayant besoin d’aide pour accomplir les activités élémentaires de la vie quotidienne est en augmentation. En même temps, l’évolution de la société (notamment, la possible diminution d’importance qui devrait être accordée aux soins informels du fait de l’accroissement du taux d’activité des femmes et de la diminution de la taille des familles, mais aussi les attentes croissantes face à des systèmes de soins de santé et de protection sociale que l’on voudrait plus réactifs et de meilleure qualité) accroît la nécessité d’une utilisation plus efficiente des ressources des systèmes de SLD. Ces facteurs renforcent la pression qui s’exerce sur les travailleurs de ce secteur à très forte intensité de main-d’oeuvre. S’y ajoutent les difficultés rencontrées pour attirer des soignants vers un métier pénible à la fois physiquement et psychologiquement et pour les retenir.
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