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Ce papier analyse les implications des réformes dans les marchés des biens de la zone OCDE pour un des facteurs qui expliquent les différences internationales dans le PIB par tête : les écarts dans la productivité du travail. Après avoir examiné brièvement la littérature théorique, nous résumons les résultats de quelques unes des études empiriques que nous avons réalisées aux cours des dernières années, tout en discutant les approches économétriques utilisées et leurs limites. Nous utilisons ensuite ces résultats pour évaluer les effets qui pourraient être observés si les réformes étaient poussées plus loin à l’avenir. Nous distinguons les effets des réformes sur l’accroissement de l’intensité en capital et sur le progrès technique en nous appuyant sur trois études qui analysent l’impact de la régulation anti-concurrentielle sur l’investissement (national et de l’étranger) et la productivité multifactorielle. Nous nous concentrons sur les implications quantitatives au niveau macroéconomique des politiques visant à renforcer la gouvernance des entreprises (par exemple par la privatisation) et à éliminer les barrières réglementaires à l’accès dans les marchés où la concurrence est soutenable. Cet examen porte à conclure que les réformes qui accroissent les pressions concurrentielles sur les marchés des biens tendent à augmenter à la fois l’investissement et la productivité multifactorielle. Par ce biais, les réformes peuvent mener à une croissance plus soutenue du PIB par tête dans les pays qui les réalisent.
Following up a 2003 publication by the Trade Committee, this paper examines the treatment of agriculture in regional trading arrangements (RTAs) against the background of treatment under the multilateral trading system (MTS). This paper describes 18 RTAs and its findings may not be generalizeable to the 169 RTAs that have been notified to the WTO. The relationship between the treatment of agriculture in RTAs and that within the MTS is complex. This paper contains illustrates the topography of agricultural treatment within RTAs under four separate headings including: coverage, domestic support, contingency protection and sanitary and phytosanitary regulations. This descriptive analysis is prepared both as a basis for assessing progress on agriculture in RTAs and as frame of reference for considering the treatment of agriculture at the multilateral level.

Les déséquilibres fiscaux ont été une cause majeure de l’inflation forte et de l’instabilité macroéconomique avant la crise de 2000/2001. La consolidation budgétaire a été au cœur de la stabilisation après la crise. Elle a été mise en œuvre depuis trois ans avec des excédents primaires larges, et la baisse des taux d’intérêt a réduit le coût du service de la dette publique. Les objectifs budgétaires ont été atteints principalement par une hausse des revenus, augmentant la pression fiscale, et plus d’attention devra être accordée à l’avenir au contrôle des dépenses. En même temps des services publics majeurs comme l’éducation, la justice, les infrastructures et le développement rural devront être améliorés. Les dépenses de sécurité sociale pourraient aussi augmenter avec le passage annoncé à la couverture médicale universelle, et l’ambitieux projet de décentralisation administrative pourrait accroître les dépenses locales. Une forte rationalisation des dépenses devient donc ...

This paper, using 40 years of monthly industrial production data, examines the relationship between the business cycles of the 12 euro area countries. Since estimates of the business cycle have been found to be sensitive to how the cycle is measured, a range of alternative measures is considered. We focus on both parametric and nonparametric univariate measures of the "classical" and "growth" cycles. We then investigate whether euro area business cycles have converged. This is based on a descriptive analysis of the distribution of bivariate correlation coefficients between the 12 countries’ business cycles. This extends previous work that has looked for convergence, in a similar manner by focusing on correlation, but has not considered the entire distribution, instead focusing on the mean correlation coefficient or particular bivariate correlation coefficients. Moreover, exploiting the panel of correlation coefficients we propose a statistical test for convergence based on estimation of a dynamic heterogeneous panel data model. Although empirical inference about individual euro area business cycles is found to be sensitive to the measure of the business cycle considered, our findings about convergence between the euro area business cycles exhibit similarities across the alternative measures of the business cycle. Interestingly, we find that there have been periods of convergence, identified by the distribution tending to unity, and periods of divergence. The most recent estimates suggest that correlation between the 12 European cycles is statistically positive, and has risen from a trough in the early 1990s. This is confirmed by the test for convergence, which indicates that, despite some volatility over the last 20 years, the long-run trend is for rising correlation between euro area business cycles.

This paper examines the consequences of using so-called "real-time" data for business cycle analysis in Germany. Based on a novel data set covering quarterly real output data from 1980 to 2002 real-time output gaps using some popular filter methods are calculated. They differ considerably from their counterparts based on the most recent data and are, thus, not very reliable. While real-time output gaps are generally not unbiased forecasts of the final output gap series, they provide at least some information regarding the sign of the final output gap. The information content of output gaps calculated in real-time for future inflation is tested by means of an out-of-sample forecast exercise and found to be very limited. Generally, the results for simple growth rates appear to be more promising that the results for simple filters to estimate the output gap. This points to the possibility that the problematic nature of the real-time output gaps is not due to revisions of the underlying data but due to the end-of-sample problem that occurs in filtering recent data. All in all, the results support previous findings regarding other countries that revisions of data and output gap estimates can seriously distort business cycle analysis and, thus, research and policy decisions.

Ce document de travail examine les politiques structurelles qui amélioreraient les performances à long terme de la Grèce en matière de productivité et contribueraient à accélérer la convergence sur le plan économique et social avec les autres pays membres de l’UE. Ce document de travail se concentre sur un certain nombre de domaines clés, particulièrement importants pour une progression rapide de la productivité car ils offrent des possibilités non négligeables d’harmonisation avec les meilleures pratiques internationales. Ces domaines sont les suivants : réforme de la politique de la concurrence, promotion d’une économie fondée sur le savoir, libéralisation des marchés de produits, en particulier dans les secteurs de l’énergie, des télécommunications et du transport, mesures favorisant l’entrepreneuriat, et mise en œuvre d’un régime de gouvernement d’entreprise de meilleure qualité. Un certain nombre d'annexes prévoient l'information additionnelle sur la réforme des marchés de l'énergie (l'électricité, gas, pétrole), du secteur de télécommunications, du transport maritime, et des marchés financiers. Ce document de travail se rapporte à l'Étude économique de l'OCDE de la Grèce (www.oecd.org/eco/surveys/Grèce)

Les droits de propriété intellectuelle (DPI) ont un rôle majeur à jouer dans la réussite de la stratégie de modernisation de la Chine, fondée sur le relèvement du niveau technologique et l’intégration dans l’économie mondiale. Au travers de la protection donnée aux inventeurs, les régimes de DPI contribuent au développement de l’innovation dans l’économie nationale et facilitent les transferts de technologie étrangère. Conscient de l’importance des DPI, au cours des 20 dernières années le gouvernement chinois a consenti un effort considérable à la mise en place d’un régime moderne régissant les DPI, totalement inexistant jusque-là, et en l’améliorant encore à l’occasion de l’adhésion du pays à l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Cependant, le progrès réalisé du point de vue du respect de la législation relative aux DPI n’est pas encore suffisant tant au regard de ses effets sur le développement de l’innovation qu’à celui des attentes des milieux d’affaires internationaux ...

Ce document décrit les évolutions de la réglementation encadrant les marchés de produits dans les pays de l'OCDE sur la période 1998-2003. L'analyse est basée sur des indicateurs synthétiques de la réglementation des marchés de produits qui mesurent l’intensité avec laquelle les politiques favorisent ou restreignent la concurrence. Les résultats suggèrent que les entraves à la concurrence résultant de la réglementation ont décliné dans tous pays de l’OCDE ces dernières années. La réglementation est aussi devenue plus homogène à travers l'OCDE, les pays disposant de politiques relativement restrictives, s’étant ralliés, dans certains domaines, à l’environnement réglementaire des pays plus libéraux. Dans certains pays, les politiques concernant les marchés de produits sont devenues plus cohérentes au regard des différents dispositifs réglementaires, même si les pays relativement restrictifs ont toujours tendance à disposer d’une approche plus disparate de la concurrence. De façon ...

Nous estimons l'impact sur l'emploi de réformes des marchés des biens et services augmentant la pression concurrentielle et allégeant le poids des règlementations, sur la base d’un échantillon de pays de l’OCDE et au cours des vingt dernières années. Les variables de contrôle incluent différents instruments de politique de l’emploi susceptibles de modifier le niveau des taux de chômage d’équilibre ou d’interagir avec les réformes du marché des biens. En effet, certaines politiques de l’emploi paraissent complémentaires de réformes sur le marché des biens. Les résultats obtenus sont cohérents avec le modèle de négociation et compétition imparfaite de Blanchard et Giavazzi (2003). Ils suggèrent que des règlementations restrictives se seraient traduites par des effets défavorables importants sur l’emploi dans les pays où aucune réforme significative sur le marché des biens n’a été mise en oeuvre. Ces effets défavorables auraient été renforcés par des institutions conférant un fort pouvoir de négociation aux insiders, accréditant l’idée selon laquelle la constitution de rente de situation sur le marché du travail pèse sur l’emploi. En termes de politique économique, cet article suggère que des gains significatifs quant au niveau de l’emploi peuvent être attendus d’une dérèglementation des marchés des biens dans les pays exagérément restrictifs dans ce domaine. Ces gains seraient d’autant plus élevés que les rigidités sur le marché du travail sont importantes.
L'objet du présent document est d'évaluer le rôle que la concurrence sur les marchés de produits et les réformes de la réglementation ont pu jouer dans les performances de l'économie britannique au cours des dix dernières années. Les pressions concurrentielles semblent relativement fortes au Royaume-Uni, où les réglementations entravant la concurrence et les obstacles aux échanges figurent parmi les plus modestes de la zone OCDE. Il existe néanmoins des marges de progression, et la récente refonte du droit de la concurrence devrait contribuer à promouvoir davantage celle-ci. Des avancées considérables ont été accomplies dans le secteur des services professionnels. Les organismes d'autoréglementation ne sont plus exclus du champ d'application du droit de la concurrence, et des organismes professionnels ont pris un certain nombre de mesures en vue de lever ou d'assouplir les restrictions à la concurrence. Dans le secteur de la distribution, la question du pouvoir de marché reste problématique et les autorités de la concurrence devront rester sur le qui-vive. L'approche adoptée récemment par le gouvernement en matière d'urbanisme a rendu très difficile l'installation de nouvelles grandes surfaces, ce qui entrave la concurrence et l'entrée de nouveaux acteurs sur le marché. Les autorités de régulation compétentes doivent également demeurer vigilantes dans les secteurs de l'électricité, du gaz et des télécommunications. Les réformes menées dans ces branches d'activité ont débouché sur des gains de productivité, mais des comparaisons internationales laissent à penser que les prix peuvent encore baisser. Si les récentes initiatives des pouvoirs publics ont permis de remédier aux défaillances les plus graves du système privatisé de transport ferroviaire, les problèmes persistants relatifs aux incitations et au partage des compétences doivent encore être résolus.
Ce document évalue le rôle que la concurrence sur les marchés de produits et les réformes ont pu jouer dans les performances de l’économie néerlandaise cette dernière décennie et débat sur l’action qui pourrait être menée pour améliorer la croissance. D’une façon générale, les pressions concurrentielles paraissent relativement fortes aux Pays-Bas en particulier dans les secteurs des biens échangés. La concurrence sur les marchés de produits a été renforcée grâce à la mise en place d’une autorité de la concurrence (la NMa) et au projet « Concurrence, déréglementation et qualité de la réglementation » (MDW). L’allégement prévu des charges administratives contribuera également à renforcer la concurrence en réduisant les obstacles à la création d’entreprises et à l’expansion des petites entreprises, tout en diminuant les coûts des activités industrielles ou commerciales. Toutefois, la concurrence et la productivité du travail sont plus faibles dans le secteur des services. Les règles d’urbanisme entravent la concurrence et la croissance de la productivité dans le commerce de détail et de vastes possibilités s’offrent d’éliminer les pratiques qui restreignent la concurrence dans les services professionnels, même si ces activités sont relativement libéralisées aux Pays- Bas. Les réformes dans les secteurs de l’électricité, du gaz et des télécommunications sont récentes et le pouvoir de marché des opérateurs historiques demeure problématique. La concurrence dans ces secteurs pourrait être intensifier, en augmentant les prérogatives des autorités de régulation et en éliminant les barrières à l’entrée.
Cet article examine l’état actuel de la concurrence dans un certain nombre de secteurs importants pour l’économie. L’analyse est axée sur les obstacles à l’entrée, à l’investissement et au commerce extérieur, plutôt que sur des indicateurs types de l’intensité de la concurrence en raison de la faible superficie et l’isolement du pays. Le droit de la concurrence et les organismes connexes sont généralement bien conçus, même si des contentieux notoires en matière de fusions et des problèmes de pouvoir de marché ont fortement sollicité leurs capacités et, jusqu’à une date récente, détourné l’attention de la lutte contre les ententes sur les prix. Au total, les marchés semblent bien fonctionner en Nouvelle-Zélande, mais le processus de libéralisation a apparemment marqué le pas ces derniers temps. En particulier, des améliorations sont possibles sur trois grands fronts : dans le secteur de l’énergie, il faut supprimer les obstacles actuels à l’investissement et développer les marchés à terme pour permettre à l’économie de relever les défis de long terme ; sur les marchés des télécommunications, le niveau élevé des prix et la lenteur du déploiement du réseau à large bande suscitent des préoccupations grandissantes ; enfin, dans le secteur public, on pourrait recourir davantage à la prestation privée de services publics et réduire les participations de l’État, surtout sur les marchés potentiellement concurrentiels. Des ajustements du cadre et de la politique de la concurrence seraient également bénéfiques dans plusieurs autres secteurs. Ce Document de travail se rapporte à l'Étude économique de l'OCDE de la Nouvelle-Zélande, 2005 (www.oecd.org/eco/etudes/nz).
Le présent document de travail examine l’état actuel de la concurrence sur les marchés de produits en Islande, sous l’angle juridique et réglementaire notamment, et suggère un certain nombre d’améliorations possibles. Étant donné la taille de l’économie, des raisons d’efficience impose une forte concentration sur de nombreux marchés et il est donc d’autant plus indispensable d’éviter les abus de position dominante. Les modifications apportées au droit de la concurrence depuis le début des années 90 ont renforcé les forces concurrentielles dans de nombreux secteurs de l’économie et les amendements proposés permettraient d’améliorer encore la surveillance des marchés. S’agissant des télécommunications, l’évolution du cadre réglementaire a permis le développement d’une concurrence intense dans la plupart des segments du marché, mais des problèmes subsistent en ce qui concerne la tarification de l’accès à la boucle locale. En revanche, dans le secteur de l’électricité qui est encore entre les mains de l’État, la concurrence est pratiquement inexistante jusqu’ici au niveau de la production et de la commercialisation, en dépit des nouvelles dispositions législatives. Les politiques concernant le soutien à l’agriculture, l’investissement direct étranger, les marchés publics et les services publics sont également examinées.
Ce document examine la puissance de la concurrence dans les marchés de produits et de la performance économique au Canada. Il envisage aussi les moyens par lesquels pourrait être amélioré le cadre institutionnel qui gouverne les politiques de la concurrence. La vigueur des forces concurrentielles est comparativement élevée au Canada et les régulations inhibant la concurrence sont parmi les plus faibles de la zone de l’OCDE. Cependant, le code canadien de conduite réglementé exonère les comportements anticoncurrentiels lorsqu’ils sont couverts par une réglementation, de sorte que certains pans importants de l’économie restent non couverts par le droit de la concurrence. Ce problème est particulièrement aigu dans le cas des réglementations sous autorités provinciales. Des restrictions continuent de limiter les échanges provinciaux, et la mise en œuvre de l’Accord sur le commerce intérieur est moins effective qu’elle pourrait l’être. Il conviendrait de chercher plus activement à supprimer les réglementations qui freinent la concurrence dans les professions libérales. Dans les industries de réseaux, la concurrence a été pratiquement absente dans le secteur de l’électricité. S’il existe un large consensus sur la nécessité de réformes, celles qui ont été entreprises par le passé ont eu pour objectif principal d’encourager l’investissement du secteur privé, tout en évitant l’ouverture intégrale à la concurrence de secteurs comme la production d’électricité et la vente au détail. Le Canada connaît aussi un plus grand nombre de restrictions significatives concernant les intérêts étrangers que presque tous les autres pays de l’OCDE, notamment dans les domaines du transport aérien, des télécommunications et de la télédiffusion. Leur élimination pourrait stimuler les performances dans ces secteurs.
L’Étude sur la croissance de l’OCDE et d’autres travaux empiriques ont montré que la vigueur de la concurrence sur les marchés des produits joue un rôle important dans le processus de croissance économique et contribue aussi à une allocation plus efficiente des ressources du point de vue statique. Un renforcement de la concurrence encouragera vraisemblablement les gestionnaires à faire des efforts plus soutenus pour améliorer l’efficience et induire une activité plus novatrice, conduisant à une augmentation de la productivité multifactorielle. Ce document de travail commence avec un bref examen de la performance de l’Australie sur le plan de la croissance depuis le début des années 90 et de ses liens éventuels avec le renforcement des pressions concurrentielles et leur interaction avec d'autres réformes économiques. On s’intéressera aussi aux indicateurs de la concurrence sur les marchés des produits de façon à évaluer la vigueur des pressions concurrentielles. Cet examen est suivi d’une évaluation du cadre général de la politique de la concurrence et de son rôle dans la promotion de la concurrence. La section suivante expose le cadre de la politique nationale de la concurrence et analyse l’exhaustivité du programme de réformes et les domaines exigeant une action plus approfondie. Plusieurs secteurs où les politiques réglementaires devraient avoir une incidence particulièrement importante sont ensuite passés en revue. Les conséquences de la libéralisation commerciale sur la performance économique de l’Australie et les possibilités d’autres améliorations sont aussi examinées en détail. Le document se conclut par un ensemble de recommandations d’action. Ce Document de travail se rapporte à l'Étude économique de l'OCDE de l’Australie, 2005 (www.oecd.org/eco/etudes/australie).
Thirty-eight sub-Saharan African countries have implemented privatisations programmes. The privatisation process is still far from complete and has led to mixed results. The lessons learned from past privatisations allow the identification of elements that could contribute to future success.
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The financing of health care is a major challenge for developing countries, especially since deficiencies in national health systems specifically harm the poor. Innovative financing mechanisms, such as private health insurance, offer benefits and risks. Their implementation requires caution on the part of policy makers who need to consider adequate regulation in order to optimise health outcomes.
Français
Ce document se propose d’analyser l’évolution de l’aide publique au développement (APD) consacrée à la santé, au sida et à la population (HAP) afin de collecter des informations sur les priorités identifiées. Plusieurs conclusions s’imposent. Le VIH/sida apparaît clairement comme la première priorité de l’aide internationale en matière de santé. Si la part globale de l’aide HAP dans le total de l’APD a sensiblement augmenté au cours des dix dernières années, l’assistance à la santé perd en fait du terrain dès lors que l’on exclut les données relatives au VIH/sida. Mais il y a plus : les sous-secteurs de la santé (hors VIH/sida), qui sont en général considérés comme « favorables aux pauvres », perdent en importance dans l’APD en matière de santé. Ces évolutions — qui contredisent la place officielle accordée à la santé en tant que secteur primordial du développement et la reconnaissance croissante des liens entre santé et pauvreté – se retrouvent autant chez les pays bénéficiaires de l’aide pris dans leur ensemble que chez les pays moins avancés. Elles permettent d’expliquer et de souligner l’importance des mises en garde de la communauté internationale chargée de la santé publique, qui estime que l’aide internationale en matière de santé reste insuffisante. Elles soulèvent également une interrogation quant à l’efficacité de l’allocation de l’aide HAP par rapport aux besoins des pauvres...
Services are increasingly tradable, mainly as a result of rapid technological advances, in particular in information and communication technologies, and continuing liberalisation of trade in services. This has led to the relatively new phenomenon of global services sourcing or offshoring. This report analyses evidence from both trade and employment data.
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