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Le Mexique est engagé dans un ensemble audacieux de réformes structurelles qui lui permettront de rompre avec trois décennies de croissance lente et une faible productivité. Des mesures structurelles majeures ont été légiférées pour améliorer la concurrence, l'éducation, l'énergie, le secteur financier, le travail, les infrastructures et le système fiscal, parmi d'autres, et la mise en oeuvre a commencé pour de bon. Si elles sont pleinement mises en oeuvre, ces réformes pourraient augmenter la tendance annuelle de la croissance du PIB par habitant de près d'un point de pourcentage au cours des dix prochaines années, avec les réformes de l'énergie ayant les effets les plus importants. Au-delà, une deuxième vague pourrait aller plus loin pour s'attaquer à d'autres goulots d'étranglement structurels. Ces défis comprennent la réglementation stricte - en particulier au niveau local - et la lutte contre la corruption et la faible application des droits juridiques. Le système de justice est souvent lent et inefficace. Et dans le secteur agricole, des restrictions strictes d'utilisation des terres et la structure de subventions favorisent inefficacité. Aller encore plus vers les meilleures pratiques de l'OCDE pourrait augmenter la croissance potentielle d'un autre point de pourcentage par an.
Les inégalités entre régions slovaques figurent parmi les plus fortes de la zone OCDE et s'accentuent. Ces disparités régionales s'expliquent principalement par la conjonction d'une croissance économique atone, de faibles créations d'emplois dans l'est et le centre du pays et d'une mobilité insuffisante de la main-d'oeuvre vers l'ouest, en particulier pour les travailleurs peu qualifiés. En conséquence, une pénurie d'emplois et un manque de capacités technologiques perdurent dans les régions du centre et de l'est, parallèlement à des pénuries de qualifications dans la région de Bratislava. Le renforcement de la convergence entre régions passe par une approche pluridimensionnelle, axée sur l'innovation, le marché du travail et les politiques d'éducation. Il importe de compléter le réseau d'infrastructures de transport en Slovaquie à la fois pour supprimer les goulets d'étranglement qui limitent l'expansion économique dans la région de Bratislava, et pour réduire les obstacles à la création d'emplois dans les régions du centre et de l'est.
Pendant les années qui ont précédé la crise financière, la croissance a été faible au Portugal, la compétitivité des exportations a reculé et les déséquilibres se sont amplifiés, marqués notamment par un important déficit de la balance courante et une forte expansion du secteur des biens non échangeables. Renforcer les performances à l’exportation est donc l’un des principaux défis que le Portugal se doit de relever. Les premiers signes d’un rééquilibrage de l’économie sont apparus depuis que le Portugal a engagé un ambitieux programme de réformes structurelles en 2011, mais il reste encore à faire pour mettre à profit les succès récents à l’exportation. Il s’agit notamment de prendre à la fois des mesures destinées à améliorer la compétitivité-coût, par exemple des réformes dans les secteurs de l’énergie et des services, et des mesures visant à doper la hausse de la productivité, par exemple en adoptant une réforme fiscale, en améliorant les performances du système judiciaire et en renforçant le soutien public à la recherche-développement. Étant donné que les entreprises exportatrices sont généralement celles qui, dans leur secteur d’activité, sont les plus performantes, et qu’elles l’étaient généralement déjà avant même de devenir exportatrices, il est important d’éviter toute politique qui pourrait avoir pour effet d’amoindrir les possibilités offertes aux entreprises très performantes de gagner des parts de marché, par exemple l’extension des accords de négociation collective ou la mise en place de crédits d’impôts pour la recherche-développement. Par ailleurs, le soutien aux petites entreprises devrait être conçu de manière à bénéficier aux jeunes pousses en forte croissance plutôt qu’à de petites entreprises déjà parvenues à un stade de maturité.
Ce document de travail examine l’impact du vieillissement sur le marché du travail au niveau de la zone territoriale Emploi Formation de Bresse, Dombes, Val de Saône en France. Le taux d’emploi des séniors est relativement faible en France et dans la ZTEF Bresse-Dombes- Val de Saône. Par ailleurs, le nombre de demandeurs d’emploi de la catégorie 50 ans et plus connaît un très fort accroissement annuel. Le document de travail présente également les résultats d’une enquête OCDE LEED auprès des employeurs sur les pratiques managériales pour les travailleurs de 50 ans et plus. Peu d’entreprises ont intégré la notion de l’âge dans les pratiques managériales et encouragent leurs séniors à rester le plus longtemps possible en activité. L’enquête identifie des besoins de renforcement spécifiques pour les travailleurs séniors et décrit également certaines initiatives locales récentes spécialement dédiées aux demandeurs d’emploi sénior.
Promouvoir la concurrence pour accroître la productivité dans les entreprises et les gains en résultant pour les revenus et la croissance et abaisser le coût de la vie constitue un enjeu économique et social de taille pour Israël. Certains éléments concordants montrent de multiples déficiences qui mènent à un fonctionnement dual de l’économie, partagée entre secteurs exposés à la concurrence internationale et ceux qui en sont protégés. Les marchés de produits sont entravés par des réglementations qui sont loin de constituer des exemples de bonnes pratiques. De par sa situation géographique et géopolitique, Israël est une économie moins ouverte aux échanges internationaux que d’autres petites économies de l’OCDE. Qui plus est, ses marchés de produits se caractérisent par l’existence de monopoles dans de nombreux secteurs. Les autorités ont fait de ces questions une priorité depuis la « révolte des tentes » de 2011 et ont depuis lors adopté ou engagé des réformes dans de nombreux domaines. Toutefois, une plus forte exposition aux échanges internationaux via une réduction des obstacles non tarifaires, une réglementation plus favorable à la concurrence dans les industries de réseau, en particulier dans le secteur de l’électricité, et une organisation moins oligopolistique du marché de l’alimentation et du marché bancaire, serait grandement payante sur le plan économique. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE de l’Israël 2016 (www.oecd.org/fr/eco/etudes/etude-economique-israel.htm).
L’investissement s’est redressé depuis la reprise économique récente, mais à partir d’un niveau faible. La forte diminution observée pendant la crise était principalement imputable à la chute de l’investissement résidentiel. Cependant, l’investissement productif est orienté à la baisse depuis 1990, pesant sur l’accumulation du stock de capital et sur la productivité. Il est nécessaire d’accroître l’investissement résidentiel pour faire face à la demande croissante ; en particulier, il faut développer le parc locatif privé car le stock actuel, dont le niveau reflète l’encadrement des loyers et d’autres mesures en matière de logement, n’est pas favorable à un bon fonctionnement du marché immobilier. Étoffer les mesures prises après la crise pourrait permettre d’accroître la robustesse du financement des logements occupés par leurs propriétaires. Pour ce qui est de l’investissement des entreprises, continuer de renforcer les conditions cadres, déjà satisfaisantes, pourrait contribuer à transformer le redressement cyclique en amélioration durable. Atteindre les objectifs en matière de dépenses de R-D et d’énergies renouvelables nécessitera d’accroître les investissements dans les domaines concernés. Les conditions de financement, largement perçues comme un obstacle de taille, pourraient être améliorées par des mesures visant à stimuler la concurrence dans le secteur bancaire et par le développement d’autres sources de financement.
Il faut stimuler la croissance de la productivité pour améliorer le niveau de vie et de bien-être de tous. La productivité globale a reculé, principalement sous l’influence du secteur manufacturier, même si les services ont eu tendance à faire de moins bon résultats. Pour gagner en productivité, il faut améliorer encore les conditions générales de telle façon que le travail et le capital puissent être redéployés plus facilement vers les secteurs et les entreprises les plus dynamiques, rendre le système fiscal plus propice à la croissance et soutenir le financement de l’innovation, de la recherche fondamentale et des jeunes entreprises. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE de la Finlande 2016 (www.oecd.org/fr/eco/etudes/etude-economique-finlande.htm).
La croissance de la productivité est très faible depuis la Grande Récession et elle avait déjà commencé à ralentir auparavant. Tous les secteurs ou presque sont concernés. Si ce ralentissement peut s’expliquer en partie par la faiblesse de l’investissement liée à la fragile reprise de la demande globale, des problèmes structurels semblent également être en cause, notamment le manque de dynamisme persistant de l’appareil productif (entrées et sorties d’entreprises) et une apparente réduction de la pression concurrentielle. Dans le passé, la naissance de nouvelles entreprises performantes a toujours été une source importante de gains de productivité, mais depuis un certain temps, les taux de création d’entreprises ralentissent et ils étaient tombés à des niveaux particulièrement bas au lendemain de la crise. Cette perte de dynamisme semble être associée à d’autres phénomènes comme le vieillissement de la population, des difficultés de financement, la réforme du code de la faillite personnelle en 2005 qui a rendu plus difficile la liquidation des dettes, des droits de propriété intellectuelle qui favorisent les entreprises établies, une multiplicité de réglementations des activités professionnelles au niveau des États et des restrictions en matière d’urbanisme et d’occupation des sols qui empêchent les ressources de se diriger vers les emplois les plus productifs. Certains signes indiquent aussi que le pouvoir de marché est en train de se renforcer de façon générale, empêchant ainsi la concurrence de faire en sorte que l’amélioration de la productivité se traduise par des gains de pouvoir d’achat pour l’ensemble des ménages.

Au cours des deux dernières décennies, le niveau de revenu de la République tchèque s’est nettement rapproché de la moyenne de l’OCDE. Toutefois, après la crise mondiale de 2008, ce processus de convergence a marqué un coup d’arrêt. La productivité n’a pas progressé autant qu’attendu, principalement pour des raisons structurelles. Il est dès lors nécessaire de mettre en place des politiques publiques pour stimuler les sources internes de hausse de la productivité. Rationaliser les institutions chargées de l’élaboration de ces politiques aiderait à mieux cibler le soutien public à la R D et à affiner les politiques de l’innovation. En particulier, des politiques spécifiquement conçues pour développer le capital intellectuel (compétences, capacité de direction, collaboration, etc.) s’imposent pour accroître la productivité des entreprises tchèques. Par ailleurs, il conviendrait de faciliter la réaffectation des ressources en réformant les conditions-cadres en vigueur. En particulier, les règles en matière de faillite, les politiques en matière de concurrence et de réglementation, l’accès aux financement et la fiscalité des PME doivent être améliorés pour accélérer la croissance des petites et moyennes entreprises et doper leur productivité.

La Malaisie a connu plus de quatre décennies de croissance rapide et inclusive, réduisant sa dépendance à l'égard de l'agriculture et des exportations de matières premières, pour devenir une économie plus diversifiée, moderne et ouverte. Le PIB par tête est désormais plus élevé que dans un certain nombre d'économies de l'OCDE, alors que la pauvreté et les inégalités de revenu ont considérablement reculé. La croissance s'est également montrée résiliente face aux chocs externes. Pour l'avenir, le 11ème plan du gouvernement malaisien (2016-2020) souligne l'importance d'une plus grande inclusion. La poursuite graduelle de la consolidation budgétaire est une priorité majeure, dans la foulée de la rationalisation des subventions énergétiques et alimentaires et de l'introduction d'une taxe sur les biens et services. La continuation d'une politique monétaire et financière prudente en est une autre. La Malaisie doit réformer plus avant pour devenir un pays à haut revenu autour de 2020: diverses réformes sont nécessaires pour stimuler la croissance de la productivité et pour une croissance plus inclusive.

L’accès aux financements est un sujet essentiel pour encourager le développement des PME, l’entrepreneuriat et instaurer un secteur du tourisme compétitif, innovant et durable. Ce rapport examine donc les mécanismes permettant d’améliorer l’accès aux financements pour les PME et les entrepreneurs du tourisme à chaque étape du cycle de vie des entreprises, en s’attachant plus particulièrement aux micro- et petites entreprises. Il aborde aussi les questions clés et les considérations d’ordre politique qui favorisent l’amélioration des conditions d’accès, élargissent la palette des instruments financiers disponibles et encouragent le recours à d’autres dispositifs. Dans un certain nombre de pays, des études de cas en matière de financement soutiennent les discussions des politiques et fournissent des informations techniques. Ce rapport tient compte des points de vue des décideurs politiques, des organismes et institutions de financement et du secteur du tourisme, et a bénéficié d'importantes contributions de la part de 21 pays: Allemagne, Autriche, Canada, Chili, Croatie, Danemark, Égypte, Fédération de Russie, France, Grèce, Hongrie, Japon, Mexique, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Philippines, Portugal, Slovénie, Suède et Suisse.

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Le présent rapport examine un certain nombre de problèmes de sécurité des produits rencontrés par les consommateurs lorsqu’ils achètent des biens matériels par voie électronique. Après avoir étudié l’ampleur et la portée des problèmes de sécurité des produits vendus en ligne, le document donne un aperçu des initiatives publiques et privées mises en œuvre par les pays pour protéger les consommateurs contre les produits dangereux commercialisés sur le web. Le rapport rend également compte des résultats de l’investigation surprise sur la sécurité des produits vendus en ligne menée en avril 2015 par l’OCDE pour le compte du Groupe de travail sur la sécurité des produits de consommation, et coordonnée par l’Australian Competition and Consumer Commission (ACCC). Au total, 25 pays ont participé à cette investigation, au cours de laquelle 1 709 produits vendus en ligne ont été inspectés. Les résultats de cette investigation sont décrits plus en détail dans le rapport y afférent élaboré par l’ACCC.

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L’éducation et les compétences sont toutes deux associées à une meilleure santé. Le pourcentage d’adultes se disant en bonne santé est supérieur de 33 points de pourcentage parmi ceux présentant des niveaux élevés de formation et de compétences en littératie par rapport à celui observé parmi ceux affichant des niveaux faibles de formation et de compétences en littératie. Dans les sociétés inclusives où l’avantage financier lié à l’élévation du niveau de formation est moindre, telles que le Danemark, la Norvège et la Suède, les individus sont en général moins nombreux à se dire limités dans leurs activités en raison de problèmes de santé, et le niveau de satisfaction à l’égard de la vie est élevé quel que soit le niveau de formation. L’élévation du niveau de formation est associée à une augmentation de la satisfaction à l’égard de la vie. Dans tous les pays membres ou partenaires de l’OCDE, à l’exception de la Corée, de l’Inde et de la Turquie, plus de 80 % des diplômés de l’enseignement tertiaire se disent satisfaits de leur vie.

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Entre 2005 et 2014, le salaire statutaire des enseignants a diminué en valeur réelle dans un tiers des pays et économies disposant de données. Le salaire des enseignants augmente en général avec le niveau d’enseignement. L’écart salarial entre les enseignants du deuxième cycle du secondaire et ceux des autres niveaux d’enseignement s’est toutefois réduit entre 2005 et 2014. En moyenne, dans les pays de l’OCDE, le salaire effectif des enseignants du préprimaire, du primaire et du secondaire était en 2014 inférieur de 11 % à 25 % aux revenus du travail d’autres actifs occupés diplômés de l’enseignement tertiaire.

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  • 17 déc. 2018
  • Boris Cournède, Jean-Marc Fournier, Peter Hoeller
  • Pages : 52

Il existe de nombreuses possibilités pour réformer la fiscalité et les dépenses publiques de manière à promouvoir davantage de croissance et d’inclusion sociale. En particulier, il est possible de mener des réformes qui améliorent l’activité économique tout en réduisant les écarts de revenu. D’autres ajustements de la structure des finances publiques vont produire des avantages pour une seule de ces deux dimensions. Enfin, certaines réformes appellent un compromis entre une amélioration du revenu moyen et des effets distributifs défavorables. Des analyses économétriques de l’expérience acquise par les pays de l’OCDE fournissent des résultats empiriques sur quelles sont les réformes de la fiscalité et des dépenses qui ont une influence significative sur la prospérité et la distribution des revenus – et de combien.

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Les pays très performants utilisent différents mécanismes pour la sélection des meilleurs candidats à la profession d’enseignant. En Finlande, à Hong-Kong (Chine), à Macao (Chine) et au Taipei chinois, les étudiants souhaitant suivre une formation d’enseignant doivent au préalable passer un concours d’entrée. Au Japon, à l’issue de leur formation initiale d’enseignant, les diplômés doivent passer un concours d’habilitation à la pratique de l’enseignement, tandis qu’à Singapour, ils doivent réussir une période probatoire. Ces conditions se retrouvent néanmoins également dans certains pays peu performants, ce qui semble indiquer qu’une sélection précoce, même si elle joue un rôle important, ne suffit pas à garantir la qualité du corps enseignant. Dans les pays de l’OCDE, il existe une relation positive, bien que modérée, entre le pourcentage d’enseignants pleinement certifiés et la performance des élèves aux épreuves PISA. Dans les pays dont la performance en sciences est supérieure à la moyenne de l’OCDE, au moins 80 % des élèves sont scolarisés dans des établissements où les enseignants coopèrent ou ont accès à des formations dispensées par des spécialistes ou à des ateliers sur leur lieu de travail. Ce pourcentage est en moyenne supérieur à celui observé dans les autres pays.

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  • 02 déc. 2019
  • OCDE
  • Pages : 35

Además de ofrecer una mayor variedad de productos y conveniencia a los consumidores, se espera que el IoT revolucione la forma en que los procesos de diseño, fabricación y entrega de productos se supervisen, analicen y mejoren, incluso de manera remota.

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