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La recherche de méthodes plus efficaces de budgétisation et de gestion des finances publiques est un processus continu. Cela tient peut-être au fait que, à l’instar de nombreux secteurs de l’économie, il y aura toujours des protagonistes qui estimeront nécessaire ou possible d’améliorer les approches existantes. Cela peut également s’expliquer par le fait que les performances, à savoir les résultats des activités financées par des dépenses publiques, sont souvent décevantes ou du moins en retrait par rapport à la rhétorique politique qui les annonçait ou qui les accompagne. D’une manière ou d’une autre, la quête permanente d’améliorations est une bonne chose et on espère que de nombreuses innovations efficaces restent à découvrir.
Pour améliorer la satisfaction et la réussite de leurs étudiants, les établissements d’enseignement supérieur (EES) doivent au préalable définir leur niche de marché, façonner leur propre identité et poursuivre les activités dans lesquelles ils enregistrent les meilleurs performances. La Gestion stratégique des effectifs (Strategic Enrolment Management) est un processus global qui nécessite de comprendre les marchés, l’offre et la demande, mais aussi de reconsidérer l’élaboration des programmes, ainsi que le recrutement et la « fidélisation » des étudiants. La Gestion stratégique des effectifs concerne tous les volets du fonctionnement des établissements ; elle repose, dans une large mesure, sur la recherche institutionnelle et vise, en définitive, à définir des objectifs stratégiques qui s’inscrivent dans le cadre du modèle général de planification des EES. Au cours de ce processus, l’EES définit également la mission qui lui incombe, ce qui lui permet de se distinguer des autres établissements. La présente étude se propose d’analyser les principales composantes de tout modèle de Gestion stratégique des effectifs et de mettre en évidence les liens existants entre ce processus et la planification des établissements. Les auteurs présentent par ailleurs un projet de recherche visant à constituer une base de données sur les EES portugais. L’objectif est d’esquisser, à l’attention des dirigeants universitaires, un programme permettant de mettre en œuvre la Gestion stratégique des effectifs au sein de ces établissements.
본 책자는 개발원조 프로그램의 공동 평가 담당자를 위한 실용적인 가이드입니다. 새로운 경험을 고려하여 DAC에서 발간한 다수 공여국 공동평가의 효과적 수행법 (Effective Practices in Conducting a Joint Multi-Donor Evaluation, 2000)의 내용을 수정 및 개정 하였다. 새로운 가이드라인의 제목에서 “다수 공여국(Multi-Donor)” 이라는 말을 생략한 것은 비원조기관들이 공동평가에 참여하는 등 보다 광범위해지고 있는 개발협력 파트너십을 반영한 것이다. 개정된 내용은 브리어 (Horst Breier) 자문위원이 2005년에 작성한 DAC 평가네트워크 조사 보고서의 결과 및 제언을 바탕으로 한다. 또한, “공동평가: 통념에 대한 도전 – 수원국 파트너들의 시각에서 (Joint Evaluations: Challenging the Conventional Wisdom – the View from Developing Country Partners)” 2005년 나이로비에서 진행된 워크숍의 결과물 및 평가네트워크 구성원들과 파트너들의 조언과 피드백을 반영하였다.
Le propos de cet essai est d’envisager ensemble ces deux questions, sous l’angle de la gestion des universités de recherche. Quelles sont les principales caractéristiques de la gestion dans certaines des grandes universités de recherche du monde ? Existe-t-il des modèles particuliers d’organisation interne, de direction, d’affectation des ressources et de gestion des ressources humaines qui sont particulièrement propices au développement de la recherche ? En outre, quels sont les rapports entre ces approches et certaines des difficultés inhérentes à la gestion de la recherche ?
Nous nous interrogeons plus précisément sur la possibilité de dissocier les missions d’enseignement et de recherche et les tâches qui en résultent pour les enseignants. Un nombre croissant de nouveaux acteurs dans l’enseignement supérieur assurent certaines des activités menées par les universités traditionnelles. Quelle évolution vont-ils connaître ? Comment les établissements traditionnels peuvent-ils réagir ? En tentant de répondre à ces questions, nous examinerons la chaîne des valeurs de chacune des activités et verrons si une nouvelle configuration peut être la solution, et sous quelle forme.
Cette analyse nous permettra de mieux comprendre la situation et inspirera de nouveaux modes de gestion. Dans les établissements traditionnels, la dissociation semble avoir démarré au niveau structurel mais faute de dispositifs de soutien suffisants, les universitaires sont toujours censés faire de la recherche et enseigner, tout en assumant de nombreuses autres tâches, administratives par exemple, sans parler des services à la collectivité en général.
Nous débattons de ces questions en nous appuyant sur les nombreuses publications qui leur sont consacrées et tirons des conclusions susceptibles d’être utiles pour toute personne qui, dans le secteur de l’enseignement supérieur, est appelée à gérer les tensions entre recherche et enseignement.
Dans cet article, ces questions sont traitées sous l'angle de la politique et de la pratique, notamment à propos de l'exploitation du savoir en Finlande et au Royaume-Uni.
Les échanges de vues entre les directeurs d’organisations cliniques universitaires de différents pays ont montré que les facteurs fondamentaux du partenariat entre universités et systèmes de santé sont remarquablement homogènes d’un pays à l’autre. On constate actuellement une dynamique visant à aller au-delà de l’analyse des problèmes communs et à élaborer des stratégies appelées à réussir sur la base de l’expérience internationale. Le présent document récapitule certaines des conclusions qui se sont dégagées lorsque des directeurs d’hôpitaux universitaires, de systèmes de santé, d’écoles professionnelles de santé et d’universités se sont réunis pour tirer les leçons de l’expérience internationale et mettre au point des stratégies susceptibles d’être couronnées de succès. La conclusion à laquelle ils sont parvenus est que ces organisations doivent articuler le rôle unique qui est le leur dans les systèmes de santé nationaux, communiquer leurs valeurs ...
Durant les dernières années un grand nombre de pays, aussi bien au sein de l’OCDE qu’en dehors, ont réexaminé le cadre de leur politique de réglementation pour déterminer s’il répondait aux exigences du nouvel environnement réglementaire. Sur le marché des services d’utilité publique, qui se caractérisait naguère par sa stabilité et la lenteur de son évolution, ces nouvelles exigences proviennent du développement rapide des technologies, de la convergence des industries, de l’internationalisation des marchés et du fait que les clients sont mieux informés et plus exigeants...