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Le 11 mars 2011, un accident nucléaire s’est produit à la centrale de Fukushima Daiichi1. Face à cette catastrophe, le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a, le 30 mars 2011, appelé à l’organisation d’une Conférence ministérielle sur la sûreté nucléaire qui s’est tenue à Vienne du 20 au 24 juin 2011.

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Il y a un peu plus de dix ans, le Comité d’aide au développement de l’Organisation de coopération et de développement économiques (CAD-OCDE) avait publié un rapport visionnaire intitulé La contribution de la coopération pour le développement à l’aube du XXIème siècle. Ce rapport proposait toute une série d’objectifs internationaux pour le développement qui, par la suite, sont devenus ce que nous connaissons maintenant comme les Objectifs du millénaire pour le développement.

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Le Bureau du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) a commencé à travailler sur les indicateurs suite à la demande conjointe de plusieurs Comités de l’Organisation lesquels souhaitaient qu’il apporte son aide à l’utilisation des données statistiques figurant dans les rapports des États aux fins d’évaluer la mise en oeuvre des droits de l’homme. Le HCDH a entrepris une étude approfondie des publications sur cette question et des pratiques suivies par les organisations nationales et internationales en ce qui concerne l’utilisation de données quantitatives pour suivre la mise en oeuvre des droits de l’homme (Cf. Fasel et Malhotra, 2005). Une fois ce bilan effectué, a été entrepris d’élaborer, en consultation avec un groupe d’experts, un cadre conceptuel et...

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Avec la découverte de la radioactivité et des rayonnements ionisants à l’orée du XXe siècle, l’Homme a réalisé un grand bond en avant dans les domaines scientifique et technologique. Ces découvertes, aujourd’hui connues comme « l’aube de l’âge nucléaire1 », ont tracé une route pour des centaines de scientifiques et d’ingénieurs dans leur quête d’amélioration de nos modes de vie par le progrès scientifique. Au cours du dernier siècle, les recherches qu’ils ont menées et les outils qu’ils ont conçus, ont apporté aux sociétés modernes des progrès sans précédent dans des domaines variés allant de la médecine et de l’agriculture à la production d’électricité ainsi qu’à des usages industriels2. Malheureusement, ce progrès n’a été possible qu’à un coût très élevé pour l’humanité : la fabrication de la bombe atomique.

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Depuis quelques années, les universités du monde occidental doivent répondre à des exigences nouvelles de la société, qui attend désormais qu’elles contribuent davantage à la prospérité économique nationale tout en continuant à remplir leurs missions traditionnelles, à savoir l’enseignement et la recherche. En 1997, s’inspirant des mesures prises par les gouvernements australien, britannique et canadien, le gouvernement fédéral allemand a lancé une initiative visant à promouvoir la création d’entreprise au sein des universités. Cette initiative devait ancrer la culture entrepreneuriale dans l’enseignement supérieur par le biais de cours consacrés à la création d’entreprise. J’ai choisi d’étudier le succès rencontré au sein des universités par cette initiative publique, tant en termes de participation, que de mise en pratique ou d’évaluation.

Une série d’entretiens avec les administrateurs hors classe de 22 établissements d’enseignement supérieur m’a permis de collecter un certain nombre de données relatives à la gouvernance, à la refonte et au développement organisationnels, aux changements effectivement observés dans l’offre de programmes, ainsi qu’à la culture académique et administrative. Pour reprendre les propos de Clark (1998, 2004) et de Gjerding et al. (2006), je dirais que l’introduction de la culture entrepreneuriale dans la culture universitaire ne peut se faire sans l’appui du sommet, mais aussi de la base, et notamment du corps enseignant. Ainsi, au sein des universités, les détenteurs du pouvoir décisionnel savent faire preuve d’esprit d’entreprise face aux opportunités de financement ou de valorisation d’image qui leur sont offertes en-dehors du secteur de l’enseignement supérieur, tout en respectant l’avis de leurs collègues concernant l’éventualité d’une participation. Le succès des initiatives visant à promouvoir la création d’entreprise auprès des étudiants nécessite que le modèle traditionnel centré sur les interactions inter/intra-facultés ménage une place aux parties prenantes externes. Les universités allemandes ont su adapter ce modèle en vue d’établir des partenariats de recherche, sans toutefois négliger leurs deux missions de base : l’enseignement et la recherche.

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Principaux facteurs de l’internationalisation de l’enseignement supérieur, la mobilité des étudiants, la mobilité du personnel et l’offre extraterritoriale ont rapidement progressé au cours des 20 dernières années. Selon une estimation fiable, 6 millions d’étudiants étudieront à l’étranger d’ici à 2020. Les pays anglophones sont les leaders en la matière : quatre pays anglophones proposent ainsi plus de 50 % des programmes impliquant des étudiants étrangers. L’influence des universités qui proposent un enseignement en anglais est également forte dans certaines régions géographiques : 70 % de tous les étudiants asiatiques qui étudient à l’étranger sont accueillis par trois pays anglophones principaux (l’Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni).

Ce phénomène soulève des questions d’équité et de qualité aux niveaux national, institutionnel et individuel. À l’échelle nationale, il est possible que les pays non-anglophones ne soient pas en mesure d’attirer et de conserver « les plus intelligents et les meilleurs ». Au niveau des institutions, cette distorsion du marché par la langue affecte à la fois leur capacité en termes de propriété intellectuelle et leur santé financière. Enfin, la réussite universitaire de l’individu peut être affectée par sa capacité à fonctionner dans une langue et une culture académique étrangères. Les institutions qui ne possèdent pas une politique linguistique solide, des programmes de formation préparatoires adéquates et des structures de soutien continu peuvent de ce fait faire du tort à leurs étudiants en plus de nuire à la qualité de leur enseignement ou à leur image de marque dans le monde. S’appuyant sur les travaux de Hatakenaka (2004), cet article porte sur les questions relatives à l’asymétrie anglophone évoquée ci-dessus et, en particulier, sur les répercussions de cette évolution vers un enseignement en anglais dans les pays non-anglophones. Cet article s’appuie sur des études réalisées à l’Université de Nottingham, à Ningbo, en Chine par le Centre for English Language Education (Centre de l’enseignement en anglais). 
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Cet article a pour objectif de parer à un manque dans la littérature consacrée à la recherche sur les fusions dans l’enseignement supérieur en abordant plus particulièrement la dimension humaine de la question. L’article porte sur la fusion forcée de deux établissements de l’enseignement supérieur en Irlande du Nord il y a plus de 20 ans, à l’issue de laquelle fut fondée l’Université d’Ulster. Les auteurs s’appuient sur les vues du personnel de l’université présent au moment de la fusion et travaillant toujours à l’université en 2006. L’article porte plus spécifiquement sur la manière dont le personnel a été affecté par cette fusion et sur leurs expériences ultérieures, en tant qu’universitaires et membres de l’administration.

par Rosalind Pritchard et Arthur Williamson

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Le lien entre la recherche et l’enseignement fait l’objet de nombreux débats, peut-être parce que les preuves d’une synergie entre ces deux activités sont faibles et peu concluantes. On pourrait avancer que la séparation entre la recherche et l’enseignement est à proprement parler le résultat de politiques et de mesures concrètes mises en oeuvre au fil du temps dans le but d’établir une distinction entre les différentes façons dont ces activités sont financées, gérées, évaluées et reconnues. Même si cette hypothèse s’avère exacte, cela ne dispense pas pour autant les établissements d’enseignement supérieur du devoir d’optimiser les relations bénéfiques entre leur double mission. Dans cet article, l’auteur étudie la question de savoir si les établissements doivent tendre vers cet objectif et, pour ceux qui s’y efforcent, les possibilités offertes à leurs dirigeants et gestionnaires. Il se penche sur l’origine du lien problématique entre la recherche et l’enseignement, les facteurs ayant des incidences sur les moyens de promouvoir des relations positives et les implications au niveau de la gestion et de la conduite des établissements et des départements universitaires. Il affirme que la recherche, l’enseignement et leurs relations relèvent de choix stratégiques sur la nature et l’avenir des établissements d’enseignement supérieur et enfin, que les opinions en la matière et les mesures prises dans ce domaine témoignent de divergences de conception de la nature et de la vocation de ces établissements.

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Depuis 1997, le gouvernement fédéral du Canada a mis en place diverses mesures incitatives pour accroître considérablement le financement de la recherche universitaire au pays. Ces initiatives de financement ont été bien accueillies par les universités canadiennes, mais elles accordent aussi une importance accrue à la reddition de comptes, ce qui impose aux universités de nouvelles conditions d’admissibilité à ces fonds. Étant donné que la recherche et l’innovation sont devenues des catégories de dépenses plus importantes pour les fonds publics fédéraux, les universités canadiennes sont soumises à un examen de plus en plus strict en raison des préoccupations liées à la reddition de comptes et à la sécurité publiques. Les nouveaux programmes nécessitent souvent une plus grande coordination centrale stratégique, et le personnel administratif des universités, en plus du corps professoral, doit par conséquent justifier les demandes de financement. Les universités sont également tenues de se conformer à une série croissante de directives et de règlements codifiés par le gouvernement fédéral. Ces attentes fédérales en matière de reddition de comptes se multiplient à mesure que l’investissement dans la recherche et les différents types de mécanismes de financement croissent et se compliquent du fait que les ...

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Cet article examine l’utilisation faite des indicateurs de rendement clés dans les établissements d’enseignement post-secondaire canadiens. Plus précisément, il étudie l’utilisation qui en est faite dans l’optique des étudiants et l’effet qui en résulte sur la qualité et la prestation des activités éducatives. Au Canada, les dix gouvernements des provinces ont recours aux indicateurs de rendement clés (IRC). Chacune des circonscriptions territoriales qui ont adopté les IRC les utilisent pour subordonner l’octroi des financements de base et des financements en capital à diverses formes de performances des établissements. L’auteur analyse à des fins comparatives comment certains critères sont favorisés par la mise en place des IRC. L’article porte sur l’adoption des indicateurs de rendement clés dans trois provinces : l’Ontario, l’Alberta et la Colombie-Britannique. Dans chaque cas, l’auteur examine l’ensemble complexe de politiques et de relations institutionnelles en jeu dans la construction des indicateurs de rendement clés. Un examen comparatif des différents cas met en lumière des pratiques exemplaires ainsi que des leçons de l’expérience dans lesquelles la définition même de la responsabilisation devient très rapidement un point de vue extrêmement politisé. Enfin, cet article comprend des suggestions pratiques de nature anticipative, formulées dans l’optique des étudiants, au sujet des critères qu’il convient de retenir pour élaborer des IRC. A chaque point examiné, il intègre (ou réintègre) la perspective des étudiants dans le dialogue en cours au sujet de la responsabilisation et de la nouvelle identité de l’enseignement supérieur...

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Je vous remercie de m’avoir invité à formuler certaines observations à l’issue de cette importante conférence. Je voudrais revenir, dans mon intervention, sur les thèmes qui y ont été abordés et vous donner un aperçu de la traduction qu’ils trouvent dans divers cadres. Lorsqu’il m’a donné ses instructions, Richard Yelland, chef du Programme, a précisé qu’après deux jours de débats approfondis sur les défis auxquels doivent faire face les gestionnaires et les dirigeants d’établissements d’enseignement supérieur, les participants auraient sans aucun doute plaisir à entendre une intervention provocatrice sur les incitations et la transparence dans l’enseignement supérieur...

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Les systèmes éducatifs du monde entier continuent de dépendre en grande mesure des sources publiques de financement. Les dépenses consacrées à l’enseignement supérieur sont couvertes à près de 80 % par les fonds publics dans les pays de l’OCDE et cette proportion est plus forte encore dans les pays en développement. Nombre de pays s’efforcent actuellement de réduire cette dépendance vis-à-vis des crédits publics et de s’orienter vers des réformes plus fondées sur le jeu du marché. Ils doivent, pour ce faire, aménager le cadre des politiques macroéconomiques afin d’entraîner des changements au niveau des établissements. Les changements institutionnels peuvent être induits au moyen de « mandats » ou de « récompenses ». Les mandats exigent des établissements qu’ils adoptent une forme particulière de comportement institutionnel et s’assortissent d’une menace de sanctions en cas de non respect de ces directives. En revanche, les récompenses offrent des motivations et des incitations au changement. Récompenses et incitations prennent effet quand l’action des pouvoirs publics donne aux établissements la possibilité de choisir dans quel sens ils vont modifier leur comportement. La motivation d’un changement de comportement dépend d’une part, du niveau de performance qui conditionne l’attribution d’une récompense et d’autre part, de la récompense que l’on peut attendre de la réalisation de la tâche entreprise. En général, les mandats sont plus facilement respectés quand les établissements luttent pour survivre, alors qu’il est préférable de recourir aux incitations et aux récompenses quand les établissements s’efforcent de revivre et de se développer. On compte dans bon nombre de pays sur les systèmes d’incitations et de récompenses pour faire advenir les changements dans l’enseignement supérieur. Il est question dans cet article de la possibilité de faire changer les établissements grâce aux incitations....

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Un large accord se dégage pour dire que les technologies de l’information et des communications (TIC) peuvent apporter une grande contribution à la lutte contre la pauvreté et à la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement (OMD). IL s’agit maintenant de les intégrer efficacement dans les plans nationaux de développement et les programmes des donneurs, et de mieux coordonner les efforts déployés par les différents donneurs dans ce domaine. Il faudrait également assurer un partage des connaissances concernant les formules « qui marchent » et les raisons de leur succès...

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L’université de Bournemouth est confrontée aux mêmes enjeux que beaucoup d’autres établissements analogues. Ces enjeux découlent des objectifs fixés dans le secteur, tels qu’élargir la fréquentation, instaurer des partenariats régionaux tout en collaborant à l’échelle internationale, accroître les activités de recherche et adapter les modes de gestion à un financement en baisse. L’une des grandes priorités de la stratégie d’enseignement et d’acquisition de savoirs de l’université de Bournemouth est d’utiliser les technologies d’apprentissage pour faire face à ces enjeux. Plusieurs mesures incitatives sont employées pour inciter les assistants à adopter la formation en ligne. Elles sont toutes focalisées sur la nécessité d’accorder aux activités d’enseignement la même importance  qu’à la recherche. Parmi les méthodes employées, on peut citer le financementde projets d’acquisition et d’enseignement de savoirs, un Learning and Teaching Fellowship Scheme, la création d’un Centre for Academic Practice ciblé sur la recherche pédagogique, le paiement de l’adhésion à l’Institute for Learning and Teaching et des activités de perfectionnement à l’intention des chefs de programme. Ces initiatives sont possibles car l’université a opté pour une utilisation stratégique des financements publics destinés à l’acquisition et l’enseignement de savoirs ainsi qu’à la valorisation des ressources humaines. Toutefois, il ne vaut la peine de les lancer que si elles atteignent leurs objectifs, et les études à ce sujet donnent à penser que le succès et la généralisation des formations en ligne dépendent d’un certain nombre de facteurs (Johnston et McCormack, 1996 ; Steel et Hudson, 2001 ; Somekh, 1998 ; Spotts, 1999). Cet article présente les résultats des recherches que l’auteur consacre actuellement aux facteurs influant sur l’usage que les assistants de l’université de Bournemouth font de la formation en ligne et aux raisons qui incitent ces universitaires à modifier leurs pratiques pédagogiques. La méthode employée est celle de la recherche-action et l’article illustre certains des problèmes auxquels l’auteur a été confronté en effectuant des recherches dans sa propre organisation...

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Le manque d’ouverture des universités et institutions universitaires françaises est souvent pointé par les observateurs, mais depuis plusieurs années les universités françaises et plus généralement l’ensemble du système d’enseignement supérieur français se sont engagés dans un processus d’ouverture tous azimuts.

L’enseignement supérieur français est en train d’évoluer vers une autonomie croissante des établissements. Dans cet article nous tentons de montrer que ce système est doté d’un certain nombre de mécanismes incitatifs, collectifs, à travers les possibilités offertes aux établissements de générer des ressources propres, et individuels, à travers des mécanismes de primes individuelles. De même les universités sont soumises à des mécanismes de contrôle beaucoup plus fréquents qu'on ne le croit qui pourraient évoluer vers des éléments d'un système d'évaluation. Mais la tutelle de l'Etat français sur ses établissements publics d'enseignement supérieur et de recherche est à la fois trop forte et trop faible : elle est tatillonne et mal ciblée, et donc mal organisée et mal exercée au regard des légitimes attentes de la société. L'idée que je souhaiterais promouvoir est finalement assez simple: c'est en responsabilisant davantage les établissements par le développement réel de leur autonomie, que l'on assurera dans notre pays la promotion de systèmes incitatifs aussi bien pour les personnes que pour les institutions et que l'on imposera une démarche effective d'évaluation, seuls moyens d'assurer un véritable changement au cœur de notre système d'enseignement supérieur et de recherche. Il faut des mécanismes incitatifs pour motiver les personnes, une autonomie accrue des établissements pour que leur action soit plus efficace et un vrai système d'évaluation pour assurer la transparence de la gestion et des processus de décision pour les partenaires, et pour apprécier la capacité des institutions à atteindre les objectifs stratégiques qu'elles se sont assignées.

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Les fusions se pratiquent depuis de longues années dans le secteur privé à but lucratif. Elles sont récemment devenues plus fréquentes dans le secteur public et dans le secteur privé à but non lucratif. On estime à près de 500 le nombre de fusions qui sont intervenues entre universités et collèges au cours de la dernière décennie. Pourquoi universités et collèges fusionnent-ils ? Quand ils parlent de « fusions », quel sens donnent-ils à ce mot ? Quelles sont les analogies ou les différences entre les fusions et d’autres formes d’associations interinstitutionnelles ? Dans cette étude, on aborde ces questions en examinant les facteurs qui motivent la fusion et en cherchant à savoir dans quelle mesure ces facteurs sont propres à la fusion ou motivent aussi d’autres formes d’association interinstitutionnelle. A cette fin, on élabore une taxinomie des associations interinstitutionnelles et des facteurs qui déterminent le comportement institutionnel vis-à-vis de la coopération.

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L’objectif de ce document est d’évaluer les mécanismes susceptibles d’améliorer la planification et l’affectation des ressources par le biais d’une intégration de la gestion financière et budgétaire et de la gestion des performances.

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