1887

Browse by: "2008"

Index

Index par titre

Index par année

/search?value51=igo%2Foecd&value6=2008&sortDescending=true&sortDescending=true&value5=2008&value53=status%2F50+OR+status%2F100+OR+status%2F90&value52=&value7=&value2=&option7=&value4=subtype%2Farticle+OR+subtype%2Fworkingpaper+OR+subtype%2Fpolicybrief&option5=year_from&value3=&option6=year_to&fmt=ahah&publisherId=%2Fcontent%2Figo%2Foecd&option3=&option52=&sortField=prism_publicationDate&sortField=prism_publicationDate&option4=dcterms_type&option53=pub_contentStatus&option51=pub_igoId&option2=&page=25&page=25

This review contains the Main Findings and Recommendations of the Development Assistance Committee (DAC) and the report of the Secretariat. It was prepared with examiners from Sweden and Japan for the Peer Review meeting held on 12 September 2006. The review welcomed the Netherlands’ strong commitment to policy coherence for development and to maintaining high levels of development aid. The Committee noted that the Netherlands gives strong attention to issues of aid quality and uses innovative approaches to enable recipient countries to lead their own development agenda. It identified a number of recommendations (e.g. continuing efforts towards geographic and sector concentration, ensuring that spending targets do not jeopardise the principles of aid effectiveness, developing a more coherent strategy with respect to private sector development, and developing overall aid effectiveness and conditionality strategies) to assist the Netherlands in pursuing its efforts to improve the effectiveness of its development co-operation programmes.

Français

This review contains the Main Findings and Recommendations of the Development Assistance Committee (DAC) and the report of the Secretariat. It was prepared with examiners from the United States and Italy for the Peer Review meeting held on 31 May 2006. The review welcomed the United Kingdom’s strong commitment to the Millennium Development Goals and to increase development aid to 0.7% of its Gross National Income by 2013. The Committee recognised the effectiveness of the United Kingdom’s distinctive development co-operation model, characterised by a strong legislative basis, clarity of mission and unified programme under a Cabinet Minister. It identified several opportunities (e.g. new tactics in working with donors, identifying policy coherence priorities, more strategic involvement of civil society, greater institutional clarity around humanitarian aid) to make improvements that would better place UK development co-operation to address the future challenges of scaling up aid volume, moving into more difficult operational environments in fragile states and clearly demonstrating development results.

Français

Principaux facteurs de l’internationalisation de l’enseignement supérieur, la mobilité des étudiants, la mobilité du personnel et l’offre extraterritoriale ont rapidement progressé au cours des 20 dernières années. Selon une estimation fiable, 6 millions d’étudiants étudieront à l’étranger d’ici à 2020. Les pays anglophones sont les leaders en la matière : quatre pays anglophones proposent ainsi plus de 50 % des programmes impliquant des étudiants étrangers. L’influence des universités qui proposent un enseignement en anglais est également forte dans certaines régions géographiques : 70 % de tous les étudiants asiatiques qui étudient à l’étranger sont accueillis par trois pays anglophones principaux (l’Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni).

Ce phénomène soulève des questions d’équité et de qualité aux niveaux national, institutionnel et individuel. À l’échelle nationale, il est possible que les pays non-anglophones ne soient pas en mesure d’attirer et de conserver « les plus intelligents et les meilleurs ». Au niveau des institutions, cette distorsion du marché par la langue affecte à la fois leur capacité en termes de propriété intellectuelle et leur santé financière. Enfin, la réussite universitaire de l’individu peut être affectée par sa capacité à fonctionner dans une langue et une culture académique étrangères. Les institutions qui ne possèdent pas une politique linguistique solide, des programmes de formation préparatoires adéquates et des structures de soutien continu peuvent de ce fait faire du tort à leurs étudiants en plus de nuire à la qualité de leur enseignement ou à leur image de marque dans le monde. S’appuyant sur les travaux de Hatakenaka (2004), cet article porte sur les questions relatives à l’asymétrie anglophone évoquée ci-dessus et, en particulier, sur les répercussions de cette évolution vers un enseignement en anglais dans les pays non-anglophones. Cet article s’appuie sur des études réalisées à l’Université de Nottingham, à Ningbo, en Chine par le Centre for English Language Education (Centre de l’enseignement en anglais). 
Anglais

Three major drivers of internationalisation in higher education are student mobility, staff mobility and offshore delivery. All have increased rapidly over the last 20 years and a high-end estimate suggests that 6 million students will be studying abroad by 2020. Anglophone countries have dominated this process: four English-speaking countries deliver more than 50% of programmes involving students studying abroad. English-medium universities also have a strong influence in particular geographical regions: 70% of all Asian students studying abroad are received by three main English-speaking countries (Australia, the United Kingdom and the United States).

This leads to questions of equity and quality at national, institutional and individual levels. At national level, non-Anglophone countries may be unable to attract and retain the “brightest and best”. For institutions, the skewing of the market by language affects both intellectual property capacity and financial health. Finally, for the individual, educational achievement may be constrained by the capacity to function in an alien language and academic culture. Institutions without a robust language policy, adequate preparatory training and ongoing support may, therefore, damage more than the quality of teaching or their own global brand. Building on the work of Hatakenaka (2004) this paper discusses the issues involved in the Anglophone asymmetry outlined above. In particular, the implications of the move towards teaching in the medium of English in non-Anglophone countries are outlined. The paper draws on work carried out at the University of Nottingham, Ningbo, China, by the Centre for English Language Education.
Français
The deployment of RFID brings significant economic promise. But is RFID sufficiently secure and privacy-friendly ? This paper clarifies the capabilities and limitations of RFID, identifies the associated security and privacy challenges, and suggests measures that can be implemented to address them.
Français

Cet article étudie quatre sujets intimement liés : l’accès et l’équité, le rôle et la légitimité du secteur privé émergent soumis aux lois du marché dans l’enseignement supérieur, les relations entre la réforme des services publics en général et le changement au sein de l’enseignement supérieur privé et public, et l’entrepreneuriat du secteur privé émergent dans l’enseignement supérieur. Ces quatre sujets sont particulièrement liés dans les pays en transition où l’ouverture au marché des établissements publics est forte, et dans lesquels les nouveaux établissements privés représentent une part importante des inscriptions d’étudiants.

Anglais

This paper explores four interrelated issues: access and equity, the role and the legitimacy of the emergent, market-driven private sector in higher education, the relationships between reforming public services in general and changing public and private higher education, and entrepreneurialism of the emergent private sector in higher education. The four issues are closely related in those transition countries in which the market orientation of public institutions is strong, and in which new private institutions have considerable share in student enrolments.

Français
  • 10 janv. 2008
  • Csilla Bartók, Osamu Onodera
  • Pages : 46
Ce document est la première de quatre études de cas faisant partie d’un programme de recherche plus vaste sur le commerce et l’ajustement structurel dans les économies non membres, programme réalisé dans le prolongement de la publication Les échanges et l’ajustement structurel : les enjeux de la mondialisation (OCDE, 2005), qui répertoriait les politiques à suivre pour réussir un ajustement structurel lié au commerce. Ce document présente l’expérience qu’a connue le Chili depuis 1973 en matière de libéralisation du commerce. Ce rapport se compose de cinq parties principales. La première partie consiste en une introduction. La deuxième traite de la libéralisation du commerce au Chili, processus mené en trois phases : 1) première réforme du commerce (1973-84), 2) réforme du commerce postérieure à un changement de politique temporaire (1985-89), et 3) réforme postérieure à 1990. La troisième partie porte sur l’évolution et la structure des exportations et des importations, et la quatrième sur les transformations survenues dans les secteurs suivants : cuivre, agroalimentaire, bois et produits du bois, textiles et vêtements. La cinquième partie conclut le rapport par un exposé des enseignements tirés de cette expérience. Celle-ci montre qu’une réforme du commerce a été essentielle à l’adaptation des structures incitatives au Chili. Le succès de la libéralisation du commerce engagée au Chili s’explique par plusieurs facteurs importants : un environnement macroéconomique stable, une réforme du commerce qui a commencé par l’élimination des restrictions quantitatives, l’application de taux de droits uniformes, une politique de change cohérente, un cadre institutionnel solide, la primauté du droit, une promotion modérée des exportations, le recours à des capitaux étrangers, et une politique du marché du travail relativement souple.
Anglais
Le document ci-après présente la deuxième des quatre études de cas menées dans le cadre d'un programme de recherche plus général consacré aux échanges et aux ajustements structurels dans plusieurs pays non-membres de l'OCDE ; ces travaux font suite à l'étude intitulée Les échanges et l'ajustement structurel : les enjeux de la mondialisation (OCDE, 2005), qui définissait les mesures nécessaires à la réussite de l'ajustement structurel dans le domaine des échanges. Le présent document porte sur la libéralisation du commerce aux Philippines à partir des années 1980. Le rapport comprend sept grandes sections : introduction (partie 1) ; historique de la politique économique des Philippines à compter des années 1970 (partie 2) ; aperçu général de la structure de l'économie (partie 3) ; examen détaillé de la libéralisation des échanges aux Philippines, réalisée en trois phases - 1981-1988 (premières réformes), 1991-1993 (deuxième phase) et 1994-1996 (troisième phase) - (partie 4) ; aperçu global des ajustements structurels apportés dans les domaines de l'agriculture et des produits manufacturés (partie 5) ; étude détaillée de quatre secteurs - électronique, agroalimentaire, ciment et délocalisation des processus d'affaires (partie 6) ; enseignements tirés, opportunités et défis concernant la poursuite de la libéralisation (partie 7). Bien que la libéralisation ait considérablement progressé depuis les années 1980, y compris dans le domaine de la politique commerciale, l'économie des Philippines n'a d'abord affiché que des performances peu enthousiasmantes. Après une période de croissance dans les années 1990, la crise asiatique est survenue et les réformes n'ont commencé à porter leurs fruits que récemment. Parmi les enseignements tirés au fil des années, on peut citer : l'importance d'un environnement politique et macroéconomique stable, la nécessité de taux de change appropriés, la nécessité d'une suppression rapide des restrictions quantitatives qui pèsent sur la réforme des échanges et d'une déréglementation prochaine des investissements directs étrangers (IDE). Il est vrai que certaines difficultés subsistent, mais l'on s'attend à des résultats plus convaincants à l'avenir si les réformes se poursuivent.
Anglais
This paper is the fourth of four country case studies which is a part of a broader research programme addressing trade and structural adjustment issues in non-member economies which was conducted as a follow-up to Trade and Structural Adjustment: Embracing Globalisation (OECD, 2005) which identified policies for successful trade-related structural adjustment. This paper studies the trade liberalisation experience of Thailand from the 1970s. The report consists of 6 main sections; Section 1 provides the introduction, while section 2 provides an overview of Thailand's growth experiences. Section 3 takes a closer look at the trade liberalisation and investment policies in Thailand: Thailand's initial trade regime and three phases of trade liberalisation: (1) initial tariff reforms (1982-84), (2) comprehensive tariff reform and its reversal with the Asian financial crisis (1993-), and (3) post crisis reforms (1999-) are studied. Section 4 looks at the changes in the investment and trade structure, while section 5 takes a closer look at structural adjustment in three sectors, the automotive and auto-parts sector, textile and clothing, and the telecom services sector. Section 6 concludes with lessons learnt. Thailand's experience confirms that a sound macroeconomic environment, sustainable public finances, a relatively stable political and economic environment, flexible labour markets and reliable infrastructure are crucial for economic growth. It provides an example of gradual trade liberalisation, and demonstrates the benefits of openness to international trade and foreign investment in correcting distortions in the economy.
Français
Dans le cadre de son travail sur le régionalisme, la Direction des Échanges et de l'Agriculture de l'OCDE, a mené à bien une série d'études comparant les dispositions normatives contenues dans les accords commerciaux régionaux à celles de l'Organisation mondiale du commerce (par exemple dans le domaine des services, de l'investissement et de la concurrence). Le présent document entend compléter les études existantes en examinant les dispositions juridiques relatives aux « obstacles techniques au commerce » (autrement dit, les règlements techniques, les normes et les procédures d'évaluation de la conformité) d'un échantillon d'accords commerciaux bilatéraux et régionaux ainsi que leur degré de similarité et de convergence avec l’Accord de l'OMC sur les obstacles techniques au commerce, et entre eux. L'étude révèle que la plupart des dispositions relatives aux obstacles techniques au commerce (OTC) qui sont contenues dans les accords bilatéraux et régionaux convergent vers le système commercial multilatéral. Lorsqu'ils sont effectivement mis en oeuvre, les accords commerciaux visant une intégration et une coopération réglementaire accrue entre les parties peuvent venir compléter et renforcer l’application de l'Accord de l'OMC sur les obstacles techniques au commerce en donnant une impulsion à l'amélioration des pratiques réglementaires et du dispositif relatif aux OTC des pays membres (par exemple par le biais d'enceintes où peuvent se tenir des consultations ou d'organismes conjoints de normalisation et d'accréditation). Certains éléments viennent toutefois encore s'y opposer. Lorsque des accords commerciaux qui se recoupent promeuvent des critères différents pour l’harmonisation des mesures réglementaires et lorsque les initiatives bilatérales ou régionales sont menées indépendamment des efforts internationaux et détournent l'attention des négociations commerciales multilatérales relatives aux normes, il peut en résulter de nouveaux obstacles tant pour les autorités de tutelle que pour les entreprises. Ces contraintes sont en outre amplifiées dans les pays à faible revenu pâtissant de problèmes liés à l'insuffisance de leurs capacités administratives et techniques. Pour résoudre ces problèmes éventuels, la présente étude formule un certain nombre de recommandations.
Anglais
Policy makers everywhere want to know about the social and economic impacts of ICT. The aim of this paper is to examine statistical issues associated with their measurement and to suggest areas for future work.
This is the second in a series of three annual papers that the OECD is publishing in preparation for its major biennial publication, Government at a Glance. This paper focuses on two main themes: (1) the identification of core data for Government at a Glance, and (2) the publication of existing data that help assess the efficiency of government. It recommends that the main focus of the future publication should be on public administration. Core data to be included in “Government at a Glance” entails indicators on government revenue and expenditure structures; employment and compensation in the public domain; executive governance outcomes; and institutional arrangements such as budget procedures, HRM practices, performance management, and e government, including the quality aspects of them, called machinery of public administration outputs and outcomes (i.e. intermediate outputs and outcomes). Information on the structure of government is also suggested for inclusion since this is an antecedent to and/or constraint on government action
Informal employment persists, even when the economy is growing. Understanding the phenomenon is necessary to “tame the beast” of informality. Coherent policies are needed to create decent jobs and provide social protection
Français
Le pétrole fournit la quasi-totalité du carburant pour les transports. Or le prix du pétrole brut (FOB-Free on board) ne constitue pour l’instant qu’une petite partie des coûts du transport, moins du cinquième. Les quatre cinquièmes des coûts du transport proviennent des frais d’exploitation, des salaires et de la fiscalité. Néanmoins, si la raréfaction du pétrole venait à faire exploser les coûts du carburant, elle produirait des effets négatifs forts. Une multiplication par 8 du prix du pétrole (par rapport à 2007) doublerait le coût des transports de marchandises. Toutefois la hausse de coûts serait suffisamment uniforme pour que les exploitants puissent les répercuter sur les clients sans que la concurrence ne soit profondément modifiée. Les petits exploitants ne pouvant pas s’organiser pour optimiser les chargements et les itinéraires seraient les plus menacés. La mobilité des personnes serait par contre très touchée sur deux aspects : la voiture particulière et l’aviation. Le cas de l’aviation est bien connu (surtaxes kérosène), par contre le problème du transport individuel –qui consomme environ la même quantité de carburant que l’aviation par passager et par kilomètre- risque d’aboutir à une société où seuls les citoyens les plus aisés restent réellement mobiles.
This paper summarizes and organizes presentations and discussions of the Round Table on Macro-, meso and micro infrastructure planning and assessment tools, that took place at Boston University, on 25 and 26 October 2007. The goal of the meeting was to investigate how recent research on direct and wider economic impacts of investment in transport infrastructure can be used to improve the practice of transport projects appraisal. While the potential importance of “wider benefits” is clear, it is less obvious that attempts to quantify them should be part of all projects appraisals. Timely availibilty of results of simpler approaches might approve the quality of decision-making just as much. And when wider impacts are part of appraisal, their quantification should follow consistent procedures. Policy-oriented research should focus on these procedures, not on producing general results, as the latter are thought to be irrelevant to policy, to the extent they exist.
De nombreux pays dans le monde procèdent à une capitalisation préalable partielle de leurs régimes de protection sociale qui reposent par ailleurs sur la répartition. À cet effet, ils dotent leurs régimes publics de retraite de caisses de réserve ou développent les caisses existantes. La plupart des pays de l’OCDE ont mis en place des mécanismes internes et externes de gouvernance et de contrôle des investissements pour veiller à la saine gestion de ces caisses et à mieux les isoler d’influences politiques indues. Ces structures et mécanismes sont conformes aux normes de bonne gouvernance des fonds de pension et de gestion des investissements. En particulier, ces caisses respectent de façon générale les impératifs de responsabilité, de qualification et de transparence. Cela étant, dans quelques pays, on pourrait améliorer des spécificités de la gouvernance et de la gestion des investissements, notamment en renforçant les instances dirigeantes de ces caisses et en limitant les interventions discrétionnaires des pouvoirs publics. Ces réformes permettront en dernière analyse d’améliorer les performances de long terme des investissements de ces caisses et la solvabilité des régimes de protection sociale.
In developed countries, transport generates approximately 25 to 30 per cent of emissions of CO2, the main greenhouse gas (GHG) and these emissions are increasing sharply. There are two explanations for the increase in emissions from transport: the first is dependency on the internal combustion engine for transport with no wide-scale economically viable alternative available in the medium term; the second is the sharp increase in vehicle-kilometres travelled, which seems to be an inherent feature of economic development. One might well ask, given announcements that oil reserves will run out rapidly, whether we should not simply wait until reserves dry up to obtain a reduction in transport-related emissions. This said, rising oil prices are gradually making it more viable to exploit unconventional reserves, leaving aside innovations in technology which are reportedly opening up prospects for new fossil fuels (including fuels derived from coal, which is in plentiful supply world-wide). Hence, there is every reason to believe that the use of fossil fuels could continue on a large scale in the future. Foresight studies show that if our aim is to achieve ambitious GHG emission control targets for transport within the next few decades, the policies we implement will have to be more determined: among other things, they should aim at reducing total consumption that is to say vehicle kilometres travelled, not just unitary vehicle consumption (cf. ENERDATA and LEPII, 2005 for France, for instance). Among the measures identified, carbon taxes and vehicle taxes are the most cost-effective (OECD, 2007; Parry et al., 2007). However, the “fuel tax protests” of September 2000 in several European countries show that public opinion is very resistant to fuel tax increases (Lyons and Chatterjee, 2002). This resistance can also be explained by concerns about fairness, since many households depend on the car for day-to-day living and for getting to work. As well as this, fuel tax increases would require the international harmonization of fuel taxation in different countries, which seeing what has happened in the European Union appears to be extremely difficult.
China helps growth and debt sustainability in Africa through debt relief, infrastructure investment and higher exports. China and other emerging lenders should engage in a debt transparency initiative that considers such growth effects. This will encourage emerging lenders to co-operate with the ‘international community’ on Africa’s debt sustainability.
Français
La région Méditerranéenne fait face à l’une des crises les plus importantes au monde en matière de gestion des ressources en eau. L’aridité, les problèmes géopolitiques, les questions d’allocation de la ressource, la croissance de la demande et les changements climatiques font de l’eau un problème central pour la santé, l’économie et la réduction de la pauvreté. Dans ces circonstances, la réforme institutionnelle du secteur est de toute première importance. Le but de ce papier est donc d’étudier le cadre institutionnel du secteur de l’eau et le développement de la participation du secteur privé dans le contexte de crise que connaît la région Méditerranéenne. La première partie de cette étude présente l’étendue et les différentes formes de participation du secteur privé dans la gestion des infrastructures d’eau dans le monde. La revue de 22 tests empiriques et de 48 études de cas montre que la participation du secteur privé dans les services d’eau ne conduit pas systématiquement à un gain d’efficacité. La réforme du cadre institutionnel apparaît comme étant un pré requis essentiel à toute opération de privatisation/délégation. Le papier se concentre ensuite sur la région Méditerranéenne et compare les arrangements institutionnels, les récentes réformes réglementaires et les diverses expériences en matière de délégation des services d’eau en Algérie, en Egypte, en Jordanie, au Maroc et en Tunisie...
This is a required field
Please enter a valid email address
Approval was a Success
Invalid data
An Error Occurred
Approval was partially successful, following selected items could not be processed due to error