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Kenya

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L’économie kenyane a continué sa lente progression en 2012, essentiellement tirée par l’intermédiation financière, le tourisme, la construction et l’agriculture. Au premier semestre 2012, le taux de croissance du PIB aurait été de 3.4 %, contre un taux de croissance annuel du PIB réel de 4.4 % en 2011 et de 5.8 % en 2010. Estimée à 4.2 % en 2012, la croissance a été essentiellement freinée par un ralentissement dans la plupart des secteurs économiques. Pilier de l’économie kenyane, l’agriculture a souffert d’une activité à l’arrêt (principalement dans le sous-secteur des cultures industrielles) aggravée par la demande ralentie en exportations horticoles kenyanes sur le marché européen. Les secteurs du tourisme, de l’industrie et de la construction n’ont pas non plus atteint les niveaux de croissance escomptés.

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En 2011, l’économie du Kenya a enregistré une croissance mitigée, ses principaux moteurs étant les secteurs de l’intermédiation financière, du tourisme, du bâtiment et travaux publics (BTP) et de l’agriculture. Le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) a été estimé à 4.2 % pour les neuf premiers mois, contre 4.9 % au cours de la même période en 2010. Globalement, la croissance de 2011 a été freinée par un environnement macroéconomique instable se caractérisant par une inflation croissante, une dépréciation du taux de change et des coûts énergétiques élevés. En outre, le pays a manqué de précipitations au cours du premier semestre 2011, ce qui s’est répercuté sur la production alimentaire globale. L’année 2011 devrait donc enregistrer une croissance positive modérée, estimée à 4.5 %. Celle-ci devrait grimper à 5.2 % en 2012 pour atteindre 5.5 % au cours des années suivantes.

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En 2009, les performances de l’économie kenyane ont gravement pâti de trois chocs négatifs. Premièrement, le ralentissement économique mondial a, par ricochet, déprimé les principaux marchés d’exportation du Kenya. Deuxièmement, les précipitations irrégulières, plus tardives et plus brèves ont eu des répercussions négatives sur le secteur agricole et celui de l’énergie. Troisièmement, les effets prolongés des violences post-électorales de 2008 ont sapé la confiance des investisseurs et pesé sur l’ensemble de l’économie et de la population. En conséquence, la croissance kenyane s'est élevée seulement à 2.5 % en 2009. Malgré la morosité des marchés des capitaux à l’international, le Kenya a fait la preuve de la profondeur et de la liquidité de ses marchés financiers par le succès de deux ventes de titres obligataires pour financer son infrastructure en 2009.

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LA CROISSANCE DU PIB A ÉTÉ DE 2.6 pour cent en 2008, en net ralentissement, mais elle devrait rebondir à 5 pour cent en 2009 et à 4.3 pour cent en 2010 (prévisions). Le ralentissement de 2008 est dû, en partie, aux violences post-électorales qui ont affecté la plupart des secteurs de l’économie au cours du premier trimestre. L’économie est ensuite repartie au cours des deuxième et troisième trimestres, mais elle a ralenti à nouveau pendant le dernier trimestre en raison de la crise financière mondiale. Au nombre des secteurs qui ont enregistré une croissance positive figurent les industries manufacturières, l’électricité et l’eau, le commerce de gros et de détail ; la pêche, en pleine expansion, a été la locomotive du rétablissement du deuxième trimestre. La construction, les mines et les carrières, de même que l’administration publique, se sont pour leur part développées plus vite au cours de la première moitié de 2008. La croissance soutenue du secteur des travaux publics a été étayée par des chantiers au long cours, comme des routes ou l’extension de l’aéroport inter - national Jomo-Kenyatta, tandis que les mines et les carrières ont bénéficié de la demande en matériaux de construction suscitée par ces programmes.

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Après avoir, en 2003, inversé la tendance médiocre de ses performances enregistrée pendant dix ans, la croissance kenyane montre des signes d’accélération. La croissance du PIB en volume a grimpé à 4.3 pour cent en 2004, contre 2.8 pour cent l’année précédente, malgré un nouvel épisode de sécheresse dont a pâti la production agricole. En réaction aux nouvelles incitations mises en place par les pouvoirs publics, d’autres secteurs, en particulier les transports et communications, ainsi que l’industrie manufacturière, semblent avoir renoué avec la croissance. De même, le tourisme a continué se redresser, surmontant les effets délétères du terrorisme.

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L’économie ghanéenne a visiblement passé un cap en 2001 : en phase de décélération depuis 1998, son PIB réel est reparti à la hausse, enregistrant une croissance de 4.2 pour cent. Le rythme de la croissance avait été de 3,8 pour cent en 2000, son taux le plus bas en dix ans. Il s’est stabilisé en 2002 (estimation : 4.4 pour cent) et devrait s’améliorer en 2003 (prévision : 5.2 pour cent). Le rebond de 2001 s’explique par le redressement de la production agricole, favorisé par l’amélioration de la politique macro-économique. Cette embellie s’est traduite par un assainissement significatif des finances publiques. Grâce à un alourdissement de l’effort fiscal et à la modération des dépenses publiques, le budget du pays a dégagé un excédent primaire record en 2001. Ce solde devrait rester excédentaire en 2003, sous l’effet de la consolidation de cette stabilité. La discipline monétaire, qui transparaît dans le regain de confiance vis-à-vis des actifs ghanéens et un approfondissement de l’intermédiation financière, contribue au reflux de l’inflation et destaux d’intérêt ainsi qu’au retour d’une relative stabilité sur le marché des changes. Ce repli de l’inflation devrait se poursuivre en 2003. Malgré le recul des cours internationaux des matières premières, la position extérieure du pays s’est redressée et cette tendance devrait se confirmer dans les années à venir…

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