1887

Browse by: "2009"

Index

Index par titre

Index par année

/search?value51=igo%2Foecd&value6=2009&sortDescending=true&sortDescending=true&value5=2009&value53=status%2F50+OR+status%2F100+OR+status%2F90&value52=&value7=&value2=&option7=&value4=subtype%2Farticle+OR+subtype%2Fworkingpaper+OR+subtype%2Fpolicybrief&option5=year_from&value3=&option6=year_to&fmt=ahah&publisherId=%2Fcontent%2Figo%2Foecd&option3=&option52=&sortField=sortTitle&sortField=sortTitle&option4=dcterms_type&option53=pub_contentStatus&option51=pub_igoId&option2=&page=5&page=5
Ce document teste l’hypothèse de l’existence du crédit bancaire comme canal de transmission de la politique monétaire au Brésil à l’aide de données mensuelles agrégées pour la période allant de décembre 1995 à juin 2008. Le test est effectué dans le cadre d’un modèle à correction d’erreur (VECM) qui permet plusieurs vecteurs de cointégration parmi les variables d’intérêt. L’analyse empirique révèle l’existence de deux vecteurs de cointégration, que nous identifions comme la demande et l’offre de crédit bancaire sur la base d’un certain nombre de restrictions d’exclusion et d’exogénéité imposées sur les vecteurs de cointégration. L’offre des prêts bancaires est inversement liée au taux de long terme des certificats de dépôt interbancaire, ce qui confirme l’existence du crédit bancaire comme canal de transmission de la politique monétaire. La dynamique de court terme du VECM montre que la demande des prêts s’ajuste à l’équilibre de long terme. Mais à court terme, les déséquilibres dans l'offre des prêts sont corrigés par des changements dans le taux des certificats de dépôt interbancaire, ce qui suggère que la politique monétaire joue un rôle dans le rétablissement de l’équilibre sur le marché du crédit en affectant le taux d’emprunt des banques. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE du Brésil, 2009 (www.oecd.org/eco/etudes/brésil).
Ce papier décrit les évolutions observées en matière de réglementation potentiellement entravant le jeu de la concurrence sur les marchés de produits des pays de l'OCDE au cours des dix dernières années. On utilise une version actualisée et révisée des indicateurs de réglementation des marchés de produits (RMP) qui intègre dans des proportions plus vastes que par le passé des informations sur les réglementations sectorielles et utilise une technique d'agrégation plus simple et transparente. D'après les résultats, les pays de l’OCDE ont considérablement libéralisé leurs marchés de produits depuis dix ans et – par conséquence – la convergence des réglementations peut être observée. Cependant, le rythme des réformes semble avoir ralenti ces dernières années (de 2003 à 2008) par rapport à la période précédente (de 1998 à 2003). Sur l’ensemble de la période, les réformes de la réglementation semblent avoir reposé considérablement sur la réforme des réglementations sectorielles, notamment dans les marchés du gaz, de l’électricité et des télécommunications. Les pays semblent avoir également introduit des réformes d'une façon cohérente. Cependant, il existe encore des marges de manœuvre considérables, notamment en termes du contrôle exercé par l'État, et dans quelques secteurs, tels que les services professionnels et le commerce de détail.
Ce document examine les principales questions relatives à l’évaluation des enseignants du primaire et du secondaire en passant en revue la littérature récente et en analysant des pratiques actuelles au sein des pays de l’OCDE. Premièrement, il fournit un cadre conceptuel mettant en évidence les éléments clés entrant dans les processus d’évaluation des enseignants. En particulier, il souligne l’importance de clarifier les objectifs de l’évaluation, qu’ils soient de nature sommative lorsqu’ils visent à assurer que les pratiques favorisant l’apprentissage des élèves sont à l’oeuvre ou de nature formative lorsqu’ils sont conduits à des fins de formation professionnelle continue. Il comprend également les différents critères et instruments communément utilisés pour évaluer les enseignants ainsi que les acteurs généralement impliqués dans le processus et les conséquences potentielles sur la vie professionnelle des enseignants. Deuxièmement, il traite d’un certain nombre de points conflictuels, parmi lesquels la question de l’utilisation des résultats des élèves pour mesurer la performance des enseignants, les avantages et inconvénients de différentes approches compte tenu de l’objectif mis en exergue et de ressources limitées, ou encore les difficultés de mise en place résultant de divergence d’intérêts et les moyens possibles d’y remédier. Enfin, il examine l’évidence empirique sur le sujet et explique en quoi ses résultats nuancés tiennent aux difficultés d’estimer les effets de tels processus sur la qualité de l’enseignement, la motivation des personnels et l’apprentissage des élèves. Pour conclure, il considère les circonstances dans lesquelles l’évaluation des enseignants semble plus efficace, équitable et fiable. Développer une approche d’évaluation compréhensive est cruciale pour concilier les exigences d’enseignement et l’appropriation du processus par les enseignants, tout en recherchant une nécessaire amélioration de l’attractivité et de la reconnaissance du métier d’enseignant.
Ce document analyse les tendances et les déterminants de la composition des revenus des administrations infra-nationales (AI). Entre 1995 et 2005, la part des dépenses des AI dans les dépenses publiques totales a augmenté de 31 à 33%, alors que leur participation aux recettes fiscales restait stable autour de 17%, accentuant de ce fait la dépendance des AI envers les transferts intergouvernementaux. Bien que l’égalité d’accès aux services publics soit la raison la plus souvent invoquée pour justifier ces transferts, les systèmes de transferts sont en réalité souvent bien plus importants que ceux qu’impliquerait la simple péréquation. Par ailleurs, les transferts ont tendance à amplifier plutôt qu’à réduire les fluctuations de revenus au cours du cycle. Finalement, il semblerait que les transferts réduisent l’effort fiscal des AI tout en augmentant leurs dépenses et donc leurs déficits et leur dette. La crise économique en cours à la fois va réduire fortement les impôts propres des AI et – suite aux contraintes budgétaires au niveau central – augmenter la pression sur le système des transferts. La crise pourrait donc inciter à repenser la composition des revenues des AI, la structure de leurs impôts et la taille et le design des transferts intergouvernementaux.
This paper analyses trends and driving forces in the revenue composition of sub-central government (SCG). Between 1995 and 2005 the share of SCG in total government spending increased significantly from 31 to 33 percent while the SCG tax share remained stable at around 17 percent, increasing SCG’s dependence on intergovernmental grants. While equal access to public services is the most common justification for such grants, the grant systems of most countries are much larger than required by equalization. Moreover, rather than smoothing out SCG revenue fluctuations over the cycle, grants often tend to exacerbate them. Finally, there is some evidence that grants reduce SCG tax effort, inflate SCG spending and increase SCG deficits and debt. Efficiency and accountability would call for a higher share of SCG spending covered by own taxes. However, that is not easy: increasing property taxes – the most suitable tax for SCG – usually meets with strong resistance. Tax sharing arrangements where central government cedes a part of its income or consumption tax revenue could help lift the SCG tax share without increasing the total tax burden.

Tanzania could be a major food-exporting country but its dependence on rainfall, poor transport and marketing infrastructures, as well as low access to technology, lead to persistent food security problems. The Tanzanian government has decided to focus its Agricultural Sector Development Programme (ASDP) on irrigation. However, even though the importance of irrigation to reduce Tanzania’s dependency on rainfall is undisputed, it would have been better to have a two-fold programme with one part focusing on production-related investments such as irrigation and the other fostering commercial agriculture and the private sector. While donor commitments to agriculture show a mixed trend, Tanzania is one of the few African countries with a basket fund in agriculture. The Tanzanian government aims to establish the ASDP as the sector programme to which all donor interventions should be aligned. First reviews of the ASDP reveal that capacity to implement the programme is lacking at all levels. A lot of capacity building and a change of mindset in Local Government Authorities (LGAs) are needed to make farmer empowerment and private sector involvement a reality. Furthermore, rural and agricultural development efforts should be better co-ordinated as both draw on the same limited capacities at the local level.

Ce Document examine l’impact de la crise financière mondiale sur les différentes formes du financement du développement pour les pays les plus pauvres, principalement à travers les transferts d’argent, l’aide au développement, et les investissements directs étrangers. Il montre que les canaux de transmission des effets de la crise ne sont pas nécessairement ceux auxquels on s’attendrait. La crise aura ainsi des conséquences majeures pour la soutenabilité de la dette extérieure des pays les plus pauvres — en dépit des initiatives de réduction dont ils bénéficient de la part de leurs créanciers — puisqu’ils sont affectés par une diminution des revenus d’exportation, des dépréciations monétaires et des déficits budgétaires croissants. La crise représente néanmoins une opportunité pour mettre en oeuvre certaines réformes. Ainsi, des budgets plus serrés pourraient stimuler les efforts d’amélioration de l’efficacité de l’aide publique au développement. Le Document souligne également que les perspectives pour les pays en voie de développement ne dépendent pas seulement de l’évolution de la crise financière dans les pays de l’OCDE, mais aussi de plus en plus des perspectives de croissance dans le reste du monde. A cet égard, les liens économiques entre les pays du Sud pourraient sortir renforcés de la crise. Enfin, étant donné le discrédit dont souffrent les structures de régulation existantes, le Document insiste sur la nécessité de mieux tenir compte des pays en voie de développement dans les réformes à venir de la gouvernance mondiale.
Ce document passe en revue et évalue en termes de disponibilité, fiabilité et transparence les indicateurs de politiques et de performance qui existent actuellement et sont liés directement ou indirectement à la croissance économique et au niveau de vie. Des indicateurs cherchant à mesurer la situation sociale et politique des pays, de même que des sujets liés à la gouvernance sont examinés (par exemple, le système politique, la corruption, le crime et la violence). Sont aussi couverts les marchés des produits et du travail, les infrastructures, le commerce, les indicateurs financiers et les indicateurs composites de réforme.

This paper focuses on Swiss GDP revisions and the uncertainty they generate from the point of view of monetary policy. After a description of the revisions features, we use GDP vintages to compute real-time output gaps using a production function approach. Then, with a nominal feedback rule, we assess the impact of GDP – and hence output gap – on revisions monetary policy. The main results are threefold. First, Swiss GDP revisions – similarly to those of other small economies – are large, and estimates converge slowly to their final value. Second, GDP mismeasurements clearly exacerbate the difficulty in estimating output gaps. Third, the impact of revisions on monetary policy varies over time. Via its effect on output gaps, ceteris paribus, the inaccuracy of GDP estimates risks introducing a procyclical bias in monetary policy decisions.

Un marché du travail performant est indispensable au maintien d’une croissance économique rapide face au vieillissement de la population. Les objectifs prioritaires consistent à inverser l’augmentation de la part des travailleurs non réguliers, qui a des conséquences négatives à la fois pour la croissance et pour l’équité, et d’encourager une progression de l’emploi des femmes et des jeunes, qui sont sous-représentés dans la population active. Pour attirer davantage de femmes dans l’emploi, il faut accroître l’offre de services d’accueil des enfants, améliorer la situation en matière de congés de maternité et faire en sorte qu’il y ait davantage de lieux de travail où les obligations familiales sont prises en compte. Les taux d’emploi des jeunes devraient être favorisés en améliorant l’enseignement tertiaire grâce à un renforcement de la concurrence et à un resserrement des liens avec les entreprises afin de réduire les inadéquations. La réforme de l’éducation devrait être étendue aux établissements élémentaires et secondaires de façon à améliorer l’efficience et à diminuer la charge représentée par les cours de soutien privés. L’âge de départ à la retraite des salariés devrait être relevé en éliminant la retraite obligatoire et en supprimant progressivement l’indemnité de retraite. Dans le cadre des politiques actives du marché du travail, il faudrait privilégier le renforcement du capital humain plutôt que le versement de subventions salariales.
Before joining the EU in May 2004, Central and Eastern European countries were required to professionalise their civil services. Most were perceived as having made improvements sufficient to be granted EU membership status. But what happened next? Five years after accession, this paper answers the question.
Français
Cet article émet des recommandations sur les approches à adopter en vue de la conception d’environnements pédagogiques durables. Les auteurs présentent des exemples récents de bâtiments scolaires britanniques qui réduisent leurs émissions de carbone et capitalisent sur les sources d’énergie renouvelables, et prédisent la manière dont les écoles répondront à leurs besoins énergétiques dans le futur.
Français

There have been calls to increase the autonomy of higher education institutions in Europe for a number of years. They have been counterbalanced by demands for increasing accountability and a European quality assurance system. In London in 2007, the European ministers of education decided to implement a European register of accredited quality agencies, and defined standards for registration. Being part of the register requires “substantial compliance with all standards” instead of “full-compliance”. This might take into consideration the context of the national higher education system, the role of the agency in the quality assurance system, and even the national culture and traditions, allowing for different interpretations, some imprecision, and diverse degrees of flexibility and compliance.

Indications from the United States suggest an emerging desire at the federal level to play a more visible role in regulating higher education through intervention in the accreditation system to ensure increased institutional accountability. This may have a parallel in the European situation. While in the United States the attempts at increased federal control have so far apparently failed, in Europe quality systems linked to higher education institutions were replaced with “independent” accrediting agencies. We analyse these changes and offer a possible interpretation for the differences on the two sides of the Atlantic.

Accréditation supranationale, confiance et autonomie des établissements : Contrastes du développement de l’accréditation entre l’Europe et les États-Unis


À l’échelon européen, certains soulignent depuis plusieurs années la nécessité de conférer une autonomie accrue aux établissements d’enseignement supérieur, alors même que d’autres exigent que ces derniers rendent davantage de comptes concernant leurs activités et leurs performances.

À Londres en 2007, les ministres européens de l’éducation ont décidé la mise en place d’un registre européen où figureront les agences accréditées et où seront définies les normes auxquelles ces agences devront se plier pour être autorisées à y figurer. Les conditions à respecter pour pouvoir être inscrit au registre européen sont ainsi passées d’une « conformité totale à l’ensemble des normes » à une « large conformité ». L’interprétation de ces normes pourrait s’effectuer en tenant compte des spécificités propres à chaque système d’enseignement supérieur national, au rôle de chaque agence au sein du système d’assurance qualité, voire de la culture et des traditions nationales, laissant la voie ouverte à des divergences d’interprétation, à une certaine marge d’imprécision et à divers degrés de flexibilité et de conformité.

Des indications provenant des États-Unis suggèrent l’émergence d’un souhait, au niveau fédéral, de jouer un rôle plus visible dans la régulation de l’enseignement supérieur, via l’intervention du système d’accréditation pour assurer un développement de la responsabilité institutionnelle. Cette tendance incite naturellement à établir un parallèle avec la situation observée en Europe.

Tandis qu’aux États-Unis, les tentatives visant à renforcer le contrôle par les autorités fédérales semblent avoir échoué, en Europe, les systèmes de qualité liés aux établissements d’enseignement supérieur ont été remplacés par des agences d’accréditation « indépendantes ». Dans ce rapport, les auteurs proposent une analyse de ces changements et suggèrent une interprétation possible des différences existant des deux côtés de l’Atlantique.

On attendait beaucoup des deux vagues d’élargissement de l’UE à l’est en 2004 et 2007, et le développement du marché intérieur de l’UE devait grandement dynamiser la croissance économique dans les nouveaux et dans les anciens États membres. Effectivement, d’énormes progrès ont été accomplis, les données actuelles indiquant une intensification des échanges et des flux d’IDE, un renforcement des migrations est-ouest et un environnement macroéconomique plus stable. Mais l’achèvement du marché intérieur progresse à un rythme inégal et on a comparativement moins avancé dans les activités de services, qui représentent plus des deux tiers des emplois et de la valeur ajoutée dans l’économie. Les simulations effectuées à partir d’un modèle empirique montrent que des réformes qui amélioreraient la concurrence et renforceraient les échanges dans les activités de services pourraient se traduire par des gains substantiels de productivité dans les États membres de l’UE. Sur une période de dix ans, la croissance prédite de la productivité du travail qui résulterait d’un ambitieux programme de réformes est de l’ordre de 10 % pour le pays moyen de l’UE, et les nouveaux États membres tireraient encore davantage profit de ces réformes. De plus, les priorités de la réforme structurelle en vue d’un marché intérieur de l’UE plus intégré devraient être les suivantes : l’élimination des obstacles qui subsistent à la mobilité des travailleurs, l’amélioration des infrastructures de transport, la reconnaissance mutuelle des qualifications et une intégration plus étroite des marchés dans les industries de réseau. Enfin, une utilisation plus explicite de l’évaluation comparative pourrait contribuer à accélérer les réformes futures concernant le marché intérieur.
Les niveaux de vie en Nouvelle-Zélande restent bien inférieurs à la moyenne de l’OCDE. Cet écart est entièrement attribuable à une croissance durablement faible de la productivité du travail, qui s’explique pour sa part par la géographie économique ainsi que par des facteurs liés à la politique structurelle. La petite taille et l’éloignement de l’économie limitent son accès aux marchés mondiaux ainsi que l’échelle et l’efficacité des entreprises intérieures, et influent sur le degré de concurrence et la situation par rapport à la frontière technologique mondiale. Il faut, dans ces conditions, élaborer des politiques qui représentent un avantage pour la Nouvelle-Zélande, c’est à dire un ensemble de politiques structurelles suffisamment attrayantes pour surmonter le handicap géographique et attirer dans le pays les moteurs de la prospérité – investissements, compétences et idées. Les réformes des années 80 et 90 ont largement préparé le terrain à la mise en oeuvre de telles politiques et à un redressement de la croissance de la productivité dans les années à venir. Ces dernières années, cependant, les autorités ont grignoté une partie des progrès réalisés durant la période de réformes, notamment en introduisant de nombreuses réglementations, souvent mal conçues. Les politiques devraient être recentrées autour de l’objectif de productivité dans plusieurs domaines, à commencer par ceux couverts dans la présente étude, à savoir le commerce international, les conditions de l’investissement national et étranger, l’efficacité du secteur public, l’infrastructure, l’innovation et la gestion des ressources naturelles. Le système d’échange de droits d’émissions, qui a récemment fait l’objet d’un texte de loi, est aussi examiné ici dans l’optique de la productivité. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE de la Nouvelle-Zélande 2009 (www.oecd.org/eco/etudes/nz).

The growing cost and frequency of natural catastrophes and their implications for economic growth and development have led to a concern over the level of public awareness and education relative to large-scale catastrophes and disaster risk reduction measures. Public awareness and education of disaster risk reduction are, in particular, increasingly acknowledged as important components of effective risk management of natural catastrophes. The financial component of disaster risk management and mitigation strategies, involving risk transfer and compensation strategies, is also recognised as being important for reducing the financial impact of catastrophes on individuals, businesses, and governments, and permitting more rapid economic and social recovery. As such, systematic promotion of public awareness and education of risks and risk reduction measures, including financial loss-sharing and risk transfer tools, is an important aspect of national and international strategies to reduce vulnerability and losses from catastrophic events.

L’objectif de ce document est d’évaluer la capacité des dépenses sociales à lisser les chocs sur la production et stabiliser l’économie. Les résultats montrent que le total des dépenses sociales est capable de lisser environ 16 pour cent d’un choc sur le PIB. Au sein des différentes sous catégories, les dépenses sociales relatives aux pensions et au traitement du chômage sont celles qui contribuent le plus au lissage. Par ailleurs, les effets de stabilisation des dépenses sociales sont significativement plus grandes dans les pays où la taille des dépenses sociales est plus élevée. Les résultats empiriques sont économiquement et statistiquement significatifs et robustes.
During the 1990s and the 2000s a variety of crises affected the stability of international capital markets: from the European Monetary System crisis in 1992-93 and the emerging market crises to today’s financial crisis have been present in the arenas of capital markets. These crises stimulated the theoretical and empirical literature on the economics of the crises in several ways, among other things on the determinants of a crisis, its impact on domestic output, and policy implications. In most of the recent crises public sector financing difficulties combined with currency problems dominated the collapse of these countries. Both unsustainable fiscal and monetary policies were important factors behind these crises (...)
Français
This paper examines key trade and trade related issues facing South Africa. It describes South Africa‘s re-entry into the global trade architecture and its economic growth in the context of its trade performance, as well as the composition and performance of South African exports at the product and sector level in the period from the early 1990s to 2006. The study also assesses South Africa‘s comparative trade performance based on a gravity model of international trade and discusses some key historical and recent trade policy developments. Finally, the study provides an econometric assessment of the impact of South Africa‘s trade liberalisation during the period from 1988 to 2003 on labour and total factor productivity across its industrial sectors. It shows that while South African trade performance has been good in recent years there is significant room to liberalise further as an adjunct to labour market reforms. Further trade policy liberalisation would bring about important equity and efficiency gains. Multilateral trade liberalisation has the potential to maximise the gains and ease the transition to freer trade for South Africa but unilateral liberalisation also deserves consideration.
This report gives an overview of sensor technology and fields of application of sensors and sensor networks. It discusses in detail selected fields of application that have high potential to reduce greenhouse gas emissions and reviews studies quantifying the environmental impact. The review of the studies assessing the impact of sensor technology in reducing greenhouse gas emissions reveals that the technology has a high potential to contribute to a reduction of emissions across various fields of application. Whereas studies clearly estimate an overall strong positive effect in smart grids, smart buildings, smart industrial applications as well as precision agriculture and farming, results for the field of smart transportation are mixed due to rebound effects. In particular intelligent transport systems render transport more efficient, faster and cheaper. As a consequence, demand for transportation and thus the consumption of resources both increase which can lead to an overall negative effect.
This is a required field
Please enter a valid email address
Approval was a Success
Invalid data
An Error Occurred
Approval was partially successful, following selected items could not be processed due to error