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  • 10 janv. 2008
  • Csilla Bartók, Osamu Onodera
  • Pages : 46
Ce document est la première de quatre études de cas faisant partie d’un programme de recherche plus vaste sur le commerce et l’ajustement structurel dans les économies non membres, programme réalisé dans le prolongement de la publication Les échanges et l’ajustement structurel : les enjeux de la mondialisation (OCDE, 2005), qui répertoriait les politiques à suivre pour réussir un ajustement structurel lié au commerce. Ce document présente l’expérience qu’a connue le Chili depuis 1973 en matière de libéralisation du commerce. Ce rapport se compose de cinq parties principales. La première partie consiste en une introduction. La deuxième traite de la libéralisation du commerce au Chili, processus mené en trois phases : 1) première réforme du commerce (1973-84), 2) réforme du commerce postérieure à un changement de politique temporaire (1985-89), et 3) réforme postérieure à 1990. La troisième partie porte sur l’évolution et la structure des exportations et des importations, et la quatrième sur les transformations survenues dans les secteurs suivants : cuivre, agroalimentaire, bois et produits du bois, textiles et vêtements. La cinquième partie conclut le rapport par un exposé des enseignements tirés de cette expérience. Celle-ci montre qu’une réforme du commerce a été essentielle à l’adaptation des structures incitatives au Chili. Le succès de la libéralisation du commerce engagée au Chili s’explique par plusieurs facteurs importants : un environnement macroéconomique stable, une réforme du commerce qui a commencé par l’élimination des restrictions quantitatives, l’application de taux de droits uniformes, une politique de change cohérente, un cadre institutionnel solide, la primauté du droit, une promotion modérée des exportations, le recours à des capitaux étrangers, et une politique du marché du travail relativement souple.
Anglais
The deployment of RFID brings significant economic promise. But is RFID sufficiently secure and privacy-friendly ? This paper clarifies the capabilities and limitations of RFID, identifies the associated security and privacy challenges, and suggests measures that can be implemented to address them.
Français

Cet article étudie quatre sujets intimement liés : l’accès et l’équité, le rôle et la légitimité du secteur privé émergent soumis aux lois du marché dans l’enseignement supérieur, les relations entre la réforme des services publics en général et le changement au sein de l’enseignement supérieur privé et public, et l’entrepreneuriat du secteur privé émergent dans l’enseignement supérieur. Ces quatre sujets sont particulièrement liés dans les pays en transition où l’ouverture au marché des établissements publics est forte, et dans lesquels les nouveaux établissements privés représentent une part importante des inscriptions d’étudiants.

Anglais

This paper explores four interrelated issues: access and equity, the role and the legitimacy of the emergent, market-driven private sector in higher education, the relationships between reforming public services in general and changing public and private higher education, and entrepreneurialism of the emergent private sector in higher education. The four issues are closely related in those transition countries in which the market orientation of public institutions is strong, and in which new private institutions have considerable share in student enrolments.

Français

Principaux facteurs de l’internationalisation de l’enseignement supérieur, la mobilité des étudiants, la mobilité du personnel et l’offre extraterritoriale ont rapidement progressé au cours des 20 dernières années. Selon une estimation fiable, 6 millions d’étudiants étudieront à l’étranger d’ici à 2020. Les pays anglophones sont les leaders en la matière : quatre pays anglophones proposent ainsi plus de 50 % des programmes impliquant des étudiants étrangers. L’influence des universités qui proposent un enseignement en anglais est également forte dans certaines régions géographiques : 70 % de tous les étudiants asiatiques qui étudient à l’étranger sont accueillis par trois pays anglophones principaux (l’Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni).

Ce phénomène soulève des questions d’équité et de qualité aux niveaux national, institutionnel et individuel. À l’échelle nationale, il est possible que les pays non-anglophones ne soient pas en mesure d’attirer et de conserver « les plus intelligents et les meilleurs ». Au niveau des institutions, cette distorsion du marché par la langue affecte à la fois leur capacité en termes de propriété intellectuelle et leur santé financière. Enfin, la réussite universitaire de l’individu peut être affectée par sa capacité à fonctionner dans une langue et une culture académique étrangères. Les institutions qui ne possèdent pas une politique linguistique solide, des programmes de formation préparatoires adéquates et des structures de soutien continu peuvent de ce fait faire du tort à leurs étudiants en plus de nuire à la qualité de leur enseignement ou à leur image de marque dans le monde. S’appuyant sur les travaux de Hatakenaka (2004), cet article porte sur les questions relatives à l’asymétrie anglophone évoquée ci-dessus et, en particulier, sur les répercussions de cette évolution vers un enseignement en anglais dans les pays non-anglophones. Cet article s’appuie sur des études réalisées à l’Université de Nottingham, à Ningbo, en Chine par le Centre for English Language Education (Centre de l’enseignement en anglais). 
Anglais

Three major drivers of internationalisation in higher education are student mobility, staff mobility and offshore delivery. All have increased rapidly over the last 20 years and a high-end estimate suggests that 6 million students will be studying abroad by 2020. Anglophone countries have dominated this process: four English-speaking countries deliver more than 50% of programmes involving students studying abroad. English-medium universities also have a strong influence in particular geographical regions: 70% of all Asian students studying abroad are received by three main English-speaking countries (Australia, the United Kingdom and the United States).

This leads to questions of equity and quality at national, institutional and individual levels. At national level, non-Anglophone countries may be unable to attract and retain the “brightest and best”. For institutions, the skewing of the market by language affects both intellectual property capacity and financial health. Finally, for the individual, educational achievement may be constrained by the capacity to function in an alien language and academic culture. Institutions without a robust language policy, adequate preparatory training and ongoing support may, therefore, damage more than the quality of teaching or their own global brand. Building on the work of Hatakenaka (2004) this paper discusses the issues involved in the Anglophone asymmetry outlined above. In particular, the implications of the move towards teaching in the medium of English in non-Anglophone countries are outlined. The paper draws on work carried out at the University of Nottingham, Ningbo, China, by the Centre for English Language Education.
Français

Cet examen contient les principales conclusions et recommandations du Comité d’aide au développement et le rapport du Secrétariat. Il a été préparé avec des examinateurs des États-Unis et l’Italie en vue de la réunion d’examen par les pairs du 31 mai 2006. L’examen a salué l’action déterminée que mène le Royaume-Uni pour concourir à la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et porter son aide au développement à 0.7 % du revenu national brut (RNB) d’ici 2013. Le CAD a reconnu l’efficacité et la spécificité du modèle de coopération pour le développement britannique, qui est ancré sur un socle législatif solide et s’articule autour d’un mandat clairement défini dans le cadre d’un programme cohérent conduit sous la direction d’un ministre auquel est attribué un siège au Cabinet. Le Comité a recensé plusieurs améliorations possibles, (par exemple en matière d’approche de travail avec les donneurs, d’identification de priorités pour la cohérence des politiques, d’engagement avec la société civile et de clarification institutionnelle concernant l’aide humanitaire) qui placeraient le Royaume-Uni en bonne position pour relever les défis que constituent l’accroissement du volume de l’aide, le fait d’opérer dans les environnements plus complexes qui prévalent dans les États fragiles et la nécessité d’établir la réalité des résultats obtenus au regard du développement.

Anglais

Cet examen contient les principales conclusions et recommandations du Comité d’aide au développement (CAD) ainsi que le rapport établi par le Secrétariat en liaison avec des examinateurs représentant le Japon et la Suède pour l’examen des Pays-Bas qui a eu lieu le 12 septembre 2006. Le Comité a salué l’attachement indéfectible manifesté par les Pays-Bas à la cohérence des politiques au service du développement et leur volonté persistante de maintenir à un niveau élevé leurs apports au titre de l’aide au développement. Il a constaté que les Pays-Bas portent une grande attention à la qualité de leur aide et recourent à des approches novatrices qui laissent aux pays bénéficiaires le premier rôle dans la conduite du processus de développement. Il a aussi formulé un certain nombre de recommandations (par exemple poursuivre l’effort de concentration géographique et sectorielle de l’aide, veiller à ce que les objectifs de dépenses ne nuisent pas au respect des principes d’efficacité de l’aide, mettre au point une stratégie plus cohérente pour guider leur action à l’appui du développement du secteur privé, élaborer des stratégies globales en matière d’efficacité de l’aide et de conditionnalité) visant à aider les Pays-Bas à pousser plus avant leur effort d’amélioration de l’efficacité de leur programme de coopération pour le développement.

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This review contains the Main Findings and Recommendations of the Development Assistance Committee (DAC) and the report of the Secretariat. It was prepared with examiners from Sweden and Japan for the Peer Review meeting held on 12 September 2006. The review welcomed the Netherlands’ strong commitment to policy coherence for development and to maintaining high levels of development aid. The Committee noted that the Netherlands gives strong attention to issues of aid quality and uses innovative approaches to enable recipient countries to lead their own development agenda. It identified a number of recommendations (e.g. continuing efforts towards geographic and sector concentration, ensuring that spending targets do not jeopardise the principles of aid effectiveness, developing a more coherent strategy with respect to private sector development, and developing overall aid effectiveness and conditionality strategies) to assist the Netherlands in pursuing its efforts to improve the effectiveness of its development co-operation programmes.

Français

This review contains the Main Findings and Recommendations of the Development Assistance Committee (DAC) and the report of the Secretariat. It was prepared with examiners from the United States and Italy for the Peer Review meeting held on 31 May 2006. The review welcomed the United Kingdom’s strong commitment to the Millennium Development Goals and to increase development aid to 0.7% of its Gross National Income by 2013. The Committee recognised the effectiveness of the United Kingdom’s distinctive development co-operation model, characterised by a strong legislative basis, clarity of mission and unified programme under a Cabinet Minister. It identified several opportunities (e.g. new tactics in working with donors, identifying policy coherence priorities, more strategic involvement of civil society, greater institutional clarity around humanitarian aid) to make improvements that would better place UK development co-operation to address the future challenges of scaling up aid volume, moving into more difficult operational environments in fragile states and clearly demonstrating development results.

Français
La littérature récente sur les interventions de banques centrales sur le marché des changes a négligé l’interdépendance potentielle qui peut exister entre ces opérations et la politique monétaire. Pourtant, la question de l’interdépendance se pose même lorsque les économies adoptent un ciblage inflation, en particulier pour les pays émergeants, car les banques centrales se réservent, en général, ouvertement le droit d’intervenir pour calmer les désordres de marché, accumuler des réserves, ou réajuster le niveau du taux de change lorsque celui-ci ne semble pas en phase avec les fondamentaux. Cet article utilise un modèle de friction afin d’estimer une fonction de réaction sur le marché du change et les effets marginaux qui y sont associés pour le Brésil et la République Tchèque, à partir du moment où ces deux pays ont adopté un ciblage d’inflation (i.e., respectivement 1999 et 1998). Les principaux résultats sont que : i) les interventions visent principalement à réduire la volatilité du taux de change dans les deux pays, toutefois, la Banque centrale brésilienne réagit également aux déviations du taux de change par rapport à la tendance de moyen terme ; ii) il y a une forte asymétrie dans le comportement des banques centrales : les interventions sont plus importantes et plus probables lorsque la banque centrale doit déprécier plutôt qu’apprécier sa monnaie ; enfin iii) la politique d’interventions semble être indépendante de la politique monétaire pour le Brésil, alors qu’elles sont liées dans le cas de la République tchèque.
The Nordic countries are characterized by relatively compressed wage structures, implying that the incentives to offshore activities intensive in low-skilled labour might be particularly strong in these countries. In this paper, we document the recent changes in measures of offshoring and find that there has been an overall increase since the mid 1990s but that the experience varies considerably across sectors. We also document the recent trends in wage-bill shares of workers with different levels of educational attainment. As in most industrialized countries, there has been an overall increase in the wage-bill share of highly educated workers, a development that is relatively uniform across sectors. In an econometric analysis we estimate the relationship between offshoring of intermediate input production and labour demand in Sweden, Finland and Norway, distinguishing between workers with different educational attainments. We only find weak relationships. In this sense, the results suggest that the gains from an increased specialisation due to fragmentation of production and the emergence of production networks involving low-wage countries are reaped without any large adverse effects on income distribution. For Sweden, we find that offshoring to low-income countries is associated with a shift in demand towards workers with a relatively high level of education. For Finland, however, it is rather offshoring to high-income countries that is associated with such a shift. Moreover, in the Swedish case the shift is away from workers with upper secondary education whereas in the Finnish case it is away from workers with lower secondary education.
This study describes the changing patterns of intermediate goods trade and foreign direct investment (FDI) in East Asia and investigates the impacts of international outsourcing on the Japanese and the Korean labour markets. The main findings of the paper are as follows. First, intra-regional trade in East Asia grew remarkably during the period 1990-2003. While overall trade with the rest of the world roughly doubled in this period, intra-regional trade in East Asia more than tripled. Second, the main factor behind increased intra-regional trade in East Asia was the trade in intermediate goods through outsourcing and the international fragmentation of production. Third, reflecting the fact that outsourcing to Asia (particularly to China) has a negative impact on the demand for workers with lower education and a positive impact on the demand for workers with higher education, relative wage shares of workers by educational attainment have changed substantially both in Japan and Korea. Fourth, our empirical analysis provides evidence of labour demand shift towards skilled labour in Japanese manufacturing as a result of outsourcing. For Korea, although the overall effects of outsourcing have been insignificant in Korea partly because a substantial part of Korean outsourcing remained directed towards Japan, our results imply that labour demand would shift away from less-skilled workers towards more-skilled workers if outsourcing to China increased and outsourcing to Japan decreased in the future.

La protection de l’environnement et la concurrence sur les marchés sont deux des domaines d’action les plus prioritaires. La table ronde organisée par le Comité de la concurrence en juin 2006 portait sur les restrictions à la concurrence que peuvent créer la protection de l’environnement. Les réglementations environnementales peuvent constituer un obstacle substantiel à l’entrée sur certains marchés, favoriser la prédation sur certains marchés et nuire à la concurrence et au bien-être sous de nombreuses formes. Toute évaluation des coûts et avantages d’une réglementation environnementale en vigueur ou à venir est incomplète sans une analyse des coûts générés par toute restriction à la concurrence qui peut en résulter. En revanche, il n’y a aucune preuve empirique sérieuse que les mesures environnementales aient un impact sur la compétitivité des entreprises et des pays. Idéalement, les politiques de l’environnement devraient être efficaces entre des politiques pareillement efficaces, celle qui est la moins restrictive devrait être choisie par défaut. Les législateurs doivent s’assurer que les avantages tirés de ces politiques restent supérieurs aux coûts, y compris aux coûts indirects liés aux effets sur les structures de marché. Avant toute chose, les politiques de l’environnement visent à protéger certains biens environnementaux pour lesquels s’exprime une demande spécifique et qui sont fondamentaux pour le bon fonctionnement du marché.

Anglais

Traditionnellement, la politique de la concurrence en Suisse était relativement complaisante et peu exigeante. La politique de la concurrence avait donc, au mieux, un impact neutre sur le développement économique. Mais le faible taux de croissance devenant problématique, une conception plus dynamique de la concurrence a été jugée déterminante pour accélérer la croissance. La loi sur les cartels a été révisée en 2003 renforçant ainsi le droit suisse de la concurrence, grâce notamment à l’introduction de sanctions directes pour les violations les plus graves et d’un programme de clémence, se rapprochant ainsi des législations de l’Union européenne et des pays de l’OCDE. La commission suisse de la concurrence a été dotée de pouvoirs bien plus larges pour lutter contre les restrictions privées à la concurrence. La COMCO devra appliquer les nouvelles dispositions fermement et intensifier son action en faveur des réformes réglementaires. Mais sa pleine indépendance se heurte à une série de mécanismes institutionnels. L’autorité suisse de la concurrence ne bénéficie pas du réseau d’information sur lesquelles peuvent s’appuyer les autorités de la concurrence des états membres de l’UE. Il s’y ajoute un manque relatif de ressources. Un marché intérieur performant a besoin d’un renforcement du droit de la concurrence. Les modifications apportées pour durcir la loi sur les cartels et les propositions de réforme en cours d’examen traduisent la détermination de l’État fédéral face à ce problème. Ce rapport a servi de base à un examen par les pairs dans le cadre du comité de la concurrence en 2005.

Anglais

Le Comité de la concurrence (Groupe de travail no 2 sur la concurrence et la réglementation) a organisé en juin 2004 une table ronde sur la concurrence et la réglementation dans l’agriculture : les situations de monopsone et les groupements de vente. Les pratiques d’achat en monopsone et les activités communes de fixation des prix dans le secteur de l’agroalimentaire ont été étudiées avec une attention particulière, surtout sous l’angle de la réglementation et des améliorations que peuvent apporter une législation plus favorable à la concurrence. Les activités communes des producteurs peuvent avoir un certain nombre d’effets positifs comme le lancement d’une marque ou de produits alimentaires qui n’aurait pu être concevable autrement, l’incitation à un mode de production (la production biologique par exemple), ou encore la remise sur quantité grâce à des achats effectués en gros volume. Des difficultés peuvent apparaître lorsque se traduit par la fixation de prix ou d’exigences de qualité et que la concurrence de proches substituts est faible. Les activités communes de producteurs assimilables à une entente ont souvent été soutenues par les autorités, mais elles ne sont pas propres à atteindre les objectifs des pouvoirs publics puisqu’il en résulte souvent une hausse des prix à la consommation et également un renchérissement du foncier qui dépasse alors les revenus des agriculteurs. Les pratiques des achats en monopsone dans le secteur de l’agriculture ont également été examinées. Il peut alors y avoir manipulation des prix par les gros acheteurs. Les autorités de la concurrence jouent un rôle important en faisant en sorte que les agissements des acheteurs n’aboutissent pas à un pouvoir de marché, surtout lorsqu’on se trouve en présence d’un petit nombre de très gros acheteurs et que les vendeurs n’ont guère d’autre choix que d’écouler leurs produits sur un marché très concentré. Mais dans la mesure où les acheteurs souhaitent acquérir certaines productions spécifiques, par exemple certaines variétés de céréales, ils peuvent avoir de bonnes raisons commerciales de préférer une forme de production particulière, de sorte que les produits agricoles ne devraient pas être traités différemment des biens des autres secteurs, qui sont personnalisés en fonction de l’acquéreur.

Anglais
Ce document propose les définitions de l’entrepreneur, de l’entrepreneuriat et de l'activité entrepreneuriale afin d'étayer le développement d'indicateurs statistiques sur l'entrepreneuriat. Le document reconnaît les controverses et différences qui ont existé, et qui continuent à exister, entre universitaires qui se sont confrontés à cette question au cours des deux derniers siècles. Les auteurs adoptent délibérément une approche plus pragmatique basée sur deux principes - pertinence et mesurabilité - ayant pour résultat des définitions élaborées à partir d’une approche ascendante (à partir de données mesurables) et descendante (basée sur les objectifs à atteindre). Les définitions soulignent en priorité la nature dynamique de l'activité entrepreneuriale et se concentrent sur l’action plutôt que sur les intentions ou les conditions de l’offre et de la demande. Le papier conclut avec une vue d’ensemble des implications résultant de ces définitions pour les politiques économiques.
L’entrepreneuriat est devenu un terme incontournable ces dernières années, il est au coeur des préoccupations des décideurs politiques qui soulignent très régulièrement son importance et la nécessité de créer des sociétés plus entrepreneuriales. De même, journaux et émissions télévisées montent fréquemment des sujets autour d'entrepreneurs qui réussissent. Malgré cela, le développement de politiques liées à entrepreneuriat sont souvent entravés par les limites, quoique régulièrement repoussées, de l’information empirique disponible sur l?entrepreneuriat (sa taille, les facteurs l'encourageant et les avantages retirés). Ainsi, l'absence de définition communément admise sur l’essence de l'entrepreneuriat et d'indicateurs comparables au niveau international, laisse les décideurs politiques sans leviers de commande pour développer leur politiques économiques et ce, de façon plus prégnante encore lorsqu'il s'agit d'étudier les meilleurs pratiques internationales. Ces imperfections, ajoutées à l’importance croissante de l’entrepreneuriat sur la scène politique, ont renforcé le besoin de fondements plus solides au niveau international pour des indicateurs sur l'entrepreneuriat. Ce document apporte cette base solide en adoptant une approche holistique. Il rassemble les facteurs qui entravent ou encouragent l?entrepreneuriat (les déterminants) ; les mesures évaluant l'état de l'entrepreneuriat (les indicateurs de performance) ; et les résultats (l'impact économique). Ces trois thèmes structurent le cadre d'analyse et utilisent la définition standardisée de l'OCDE pour l'entrepreneuriat. Pour chacun de ces thèmes nous développons une suite d'indicateurs, donnant ainsi une base d’information statistique à collecter comparable au niveau international.
This paper presents an empirical analysis of the influence of the strength of intellectual property rights (IPRs) on technology transfer to developing nations. The core contribution is to use regression analysis to examine the relationship between various measures of technology transfer and a set of indexes that quantify the strength of IPRs based on laws on the books, while controlling for other factors. For this purpose, the authors have assembled a data set covering a broad international panel of countries for an expanded time frame (1990-2005) in comparison with previous studies on IPRs by the Trade and Agriculture Directorate. Regression analysis is also used to assess the relationship between measures of local innovation and the IPR indexes. The study employs case study analysis of select countries - namely the BRIC countries (Brazil, Russia, India, and China) - to complement the statistical analysis.
This study presents an exploratory analysis of export subsidies in the services field. It draws from a variety of sources in an effort to provide insights into the characteristics and use of these measures. The report, while not generating accurate measures of the extent and effects of export subsidies for services, provides evidence that these measures are used by many countries in the developed and developing worlds to support a wide range of services sectors. The analysis also indicates that broadly speaking the definitions contained in the WTO Agreement on Subsidies and Countervailing Measures (ASCM) are relevant for services. The most important types of export support appear to be direct tax incentives, particularly profit tax exemptions or reductions. Based on the detailed analysis of export subsidies for services, the study then discusses some possible elements of a definition of these measures.
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