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L'ouverture des marchés offre des avantages tangibles. Au cours de la dernière décennie, les pays les plus ouverts aux échanges et à l'investissement ont enregistré une croissance annuelle moyenne deux fois supérieure à celle des économies plus fermées. Les individus, les entreprises et les pays sont plus nombreux que jamais à dépendre des gains de la libéralisation du commerce et de l'investissement. Cependant, l'intégration accrue des marchés suscite toujours de l'inquiétude.
Un engagement durable des pays en faveur de la libéralisation est indispensable pour assurer la prospérité mondiale sur le long terme. Pour être crédible, cet engagement doit être légitimé par un large soutien public, fondé sur la compréhension de ses enjeux. Il est d'autant plus important de faire savoir ce que la libéralisation des échanges et de l'investissement peut ou ne peut pas accomplir et ce dont elle peut être tenue pour responsable.
La libéralisation des échanges et de l'investissement n'est pas un processus indolore. Il ne faut pas la considérer comme une panacée ni comme une fin en soi. Néanmoins, elle constitue une composante essentielle de tout ensemble de politiques cohérent visant à aider les sociétés à s'ajuster -- afin d'en tirer profit -- aux transformations qu'induit le progrès technique, dont le rythme et l'ampleur sont sans précédent.
Face à des enjeux aussi importants, cette publication examine les diverses voies qu'empruntent les marchés ouverts pour dispenser des bénéfices considérables aux sociétés et à leurs citoyens. Elle souligne les coûts monétaires du protectionnisme pour chacun et traite l'ensemble des préoccupations qui occupent une place importante dans le débat actuel sur les conséquences de la libéralisation des marchés pour l'emploi, la répartition du revenu, la protection de l'environnement et la souveraineté nationale.
Cette étude délivre un message essentiel : la libéralisation n'est pas la cause première des inquiétudes des citoyens mais en constitue l'un des remèdes. Cette analyse exhaustive des tenants et des aboutissants de la libéralisation des échanges et de l'investissement devrait apporter une contribution majeure au débat public. Elle constitue une lecture indispensable pour les fonctionnaires, les dirigeants du monde des affaires et les particuliers qui souhaitent y prendre une part active.

Anglais

Le Groupe conjoint de l’OCDE sur les échanges et la concurrence a été créé en 1996 afin de mieux comprendre les problèmes complexes qui se posent à l’interface de ces deux politiques, avec la globalisation des marchés en toile de fond. Il est également chargé d’explorer les meilleurs moyens d’assurer un soutien mutuel des deux politiques en vue d’atteindre une plus grande efficacité économique. Cette publication résulte des activités du Groupe conjoint et elle est la troisième du genre. Elle réunit une série de documents de travail que les autorités de la concurrence et des échanges ont examiné durant les deux dernières années. L’objectif est de faire partager à une audience plus large les progrès sensibles enregistrés récemment par les deux communautés dans l’analyse de questions importantes à l’interface des deux politiques.

Anglais

Cette édition 2001 des Principes de l’OCDE applicables en matière de prix de transfert à l’intention des entreprises multinationales et des administrations fiscales a été substantiellement révisée depuis; voir la version approuvée en juillet 2010.

Cette édition de poche des Principes de l'OCDE applicables en matière de prix de transfert contient la version intégrale des principes en matière de prix de transfert adoptée par les pays membres à l’usage des entreprises multinationales qui transfèrent des biens ou des services d’un pays à l’autre ou au sein d’un seul et même groupe d’entreprises. Ils réaffirment qu’un traitement de pleine concurrence doit être appliqué aux entreprises faisant partie d’un groupe multinational et que pour ce faire, les méthodes transactionnelles traditionnelles doivent être privilégiées. Ces questions controversées n’intéressent pas uniquement les spécialistes de la fiscalité. De fait, les administrations fiscales, les contribuables et les chefs d’entreprises ont tous un rôle à jouer pour éviter la coexistence de règles fiscales contradictoires qui risqueraient d’entraver sérieusement le développement des échanges mondiaux. Les Principes ont été également publiés en classeurs.

Anglais, Turc

L'Accord général sur le commerce des services (AGCS) est l’un des principaux succès de la diplomatie commerciale multilatérale de la fin du 20ème siècle, mais il est au centre des controverses que suscite la politique commerciale en ce début du nouveau millénaire. Comme le prévoyait le « programme incorporé » du cycle d’Uruguay, les négociations menées à l’OMC dans le domaine des services ont officiellement repris le 1er janvier 2000. A mesure que les négociations sur les services ont progressé, l’AGCS est devenu le point de mire d’un certain nombre de groupes de la société civile représentant des intérêts divers. Les arguments avancés à l’encontre de l’AGCS concernent principalement la menace qu’il ferait prétendument peser sur le droit souverain des pays de réglementer la production, la vente, la distribution ou l’importation de services, et d’assurer eux-mêmes la fourniture de services au plan international. Si, pour la plupart, ces arguments reposent sur des malentendus que cette étude vise à corriger, les préoccupations suscitées par l’AGCS, par ses effets sur les services publics et ses conséquences pour la souveraineté nationale et pour le pouvoir de réglementation des autorités n’en sont pas moins bien réelles et ne doivent pas être ignorées. Les négociations en cours offrent précisément aux gouvernements l’occasion de donner à toutes les parties concernées des informations sur le contenu de l’AGCS et sur ce qu’il implique pour les objectifs économiques et sociaux au niveau national. Pour être utile, toutefois, il est indispensable que le débat soit fondé sur des faits et non sur des malentendus. Cette étude a un triple objectif. Premièrement, rappeler les raisons économiques qui sous-tendent la réforme des secteurs de services et le bien-fondé de l’action menée par les pouvoirs publics pour ouvrir les marchés de services par le biais d’une libéralisation des échanges et de l’investissement. Deuxièmement, répondre aux préoccupations suscitées par les effets de l’AGCS en expliquant le fonctionnement de l’accord, les obligations auxquelles souscrivent les membres de l’OMC et les options qui s’ouvrent à eux dans ce contexte. Troisièmement, mettre en lumière quelques-uns des principaux enjeux du cycle actuel de négociations au titre de l’AGCS, en attirant particulièrement l’attention sur les intérêts et les préoccupations des pays en développement et en rappelant les possibilités qu’offre l’AGCS pour jeter les bases d’une réforme des marchés de services propre à favoriser le développement.

Allemand, Anglais

Ce livre examine le rôle des autorités régionales dans la politique commerciale de la Fédération de Russie. Il décrit les principales politiques commerciales régionales, telles les subventions, les taxes et les licences, et leurs conséquences pour les engagements commerciaux internationaux de la Russie. En effet, lorsque la Russie deviendra membre de l'OMC, elle devra veiller à ce que les règlements et pratiques administratives de ses administrations locales soient conformes à ses engagements.

Anglais
Ce livre a pour vocation d’aider les négociateurs à se situer dans le débat international sur la libéralisation des échanges de biens et services environnementaux. Il approfondit l’analyse dans trois domaines : les produits écologiquement préférables, les énergies renouvelables et les produits économes en énergie. Dans chacun des trois chapitres, les auteurs se penchent sur le champ et la définition de ces différentes catégories de produits, examinent les obstacles tarifaires et non tarifaires aux échanges et expliquent les retombées écologiques d’une libéralisation. Le rapport fait suite à un précédent ouvrage publié en 2005 sous le titre Biens et services environnementaux : pour une ouverture des marchés au service de l’environnement et du développement.
Anglais

Les Principes de l'OCDE applicables en matière de prix de transfert fournissent des lignes directrices sur l’application du « principe de pleine concurrence ». Ce principe est le consensus international en matière de prix de transfert, c’est-à-dire pour la valorisation aux fins fiscales des transactions internationales entre entreprises associées. Dans une économie globale où les entreprises multinationales (EMN) jouent un rôle essentiel, les prix de transfert sont un sujet prioritaire pour les administrations fiscales comme pour les contribuables. Les gouvernements doivent s’assurer que les profits imposables des EMN ne sont pas transférés artificiellement hors de leur juridiction et que les bases fiscales déclarées par les EMN dans leur pays reflètent l’activité économique qui y est entreprise. Pour les contribuables, il est essentiel de limiter les risques de double imposition économique qui peuvent résulter d’un différend entre deux pays sur la détermination de la rémunération de pleine concurrence de leurs transactions internationales avec des entreprises associées.

Les Principes de l'OCDE applicables en matière de prix de transfert ont été approuvés par le Conseil de l’OCDE dans leur version originale en 1995. Dans l’édition 2009, des modifications ont été effectuées au chapitre IV, principalement pour refléter l’adoption, dans la mise à jour 2008 du Modèle de convention fiscale, d’un nouveau paragraphe 5 de l’article 25 traitant de l’arbitrage, ainsi que de changements apportés au Commentaire de l’article 25 sur les procédures amiables pour résoudre les différends fiscaux internationaux.

Anglais

Les Principes de l’OCDE applicables en matière de prix de transfert fournissent des lignes directrices pour l’application du « principe de pleine concurrence ». Ce principe est le consensus international en matière de prix de transfert, c’est-à-dire pour la valorisation, aux fins fiscales, des transactions internationales entre entreprises associées. Dans une économie globale où les entreprises multinationales (EMN) jouent un rôle essentiel, les prix de transfert sont un sujet prioritaire pour les administrations fiscales comme pour les contribuables. Les gouvernements doivent s’assurer que les profits imposables des EMN ne sont pas transférés artificiellement hors de leurs juridictions et que les bases fiscales déclarées par les EMN dans leurs pays respectifs reflètent l’activité économique qui y est entreprise. Pour les contribuables, il est essentiel de limiter les risques de double imposition économique qui peuvent résulter d’un différend entre deux pays sur la détermination d’une rémunération de pleine concurrence pour leurs transactions internationales avec des entreprises associées.

Les Principes de l’OCDE applicables en matière de prix de transfert ont été approuvés par le Conseil de l’OCDE dans leur version originale en 1995. Une mise à jour limitée a été effectuée en 2009, principalement pour refléter l’adoption, dans la mise à jour 2008 du Modèle de convention fiscale, d’un nouveau paragraphe 5 de l’article 25 traitant de l’arbitrage, ainsi que de changements apportés au Commentaire de l’article 25 sur les procédures amiables pour résoudre les différends fiscaux internationaux. Dans la version 2010, les chapitres I à III ont été substantiellement révisés, avec de nouvelles indications sur la sélection de la méthode de prix de transfert la plus appropriée aux circonstances d’un cas d’espèce, sur l’application pratique des méthodes transactionnelles fondées sur les bénéfices (méthode transactionnelle de marge nette et méthode du partage des bénéfices) et sur la manière d’effectuer une analyse de comparabilité. De plus, un nouveau chapitre IX sur les aspects prix de transfert des réorganisations d’entreprises a été ajouté. Des modifications de conformité ont été effectuées dans le reste des Principes.

Slovène, Allemand, Serbe, Ukrainien, Espagnol, All
  • 19 sept. 2012
  • OCDE, Organisation mondiale du commerce
  • Pages : 339

Cette publication conjointe de l'OCDE et de l'OMC présente une analyse détaillée des tendances et de l'évolution de l'aide, dont l'objectif est de permettre aux pays en développement de s'intégrer dans l'économie mondiale et de profiter des possibilités commerciales.  Cette analyse s'appuie sur plus de 260 cas d'expérience et 140 auto‑évaluations effectuées par les pays partenaires, les organismes donateurs bilatéraux et multilatéraux, les fournisseurs de coopération Sud‑Sud et les communautés économiques régionales, ainsi que sur les données de l'OCDE relatives à l'aide et sur les conclusions d'évaluations et d'études économétriques. 

Le bilan est positif:  l'aide pour le commerce améliore les conditions de vie d'un grand nombre d'hommes et de femmes dans les pays en développement.  Les cas d'expérience présentent un tableau encourageant des diverses activités relatives au commerce menées dans de nombreux pays en développement avec le soutien de différents donateurs.  De plus en plus, l'aide pour le commerce est intégrée dans les stratégies de développement plus générales, axées sur la compétitivité, la croissance économique et la réduction de la pauvreté.  Les donateurs harmonisent leurs procédures et alignent leur soutien sur ces stratégies.  Les apports d'aide pour le commerce continuent de croître;  ils ont atteint 40 milliards de dollars EU en 2009, soit une augmentation de 60% depuis 2005.

Les pays en développement et les donateurs doivent poursuivre leurs efforts pour améliorer l'efficacité et les résultats de l'aide pour le commerce.  Malgré les progrès accomplis en matière de suivi et d'évaluation conjoints, le renforcement de la responsabilité mutuelle et la gestion de l'aide pour améliorer les résultats dans le domaine du commerce continuent de soulever des difficultés.  Une approche commune simplifiée pour mesurer les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs commerciaux des pays en développement renforcera l'appropriation par les pays, ce qui est essentiel pour que l'aide pour le commerce renforce les capacités commerciales et favorise la croissance économique et le développement.

Espagnol, Anglais
  • 21 nov. 2014
  • OCDE, Organisation mondiale du commerce
  • Pages : 438

Cette publication conjointe OCDE-OMC est un coup de projecteur sur l’Aide pour le commerce visant à évaluer ce qui se passe, ce qui ne se passe pas, et où des améliorations sont nécessaires. L’analyse porte plus particulièrement sur les tendances des politiques, programmes et pratiques dans le domaine de l’Aide pour le commerce. Elle montre que l’initiative Aide pour le commerce produit des résultats tangibles en améliorant les résultats commerciaux et les conditions de vie des gens, en particulier des femmes, dans les pays en développement.
Il ressort du rapport que l’Aide pour le commerce joue un rôle important en permettant aux entreprises des pays en développement de se connecter aux chaînes de valeur et de s’élever dans ces chaînes. En fait, l’émergence des chaînes de valeur renforce la légitimité de l’Aide pour le commerce.
Les parties prenantes continuent à participer activement à l’initiative Aide pour le commerce. L’exercice de suivi de 2013 était basé sur les auto évaluations de 80 pays en développement, 28 donateurs bilatéraux, 15 donateurs multilatéraux et 9 fournisseurs de coopération Sud Sud. À cela s’ajoutaient les avis exprimés par 524 entreprises (fournisseurs) de pays en développement et 173 entreprises dominantes, pour la plupart des pays de l’OCDE.
 

 

Anglais, Espagnol
  • 01 janv. 2017
  • OCDE, Organisation mondiale du commerce
  • Pages : 500

L'Initiative Aide pour le commerce a permis l'engagement actif d'un grand nombre d'organisations et organismes pour aider les pays en développement et, en particulier, les pays les moins avancés à se doter des infrastructures et des capacités d'offre dont ils ont besoin pour se connecter aux marchés régionaux et mondiaux et pour améliorer leurs résultats commerciaux. Le nouveau modèle de développement dans le cadre du Programme de développement pour l'après 2015 exige une approche intégrée pour faire en sorte que l'Aide pour le commerce aboutisse à un développement inclusif et durable. Le fait d'inscrire les coûts du commerce au centre de l'Initiative Aide pour le commerce permet de faire converger les actions menées dans ce domaine par un large éventail de parties prenantes.

La publication conjointe OCDE/OMC intitulée Panorama de l'Aide pour le commerce 2015 explique comment la réduction des coûts du commerce aidera à assurer une croissance économique inclusive et durable. Elle contient des contributions de la Banque mondiale, du Cadre intégré renforcé, du Centre du commerce international, et de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement.

Anglais, Espagnol
  • 09 mars 2017
  • OCDE
  • Pages : 168

Cette publication, issue du Programme d’indicateurs de l’entrepreneuriat OCDE-Eurostat, présente une collection originale d’indicateurs pour mesurer l’état de l’entrepreneuriat et ses déterminants. L’édition 2016 présente les données d’une nouvelle enquête en ligne sur les petites et moyennes entreprises conçue par Facebook en collaboration avec l’OCDE et la Banque Mondiale. Elle contient aussi un chapitre spécial sur la productivité des PME, et des indicateurs permettant de suivre les différences hommes-femmes en matière d’entrepreneuriat.

Anglais
  • 10 juil. 2017
  • OCDE, Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture
  • Pages : 156

Au cours des dix prochaines années, les marchés agricoles devraient continuer à manquer de dynamisme, la croissance chinoise ralentissant et les politiques relatives aux biocarburants étant moins influentes que par le passé. La croissance future de la production végétale devrait provenir principalement de l’augmentation des rendements, et les hausses de production de viande et produits laitiers à la fois de l’accroissement du cheptel et de meilleurs rendements. Les échanges agricoles devraient augmenter plus lentement, mais, par rapport à d’autres secteurs, demeurer moins sensible à la torpeur économique. Ces pressions sur la demande, l’offre et les échanges sont manifestes en Asie du Sud-Est, où ce rapport identifie des possibilités pour améliorer durablement la productivité agricole. On s’attend à ce que les prix réels de la plupart des produits restent stables ou diminuent.

Chinois, Espagnol, Anglais

L’édition 2017 des Principes de l’OCDE applicables en matière de prix de transfert intègre les modifications substantielles apportées en 2016 afin de refléter  les changements et clarifications adoptés dans les rapport de 2015 sur les actions 8-10 (Aligner les prix de transfert calculés sur la création de valeur) et l’action 13 (Documentation des prix de transfert et Déclaration pays par pays) du Projet BEPS. Elle comprend également les orientations relatives aux régimes de protection adoptées en 2013 lesquelles reconnaissent que les régimes de protection bien conçus peuvent alléger la charge en matière de conformité fiscale et procurer une sécurité juridique accrue aux contribuables. Enfin, cette édition comporte également des modifications de conformité qui ont été effectuées par ailleurs dans les Principes de l’OCDE applicables en matière de prix de transfert. Les Principes de l’OCDE applicables en matière de prix de transfert ont été approuvés par le Conseil de l’OCDE dans leur version originale en 1995.

Espagnol, Anglais, Chinois, Tchèque, Turc, All

Le Panorama de l’Aide pour le commerce est axé sur la connectivité commerciale, qui est essentielle pour la croissance économique, l’inclusion et le développement durable. La connectivité physique permet l’acheminement des biens et des services vers les marchés locaux, régionaux et mondiaux. Elle est étroitement liée à la connectivité numérique, qui est fondamentale dans l’environnement commercial actuel. Néanmoins, Internet reste inaccessible pour 3,9 milliards de personnes dans le monde, dont bon nombre vivent dans les pays les moins avancés.
Le présent rapport s’appuie sur l’analyse des coûts du commerce et l’applique au domaine numérique, reflétant ainsi le changement de nature du commerce. Il cherche des moyens d’aider les pays en développement, notamment les pays les moins avancés, à bénéficier des avantages du commerce. Il examine les actions menées par un large éventail de parties prenantes, y compris les gouvernements, leurs partenaires de développement et le secteur privé, afin de promouvoir la connectivité pour un développement durable. Un message ressort clairement du rapport: pour participer au commerce électronique, il faut bien plus qu’une simple connexion Internet. Cette édition de poche contient des extraits des chapitres rédigés par la Banque mondiale, le Cadre intégré renforcé, la CNUCED, l’ITC, l’OCDE, l’OMC, l’UIT, et Business for eTrade Development.

Anglais, Espagnol

Le Panorama de l’Aide pour le commerce est axé sur la connectivité commerciale, qui est essentielle pour la croissance économique, l’inclusion et le développement durable. La connectivité physique permet l’acheminement des biens et des services vers les marchés locaux, régionaux et mondiaux. Elle est étroitement liée à la connectivité numérique, qui est fondamentale dans l’environnement commercial actuel. Néanmoins, Internet reste inaccessible pour 3,9 milliards de personnes dans le monde, dont bon nombre vivent dans les pays les moins avancés.
Le présent rapport s’appuie sur l’analyse des coûts du commerce et l’applique au domaine numérique, reflétant ainsi le changement de nature du commerce. Il cherche des moyens d’aider les pays en développement, notamment les pays les moins avancés, à bénéficier des avantages du commerce. Il examine les actions menées par un large éventail de parties prenantes, y compris les gouvernements, leurs partenaires de développement et le secteur privé, afin de promouvoir la connectivité pour un développement durable. Un message ressort clairement du rapport: pour participer au commerce électronique, il faut bien plus qu’une simple connexion Internet. Cette édition de poche contient des extraits des chapitres rédigés par la Banque mondiale, le Cadre intégré renforcé, la CNUCED, l’ITC, l’OCDE, l’OMC, l’UIT, et Business for eTrade Development.

  • 22 févr. 2018
  • OCDE
  • Pages : 148

La publication est produite par le Programme d'indicateurs de l'entrepreneuriat OCDE-Eurostat sur la base de données officielles. L'édition 2017 inclut un chapitre sur les nouvelles tendances, qui présente également les développements récents liés à l'émergence des « travailleurs à la demande » et à l'utilisation des outils numériques par les microentreprises.

Anglais
  • 03 juil. 2018
  • OCDE, Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture
  • Pages : 124

Cette quatorzième édition conjointe des Perspectives agricoles de l’OCDE et de la FAO présente des projections sur les principaux produits agricoles, les biocarburants et la pêche. Elle comprend un chapitre spécial sur les perspectives et les enjeux auxquels seront confrontés les secteurs agricole et halieutique dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord.

Les marchés agricoles mondiaux ont considérablement évolué depuis la flambée des prix alimentaires de 2007‑08 : la production a fortement progressé, tandis que la croissance de la demande a commencé à ralentir. Dans la décennie à venir, les prix agricoles réels devraient rester bas, du fait d’une augmentation réduite de la demande mondiale de produits destinés à l’alimentation humaine et animale. De manière générale, les exportations nettes augmenteront dans les pays et régions riches en terres, notamment dans les Amériques. Les pays dotés de ressources naturelles limitées, où l’expansion de la production est lente et dont la croissance démographique est forte connaîtront une hausse de leurs importations nettes. D’après les projections, la dépendance à l’égard des importations devrait s’accroître en particulier dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord où la rareté de l’eau et des terres arables pèse sur la production agricole.

Italien, Chinois, Espagnol, Anglais
  • 10 juil. 2018
  • OCDE
  • Pages : 224

Ce rapport est le 31e de la série de rapports qui suivent et évaluent l’évolution des politiques agricoles à travers différents pays, et le 6e qui inclut à la fois tous les 35 pays de l’OCDE, les six états de l’Union européenne qui ne sont pas membres de l’OCDE, et un certain nombre d’économies émergentes : Afrique du Sud, Brésil, République populaire de Chine, Colombie, Costa Rica, Kazakhstan, les Philippines, Fédération de Russie, Ukraine et Viet Nam. Ce rapport annuel est une source unique d’information sur le soutien actuel à l’agriculture et utilise un système cohérent de mesure et de classification du soutien agricole – les estimations du soutien aux producteurs et aux consommateurs (ESP et ESC), l’estimation au soutien aux services d’intérêt général (ESSG), et les indicateurs connexes. Ceux-ci offrent une bonne compréhension des politiques agricoles dont la complexité va croissant et servent de base à leur suivi et à leur évaluation. Des données plus détaillées et la documentation des calculs du soutien sont aussi disponible en ligne sur www.oecd.org/agriculture/PSE.
La version complète des chapitres par pays ainsi que l’annexe statistique, qui contient des tableaux détaillés des indicateurs de soutien à l’agriculture ne sont disponibles que sous leur forme électronique sur https://doi.org/10.1787/agr_pol-2018-fr.

Anglais
  • 07 nov. 2018
  • OCDE, Union européenne, Fondation européenne pour la formation
  • Pages : 192

Ce rapport présente une analyse approfondie des principales réformes entreprises entre 2014 et 2018 pour promouvoir le développement des très petites, petites et moyennes entreprises dans huit économies du Sud du Bassin méditerranéen (Algérie, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Maroc, Autorité Palestinienne et Tunisie).

Le rapport se concentre sur cinq domaines stratégiques pour l’élaboration des politiques en faveur des PME : les définitions des PME, les statistiques et les institutions, mais aussi comment améliorer l'environnement des affaires pour les PME et les entrepreneurs, favoriser l'accès au financement et soutenir les start-ups et la croissance des PME, sans oublier bien sûr le développement du capital humain entrepreneurial.

Le rapport vise à présenter des bonnes pratiques et à indiquer les domaines dans lesquels des efforts supplémentaires sont nécessaires. Il fournit des conseils précieux aux gouvernements, aux organisations du secteur privé, aux organismes multilatéraux et aux autres parties prenantes. Il s’agit de redoubler d’efforts afin de soutenir les PME, qui sont autant de vecteurs essentiels de l’emploi et de la compétitivité. Cela est particulièrement pertinent dans une région qui s'efforce de stimuler la diversification économique, la création d'emplois et l'inclusion des jeunes et des femmes dans l'économie.

Ce rapport est le fruit d’une collaboration étroite entre les gouvernements, l'OCDE, la Fondation européenne pour la formation et la Commission européenne.

Anglais, Arabe
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