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Cet ouvrage analyse les défis auxquels l’économie chinoise est confrontée en matière de libéralisation des échanges et de l’investissement. Après plus de deux décennies de réforme de ses marchés et de libéralisation des échanges et de l’investissement, la Chine aborde, en entrant à l’Organisation mondiale du commerce, une nouvelle étape de son intégration dans l’économie mondiale. Cette étude, qui sera appelée à faire date, se fonde sur l’expérience acquise par les pays Membres de l’OCDE au cours des 50 dernières années et sur les importants travaux menés par l’OCDE en coopération avec les économies non membres du monde entier. On y trouvera un panorama exhaustif des multiples enjeux de la politique économique intérieure chinoise ainsi qu’une série de recommandations spécifiques. Liste des thèmes : La politique agricole et ses perspectives L’industrie en milieu rural Les répercussions sur l’économie rurale Le panorama des perspectives industrielles Les priorités de réorganisation et de restructuration de l’industrie Les défis technologiques de l’industrie Les défis du secteur bancaire Le développement du secteur de l’assurance Les perspectives du secteur de la distribution La politique de l’investissement direct étranger et ses perspectives La réforme réglementaire du point de vue de l’OCDE Le rôle de la politique et de la législation en matière de concurrence L’élaboration d’un système de gouvernance efficace pour les entreprises Le développement du système financier et de la réglementation financière Les priorités du développement des marchés de capitaux Le marché du travail et le système de prestations sociales Les priorités environnementales pour un développement durable Le système fiscal et les priorités de réforme La gestion des budgets publics Les relations fiscales entre l’administration centrale et les collectivités locales La politique du développement régional et ses perspectives Les priorités de la politique macro-économique Annexe 1 : Résumé des engagements de la Chine vis-à-vis de l’OMC Annexe 2 : Résumé des études de l’incidence de l’accession de la Chine à l’OMC sur l’économie chinoise Cette étude s'inscrit dans le cadre des relations de coopération que l'OCDE entretient avec les économies non membres de diverses régions du monde.

Anglais
  • 07 juin 2002
  • Byung-Hwa Lee
  • Pages : 160

L’expérience acquise par la Corée en matière d’investissement direct à l'étranger montre que les avantages secondaires de ce type d’investissement -- transfert de connaissances et de personnel d’encadrement, pénétration de marchés et amélioration des compétences -- peuvent être importants pour les entreprises considérées isolément. De plus, la solidité accrue qu’en tirent ces entreprises contribue à la vigueur et à la stabilité de l’économie dans son ensemble. S’il est vrai que l’investissement direct en provenance de l’étranger procure des avantages analogues, l’investissement à l’étranger -- issu de l'initiative légitime de l’entreprise nationale -- est intégré dans les plans et stratégies industriels et commerciaux existants et participe par conséquent d’une politique plus volontariste.

Aucune expérience n’est directement transposable d’un pays à un autre, mais le cas de la Corée montre que les autres économies émergentes auraient beaucoup à gagner de l’investissement direct à l’étranger et que les coûts initiaux liés à la perte d’investissement intérieur sont largement compensés par les avantages procurés à moyen terme.

Anglais
  • 25 avr. 2002
  • OCDE, Banque asiatique de développement
  • Pages : 236

Si la coordination et l'intégration régionales ne sont pas la panacée, elles pourraient bien être les clés de l'intégration tant attendue des pays africains dans l'économie mondiale. C'est du moins l'une des conclusions du deuxième Forum international sur les perspectives africaines, organisé conjointement par la Banque africaine de développement et le Centre de développement de l'OCDE en février 2001, et à l'occasion duquel les économistes de l'Afrique et de l'OCDE ont débattu des perspectives de coopération régionale sur ce continent.

Même si nombre d'autres facteurs doivent être pris en compte, les approches régionales - si tant est qu'elles soient doublées de réformes nationales - peuvent constituer une réponse efficace à la mondialisation. Ou plutôt, du fait de la position marginale des pays africains par rapport à l'économie mondiale, les initiatives régionales sont peut-être la seule solution durable aux défis économiques, politiques et sociaux, lancés par la mondialisation. 

Anglais

Cet ouvrage présente une synthèse des conclusions et des recommandations de La Chine dans l’économie mondiale : les enjeux de politique économique intérieure. Après plus de deux décennies de réforme de ses marchés et de libéralisation des échanges et de l’investissement, la Chine aborde, en entrant à l’Organisation mondiale du commerce, une nouvelle étape de son intégration dans l’économie mondiale. La Chine dans l’économie mondiale se fonde sur l’expérience acquise par les pays Membres de l’OCDE au cours des 50 dernières années et sur les importants travaux menés par l’OCDE en coopération avec les économies non membres du monde entier. On trouvera dans cette synthèse un panorama des multiples enjeux de la politique économique intérieure chinoise ainsi qu’une série de recommandations spécifiques. Liste des thèmes : La politique agricole et ses perspectives L’industrie en milieu rural Les répercussions sur l’économie rurale Le panorama des perspectives industrielles Les priorités de réorganisation et de restructuration de l’industrie Les défis technologiques de l’industrie Les défis du secteur bancaire Le développement du secteur de l’assurance Les perspectives du secteur de la distribution La politique de l’investissement direct étranger et ses perspectives La réforme réglementaire du point de vue de l’OCDE Le rôle de la politique et de la législation en matière de concurrence L’élaboration d’un système de gouvernance efficace pour les entreprises Le développement du système financier et de la réglementation financière Les priorités du développement des marchés de capitaux Le marché du travail et le système de prestations sociales Les priorités environnementales pour un développement durable Le système fiscal et les priorités de réforme La gestion des budgets publics Les relations fiscales entre l’administration centrale et les collectivités locales La politique du développement régional et ses perspectives Les priorités de la politique macro-économique Annexe 1 : Résumé des engagements de la Chine vis-à-vis de l’OMC Annexe 2 : Résumé des études de l’incidence de l’accession de la Chine à l’OMC sur l’économie chinoise Cette étude s'inscrit dans le cadre des relations de coopération que l'OCDE entretient avec les économies non membres de diverses régions du monde.

Portugais, Chinois, Anglais

L’évaluation est un outil majeur pour l’amélioration de la qualité et l’efficacité de la coopération pour le développement. Le groupe de travail du Comité d’Aide au Développement (CAD) sur l’évaluation de l’aide constitue le seul forum international où les experts bilatéraux et multilatéraux dans le domaine de l’évaluation se réunissent régulièrement. Ses Membres cherchent à améliorer les pratiques employées et à profiter des leçons pouvant émaner des activités et des expériences dans le domaine de la coopération pour le développement. La série ‘L'évaluation et l'efficacité de l'aide’ a été lancée afin de partager certains travaux avec un public plus large. Les évaluations conjointes associant plusieurs donneurs offrent des possibilités mais posent aussi des problèmes. La collaboration qu’implique ce type d’évaluation mérite une attention et un traitement particuliers. Le présent guide décrit les principales mesures à prendre lors des phases de planification et de mise en oeuvre. Il s’appuie sur l’expérience acquise dans le cadre de divers types d’évaluations associant plusieurs donneurs, dont certaines ont été menées à bien par le Groupe de travail du CAD sur l’évaluation de l’aide et d’autres par des organisations multilatérales telles que l’UNICEF, ou plus récemment les programmes d’aide de la Commission européenne et le FENU. Des enseignements ont également été tirés d’évaluations conjointes réalisées par les pays nordiques. La version papier de ce rapport est disponible gratuitement auprès de la Direction de la coopération pour le dévelppement ; pour obtenir un exemplaire, prière d’envoyer un email à: [email protected]

Anglais

L’évaluation est un outil majeur pour l’amélioration de la qualité et l’efficacité de la coopération pour le développement. Le groupe de travail du Comité d’Aide au Développement (CAD) sur l’évaluation de l’aide constitue le seul forum international où les experts bilatéraux et multilatéraux dans le domaine de l’évaluation se réunissent régulièrement. Ses Membres cherchent à améliorer les pratiques employées et à profiter des leçons pouvant émaner des activités et des expériences dans le domaine de la coopération pour le développement. La série ‘L'évaluation et l'efficacité de l'aide’ a été lancée afin de partager certains travaux avec un public plus large. Ces conseils s’adressent aux personnes qui interviennent lors de la commande, de la conception et de la gestion des évaluations portant sur les programmes d’aide humanitaire principalement au sein des organismes donneurs, mais ils peuvent également être utiles aux institutions des Nations Unies, aux ONG et autres organismes spécialisés dans l’aide humanitaire. Ils n’ont pas la prétention de servir comme base de référence unique car d’autres textes spécialisés existent. Ils visent plutôt à compléter les principes existants du CAD pour l’évaluation de l’aide, mettant l’accent sur les domaines qui méritent une attention toute particulière, la nature des activités entreprises et le réseau multi-acteurs, aux composantes étroitement liées les unes aux autres, par lequel la communauté internationale apporte son assistance humanitaire. La version papier de ce rapport est disponible gratuitement auprès de la Direction de la coopération pour le dévelppement ; pour obtenir un exemplaire, prière d’envoyer un email à: [email protected]

Anglais
  • 30 nov. 2001
  • OCDE
  • Pages : 153

Les pays en développement, avec le soutien des institutions multilatérales, des donneurs bilatéraux et des organisations de la société civile, s’emploient plus que jamais à atteindre un objectif de développement prioritaire : réduire la pauvreté de moitié avant 2015. L’ensemble des efforts d’aide au développement s’articule désormais autour de stratégies de lutte contre la pauvreté, définies et conduites par les pays eux-mêmes sur la base des besoins locaux et des priorités locales tels que les perçoivent les intéressés. Les lignes directrices du CAD pour la réduction de la pauvreté fournissent des informations concrètes sur la nature de la pauvreté ainsi que sur les approches, politiques, instruments et voies qui se sont, dans la pratique, révélés les plus efficaces pour la combattre. Ces Lignes directrices abordent également des rivages encore inexplorés. En effet, elles énoncent les conditions indispensables à la mise en place de partenariats efficaces entre les gouvernements, la société civile et d’autres acteurs du développement. Et elles montrent comment des changements et des améliorations d’ordre institutionnel au sein des organismes d’aide eux-mêmes peuvent contribuer à une prise en compte systématique des exigences liées à la lutte contre la pauvreté, au partenariat et à la cohérence des politiques.

Allemand, Anglais
  • 11 oct. 2001
  • Jean-Claude Berthélemy, Jean-Michel Salmon, Ludvig Söderling, Henri-Bernard Solignac-Lecomte
  • Pages : 244

L'Afrique émergente part d'une conviction profonde : sans décollage de la croissance, la pauvreté ne pourra être réduite dans les pays les moins développés. Cet ouvrage analyse les facteurs du regain de dynamisme de certaines économies africaines dans les années 90. En effet, plusieurs pays africains tentent de relever un défi : mettre en place les trois piliers d'une croissance durable (accumulation du capital, gains de productivité et réformes institutionnelles) afin de s'attaquer à la pauvreté à long terme.
Les auteurs identifient les pays qui sont en passe de réussir leur décollage économique, et analysent, à partir d'études de cas, les politiques qui ont été adoptées pour approfondir le processus de réforme. Ces dernières s'appliquent aussi bien aux pays africains émergents qu'à ceux qui cherchent à les rejoindre.

Anglais
  • 03 sept. 2001
  • Angus Maddison
  • Pages : 400

Angus Maddison présente un panorama complet de la croissance et des niveaux de la population mondiale depuis l’an Mil lorsque les pays riches d’aujourd’hui étaient plus pauvres que l’Asie et l’Afrique. L’écart entre les États-Unis -- et la région la plus pauvre -- l’Afrique -- est à présent de 20 pour 1. L’auteur s’efforce de chiffrer la performance économique des nations sur le très long terme et  entreprend d’identifier les facteurs qui expliquent la réussite des pays riches et d’explorer les obstacles qui ont freiné le parcours des pays qui n’ont pas connu la même progression. Il analyse l’interaction entre les nations riches et les autres pour évaluer la part de l’exploitation dans cette relation. Ce livre est un magistral ouvrage de référence. Il est absolument indispensable à tous les spécialistes de l'économie et de l'histoire de l’économie, tandis que le lecteur occasionnel y découvrira des analyses fascinantes. Pour plus d’informations, visitez notre site www.theworldeconomy.org .

Allemand, Anglais
  • 28 févr. 2001
  • OCDE, Club du Sahel et de l'Afrique de l'Ouest
  • Pages : 48

L’intégration économique de l’Afrique de l’Ouest est un objectif politique important pour tous les États de la région. Les milieux économiques l’appellent également de leurs voeux. Le poids du Nigeria, qui représente à lui seul près de 50% de l’économie régionale, les contraintes multiples qui pèsent sur les échanges formels, et les barrières linguistiques sont autant de raisons qui conduisent les acteurs économiques des pays voisins à nourrir autant d’espoirs que de craintes en ce qui concerne le développement de leurs relations avec leur puissant voisin.
Les perspectives commerciales entre le Nigeria et ses voisins, étude réalisée à la demande du Club du Sahel par le Laboratoire d’Analyse Régionale et d’Expertise Sociale (LARES) basé à Cotonou, fait le point sur le sujet. Cette étude décrit les échanges encore très largement informels de la région, analyse les obstacles qui freinent leur croissance et esquisse des perspectives.
Volontairement présentée sous la forme d’une série de « fiches » concises mais documentées, cet ouvrage intéressera tous ceux qui, dans la sphère publique comme dans la sphère privée, pensent que le développement du commerce régional est une réponse nécessaire à la mondialisation. Les perspectives commerciales entre le Nigeria et ses voisins a déjà servi de base de travail lors d’un séminaire d’hommes d’affaires anglophones et francophones organisé par le Club du Sahel et le Réseau des Entreprises d’Afrique de l’Ouest à Cotonou en décembre 2000.

Anglais

Le temps où les ONG étaient confinées dans un monde d' "amateurs" est révolu : bon nombre d'entre elles ont désormais des activités éminemment professionnelles. Cette analyse statistique montre qu'il existe, dans les pays européens, des milliers d’ONG oeuvrant pour le développement et disposant d’un budget à concurrence de 7.3 milliards de dollars. En s’appuyant sur un grand nombre de tableaux et de graphiques ainsi que sur des analyses détaillées par pays, l’auteur présente la toute première étude de ce qui est devenu un véritable phénomène de la fin du XXe et du début du XXIe siècle. Rapportés à l’ensemble des membres du Comité d’aide au développement de l’OCDE, les résultats de cette étude laissent entendre que le revenu des ONG s’élèverait au total à près de 16 milliards de dollars, soit trois fois le montant estimé par des organisations telles que la Banque mondiale. Selon les pays, les fonds publics peuvent représenter jusqu’à la moitié de ce revenu, ce qui signifie que les ONG sont devenues des partenaires incontournables des pouvoirs publics dans le domaine du développement.

Anglais
  • 24 juil. 2000
  • Centre de développement de l'OCDE
  • Pages : 216

L'intégration des nouvelles économies émergentes dans l'économie mondiale pose des défis considérables aux pays de l'OCDE, qui doivent s'adapter à une concurrence croissante, mais aussi aux économies émergentes elles-mêmes, qui doivent se doter des politiques et des structures nécessaires pour s'affirmer sur le marché mondial. La crise financière qui a frappé les nouvelles économies émergentes d'Asie au cours de l'été 1997 a montré qu'il reste beaucoup à faire pour résoudre ces problèmes de manière satisfaisante. D'où la nécessité d'un dialogue accru, à l'échelle nationale comme sur la scène internationale, pour réformer les politiques et éviter les crises dans les pays émergents, afin de prévenir ainsi leurs répercussions dans les pays industrialisés.
Cet ouvrage participe à cet effort en abordant des questions aussi diverses et complémentaires que les perspectives d'intégration de l'économie mondiale; le financement de la réforme économique; la création d'emplois et la lutte contre la pauvreté; ou le rôle des institutions dans le développement économique. Ces grandes lignes de réflexion s'appuient notamment sur les expériences menées dans les Nouveaux pays industrialisés d'Asie : en Corée, en Chine et en Inde. Au total, un tour d'horizon vaste et documenté des grands problèmes qui devront être réglés pour faciliter l'intégration des nouvelles économies émergentes dans l'économie mondiale.
[Cet ouvrage rassemble les contributions présentées lors d'une Conférence organisée conjointement à Séoul par le Centre de Développement de l'OCDE, l'Institut coréen pour le développement et le Centre international pour le développement économique.]

Anglais
  • 19 mai 2000
  • OCDE, Banque africaine de développement
  • Pages : 212

Comment définir une économie « émergente » ? A cette question, L’Afrique : réforme et croissance fournit des réponses qui apportent un nouvel éclairage sur la diversité du continent africain. La dynamique de la croissance ne saurait se mesurer uniquement en termes économiques. La gouvernance, l’efficacité et le caractère démocratique des institutions ainsi qu’un climat propice aux affaires sont autant d’indicateurs essentiels de la croissance. Toutes ces questions sont liées aux politiques menées ; ainsi, et c’est la conclusion marquante de cet ouvrage (qui s'inscrit en faux contre l’« afro-pessimisme » ambiant), les politiques sont de véritables leviers pour la croissance. Il n’y a donc pas de « mystère africain », mais seulement des politiques déficientes et une mauvaise gouvernance. L’Afrique : réforme et croissance participe à un effort plus général visant à rétablir une situation économique saine dans les pays africains, ce qui ne sera possible qu'en exploitant les expériences nationales et en mettant en oeuvre des réformes adéquates. Cet ouvrage comprend les contributions présentées lors de la première édition du Forum International sur les Perspectives Africaines, qui s’est tenu à Paris en février 2000. Le forum a été créé par la Banque Africaine de Développement et le Centre de Développement de l’OCDE comme un lieu de rencontre annuelle entre les pays africains et les pays de l’OCDE dans le but d’échanger idées et stratégies. L’objectif du Forum est de permettre aux partenaires de mettre en commun leurs expériences et leurs connaissances afin d’exploiter au mieux leurs atouts spécifiques pour trouver des solutions aux problèmes économiques de l’Afrique. Le Forum propose aussi une réunion ouverte pour « tester » ces idées devant un large public venant de domaines aussi divers que la politique, l’administration, le monde universitaire, les médias et les milieux d’affaires.

Anglais
  • 13 sept. 1999
  • Centre de développement de l'OCDE
  • Pages : 284

Ce bilan des expériences d'un grand nombre de pays Membres et non membres de l'OCDE en matière de décentralisation budgétaire est riche d'enseignements pour les deux groupes de pays. Il en ressort que le groupe des pays non membres de l'OCDE semble souvent confondre décentralisation fiscale et suppression du contrôle par les autorités centrales des finances infranationales. C'est une erreur ; une telle équation peut conduire à des comportements budgétairement irresponsables de la part des autorités locales, à une détérioration des situations budgétaires aux deux niveaux, et à un surcroît de coût en raison de l'existence d'institutions faisant double-emploi. Autre conclusion, on n'a pas accordé suffisamment d'attention aux mesures à prendre pour augmenter les recettes des collectivités locales, par opposition aux transferts émanant d'autres niveaux d'administration.
La question de la décentralisation budgétaire dans les économies émergentes revêt une importance particulière parce qu'elle découle en partie d'un désir d'améliorer la démocratie et la responsabilisation à l'échelle locale. Toutefois, la répartition des responsabilités doit s'effectuer dans une atmosphère de transparence, et une bonne rationalisation des choix budgétaires suppose des compétences techniques. Il faut accorder une grande attention à l'approvisionnement des revenus et au contrôle efficace des dépenses. Enfin, les dépenses locales doivent correspondre aux revenus disponibles sans faire pression sur les ressources de l'administration centrale.

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  • 16 mars 1999
  • OCDE, Banque asiatique de développement
  • Pages : 224

La mondialisation rapide a été particulièrement bénéfique aux pays d'Asie en développement, mais elle a également accru les risques liés aux erreurs de politique économique, à la faiblesse des institutions financières et à une mauvaise gestion des affaires publiques et privées. La crise asiatique de 1997 a montré à quel point il est urgent de revoir le rythme et l'ampleur de la libéralisation financière. La poursuite de l'ouverture des systèmes financiers asiatiques serait-elle propice ou au contraire préjudiciable à la stabilité financière ? Quelles réformes structurelles les économies émergentes devraient-elles mettre en oeuvre pour garantir la transformation des flux de capitaux en investissements productifs ? De quelles exigences, notamment réglementaires, doit s'accompagner une libéralisation financière plus poussée ? Et quelle part les organisations internationales et le secteur privé devraient-ils prendre à la résolution de la crise ?
Cet ouvrage tente de répondre à ces questions en examinant les causes profondes de la crise financière asiatique et en proposant quelques approches constructives pour la résoudre. Cette publication fait suite au quatrième Forum sur les perspectives asiatiques organisé conjointement par la Banque asiatique de développement et le Centre de Développement de l'OCDE.

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  • 25 sept. 1998
  • Angus Maddison
  • Pages : 214

L'originalité de cet ouvrage réside dans la profondeur de champ de l'analyse. Utilisant une approche comparative, l'auteur explique pour quelles raisons le rôle de la Chine dans l'économie mondiale a considérablement fluctué au cours du dernier millénaire. D'ici 2015, la Chine devrait retrouver la place de première puissance économique mondiale qui lui revient naturellement et fut la sienne jusqu'à la fin du XIXe siècle.
Cette étude réévalue l'ampleur et le sens du renouveau de l'économie chinoise depuis une cinquantaine d'années en recourant à des techniques quantitatives couramment utilisées dans les pays de l'OCDE mais qui, jusqu'ici, n'avaient pu être appliquées à la Chine.
Rédigé par l'auteur de nombreux travaux d'histoire économique comparée, dont deux best-sellers du Centre de Développement de l'OCDE, cet ouvrage est indispensable pour tous ceux qui souhaitent comprendre le rôle passé, présent et futur de la Chine dans l'économie mondiale.

Anglais
  • 06 sept. 1998
  • Centre d’Etudes Prospectives et d’Informations Internationales, OCDE
  • Pages : 240

L'analyse comparative de la transition dans les pays d'Europe centrale et en République populaire de Chine met en évidence des similitudes et des différences souvent assimilées, à tort, à des approches différentes du même problème. En fait, l'environnement propre à ces deux grandes régions (puisque la Chine, par sa taille, constitue à elle seule une région), tout comme leur situation interne, renvoient à des réalités d'une extrême complexité qui rendent le processus de transition également complexe.
Cet ouvrage se compose de chapitres initialement conçus comme des documents distincts et préparés pour la Conférence conjointe du Centre de développement de l'OCDE, du CEPR et du CEPII à Budapest. Ils analysent et comparent le processus de transition dans les différents régimes de droit en question. Les auteurs examinent en particulier trois grands domaines d'intérêt commun : les finances publiques, le régime des échanges avec l'extérieur et l'intermédiation financière et un chapitre critique synthétise leurs conclusions à la fin de chaque partie. Leur analyse fait apparaître des différences, certes, mais aussi des similitudes, à partir desquelles il est possible de dégager des conclusions générales en matière de politique économique applicables à toutes les sociétés en transition.

Anglais
  • 29 juil. 1998
  • OCDE
  • Pages : 164

L'intérêt pour le concept de société civile connaît un renouveau remarquable. Dans le domaine de la théorie politique, ce concept est actuellement considéré comme un instrument pouvant permettre de sortir de certaines impasses théoriques et politiques. Mais que signifie ce concept ? La société civile peut-elle réellement faire office de contrepoids face à des pouvoirs publics qui ont perdu le contact avec la population ? Sans doute convient-il d'adapter le concept occidental de société civile lorsque celui-ci s'applique aux économies en développement où des facteurs et des valeurs culturels différents entrent en jeu.
Cet ouvrage relève un défi : il définit le rôle de la société civile dans le promotion des objectifs de développement au sein même des sociétés en développement. Il compare les activités et les attitudes des différents éléments de la société civile dans le processus de développement et montre comment ceux-ci peuvent gagner en efficacité. Il montre également que les pouvoirs publics ne devraient pas essayer de remplacer leurs propres activités de développement par celles de la société civile.

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