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Le Panorama de l’aide au développement 2008 est une publication globale qui présente de nombreux aspects des statistiques de l’aide par région. Pour chaque continent, il fournit 40 tableaux et graphiques décrivant l’aide par donneur et pays bénéfi ciaire ainsi que sa répartition par secteur, complétés par de courts textes présentant les divers aspects de l’aide au développement dans chaque région. Il se concentre également sur les efforts fournis dans les domaines de l’eau, la santé et l’éducation, qui sont en rapport étroit avec les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).

Avec chaque tableau, la publication propose un lien dynamique (StatLink) qui dirige l’utilisateur vers une page Internet où les données correspondantes sont disponibles sous format Excel. Le Panorama de l’aide au développement 2008 est une référence pour quiconque s’intéresse à la question de l’aide.

The Internet has been remarkably successful in developing greater opportunities for communication access - and economic growth and social development - for the first billion users. The majority of the next several billion users will be mainly from developing countries and will connect to the Internet principally via wireless networks. But there are substantial discrepancies in access to ICTs between developed and developing countries and also within countries, depending on factors such as gender, rural coverage, skills and educational levels.

 

This book examines how the market for internet traffic exchange has evolved and explores the coherence of policies pursued by developed and developing countries. It notes the increasing innovation occurring in a number of developing countries with competitive markets and discusses how liberalisation has helped to expand of access networks and make ICT services increasingly affordable and available to the poor. The report also highlights the employment, micro-entrepreneurial and social development opportunities which have emerged as access levels have risen among low-income users. The study notes that gateway service monopolies - still in 70 countries -  raise the prices for accessing international capacity and reduce the affordability of Internet access to business and end users.

La Déclaration de Paris de 2005 sur l’efficacité de l’aide définit les principes et les engagements que les donneurs et les pays en développement sont déterminés à suivre pour contribuer à la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement comme à d’autres objectifs de développement approuvés à l’échelle internationale. Ce rapport est un examen à mi-parcours des progrès accomplis dans la concrétisation de ces engagements. Il s’appuie sur de nombreuses sources, dont l’Enquête 2008 de suivi de la mise en œuvre de la Déclaration de Paris et le Rapport de synthèse de l’évaluation.

La Partie I met en lumière les principaux enseignements et messages qui se dégagent des progrès réalisés à ce jour. La Partie II rend compte des engagements pris au titre des cinq Principes de partenariat se rapportant à l’appropriation, l’alignement, l’harmonisation, la gestion axée sur les résultats et la responsabilité mutuelle. Elle traite également de quatre sujets revêtant un intérêt fondamental : les perspectives au niveau sectoriel, le rôle des organisations de la société civile, les situations de fragilité et de conflit, et la nouvelle architecture de l’aide.

América Latina está volviendo los ojos hacia China y Asia, y éstas le corresponden. Se trata de un cambio signi­cativo: por primera vez en su historia, América Latina puede bene­ciarse no de uno, sino de tres importantes motores del desarrollo mundial. Hasta la década de los ochenta, Estados Unidos era el mayor socio comercial de la región. En los noventa, un segundo motor de desarrollo surgió con el boom de la inversión europea en América Latina. Ahora, en los albores del nuevo siglo, la creciente in‑uencia económica global de Asia, y en particular la de China, supone un potencial tercer motor de desarrollo.

Este libro plantea las oportunidades y los retos que las economías latinoamericanas enfrentarán a medida que aumente la preponderancia de China en la economía mundial y en los mercados tradicionales de América Latina.

The international financial crisis increases the relevance of this annual publication jointly published by the African Development Bank, the OECD Development Centre and the United Nations Economic Commission for Africa (UNECA). Decision makers in African and OECD countries, such as aid agencies, investors, NGOs and government officials of aid-recipient countries, will all find the analysis critical to their activities.

The African Economic Outlook 2009 reviews the recent economic situation and predicts the short-term evolution of 47 African countries which account for 99% of the continent's economic output and 97% of its population. The Outlook is drawn from a country-by-country analysis based on a unique analytical design. This common framework includes a forecasting exercise for the current and the two following years, using a simple macroeconomic model, together with an analysis of the social and political context. It also contains a comparative synthesis of African country prospects, placing the evolution of African economies in the world economic context.

The 2009 edition focuses on innovation and information and communication technologies (ICT) in Africa, presenting a comprehensive review of their proliferation and use on the African continent. A statistical appendix completes the volume.

The AEO project is generously supported by the European Commission and combines the knowledge of the African Development Bank and the UNECA on African economies with the expertise accumulated by the OECD, which produces the OECD Economic Outlook twice yearly.

This publication provides dynamic links (StatLinks) for graphs and tables. These StatLinks direct the user to a web page where the corresponding data are available in Excel® format.

Numerous barriers prevent developing countries - in particular the least developed - from taking advantage of trade opportunities that could help them reduce poverty. The Aid-for-Trade Initiative has successfully built awareness of the support these countries need to surmount these barriers. As a result, more and more developing countries are raising the profile of trade issues in their development strategies and donors are responding by increasing the resources they provide to build trade capacity in areas such as policy, institutions and infrastructure.

This aid-for-trade monitoring report - the second of its kind - documents the success of the initiative to date. It examines trends and developments and presents a comprehensive analysis of donor and partner country engagement. In addition, it addresses the regional dimension of aid for trade and showcases three cross-border infrastructure projects. Finally, the report provides fact sheets that help in assessing the outcomes and impacts of aid for trade.

The main conclusions are positive. Nonetheless, the outlook is affected by the current global economic crisis. Aid for trade is now, and more than ever, essential to help suppliers from developing countries build capacity and penetrate global markets. The key message of the report is clear: aid for trade must remain an essential component of development assistance. It offers a number of steps, in this respect, that can advance the aid-for-trade dialogue.

La réussite du processus de développement dépend pour beaucoup de l’efficience, de l’intégrité et de l’efficacité avec lesquelles l’État collecte, gère et dépense les deniers publics. L’amélioration des règles et institutions qui encadrent ces activités devrait donc être une composante essentielle de toute démarche en faveur du développement. La consolidation de la gestion des finances publiques, et de la bonne gouvernance de façon plus générale, étant au cœur des Objectifs du millénaire pour le développement, la Déclaration de Paris (adoptée en 2005) vise à encourager les donneurs et les pays partenaires à déployer des efforts conjoints pour renforcer leurs systèmes de gestion des finances publiques. Ce rapport a pour objet de faire le point sur les progrès accomplis concernant la consolidation de la gestion des finances publiques et de formuler des recommandations sur la voie à suivre pour atteindre  les objectifs 2010 fixés dans la Déclaration de Paris.

Il examine les avantages et le bien-fondé de l’utilisation des systèmes nationaux, evalue les progrès réalisés en direction des objectifs énoncés dans la Déclaration de Paris, passe en en revue toute la palette de réformes intéressant la gestion des finances publiques engagées dans les pays partenaires, étudie  les facteurs de réussite des réformes entreprises dans le domaine de la gestion des finances publiques, examine les paramètres qui influent sur les décisions qui sont prises d’utiliser, ou non, les systèmes nationaux de gestion des finances publiques, en mettant l’accent sur les risques perçus et sur la manière dont ils sont évalués et gérés, et reprend les conclusions du Programme d’examen des dépenses publiques et d’évaluation de la responsabilité financière (PEFA) qui contient des informations sur la qualité des systèmes nationaux de gestion des finances publiques.

Il ressort de cette étude que désormais, et peut-être plus que jamais auparavant, pays partenaires et donneurs doivent absolument s’employer à bâtir une confiance mutuelle et à œuvrer ensemble à la construction de véritables partenariats au service de résultats.

Under the Paris Declaration, donors and partner countries commit to “reform procedures and strengthen incentives - including for recruitment, appraisal and training - for management and staff to work towards harmonisation, alignment and results”. This commitment was based on the recognition that the needed changes to behaviour will not happen automatically as there are a number of up-front and long-term costs - institutional, financial and political. The importance of appropriate incentives in influencing managers and officials - and even more importantly political leaders - to bring about the necessary changes has been emphasised in a number of partner countries included in the Evaluation of the Paris Declaration.

If incentives are to shift across the board, determined leadership, reinforced by pressure from well-informed stakeholders in partner and donor countries, will be needed. This publication adddresses this need and aims to provide donor agencies with guidance on how to improve aid effectiveness, and to assist them in identifying their strengths, weaknesses and gaps in incentives for promoting aid effectiveness.

En vertu de la Déclaration de Paris, les donneurs et les pays partenaires ont pris un certain nombre d’engagements auprès des décideurs et des agents des organismes d'aide. Ils se sont notamment engagés à réformer les procédures et à multiplier les incitations à leur intention afin de favoriser l'harmonisation, l'alignement et le ciblage sur les résultats. Ceci s’applique aussi bien aux domaines du recrutement et de l'évaluation qu’à celui de la formation. Cette promesse reposait sur une reconnaissance du fait que les changements de comportement indispensables ne se produiraient pas de façon automatique car un certain nombre de coûts, d’ordre institutionnel, financier et politique, sont associés, au départ et sur le long terme, à une modification du comportement des donneurs et des partenaires. L’importance de dispositifs d’incitation adéquats pour pousser les gestionnaires et responsables – et, plus essentiel encore, les dirigeants politiques – à opérer les changements nécessaires a été soulignée dans plusieurs pays partenaires couverts par l’Évaluation de la mise en œuvre de la Déclaration de Paris.

À l’évidence, une transformation radicale des incitations appelle une ferme impulsion des sphères politiques, appuyée par des pressions des cercles informés dans les pays partenaires et donneurs. Cette publication contribue à répondre à cette nécessité en fournissant aux organismes donneurs des conseils sur les moyens d’améliorer l’efficacité de l’aide. Elle les aidera à répertorier les points forts, les points faibles et les lacunes de leurs dispositifs d’incitation pour ce qui est de la promotion de l’efficacité de l’aide.

African agriculture is a sleeping giant. Agribusiness remains in its infancy in most sub-Saharan African countries. Many of them now pay higher prices for imported food products and struggle to keep inflationary pressures under control. Given the strong long-term prospect for world food prices, increasing the productivity of food crops becomes a top priority. It requires sizeable investments in irrigation, storage, transport infrastructure and logistics, as well as better access to markets for inputs (fertilizers, seeds, planting materials and credit).

While successful contract-farming schemes exist for export crops, they remain rare for food crops. Greater involvement of the private sector in designing and implementing such food-crop commercialisation programmes could develop viable local food industries. Existing international financing facilities such as the Enhanced Private Sector Assistance (EPSA) for Africa should get full use. Whether Africa can unleash the potential of commercial agriculture in the coming decades also depends in no small part on the continuous and effective support of the international development community.

The findings summarised in this volume can serve as building blocks for further international discussions on fostering agro-based private-sector development and lifting smallholders out of poverty.

L’agriculture africaine est un géant endormi. Dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne, l’agro-industrie en est encore à ses balbutiements. Nombre d’entre eux paient désormais le prix fort pour leurs importations de denrées alimentaires et tentent de juguler les pressions inflationnistes. En raison de la vigueur attendue des prix alimentaires mondiaux à long terme, l’augmentation de la productivité des cultures vivrières devient une priorité absolue pour l’Afrique. Cela suppose d’investir massivement dans les infrastructures d’irrigation, d’entreposage et de transports, mais aussi de faciliter l’accès aux marchés des facteurs de production (engrais, semences, matériel agricole et crédit).

Si un cadre contractuel donne de bons résultats dans le cas des cultures d’exportation, ce genre de dispositif est encore rare pour les cultures vivrières. Une implication accrue du secteur privé dans la conception et la mise en oeuvre de ce type de programmes de commercialisation pour les cultures vivrières devrait permettre d’assurer un développement durable des industries alimentaires locales. Les facilités actuelles de financement internationales – à l’instar de l’EPSA (Initiative pour le soutien renforcé au secteur privé en Afrique) – devraient être pleinement exploitées. L’aptitude de l’Afrique à libérer le potentiel de son agriculture commerciale dans les décennies à venir dépend aussi largement d’un soutien efficace et durable de la part de la communauté internationale du développement.

Les conclusions résumées ici posent les jalons de futures discussions à l’échelle internationale sur le développement du secteur privé agricole en Afrique et la manière de sortir les petits paysans de la pauvreté.

 

This study traces the roots of global financial integration in the first “modern” era of globalisation from 1880 to 1913 and can serve as a valuable tool to current-day policy dilemmas by using historical data to see which policies in the past led to enhanced international financing for development. A major conclusion is that the successful management of international financial integration depends primarily on broad institutional and political factors and financial policies, rather than simply opening or closing individual economies to the international winds.

"A careful and vigorously argued monograph…  an important book that future research in this area will have to take into account."

  –  eh.net book review by Hugh Rockoff of Rutgers University.