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Coopération pour le développement 2014

Mobiliser les ressources au service du développement durable

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Le rapport Coopération pour le développement (RCD) est un rapport annuel du Président du Comité d’aide au développement de l’OCDE qui présente des statistiques détaillées sur les programmes d’aide extérieure de chacun des membres, une analyse de ces programmes, ainsi qu’une description générale des évolutions et des questions qui font débat au sein de la communauté du développement.

Le rapport Coopération pour le développement 2014 : mobiliser les ressources au service du développement durable est le deuxième d'une trilogie (2013-15) en mettant un accent sur "la coopération mondiale du développement post-2015 : gerer l'interdépendence". Ce rapport met un accent sur les sources de financement disponibles aux pays en développement et propose des recommandations pour mobiliser emcpre d'autres ressources.

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Lutter contre la corruption et les flux financiers illicites

La corruption et les sorties illicites de fonds des pays en développement peuvent compromettre le développement durable, parce qu’elles réduisent les ressources susceptibles d’être affectées à des services publics essentiels, amoindrissent la capacité des pays à attirer des investisseurs pour stimuler leur économie, et mettent à mal le lien de confiance entre les citoyens et l’État. Le problème des flux illicites ayant souvent une dimension transnationale, tous les pays impliqués, pays en développement ou membres de l’OCDE, doivent collaborer. Ce chapitre est consacré aux résultats obtenus par les pays de l’OCDE pour s’attaquer au blanchiment de capitaux et à la corruption et pour restituer les actifs volés. On y examine par quels moyens on pourrait combler les lacunes juridiques, affermir la volonté politique et appliquer des sanctions plus lourdes en cas de non-respect de la législation. Dans le cadre de la coopération pour le développement, il est également possible d’intensifier les efforts pour aider les pays en développement à assumer les responsabilités qui leur incombent, par exemple renforcer leurs systèmes de gouvernance pour identifier et réduire la corruption ; demander des restitutions d’actifs ; et traduire en justice les personnes reconnues coupables de corruption, de vol de ressources publiques ou de blanchiment de capitaux.

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