Basé sur un cadre théorique de production, nous mesurons les contributions des prix de production réels, des entrants, de la productivité, et de la dépréciation à la croissance des revenus nets réels de la Corée pendant les 30 dernières années. L'analyse empirique est basée sur un nouvel ensemble de données pour la Corée avec des informations détaillées sur des le travail et le capital, y compris les séries sur les terrains et les inventaires. Nous constatons que tandis qu'au cours de la période entière, le capital et les apports de travail expliquent la plus grande partie de la croissance de revenu réel coréenne, la croissance de productivité est venue jouer un rôle de plus en plus important depuis le milieu des années 1990, témoignant d'une transition d’une croissance liée aux entrées vers une croissance liée à la productivité. Les termes des échanges et autres effets des prix étaient modestes sur le long terme, mais avaient des effets significatifs sur le revenu réel au cours de sous-périodes. En général la dépréciation réelle avait des effets limités sauf pendant les périodes de crises où les effets ont été négatifs sur la croissance réelle de revenu net.