Panorama de la société 2009
Les indicateurs sociaux de l'OCDE
Le Panorama de la société présente un tour d’horizon chiffré des tendances sociales observées dans les pays de l’OCDE et recense les grandes tendances et les politiques sociales. Cette édition 2009 contient une mine d’informations sur un large éventail de questions sociales : caractéristiques démographiques et familiales, emploi et chômage, pauvreté et inégalités, dépenses de protection sociale et de santé et satisfaction à l’égard du travail et de l’existence. Il inclut également un guide pour aider les lecteurs à comprendre la structure des indicateurs sociaux de l’OCDE.
Outre l’actualisation de certains indicateurs parus dans de précédentes éditions, Panorama de la société 2009 ajoute plusieurs autres indicateurs innovants, notamment la taille des adultes, l’état de santé perçu, les comportements à risques chez les jeunes et le harcèlement scolaire. Pour la première fois, le rapport présente aussi une série d’indicateurs sociaux phares qui sont révélateurs du degré de bien-être social dans les pays de l’OCDE. Enfin, un chapitre spécial est consacré au temps des loisirs dans ces pays.
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Dépenses sociales totales
Pour avoir une vue complète du montant total des ressources que chaque pays de l’OCDE consacre au soutien social, il y a lieu de tenir compte des dépenses aussi bien publiques que privées et de la mesure dans laquelle le régime fiscal influe sur le niveau effectif de protection assurée. Pour évaluer l’incidence de la fiscalité sur les dépenses sociales brutes (avant impôts), il faut prendre en compte ce que l’État « récupère » sur les transferts sociaux par le biais de la fiscalité directe sur le revenu tiré des prestations et de la fiscalité indirecte sur les biens et services consommés par les prestataires. L’État peut aussi poursuivre des objectifs sociaux en accordant des avantages fiscaux à caractère social (abattement pour enfants à charge par exemple), qui font que les dépenses sociales totales peuvent être supérieures aux dépenses sociales brutes. Du point de vue de la collectivité, les dépenses sociales « nettes » (c’est-à-dire après impôts), à la fois publiques et privées, sont un meilleur indicateur des ressources affectées à la poursuite d’objectifs sociaux.
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