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Cette Table ronde examine les coûts sociaux des transports routiers urbains en termes de bruit, de pollution, d’intrusion visuelle, de conflit piéton/véhicule, d’indemnités et les méthodes relatives à l’évaluation.

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Cette Table ronde examine les causes, les dépendances fonctionnelles, les  motivations et les conditions des principaux facteurs qui déterminent la demande de transports de marchandises.

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Cette Table ronde examine les effets de la productivité et du progrès technologique sur la main-d’œuvre dans les transports de marchandises, le transport fluvial et ferroviaire et les transports publics urbains.
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  • 12 mai 1981
  • OCDE
  • Pages : 7

Cette Ligne directrice décrit des méthodes pour mesurer la viscosité des liquides.

Les méthodes énumérées sont, en principe, appropriées à l’étude sur les liquides Newtoniens. La mesure des liquides non-Newtonniens est seulement possible avec le viscomètre rotatif. Des mesures de viscosité sont effectuées principalement selon cinq méthodes : le viscosimètre capillaire, la coupe à écoulement, le viscosimètre rotatif, le viscosimètre à bille roulante, le viscosimètre à bille entraînée. Chaque détermination de viscosité est de préférence faite à une température de 20°C et à une autre température supérieure d’environ 20°C. Au moins deux déterminations sont faites à chaque température. Dans le cas des viscosimètres à capillaires et à bille, l'évaluation de la mesure de viscosité doit être faite selon les normes. Dans le cas des viscosimètres rotatifs, la spécification de viscosité ne s'applique qu'aux fluides Newtoniens. Pour les fluides non-Newtoniens, il est préférable de présenter les résultats obtenus sous forme de courbes d'écoulement qui doivent être interprétées en supposant que les différentes lois sur les écoulements sont applicables.
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  • 12 mai 1981
  • OCDE
  • Pages : 6

Cette Ligne directrice décrit la détermination du spectre d’absorption ultraviolet-visible (UV-VIS) d’un produit chimique pour avoir des indications sur les longueurs d'onde auxquelles les composés sont susceptibles de subir une dégradation photochimique. L'absence d'absorption mesurable n'empêche pas la possibilité d'une photodégradation. Cette méthode utilise un spectrophotomètre à double faisceau qui enregistre uniquement les différences d'absorption entre le blanc (le solvant et toutes les espèces chimiques présentes excepté celle testée) et les solutions d'essai afin de donner le spectre du produit chimique étudié. L'essai doit être effectué à 25°C. Les solutions test doivent être préparées à une concentration qui fournira au moins un maximum d'absorbance de 0,5 à 1,5 unités.

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Cette Ligne directrice décrit une méthode qui est une adaptation de la méthode semi-continue en présence de boue activée (SCAS), mise au point par la « Soap and Detergent Association », pour évaluer la biodégradation primaire de l'alkylbenzène sulfonate. L'essai ne simule pas les conditions réelles d’une installation de traitement d'eaux d'égout.

Les boues activées d'une station de traitement d'eaux d'égout sont déposées dans une unité d'aération. Le composé d'essai (non-volatil, hydrosoluble, organique, non inhibitrice de bactéries à la concentration d'essai) et de l’eau d'égout domestique décantée sont ajoutés, et le mélange est aéré pendant 23 heures. L'aération est alors arrêtée, la boue est décantée et le surnageant est retiré. La boue restante dans la chambre d'aération est alors mélangée à une nouvelle portion de composé d'essai et d'eau d'égout, puis le cycle est recommencé. Les opérations de remplissage et de soutirage sont répétées quotidiennement pendant toute la durée de l'essai. Une concentration élevée des micro-organismes aérobies est employée. La durée de l'essai pour des composés montrant peu ou pas de biodégradation est indéterminée, mais l'expérience suggère que cette durée devrait être au moins de 12 semaines. La biodégradation est déterminée par la teneur en carbone organique dissous dans le liquide surnageant. Ce résultat est comparé à celui obtenu dans un tube contenant une solution témoin réalisée uniquement avec de l'eau d'égout décantée.

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  • 12 mai 1981
  • OCDE
  • Pages : 7

Cette Ligne directrice décrit la méthode polarographique. La faculté d'une substance à former des complexes avec des métaux peut être évaluée à l'aide de techniques polarographiques qui permettent de déterminer les constantes d'équilibre de certains complexes.

La méthode polarographique peut être appliquée à des substances dont la solubilité dans l'eau est supérieure à 10-5M. Cette méthode est basée sur le fait qu'à la suite de la formation de complexes, les potentiels de réduction des ions métalliques sont déplacés, en général vers des valeurs plus négatives. Un minimum de quatre concentrations connues du produit chimique étudié, et une concentration connue en ions métalliques devraient être employées. Le produit chimique à étudier doit normalement avoir une concentration au moins 25 fois supérieure à celle des ions métalliques. On doit mesurer le courant pour des potentiels appliqués variant de - 0,2V à - 1,0V. Afin de détecter les complexes qui se forment lentement, il est nécessaire de laisser reposer les solutions pendant au moins 24 heures sous atmosphère d'azote. Si les résultats ne sont pas significatifs, il est nécessaire d'utiliser des méthodes basées sur des principes physico-chimiques différents, telles que la spectrophotométrie ou la spectrométrie par résonance magnétique nucléaire.

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Cette Ligne directrice décrit des méthodes pour déterminer la stabilité de stockage d'une substance par rapport à la chaleur et à l'air. Deux méthodes s'appliquent aux substances homogènes solides et liquides ainsi qu’à leurs mélanges : l'essai de stockage accéléré et les méthodes d'analyse thermique.

Dans l’essai de stockage accéléré (CIPAC), une instabilité lors d’un stockage de longue durée peut être simulée en appliquant une température plus élevée pendant un essai court. Cet essai consiste à stocker la substance étudiée entre 54°C et 55°C pendant 14 jours puis à l'analyser. Dans des cas simples, il sera suffisant de déterminer une propriété caractéristique avant et après le stockage. La substance est considérée stable à la température ambiante si le point de fusion est resté constant ou si la teneur en substance originale déterminée par analyse n’a pas diminué de plus de 5 pour cent. Dans les méthodes d'analyse thermique (ATG et ATD), l'échantillon et le produit de référence sont chauffés, avec une élévation constante, jusqu'à la température finale dans une atmosphère d'essai définie, soit séparément dans un appareillage ATG ou ATD, soit dans un système combiné. Les modifications de poids de l'échantillon ou les quantités de la chaleur absorbées ou dégagées sont mesurés et enregistrés. La substance est considérée stable à la température ambiante si aucune décomposition ou transformation chimique n'est trouvée en dessous de 150°.
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  • 12 mai 1981
  • OCDE
  • Pages : 11

La méthode décrite dans cette Ligne directrice est destinée à l'évaluation du taux de minéralisation dans le sol d'un composé marqué au 14C. La méthode s'applique aux composés volatils ou non, solubles ou non, qui n’inhibent pas les micro-organismes.

L'essai de base comporte le traitement d'un petit échantillon du sol (50g) avec le produit chimique de l'essai marqué au 14C (100µl) dans un flacon biomètre. Le sol et la solution d'essai radioactive sont mélangés. De surcroît, un volume équivalent de la solution d'essai est placé dans un récipient jaugé de 100 ml pour mesurer directement la radioactivité ajoutée. Le flacon biomètre est fermé avec un bouchon dans lequel un filtre Ascarite est inséré. L’appareil est chargé en injectant 10 ml de potasse dans le tube latéral. Des durées d'expérience de 1, 2, 4, 8, 16, 32 et - au besoin - 64 jours doivent être choisies pour la mesure. L'essai exige des déterminations parallèles. La méthode peut inclure des expériences facultatives pour des produits chimiques dont la pression de vapeur est de plus de 0.0133 Pa et pour des produits chimiques relativement persistants. Le dégagement de 14CO2 du produit chimique d'essai est mesuré grâce à l'absorption sur alcali et un comptage par scintillation liquide. La radioactivité du 14CO2 récupéré est portée sur un graphique en fonction du temps. Le temps d'incubation est suffisant quand un total de 50 pour cent de CO2 formé à partir du 14C introduit au départ peut être mesuré. L'incubation doit être arrêtée au bout de 64 jours, que cette valeur soit obtenue ou non.

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Cette méthode fournit des informations sur les dangers pour la santé qui peuvent résulter d’une exposition à une substance d’essai solide ou liquide par voie dermique.

Cette méthode est composée de deux essais : l’essai principal et l’essai limite. Cette Ligne directrice utilise le rat adulte, le lapin ou le cobaye. Pour chaque dose (au moins trois) au moins dix animaux avec une peau saine (cinq femelles et cinq mâles) sont utilisés. La plus forte dose doit provoquer un effet toxique mais pas de mortalité. Un essai limite d’au moins 1000 mg/kg peut être fait. La méthode est basée sur l’application répétée de la substance d’intérêt pendant une période limitée (plusieurs heures quotidiennement pendant 21/28 jours). La substance d’essai doit être appliquée sur pas moins de 10 pourcent de la surface du corps. Les résultats de l’étude comportent : des mesures et des observations quotidiennes détaillées (hématologie, biochimie clinique et analyse d’urine), de même qu’une autopsie générale et de l’histopathologie. Correctement conduite, une étude de 21 jours ou de 28 jours fournit des informations sur les effets de l'exposition répétée par inhalation et peut indiquer le besoin d'autres d'études à plus long terme et fournir des informations sur les niveaux de dose de ces dernières.

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Cette Ligne directrice décrit une méthode pour déterminer la liposolubilité des substances solides et liquides. La liposolubilité d'une substance est l'une des données pour évaluer le stockage des matériaux lipidiques solubles dans les tissus biologiques.

Cette méthode d'essai peut seulement être appliquée aux substances pures, qui ne réagissent pas avec les triglycérides, qui sont stables à 50°C pendant au moins 24 heures et qui ne sont également pas sensiblement volatiles dans les mêmes conditions. La substance est dissoute par agitation dans « une graisse de référence » liquide, et la fraction massique de saturation de la substance est déterminée par addition continue, jusqu'à ce que la variable dépendant de la fraction massique, mesurée par une méthode analytique appropriée, atteigne une valeur constante. Les méthodes emploient huit échantillons, chacun doit correspondre au double de la quantité nécessaire pour la saturation qui a été déterminée dans l'essai préliminaire. Après avoir ajouté une quantité pesée d’approximativement 25 g de graisse de référence liquéfiée et mélangée, quatre flacons sont remués à 30°C (groupe I) et les quatre autres à environ 50°C (groupe II), chaque flacon pendant au moins une heure. Tous les flacons sont remués à 37°C, pour les liquides pendant 3 heures pour deux flacons de chaque groupe et pendant au moins 24 heures pour les deux derniers flacons. À la fin un échantillon est prélevé, pesé et la fraction de masse est déterminée avec différentes méthodes (méthodes photométriques, chromatographie en phase gazeuse, et extraction).
Anglais
  • 12 mai 1981
  • OCDE
  • Pages : 10

Cette méthode fournit des informations sur les dangers pour la santé qui peuvent résulter d’une exposition à une substance d’essai solide ou liquide par voie dermique. Elle peut être utilisée après avoir obtenu des informations initiales par l'essai de toxicité aiguë.

Cette méthode est composée de deux essais : l’essai principal et l’essai limite. Cette Ligne directrice utilise le rat adulte, le lapin ou le cobaye. Pour chaque dose (au moins trois) au moins 20 animaux avec une peau saine (dix femelles et dix mâles) sont utilisés. La plus forte dose doit provoquer un effet toxique mais pas de mortalité. Un essai limite d’au moins 1000 mg/kg peut être fait. La méthode est basée sur l’application répétée de la substance d’intérêt pendant une période limitée (plusieurs heures, quotidiennement, pendant 90 jours). La substance d’essai doit être appliquée sur au moins 10 pourcent de la surface du corps. Les résultats de l’étude comportent des mesures et des observations quotidiennes détaillées (examen ophtalmologique, hématologie, biochimie clinique et analyse d’urine), de même qu’une autopsie générale et de l’histopathologie. Un essai sub-chronique correctement effectué devrait fournir une évaluation satisfaisante d'un niveau sans effet.

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Cette Ligne directrice décrit deux méthodes. Ces tests sont applicables uniquement à des substances insolubles dans l’eau (solubilité < 10-6g/l).

La première (méthode A) sert à fournir des informations sur le transport et la sédimentation de particules insolubles dans l’eau et l’air. Il y a plusieurs méthodes standards disponibles qui répondent aux conditions de sensibilité : la sédimentation, la centrifugation ou le compteur Coulter. L'échantillon est soumis à un examen au microscopique à lumière ordinaire pour déterminer la nature approximative de ses particules. Des données sont obtenues pour 3 domaines de taille différents : > 200 µm, < 2 µm et de 2 à 200 µm. La méthode A, qui détermine le rayon hydrodynamique effectif Rs (seulement pour 2 μm < Rs < 100 μm), sera utilisée pour les produits particulaires qu'ils soient fibreux ou non fibreux.

La méthode B est employée dans le cas spécial des matériaux qui peuvent prendre la forme de fibre ; elle est plus spécialisée, peu fréquemment requise et implique un examen microscopique. La microscopie électronique de balayage (MEB) ou de transmission (MET) sont exigées. Il n'y a aucun procédé standard actuellement. La longueur totale (l) et le diamètre (d) des fibres de d≥ 0.1µm et l≥ 5µm sont demandés. Deux histogrammes sont préparés basés sur l'examen d’au moins 50 fibres chacun.

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  • 12 mai 1981
  • OCDE
  • Pages : 8

Cette Ligne directrice décrit les méthodes permettant la détermination des constantes de dissociation dans l'eau. La dissociation est le partage réversible en deux ou plusieurs espèces chimiques qui peuvent être ioniques.

La détermination de la constante de dissociation exige une mesure des concentrations des formes dissociées et non dissociées de la substance chimique. A partir d'une connaissance de la stoechiométrie de la réaction de dissociation la constante appropriée peut être déterminée. Dans le cas particulier décrit dans cette directive, la substance se comporte comme acide ou base, et il est plus facile d’effectuer la détermination en mesurant les concentrations relatives des formes ionisées et non-ionisées de la substance et le pH de la solution. Le rapport entre ces termes est donné dans l'équation donnant le pKa. Quelques composés montrent plus d'une constante de dissociation. Certaines des méthodes décrites sont également appropriées aux dissociations non-acide/basse. Il y a deux façons de déterminer le pKa. L’une consiste à titrer une quantité connue de substance par un acide ou une base de référence selon le cas; l'autre consiste à déterminer les concentrations relatives des formes ionisées et non-ionisées ainsi que leurs variations en fonction du pH. Les méthodes basées sur ces principes peuvent être classées comme procédures de titration, spectrophotométriques et conductimétriques.
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Ce rapport qui traite du développement des investissment et expenditures des transports dans les pays de la CEMT pour 1979 contient quatre chapitres. Le chapitre 1 résume les principales tendances en matière de transport des passagers et du fret pour chacun des modes. Le chapitre 2 concerne les transports par chemin de fer, mais à la comparaison des transports effectués s'ajoute une description détaillée des réseaux et des opérations ; le chapitre 3 porte sur les transports routiers, la dimension de l'infrastructure, le. parc de véhicules et son utilisation ; et le chapitre 4 sur les voies navigables, les ports et les pipelines. La deuxième partie de le rapport est une rapport statistique sur l'évolution des accidents de la route dans les pays membres de la CEMT et les 4 pays associés.

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Ce rapport sur l'évolution des investissment ext prestations dans les transports dans les Etats de la CEMT en 1980 est divisé en quatre chapitres récapitulatifs et une Annexe statistique. Le Chapitre 1 décrit les grandes tendances du transport de voyageurs et de marchandises pour chacun des modes au cours des quinze dernières années. Le Chapitre 2 concerne les transports ferroviaires examinés sous l'angle non seulement du trafic, mais encore des réseaux et de l'exploitation. Le Chapitre 3 a trait aux transports routiers, à la taille des infrastructures, au parc de véhicules et à son exploitation. Enfin, les voies navigables intérieures, les ports et les transports par conduites sont décrits au Chapitre 4. La deuxième partie est une rapport statistique sur les accidents de la route en 1981.

Ce rapport presente l'évolution des investissements et des prestations dans les transports dans les Etats membres de la CEMT (1) et est divisé en quatre chapitres récapitulatifs et une annexe statistique. Le chapitre 1 décrit, en les situant dans le contexte économique général, les grandes tendances enregistrées en 1981 pour l'ensemble des transports de voyageurs et de marchandises. Il vise notamment à comparer les évolutions respectives des différents modes de transports. Le chapitre 2 est consacré aux transports ferroviaires qui sont examinés sous l'angle non seulement du trafic mais également des réseaux, du matériel et de l'exploitation. Les transports routiers font l'objet du chapitre 3 qui analyse l'évolution des trafics, des parcs de véhicules, des infrastructures et des conditions d'exploitation. Les transports par voies navigables intérieures et par conduites ainsi que les transports maritimes sont étudiés au chapitre 4. La deuxième partie est un rapport statistique sur les accidents de la route en 1982.

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Les effets létaux dominants (LD) causent la mort embryonnaire ou foetale. L’induction d'un événement létal dominant après exposition à une substance d'essai (liquide, solide, vapeur ou gaz,…) indique que la substance a affecté le tissu germinal des espèces d'essai. Les effets létaux dominants sont souvent le résultat des aberrations chromosomiques (anomalies structurales et numériques), mais les mutations géniques et les effets toxiques ne peuvent pas être exclus.

Cette Ligne directrice recommande des rats ou des souris comme espèces d'essai. Généralement, des mâles sont exposés à la substance d'essai et accouplés aux femelles vierges non traitées. Le moyen le plus employé est l'administration unique de la substance d'essai par voie orale ou par injection intrapéritonéale. Normalement, trois niveaux de dose devraient être employés. Les différentes étapes de la formation des cellules germinales peuvent être testées séparément en employant différents intervalles d'accouplement. Les femelles sont sacrifiées après une période appropriée, et le contenu des utérus est examiné pour déterminer les nombres d'implants et d'embryons vivants et morts. Le calcul de l'effet létal dominant repose sur la comparaison du nombre d'embryons implantés vivants par femelle dans le groupe traité et dans le groupe témoin.

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  • 04 avr. 1984
  • OCDE
  • Pages : 10

Cette Ligne directrice inclut deux méthodes : un essai de toxicité par contact sur papier et un essai avec un sol artificiel. L’espèce recommandée est Eisenia foetida (Michaelsen).

L’essai de dépistage initial (essai de contact sur papier filtre) implique d'exposer des vers de terre aux substances d'essai sur papier filtre humide afin d'identifier les produits chimiques potentiellement toxiques pour les vers de terre dans le sol. Cinq doses au moins, choisies dans une série géométrique, et dix répliques au moins (un ver par fiole) pour chaque traitement devraient être employées. Des essais sont faits dans l'obscurité et pendant une période de 48 heures. L'essai avec le sol artificiel fournit des données de toxicité plus représentative de l'exposition naturelle des vers de terre aux produits chimiques. Il implique de maintenir des vers de terre dans les échantillons d'un sol artificiel de composition précisément définie. Cinq concentrations, d'une série géométrique, de la substance d'essai sont appliquées. Une concentration ne provoquant aucune mortalité et une concentration provoquant une mortalité totale devraient être employées. Quatre réplicats pour chaque traitement sont recommandées. La mortalité est relevée les jours 7 et 14 après l’application.

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