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The aim of this study is to assess the effects of information and communications technologies (ICTs) on firms’ capabilities to innovate in a selection of OECD countries. Our findings support the hypothesis that ICTs act as an enabler of innovation, particularly for product and marketing innovation, in both manufacturing and services. However, we did not find any evidence that ICT use increases the capability of a firm to co-operate, to develop innovation in-house or to introduce products new to the market. These results suggest that ICTs enable firms to adopt innovation but they do not increase their “inventive” capabilities.

There is growing interest in the role of independent fiscal institutions, or fiscal councils, in helping to improve fiscal performance. This article provides some guidance on the scope for improving fiscal performance through fiscal councils based on the available literature and the range of fiscal institutions in the OECD countries. The effectiveness of fiscal councils hinges on several factors, including having full autonomy within the scope of their mandates, active and unfettered dissemination of their analysis, and their credibility. Experience and empirical evidence suggest that delegating macroeconomic forecasting to an independent fiscal council can indeed reduce forecasting bias. There is some empirical evidence that independent fiscal institutions can buttress a government’s capacity to comply with a numerical rule. Good fiscal institutions are a necessary condition for achieving disciplined fiscal performance. Experience demonstrates, however, that their existence is not sufficient. Without strong and sustained political commitment to a medium-term fiscal goal and, where relevant, to the mandate of a fiscal council, durable improvements in fiscal performance will remain elusive.

La Partie I de ce document présente tout d'abord des informations sur les tendances et la composition des dépenses sociales issues de la base de données OCDE sur les dépenses sociales pour les années 1980 - 2007. Durant cette période, les dépenses sociales publiques en pourcentage du PIB ont augmenté en moyenne de 15,6% à 19,2% dans les pays de l'OCDE. Les dépenses de retraite publiques (6,4% du PIB) et les dépenses de santé publique (5,8% du PIB) sont les plus grandes catégories de dépenses sociales.

La Partie I présente également des indicateurs de dépenses sociales tenant compte des effets du système fiscal et ainsi que des indicateurs sur les dépenses sociales privées. La prise en compte de ces deux effets modifie le classement des pays selon le niveau de dépenses sociales et conduit à une convergence des ratios entre les niveaux des dépenses sociales et le PIB entre les pays. Basées sur cette mesure plus large, les dépenses sociales totales nettes en pourcentage du PIB aux coûts des facteurs atteignent 30% du PIB en 2007 pour les plus élevées, en France et en Belgique, et varient entre 22 et 28% du PIB en Autriche, au Canada, au Danemark, en Finlande, en Italie, au Japon, aux Pays-Bas, au Portugal, au Royaume-Uni et aux États-Unis.

La Partie II de ce document présente le manuel SOCX de l'OCDE, avec tout d’abord une discussion sur des questions méthodologiques, sur la classification des dépenses brutes telles que présentées dans SOCX. Les aspects méthodologiques de la mesure de dépenses sociales nettes sont ensuite présentés, notamment avec des informations sur la façon dont les estimations ont été dérivées. La prise en compte des prestations sociales privées et de l’impact de la fiscalité sur les dépenses sociales a pour effet d’égaliser les ratios entre les niveaux des dépenses sociales et le PIB. Après la prise en compte des prestations sociales privées et de l’impact de la fiscalité, les dépenses sociales atteignent plus de 30% du PIB aux coûts des facteurs en Belgique et en France ; enfin les écarts entre les dépenses sociales en Autriche, Canada, Danemark, Finlande, Italie, Japon, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni et aux États-Unis ne sont que de quelques points de pourcentage.

L'utilisation d'unités négociables de gaz à effet de serre (GES) pour atteindre les objectifs de réduction des émissions se poursuivra vraisemblablement après 2012 dès lors que de nombreux pays se sont déclarés favorables au recours à des mécanismes du marché pour favoriser et renforcer l'efficacité par rapport aux coûts de l'atténuation. Pour la plupart, ces mécanismes devraient s'appuyer sur des unités négociables de GES, mais il n'apparaît pas encore clairement comment ces unités seront comptabilisées et admises en tant que contributions à la réalisation des engagements ou des objectifs nationaux. Ce document se penche sur les systèmes et les procédures qui peuvent s'avérer nécessaires pour que l'utilisation des unités négociables de GES donne de bons résultats, en commençant par analyser dans quel cadre international il serait souhaitable de mettre en place une plate-forme fiable et fonctionnelle à cette fin. Il serait efficace, par exemple, d'appliquer des règles communes de comptabilisation des inventaires pour notifier les émissions nationales, auxquelles des unités viendraient ultérieurement s'ajouter ou se soustraire en fonction des flux nets d'unités négociables. Ce document analyse ensuite des possibilités plus détaillées concernant deux aspects essentiels de la comptabilisation des unités de GES : la gouvernance des mécanismes internationaux d’attribution des crédits et les systèmes de suivi des transactions internationales portant sur ces unités. S'agissant des mécanismes d'attribution des crédits, trois possibilités sont présentées pour décider à l'aune de quelles unités il pourrait être admissible de mesurer la réalisation des objectifs nationaux d'émission : i) seules seraient admises les unités délivrées par un mécanisme centralisé réglementé par la CCNUCC, ii) les unités délivrées par des systèmes placés sous la houlette de pays seraient admises sous réserve de vérification au regard de critères d'admissibilité arrêtés d'un commun accord au niveau international, et iii) une approche axée sur la transparence selon laquelle toutes les unités seraient acceptées à condition que les pays respectent des exigences minimales de divulgation d’informations. Quant aux systèmes de suivi, trois autres possibilités sont décrites : i) le maintien du Relevé international des transactions (RIT) existant qui effectue aussi bien les vérifications techniques que celles relatives aux politiques, ii) un RIT ou dispositif équivalent qui effectue seulement les vérifications de compatibilité technique, et iii) un système décentralisé sans aucune plaque tournante. Les questions de comptabilité qui se posent eu égard aux unités utilisées dans le cadre de systèmes nationaux d'échange de droits d'émission sont étudiées également, notamment dans les cas où ces unités font l'objet d'échanges internationaux. Ce document conclut que seules certaines combinaisons des différentes possibilités analysées constitueraient un système viable, à la fois pratique et susceptible de garantir suffisamment l'intégrité environnementale des unités.
Most parents know, instinctively, that spending more time with their children and being actively involved in their education will give their children a good head-start in life. But as many parents have to juggle competing demands at work and at home, there never seems to be enough time. Often, too, parents are reluctant to offer to help their children with school work because they feel they lack some of the skills that would make a difference to their children’s success in school...
Français
La plupart des parents savent d’instinct que le fait de passer plus de temps avec leur enfant et de s’engager activement dans son éducation lui permettra de prendre un bon départ dans la vie. Toutefois, comme la majorité d’entre eux doivent jongler entre impératifs professionnels et familiaux, le temps semble toujours manquer. Par ailleurs, les parents n’osent souvent pas aider leur enfant à faire ses devoirs car ils pensent ne pas avoir les compétences requises pour l’accompagner dans sa réussite scolaire...
Anglais
Spain and Denmark are two European countries differing considerably in their development and productive structures as well as in their internationalisation process. This affects many dimensions of each economy, most notably their trade volumes, market sizes and product specialization. Spain and Denmark also differ significantly in labour market outcomes as well as in the design of labour market policies and institutions and the role they played in facilitating labour reallocation. For these reasons, it is instructive to compare them, in particular as they have demonstrated substantial labour market adjustments due to changing international economic conditions. While the results of direct comparisons cannot always be translated into policy action due to country-specific institutional settings and varying economic circumstances, comparative analysis has the potential to yield useful insights into best practices and transferrable policy lessons. With this in mind, the purpose of this paper is to consider the evolution of trade and labour market outcomes in Denmark and Spain since the early 1990s, in order to provide policy-relevant insights on the relationship between production, trade and labour markets in these countries. Special focus is given to the increased weight of some emerging economies in world trade patterns and how they have affected the trade patterns of these two European countries and their employment behaviours.
Les sinistres immobiliers causés par le tremblement de terre qui a frappé, le 27 février 2010, la ville de Maule au Chili sont évalués à 18.1 milliards USD, pris en charge à hauteur de 38 % par les assureurs, de 47 % par l’État chilien et de 15 % par les particuliers et les entreprises. Si l’on y ajoute les 4 milliards USD de dommages aux infrastructures et les coûts liés à la perte d’activité économique, on estime que le montant total du sinistre avoisinait, en 2010, 28 milliards USD. Le rapport analyse les solutions permettant aux pouvoirs publics chiliens d’augmenter la proportion des futurs sinistres sismiques qui pourrait être couverte par des mécanismes nouveaux et renforcés de transfert des risques, applicables aussi bien aux propriétaires de logement à faible revenu, aux petites entreprises commerciales et aux bâtiments publics. Il étudie en outre comment le Chili pourrait réduire son risque sismique global en ciblant ses efforts d’atténuation des risques. Le rapport contient par ailleurs des recommandations sur le fait que le secteur de l’assurance et les pouvoirs publics chiliens devraient davantage utiliser des modèles probabilistes de sinistre catastrophique pour définir et déterminer le coût des différentes solutions de gestion des risques.
In 2010, the international community took steps to improve the system of reporting and verification under the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC). Parties to the UNFCCC decided at the sixteenth meeting of the Conference of the Parties (COP 16) to enhance reporting for all countries and to conduct “international assessment and review” (IAR) of certain information from developed countries and “international consultations and analysis” (ICA) of biennial update reports from developing countries.

This is a step change from the existing reporting and review system – particularly for developing countries, since information from these countries is currently reported on an infrequent basis and is not reviewed. Establishing a system that combines improved reporting with some form of international verification could improve the quality of information available internationally and increase confidence in the integrity of the information reported. This would help to build trust between countries and potentially also increase the level of ambition of mitigation actions.

Further decisions need to be made by Parties in order to determine the scope, inputs, process, outputs and frequency of IAR and ICA, as the decisions agreed at COP 16 (known as the “Cancun Agreements”) provide limited guidance on these items. This paper outlines key questions to help guide such decisions and provides suggestions for the possible design and function of IAR and ICA. It outlines how they could build on existing review processes under the UNFCCC and draw on lessons from other multilateral review processes. The challenge for the international community will be to ensure that IAR and ICA are useful processes, both nationally and internationally, while minimising the resource requirements needed to implement them.

This paper examines the relationship between wages and levels of trade and FDI openness in twenty-nine sectors of the Chilean economy. Over the last four decades, this country almost fully liberalized its trade and foreign direct investment, which accelerated growth of flows in both areas and contributed to important changes in the labour market. Using cluster analysis, we divide 29 sectors into three groups of high, medium and low levels of trade and foreign direct investment penetration in 2003 and 2008. Subsequently, an average wage equation is estimated for salaried workers in each group based on their characteristics (gender, education, work experience and union membership) using microdata of the Supplementary Income Survey (SIS) database. Differences between average wages of the three groups are decomposed with the Oaxaca-Blinder method. The results confirm that the group of most open sectors pays a “wage premium” to its workers. It is also shown that most of this premium is accounted for by higher levels of labour unionisation compared to other sectors. An alternative grouping of sectors into two categories of tradable and non-tradable sectors based on export intensity only yields similar results.
These terms of reference articulate a shared view among OECD members about key aspects of the current context for privacy protection and provide orientation for further work on the review of the OECD Privacy Guidelines in light of changing technologies, markets and user behaviour and the growing importance of digital identities.
In this paper, we provide an extensive summary of a field experiment we have recently conducted on the behavioural effects of pay-as-you-drive (PAYD) vehicle insurance (Bolderdijk et al., 2011a). We start with a review of the rationale for PAYD schemes from a behavioural science perspective. Next, we describe the design of our study, and discuss and elaborate on the main empirical findings. Based on this, we present practical guidelines for policy makers and insurance companies aiming to introduce PAYD schemes as a tool to reduce crash risk, improve traffic safety, and reduce the negative environmental impacts of car use.
  • 21 oct. 2011
  • Francis Kramarz
  • Pages : 25
Ce document examine la relation qui existe en France entre les importations – et plus généralement le commerce – et l’emploi. Il s’inspire des travaux de plus en plus nombreux qui traitent des échanges et des marchés du travail, en tenant compte des théories du commerce au niveau de l’entreprise et de travaux empiriques antérieurs. L’analyse s’appuie sur trois sources permettant de constituer un ensemble de données appariées au niveau de l’entreprise et portant sur les échanges, les variables économiques et l’emploi pour la période 1995-2004. Cet ensemble de données concerne les entreprises manufacturières. Le document formule des estimations sur la relation entre l’emploi et l’activité commerciale au niveau de l’entreprise, d’abord sous une forme agrégée, puis par secteur industriel. Il évalue également la situation des entreprises concernant l’évolution des importations de produits finis et de biens intermédiaires. La conclusion récapitule les résultats obtenus et les rapproche de travaux antérieurs portant sur la relation entre le commerce et l’emploi en France, en signalant quelques explications possibles et des domaines de recherche à approfondir.
Anglais
Le Brésil a peu investi en infrastructure ces trente dernières années, et les dépenses d’équipement dans ce domaine n’augmentent que lentement depuis 2007. Les besoins sont considérables dans presque tous les secteurs. Au stade actuel de son développement, le pays a sans doute tout intérêt à engager des dépenses d’infrastructure. C’est pourquoi les autorités brésiliennes ont mis en place un vaste plan de développement de l’infrastructure, appelé Programme d’accélération de la croissance (Programa de aceleração do crescimento, PAC). Ce programme a été, à juste titre, épargné par les coupes budgétaires annoncées début 2011. Néanmoins, certaines modifications pourraient être apportées au cadre stratégique et réglementaire afin de rendre l’investissement public plus rentable et de stimuler la participation du secteur privé. En particulier : • La deuxième phase du PAC doit être centrée sur l’achèvement des programmes les plus importants. Par ailleurs, le cadre de partenariat public-privé devrait être simplifié. • Dans la plupart des domaines, le cadre réglementaire fonctionne bien, mais les secteurs en sont à des stades de développement différents. Malgré les importantes réformes institutionnelles de ces dernières années, la captation par des intérêts particuliers continue parfois d’influer sur certaines décisions fédérales et sur des décisions de nombreux organismes de réglementation des États. • Malgré des progrès récents, de fréquents conflits paraissent retarder certains projets d’infrastructure, en particulier dans le secteur de l’énergie. La principale difficulté dans ce domaine consiste à accélérer le processus d’octroi de licences, tout en continuant de mettre l’accent comme il convient sur la protection sociale et environnementale. • Des réformes ont été mises en oeuvre dans certains secteurs de réseau, mais l’on pourrait encore faire jouer davantage la concurrence dans la téléphonie fixe et éviter les péréquations tarifaires dans le secteur de l’électricité. Les contrats de concession, tant pour les routes que pour le rail, pourraient être affinés afin de favoriser l’investissement privé à la fois dans l’entretien et dans l’extension des réseaux. Dans le domaine de l’eau et de l’assainissement, où l’insuffisance des investissements est la plus importante, les petites municipalités devraient être encouragées à investir et à former des consortiums afin de profiter des économies d’échelle réalisables. Ce document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE du Brésil 2011. (www.oecd.org/eco/etudes/Bresil).
Ce papier identifie les changements du cadre macroéconomique qui aideront le Brésil à réaliser des performances robuste dans un nouvel environnement dans lequel la population va vieillir rapidement, une forte dépendance vis-à-vis des revenus pétroliers vont accroître la volatilité des revenus publics et les incertitudes sur l’environnement international seront plus fortes, peut-être de manière durable. Plus précisément, le pays doit poursuivre l'assainissement de ses finances publiques et supprimer les facteurs de rigidité qui caractérisent la procédure budgétaire. Sur le moyen terme, l'adoption d'une cible de solde budgétaire global garantirait la viabilité à long terme des comptes publics (sécurité sociale comprise), tandis qu'un plafonnement des dépenses faciliterait leur maîtrise. La mise en oeuvre des propositions de simplification de la fiscalité actuellement à l'étude améliorerait l'environnement des entreprises, et le gouvernement devrait poursuivre ses efforts afin d'emporter l'adhésion politique des États fédérés à ces propositions. Il est urgent d’adapter les mécanismes actuels de transfert afin d’assurer l’équité régionale et intergénérationnelle en matière de partage des recettes pétrolières. La mise en place d’un fonds social, visant à économiser une partie de la manne pétrolière et dont le retour sur investissement servira à financer les dépenses sociales, pourrait contribuer à réaliser ces objectifs d’équité, pour autant que ce mécanisme soit conçu de façon satisfaisante. L'envolée actuelle des entrées de capitaux complique la tâche aux autorités monétaires et ce problème devrait être traité par divers moyens, au premier rang desquels figure l'assainissement des finances publiques. Des initiatives complémentaires, telles que des mesures macroprudentielles ou une taxe temporaire sur les entrées de capitaux à court terme, pourraient également contribuer à empêcher la formation de bulles des prix des actifs. Ce document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE du Brésil 2011 (www.oecd.org/eco/etudes/Bresil).
Ce papier cherche à identifier les facteurs expliquant l’appréciation du real Brésilien observé depuis 2003, qui a été temporairement interrompu uniquement durant des épisodes de turbulences financières. Les avoirs extérieurs nets et le différentiel de productivité relatifs aux principaux partenaires commerciaux du Brésil apparaissent comme des déterminants importants du taux de change effectif réel à long terme. À court terme, les évolutions des taux de change sont principalement expliquées par le mouvement des avoirs extérieurs nets. La production de pétrole explique également l'évolution du taux de change effectif réel à long terme. Ces résultats sont robustes à un large éventail de tests. Si la surévaluation du real en 2010 est évidente, l'ampleur de l'écart à l’équilibre reste difficile à mesurer. Les estimations FEER font état d'une surévaluation de 3 à 10% en 2010. Les simulations dynamiques des équations de comportement du taux de change suggèrent généralement une surévaluation de 10 à 20%. Ces estimations restent cependant soumises à de grandes incertitudes.
This paper examines, in France, the relationship between imports – and trade more generally – and employment. It builds on the burgeoning literature relating trade and labour markets, taking into account theories of firm-level trade and previous empirical work. The analysis in the paper draws on three data sources to establish a matched firm-level data set covering trade, economic variables and employment for the time period from 1995 to 2004. The data set covers manufacturing firms. The paper develops estimates of the relationship between employment and trade activity at the firm level, first on an aggregate basis and then at industry level. Additional assessments are made with respect to the firms’ experience with changes in imports of finished goods and intermediates. The conclusion sums up the results and relates these to previous work on the relationship of trade and employment in France, pointing to some possible explanations and areas for further research.
Français
La faiblesse des taux d’investissement limite le futur taux de croissance potentielle du Brésil. Cet article analyse des possibles raisons pour cette faiblesse et propose des réformes qui pourraient accélérer l’accumulation de capital. Un déficit de l’épargne intérieure semble constituer un sérieux obstacle à une accélération des taux d’investissement au Brésil. L’épargne du secteur public est négative en raison de l’importance des dépenses, notamment au titre des droits à retraite. Outre son caractère onéreux, le système de retraite redistribue des revenus à ceux qui sont relativement peu enclins à épargner, et entame ainsi l’épargne privée. Pour pouvoir maîtriser demain les dépenses de retraite, cet article propose une série de réformes des paramètres du système des retraites. Parmi les principaux freins à l’investissement figurent le niveau élevé des taux d’intérêt réels, qui ne s’explique pas aisément, et l’atrophie des marchés du crédit à long terme, dans lesquels la banque nationale de développement, la BNDES, joue un rôle dominant. Dans l’avenir, il faudra inciter les organismes de crédit privés à procurer des financements sur le long terme pour financer les besoins du pays en investissement. Ceci impliquera un besoin d’établir des règles du jeu équitables, en éliminant l’accès privilégié de la BNDES à des financements nettement moins onéreux que ceux des banques par le biais du fonds d’aide aux salariés et grâce à des transfers du gouvernement. De plus, l’investissement est limité par la fragmentation du système fiscal, qui alourdit le coût de la discipline pour les entreprises et accentue une pression fiscale déjà forte. Enfin, l’adoption de mesures visant à réformer la réglementation, et notamment la suppression des restrictions à l’entrée sur le marché qui persistent, ainsi que l’assouplissement de la protection douanière, pourrait diminuer les coûts supportés par les entreprises et renforcer les incitations à l’investissement. Ce document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE du Brésil 2011 (www.oecd.org/eco/etudes/Bresil).
Ce papier rejoint le débat sur la taille de la classe moyenne en Amérique Latine, en étudiant sa structure et ses caractéristiques, ainsi que le potentiel de mobilité et son évolution dans le temps dans un groupe de pays de la région. L’analyse démontre que la classe moyenne dans les pays d’Amérique Latine est plus petite que celle des pays de l’OCDE. Néanmoins le potentiel de mobilité à la hausse de la classe moyenne ne montre pas de différences importantes. Malgré cela, elle exhibe un risque plus élevé de retomber dans la pauvreté, dévoilant l’importance d’une politique publique en faveur de la classe moyenne.
This paper examines the role of exports in skill upgrading in the Korean manufacturing sector during the 1990s utilizing a unique plant-level panel data set. The empirical results indicate the important role of exports on relative employment on skilled versus unskilled workers. The main findings are as follows. Firstly, this paper documents the significant degree of skill upgrading that occurred during the 1990s in the Korean manufacturing sector. Secondly, a large part of the increase in the aggregate non-production employment share was due to the �\within. effect, rather than the �\between. effect. This tendency becomes stronger when we use plant-level, rather than industry-level data. Thirdly, most of the �\within. changes were accounted for by the skill-upgrading of exporters, especially those exporters that were either R&D active or large. This is suggestive of the positive interactive effects between exporting and R&D expenditure in skill upgrading. Fourthly, regression analysis shows that both the �\within. and �\between. components of skill composition changes at plant level are strongly and positively correlated with exporting activities, while R&D expenditure is correlated only with the �\within. components.
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