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Le développement est au coeur de la mission de l’OCDE depuis sa fondation, comme l’indique le D figurant dans son sigle. Depuis plus d’un demi-siècle, les travaux de l’OCDE ont eu pour vocation de réduire la pauvreté, de soutenir et d’améliorer les perspectives de développement et de créer des politiques meilleures pour une vie meilleure.
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De la jeune élève pakistanaise au vieux fermier éthiopien, l’aide est en train de changer la vie dans les pays en développement. Au-delà de ces parcours personnels se déploie l’univers extrêmement complexe de la coopération pour le développement, avec ses innombrables acteurs et projets, dont les buts et les réalisations sont souvent mal compris.
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Alors que le monde connaît une formidable redistribution de la richesse, pourquoi certains pays sont-ils toujours pauvres ? Si la question semble évidente, les réponses ne le sont pas. Pour comprendre les défis de la coopération pour le développement, il est essentiel d’examiner les causes et les nombreuses dimensions de la pauvreté.
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L’aide représente une part importante de l’effort mondial de coopération pour le développement. L’essentiel provient des pays développés, mais la Chine et des pays du monde arabe sont également des contributeurs importants, tout comme les organismes internationaux comme la Banque mondiale, les ONG et des milliardaires tels que Bill Gates.
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Pourquoi apporter de l’aide ? Les pays les plus riches ont longtemps eu de nombreuses raisons de travailler avec les pays en développement, qu’il s’agisse de les soulager ou d’exercer leur influence. Ces dernières années, d’autres facteurs ont gagné en importance, en particulier le désir de renforcer la sécurité mondiale.
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La coopération pour le développement donne-t-elle des résultats ? La réponse est aussi simple que la question : oui. Ou plutôt : oui, mais pas toujours. La nuance est importante : pour en tirer tous les bénéfices possibles, il est essentiel de comprendre pour quelles raisons elle marche ou ne marche pas.
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Lorsqu’un pays ne peut pas gérer ses propres affaires, ce sont les pauvres qui paient le prix le plus élevé. C’est l’une des raisons pour lesquelles la bonne gouvernance – qui comprend le respect des droits de l’homme –, en créant des systèmes de responsabilité et en mettant en place des systèmes fiscaux opérants, est devenue une priorité de la coopération pour le développement.
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Une fois de plus, l’économie mondiale se transforme : des pays comme la Chine et l’Inde s’affirment comme de nouvelles puissances économiques. Ils deviennent des partenaires importants pour les pays les plus pauvres et constituent une source d’idées, d’énergie et d’argent, mais aussi de nouveaux défis pour la coopération pour le développement.
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