Le taux d'investissement a baissé depuis le début des années 2000
L'investissement est dominé par les ménages et les administrations publiques
Un nombre élevé de tunisiens sont propriétaires de leur logement
Les dépenses d'investissement public sont restées relativement élevées
Les flux et stocks d'investissements directs étrangers sont plutôt élevés
Productivité, investissement et croissance potentielle
Productivité : de fortes différences entre secteurs mais une faible réallocation des ressources
Les entreprises tunisiennes restent de petite taille
Le taux de création d'entreprises reste faible
Les obstacles à l'entreprenariat sont élevés
Les réglementations sont restrictives pour le commerce de détail
Contrôle de l'état sur les entreprises : résultats des indicateurs de réglementation des marchés de produits
Facilitation des échanges : des gains de compétitivité à saisir
Contribution des entreprises offshore aux exportations et à la création d'emplois formels
Taux statutaire de l'impôt sur les sociétés
Les restrictions aux IDE ont baissé mais restent élevées dans certains secteurs
Déperditions du réseau électrique
Il existe des marges d'amélioration de la performance logistique
Contraintes de financement selon la taille des entreprises
L'autofinancement joue un rôle important mais en déclin
Le crédit bancaire reste faible et l'augmentation récente a profité davantage aux ménages
Les systèmes d'information sur le crédit sont peu développés
Les garanties exigées par les banques sont élevées
Performances du marché boursier
Le capital investissement est peu développé et bénéficie peu aux nouvelles entreprises