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Science, technologie et industrie : Perspectives de l'OCDE 2010

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De grandes attentes reposent sur la technologie et l’innovation pour assurer une reprise économique rapide et durable. Mais quelles sont les implications pour la politique de la science et de l’innovation ? Quelles mesures les pays prennent-ils pour renforcer leurs capacités à cet égard ? Quelle place les pays émergents sont-ils appelés à occuper dans le paysage de la science, de la technologie et de l’innovation ?

Science, technologie et industrie : Perspectives de l’OCDE 2010 fait le point sur les principales tendances concernant la science, la technologie et l’innovation dans les pays de l’OCDE et dans un certain nombre de grandes économies émergentes comme l’Afrique du Sud, le Brésil, la Chine, l’Inde et la Russie. Au moyen des données et indicateurs les plus récents, cette publication aborde des thèmes qui sont au cœur des préoccupations des responsables de la politique économique : performances en matière de science et d’innovation ; évolutions des politiques nationales de la science, de la technologie et de l’innovation ; conception et évaluation des politiques d’innovation, y compris les interactions des différentes mesures et leur dosage. On trouvera également dans ces Perspectives, pour chaque pays, un profil individuel de ses performances en matière de science et d’innovation, situées dans le contexte propre au pays et par rapport à ses enjeux stratégiques.

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Luxembourg

Le Luxembourg est une petite économie stable et à revenu élevé qui présente historiquement une solide croissance et de faibles niveaux d’inflation et de chômage. Initialement ancrée dans le secteur de l’acier, cette économie s’est diversifiée et tire aujourd’hui plus de la moitié de sa valeur ajoutée totale du secteur bancaire, de l’assurance, de l’immobilier et d’autres services aux entreprises : à lui seul, le secteur financier génère 30 % du PIB. Le profil du pays en matière de science et d’innovation fait apparaître des points forts, mais également des marges de progrès. Les dépenses intérieures brutes de R-D (DIRD) sont relativement modestes, et leur niveau de 2008, à 1.6 % du PIB, se situe au-dessous de la moyenne de l’OCDE. En comparaison, les DIRD par habitant sont assez importantes. Elles ont progressé en termes réels de 2.7 % en 2008. En 2007, les trois quarts des DIRD ont été financées par les entreprises, plaçant le pays à la deuxième place derrière le Japon. À 1.2 % du PIB, cependant, cet indicateur était légèrement sous la moyenne. Les dépenses des entreprises se sont établies à 1.3 % du PIB en 2008, soit un niveau également inférieur à la moyenne.

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