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Science, technologie et industrie : Perspectives de l'OCDE 2010

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De grandes attentes reposent sur la technologie et l’innovation pour assurer une reprise économique rapide et durable. Mais quelles sont les implications pour la politique de la science et de l’innovation ? Quelles mesures les pays prennent-ils pour renforcer leurs capacités à cet égard ? Quelle place les pays émergents sont-ils appelés à occuper dans le paysage de la science, de la technologie et de l’innovation ?

Science, technologie et industrie : Perspectives de l’OCDE 2010 fait le point sur les principales tendances concernant la science, la technologie et l’innovation dans les pays de l’OCDE et dans un certain nombre de grandes économies émergentes comme l’Afrique du Sud, le Brésil, la Chine, l’Inde et la Russie. Au moyen des données et indicateurs les plus récents, cette publication aborde des thèmes qui sont au cœur des préoccupations des responsables de la politique économique : performances en matière de science et d’innovation ; évolutions des politiques nationales de la science, de la technologie et de l’innovation ; conception et évaluation des politiques d’innovation, y compris les interactions des différentes mesures et leur dosage. On trouvera également dans ces Perspectives, pour chaque pays, un profil individuel de ses performances en matière de science et d’innovation, situées dans le contexte propre au pays et par rapport à ses enjeux stratégiques.

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Australie

L’Australie fait preuve de dynamisme en matière d’innovation et affiche un certain nombre de points forts. Les dépenses intérieures brutes de R-D (DIRD) ont progressé à partir de 2000, pour culminer à 1.97 % du PIB en 2006, tandis que les dépenses intra-muros de R-D du secteur des entreprises (DIRDE) sont ressorties à 1.2 % du PIB en 2007, soit un niveau inférieur au 1.6 % enregistré en moyenne dans l’OCDE. La part des DIRD financées par les entreprises est passée de 54.3 % à 58.3 % entre 2004 et 2006, alors que celle assurée par l’État décroissait de 40.3 % à 37.3 %. Les entreprises ont financé 96 % des DIRDE en 2007, contre 89 % en 2001. En 2006, le secteur tertiaire a exécuté 40 % des DIRDE du pays. Si l’on adopte une définition large du capital-risque, l’intensité de capital-risque (0.13 % du PIB) a été supérieure à la moyenne en 2008; en revanche, avec une définition plus restreinte (hors capital-investissement), ce ratio a reculé dans les dernières années.

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