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Science, technologie et industrie : Perspectives de l'OCDE 2010

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De grandes attentes reposent sur la technologie et l’innovation pour assurer une reprise économique rapide et durable. Mais quelles sont les implications pour la politique de la science et de l’innovation ? Quelles mesures les pays prennent-ils pour renforcer leurs capacités à cet égard ? Quelle place les pays émergents sont-ils appelés à occuper dans le paysage de la science, de la technologie et de l’innovation ?

Science, technologie et industrie : Perspectives de l’OCDE 2010 fait le point sur les principales tendances concernant la science, la technologie et l’innovation dans les pays de l’OCDE et dans un certain nombre de grandes économies émergentes comme l’Afrique du Sud, le Brésil, la Chine, l’Inde et la Russie. Au moyen des données et indicateurs les plus récents, cette publication aborde des thèmes qui sont au cœur des préoccupations des responsables de la politique économique : performances en matière de science et d’innovation ; évolutions des politiques nationales de la science, de la technologie et de l’innovation ; conception et évaluation des politiques d’innovation, y compris les interactions des différentes mesures et leur dosage. On trouvera également dans ces Perspectives, pour chaque pays, un profil individuel de ses performances en matière de science et d’innovation, situées dans le contexte propre au pays et par rapport à ses enjeux stratégiques.

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Portugal

Le profil du Portugal en matière de science et d’innovation fait apparaître à la fois des forces et des faiblesses. Des améliorations considérables ont été observées ces deux dernières années, et quatre indicateurs sont désormais au-dessus de la moyenne, alors qu’ils n’étaient que deux dans la précédente édition des Perspectives de la STI. Bien que toujours inférieures à la moyenne de l’OCDE, les dépenses intérieures brutes de R-D (DIRD) ont presque doublé, passant de 0.8 % du PIB en 2000 à 1.5 % en 2008. Depuis 2005, les DIRD ont progressé en termes réels à un rythme annuel moyen soutenu, de 25 %. Leur financement a sensiblement évolué : la part des entreprises est passée de 27 % à 47 % entre 2000 et 2007, tandis que celle de l’État tombait de 65 % à 45 %. Les dépenses intra-muros de R-D du secteur des entreprises (DIRDE) ont également augmenté, de 0.2 % du PIB en 2000 à 0.8 % en 2008. En revanche, en 2008, l’intensité de capital-risque (0.03 % du PIB) était nettement au-dessous de la moyenne.

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