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Avec une population qui vieillit plus rapidement et plus fortement que dans les autres pays de l’OCDE, la Finlande se trouve dans l’obligation d’ajuster ses priorités budgétaires afin d’en assurer la viabilité à plus long terme. Il faudra pour cela des réformes considérables, car l’expansion des dépenses publiques est actuellement très forte. Bien que la croissance du PIB se soit ralentie par rapport à son rythme exceptionnellement rapide du début des années 90, la consommation publique a continué à progresser rapidement, les nouvelles obligations imposées par l’administration centrale et par la pression des usagers ayant amené les municipalités à accroître leur offre de services publics. Après une certaine stabilisation en 2003, les dépenses des collectivités locales se sont à nouveau accélérées et le déficit a été porté à ¾ pour cent du PIB en 2004 pour les municipalités considérées dans leur ensemble – malgré le versement de transferts encore plus importants par l’administration centrale. Quant à la charge fiscale, elle reste élevée, surtout celle qui pèse sur la main-d’œuvre. Il ne sera possible d’assurer la stabilisation à long terme des finances publiques tout en maintenant les éléments essentiels de la protection sociale qu’à condition i) d’améliorer l’efficacité des dépenses publiques, ii) de réformer le financement des communes pour les inciter à mieux contrôler leurs dépenses et limiter les augmentations futures de l’impôt municipal sur le revenu et iii) de rééquilibrer le partage entre le secteur public et le secteur privé dans l’offre et dans le financement des services publics. Ce document de travail examine les moyens de progresser dans la réalisation de ce programme. Il se réfère à l’Etude économique de 2004 de l’OCDE sur la Finlande (www.oecd.org/eco/etudes/finlande) et met à jour les analyses effectuées dans cette étude en y insérant des données pour 2004 et en prenant en compte l’évolution récente.

Il n’y a seulement que quelques pays membres qui ont des recettes fiscales moindres que celles des États-Unis. Néanmoins, il y a un certain nombre d’améliorations qui pourraient aider à réduire les distorsions créées par la fiscalité dans l‘économie et dynamiser ainsi les performances économiques à moyen terme. Les gains les plus sensibles pourraient venir de la réforme de l’imposition du capital. L’épargne n’est pas toujours affectée aux domaines offrant les rendements les plus élevés, de grandes disparités existant selon les secteurs dans lesquels elle est investie et les instruments financiers qui sont utilisés. En outre, l’imposition des revenus du capital favorise la consommation présente plutôt que la consommation future avec un impact négatif sur l’accumulation de l’épargne et du capital. Dans le passé, un certain nombre de propositions avaient été faites pour réduire le fardeau de la fiscalité sur l’épargne en remplaçant l’imposition sur le revenu par une imposition de la ...

Ce texte discute des avantages et des inconvénients du contrat de travail unique. Après une discussion du dualisme et des réformes récentes du marché du travail en Europe, nous décrivons les différentes propositions visant à éliminer le dualisme. Nous soulignons ensuite les coûts du dualisme et tentons de comprendre si la création d'un contrat unique les supprimerait. Nous introduisons notamment une distinction entre les réformes basées sur un contrat unique à droits progressifs (CUDP, ou CPSR pour l'acronyme anglais), ou sur un contrat avec une période d'essai allongée (CPEA ou CLPP pour l'acronyme en anglais). Les gains et les coûts sont très différents selon l'hypothèse retenue, en particulier par rapport aux effets de stigmatisation des travailleurs et par rapport à la persistence du dualisme. Nous envisageons aussi d'autres réformes: outre celle de l'introduction d'un contrat unique, nous discutons de différentes réformes indépendantes du contrat de travail mais modifiant les conséquences du dualisme du marché du travail (accès à la formation, au marché du crédit, au logement) et en comparons les coûts et avantages.

Nous élaborons ensuite un simple modèle où les contrats permanents et temporaires sont tous deux à disposition des entreprises et coexistent en leur sein. Nous utilisons cette structure théorique pour décrire la demande de contrats temporaires et les conséquences potentielles d'en supprimer l'usage. Nous en concluons: premièrement, que la protection de l'emploi a un impact négatif mais modéré sur l'emploi total, qui est précisément atténué par l'existence de contrats temporaires; deuxièmement, que l'élimination des contrats temporaires diminue l'emploi total (de 7 points de pourcentage selon notre modèle); pour anihiler cet eet négatif, il faudrait une réforme radicale des contrats permanents (qui dans le cas d'espèce diminuerait des deux tiers les coûts des licenciements associés aux contrats permanents); enn, la coexistence de contrats temporaires et permanents peut aussi avoir des conséquences négatives au niveau des normes sociales au sein de l'entreprise et sur la motivation des salariés; éliminer les contrats temporaires serait alors une amélioration de la productivité des entreprises.

Nous concluons sur le fait que si les coûts du dualisme sont réels, ils sont moins évidents et moins bien démontrés que ceux engendrés par la protection de l'emploi elle-même. De plus, le contrat unique pourrait être en partie un qui pro quo. Il serait au contraire utile de clarifier les objectifs fondamentaux des réformes du marché du travail.

Pendant la décennie après la crise de 1998 le système bancaire russe est devenu beaucoup plus grand et fort – les taux de croissance étaient même inquiétants – mais même avant le début de la crise mondiale actuelle il a continué à jouer un rôle limité dans l’intermédiation de l’épargne et l’investissement, surtout pour les petites et moyennes entreprises. D’ailleurs, malgré des pas en avant importants, il restait des faiblesses dans la surveillance prudentielle, et le secteur bancaire avait toujours trop de banques minuscules qui avaient très peu de vraies activités bancaires. Cette étude aborde les principaux défis pour la politique envers les banques à court terme étant donné le contexte de crise économique, et les réformes qui pourraient être mises en œuvre à plus long terme afin d’augmenter l’efficacité et la stabilité du secteur bancaire et de hausser le taux de croissance de la production potentielle. La crise actuelle, tout en étant douloureuse pour le secteur bancaire et l’économie, pourrait faciliter une restructuration du système qui serait positive à long terme, ainsi que des nouvelles approches à la réglementation qui aideront à diminuer la vulnérabilité du système aux crises.
Cet article examine la nature et la durée des ajustements économiques à un certain nombre de réformes structurelles, utilisant plusieurs approches : analyse descriptive et simulations des modèles dynamique d’équilibre général et macro-économiques néo-keynésiens, L’analyse descriptive suggère que la corrélation entre des réformes, notamment une modification du coin fiscal, du taux de remplacement et des régulations anticoncurrentielles sur le marché des produits et le taux de chômage structurel n’atteint son effet maximum qu’après 5 à 10 ans. Diminuer les coûts d’ajustement sur l’emploi et les prix de la zone euro à leur niveau observé aux États-Unis ne se traduirait que par des effets limités sur la vitesse d’ajustements aux réformes sur le marché du travail ou aux réformes fiscales. Une réaction de politique monétaire peut accélérer l’ajustement à un nouvel équilibre, mais de manière plus ou moins marquée dans les différents pays ou régions de l’OCDE. En particulier, les réformes menées au niveau des pays individuels généreront probablement peu ou pas de réaction monétaire, sauf en présence d’un effort concerté de mise en oeuvre de réformes au niveau de la zone.
Après les réformes radicales entreprises au cours des années 80, le système fiscal néo-zélandais est considéré depuis longtemps comme l’un des plus efficients de la zone OCDE. A l’avenir, le pays aura besoin d’un régime fiscal qui aide l’économie à élever le niveau de vie, soit favorable à l’épargne et à l’investissement et puisse faire face à des pressions émergentes telles que la mobilité géographique croissante du travail et du capital. Dans un tel contexte, il sera important d’avoir en place une direction claire sur le long terme pour guider les réformes du système fiscal. Au moins deux options méritent considération : adapter le système dans le cadre d’une approche de revenu global ou bien adopter un système de taxation dual. Les changements futurs du système fiscal devront être cohérents avec l’approche finalement adoptée. Dans tous les cas, il sera nécessaire de modifier un nombre de limitations des bases de taxation actuelles. Ce Document de travail se rapporte à l'Étude économique de l'OCDE de la Nouvelle-Zélande 2007 (www.oecd.org/eco/etudes/nz).
La stratégie de croissance verte du Danemark vise pour l’essentiel à supprimer les combustibles fossiles du système énergétique et à investir dans les technologies vertes, tout en limitant les émissions de gaz à effet de serre (GES). Dans l’ensemble, les mesures en cours devraient permettre au Danemark d’atteindre les objectifs d’atténuation du changement climatique à court terme mais peut-être pas de réaliser ses objectifs les plus ambitieux. Toute la difficulté sera de les atteindre de manière économiquement efficiente et de veiller à ce que ces ambitions contribuent au mieux à l’atténuation des émissions de GES dans le monde ainsi qu’à une croissance plus forte et plus verte au niveau national. Pour faire face à ce défi, le Danemark devra mieux exploiter les interactions avec les politiques mises en oeuvre dans le cadre de l’UE et à l’échelle internationale, trouver le meilleur moyen de soutenir les technologies vertes et réduire les émissions de GES dans les secteurs qui ne relèvent pas du système communautaire d’échange de quotas d’émissions. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE du Danemark, 2012 (www.oecd.org/eco/etudes/danemark).
Comprendre les structures de plus en plus complexes du commerce international constitue un enjeu important pour les responsables de l'action publique, dans la mesure où le renforcement de l'intégration économique se caractérise par des échanges croissants de services ainsi que de biens intermédiaires entre pays. Les analyses réalisées à partir de tableaux d'entrées-sorties internationaux peuvent apporter des éléments de réponse aux questions de politique publique liées aux échanges, et fournir d'autres enseignements sur les répercussions socioéconomiques et environnementales de la mondialisation. Pour analyser les relations d’interdépendance entre pays, il est nécessaire de coupler les tableaux d’entrées-sorties nationaux; pour ce faire, il faut disposer d’un ensemble de données harmonisées cohérentes portant sur les échanges internationaux et correspondant, dans l’idéal, à la production récente des activités économiques. Ce document examine les difficultés rencontrées pour construire des tableaux de commerce bilatéral adéquats, à partir des bases de données annuelles sur le commerce international gérées par l’OCDE et les Nations Unies, ou d’informations provenant de sources nationales. Ce papier traite principalement de la présence croissante des « réexportations » dans les exportations de marchandises recensées et il soulève également d’autres problèmes statistiques, ou liés aux données, dont il faut tenir compte. Il s’agit notamment des différences de données du commerce entre les divers organismes statistiques internationaux, du traitement des échanges des biens confidentiels (ou « non attribués »), du commerce des biens d’occasion, de débris de métaux et autres déchets, ainsi que des problèmes liés à la conversion des données d’échange par produit en données sectorielles. Ce document traite aussi des problèmes liés aux échanges de services provenant de la Balance des Paiements.
Il est important de comprendre la nature et les déterminants de l'économie informelle, tant ses conséquences sociales et économiques sont vastes. Ce document examine d’une façon critique l'état actuel de la recherche sur l'économie informelle, et examine la façon d'utiliser plus efficacement les données existantes et d'étendre les bases de données pour mieux établir un lien entre les politiques publiques et l'informalité. Quelques conclusions intéressantes se dégagent de cette étude. L'économie informelle présente de multiples facettes et un large éventail de définitions et de mesures sont nécessaires pour saisir ses diverses formes. Cependant, la plupart des indicateurs disponibles - et largement utilisés - souffrent de problèmes de mesurabilité, qui réduisent la fiabilité des données empiriques existantes et les résultats sur l'ampleur et les déterminants de l'informalité. Ainsi, les futures recherches sur l'informalité devraient recueillir de meilleures données, en particulier sur les ménages et les entreprises.
Pendant les années précédant le déclenchement de la crise financière mondiale, la banque centrale de Russie avait deux objectifs : réduire l’inflation et limiter l’appréciation réelle du rouble. Étant donné le solde très positif de la balance des paiements pendant la décennie se terminant à la première moitié de 2008, la gestion du taux de change nominal a eu pour résultat des interventions importantes qui n’ont été que partiellement stérilisées. L’inflation est donc restée élevée. Pendant la crise financière mondiale en 2008-09 la politique monétaire de la Russie a été contrainte par le niveau élevé de dollarisation de la dette privée. Après un ajustement graduel du taux de change à la situation nouvelle des prix du pétrole qui a été coûteux à cause des pertes de réserves, la banque centrale a commencé à baisser les taux d’intérêt et à permettre plus de flexibilité du taux de change. Dans le futur, la Russie devrait permettre davantage de flexibilité du taux de change puisque (i) les pays exportateurs de matières premières peuvent gérer un régime de ciblage de l’inflation ; et (ii) nous trouvons que la transmission des mouvements du taux de change à l’inflation n’a été que modérée et asymétrique et qu’on peut en tenir compte sous un tel régime. Les préparations pour le ciblage de l’inflation devraient être focalisées sur un engagement à la stabilité des prix comme objectif principal de la politique monétaire. En même temps, les autorités devraient améliorer leur compréhension de la façon dont les développements monétaires affectent l’inflation et la stabilité financière ainsi qu’accélérer les réformes financières visant un approfondissement du secteur financier.
Le processus d’assainissement des finances publiques et la nécessité de renforcer la mauvaise performance économique à long terme permettent de mettre en oeuvre des mesures fiscales pour améliorer l’efficacité et remettre l’économie sur une trajectoire de croissance. Au fur et à mesure que la consolidation fiscale progresse, le transfert de l’imposition des revenus du travail vers les impôts sur la consommation et sur le patrimoine offre un moyen de regagner la compétitivité perdue et de créer des emplois, surtout si les réductions du coin fiscal sur le travail se concentrent sur les titulaires de bas salaires. L’assiette des impôts sur la consommation étant particulièrement large au Portugal, ce transfert pourrait induire une baisse considérable du coin fiscal tout en augmentant les recettes, le cas échéant. La productivité et le bien-être peuvent être améliorés en simplifiant le système fiscal, réduisant ainsi les coûts de discipline élevés, en particulier vis-à-vis des petites et moyennes entreprises. De même, le système fiscal pourrait être plus favorable à l’environnement en s’attaquant aux externalités générées par les transports, qui sont particulièrement préoccupantes en zone urbaine. Parallèlement, les pressions budgétaires considérables exigent des gains d’efficience dans le recouvrement des impôts. Il existe de nombreuses possibilités d’élargir l’assiette en réduisant les dépenses fiscales pour les principaux impôts directs et indirects, ainsi que pour la fiscalité immobilière. Ce document de travail se rapporte à l’Étude économique du Portugal de 2010 (www.oecd.org/eco/ surveys/portugal).
L’une des priorités immédiates des pouvoirs publics consiste à faire reculer rapidement le chômage afin de limiter les problèmes sociaux et de réduire les risques d’une montée du chômage structurel. Pour y parvenir, il est indispensable de renforcer les politiques du marché du travail, capables de soutenir la demande de travail. Le programme de travaux publics doit rester temporaire et être davantage axé sur la formation. Les autorités devraient également s’abstenir de relever davantage le salaire minimum. Des réformes structurelles fondamentales sont nécessaires à moyen terme pour que le taux d’activité de la Hongrie ne figure plus parmi les plus bas de la zone OCDE. Il s’agit d’un enjeu majeur dans le contexte du vieillissement rapide de la population. Les pouvoirs publics ont commencé à restructurer le système de prélèvements et de prestations afin d’augmenter les incitations financières au travail et l’offre de main-d’oeuvre. Néanmoins, ils devront consentir des efforts supplémentaires pour veiller à ce que le marché du travail soit plus inclusif. En effet, plusieurs catégories de population sont significativement sous-représentées sur le marché du travail, comme les peu qualifiés, les jeunes, les seniors, les femmes en âge de procréer, les handicapés et les Roms. Des mesures structurelles s’imposent pour développer l’emploi à temps partiel et d’autres formes flexibles d’emploi, réformer les politiques familiales, faciliter l’insertion professionnelle des handicapés, adapter le système éducatif aux besoins du marché du travail, accroître le niveau de qualifications et de compétences à tous les âges, renforcer les incitations à la poursuite de l’activité à un âge avancé et lutter contre la discrimination à l’égard des Roms. Ce Document de travail se rapporte à l’Étude économique de l’OCDE de la Hongrie, 2012 (www.oecd.org/eco/etudes/hongrie).
Il existe de nombreuses données empiriques prouvant qu’en Autriche, le modèle de répartition des rôles entre les hommes et les femmes est profondément enraciné, et qu’il persiste. Alors même qu’on considère généralement que ce modèle a bien fonctionné dans le passé, il est aujourd’hui remis en cause de manière importante par les évolutions sociétales et économiques en cours dans le pays. De ce fait, l’intégration systématique d’une démarche soucieuse de l’égalité entre les sexes visant à favoriser l’égalité hommes-femmes est l’une des priorités des responsables de l’action publique autrichiens. Un cadre d’action publique intégré au service d’une plus grande parité devrait s’articuler autour de trois axes principaux : i) rendre le système de prélèvements et de prestations plus favorable à l’emploi ; ii) développer les infrastructures d’accueil et de soins et iii) favoriser l’adoption de pratiques plus souples dans le monde du travail. Rationaliser les politiques familiales entre les différentes régions et les différents niveaux de l’administration entraînerait des gains d’efficience sous ces trois aspects. Les simulations à long terme montrent qu’une meilleure parité hommes-femmes permettrait à l’Autriche de gagner 13 points de PIB d’ici 2060. En outre, promouvoir l’égalité entre les sexes dans la société autrichienne améliorerait le bien-être de la population.
A mesure que les entreprises s’orientent vers des modèles d’innovation plus ouverts fondés sur la collaboration et l’exploitation de sources externes de connaissances, elles tirent profit de leur propriété intellectuelle, notamment de leurs brevets, non seulement en intégrant des inventions protégées dans des produits, procédés et services nouveaux, mais aussi en les concédant sous licence à d’autres entreprises ou à des organismes de recherche publics, en les utilisant comme monnaie d’échange dans les négociations engagées avec d’autres entreprises et comme un moyen d’obtenir des financements extérieurs auprès des institutions bancaires, des investisseurs en capital-risque et d’autres sources...
Les systèmes de protection sociale sont confrontés à de nombreux défis. La récente crise économique a été un test de robustesse avec son lot de chômage élevé et de hausse de la dette publique dans de nombreux pays. La crise a également réduit le PIB potentiel et donc la base de financement des régimes de protection sociale. Dans le même temps, le vieillissement et les autres tendances séculaires soulèvent des questions de durabilité financière à long terme. Les caractéristiques structurelles des institutions sociales déterminent leur capacité à faire face aux chocs et aux changements de tendance, et également le partage des risques entre les institutions et leurs parties prenantes. Elles définissent aussi la possibilité d’ajustements automatiques ou discrétionnaires lorsqu’il faut faire des arbitrages entre la durabilité financière, l’adéquation des services et des gains d’efficacité. Ce rapport examine la viabilité des institutions sociales et leur capacité à absorber et à faire face aux chocs à court terme et aux tendances de long terme par le partage des risques et le lissage des dépenses, en se concentrant sur les régimes de retraite, de soins de santé et d'assurancechômage.

La présente note exploratoire propose une vue d’ensemble, de haut niveau, des principales approches utilisées pour le calcul des indicateurs de l’intensité carbone au niveau des produits et des secteurs ainsi que des difficultés rencontrées, notamment en ce qui concerne la collecte et la vérification des informations dans l’ensemble de la chaîne logistique. Bien que l’analyse porte essentiellement sur les approches utilisées dans les secteurs à forte intensité d’émissions et exposés aux échanges commerciaux (FIEEEC), les conclusions peuvent aussi être plus largement pertinentes dans d’autres secteurs. Dans cette analyse, les difficultés liées au calcul des indicateurs de l’intensité carbone au niveau des secteurs seront prises en compte, en particulier eu égard au fait que ces indicateurs peuvent servir eux-mêmes à la construction des indicateurs au niveau des produits.

Anglais
  • 31 août 2023
  • OCDE, Commission européenne
  • Pages : 38

Dieses Kurzdossier über die Verbesserung der Wirksamkeit von Schulungsprogrammen für inklusives und soziales Unternehmertum wurde von der OECD und der Europäischen Kommission erstellt. Darin wird die Bedeutung der Schulungsprogramme erörtert und ein Überblick über die verschiedenen verfügbaren Schulungsprogramme gegeben. Ferner wird untersucht, welche Möglichkeiten den Regierungen zur Verfügung stehen, um diese Schulungsprogramme zu stärken, und es werden Orientierungshilfen für die Konzeption wirksamerer Schulungsprogramme für inklusives und soziales Unternehmertum gegeben.

Français, Anglais

Este documento explora a função dos vales sociais como um instrumento de inclusão social e desenvolvimento local. Apresenta uma tipologia dos vales e dos respetivos objetivos, que regem os quadros institucionais e regulamentares, a utilização pelos governos nacionais e locais e a economia social (secção 1). Analisa os desafios e as oportunidades para o desenvolvimento de vales à luz da crise da COVID-19 e sugere recomendações para tirar partido de forma mais eficaz dos vales sociais como um instrumento para "reconstruir melhor" (seção 2). Por último, ilustra e analisa casos específicos na Bélgica, Brasil, Chéquia, França, México, Marrocos e Roménia (seção 3).

Anglais, Espagnol
  • 30 juin 2023
  • OCDE
  • Pages : 74

Dieser Bericht befasst sich mit wissenschaftlichen Laufbahnen und nimmt dabei insbesondere das „Wissenschaftsprekariat“ in den Blick: Postdokto-rand*innen mit befristeten Verträgen, die keine Aussicht auf Festanstellung oder Weiterbeschäftigung haben. Es werden Maßnahmen und Praktiken aufgezeigt, um die Lebensqualität von Wissenschaftler*innen zu erhöhen, diversere, gerechtere und inklusivere Wissenschaftssysteme zu schaffen, die besten wissenschaftlichen Nachwuchskräfte anzuwerben und zu halten und damit letztlich die Qualität der Forschung zu verbessern.

Der Bericht bietet einen konzeptuellen Rahmen und einen Überblick über die verfügbaren Daten und Informationen zu Politikmaßnahmen. Er stützt sich auf eine in OECD-Ländern durchgeführte Erhebung, bestehend aus Ländernotizen und Interviews mit Politikverantwortlichen, Mittelgeber*innen, Vertreter*innen von Forschungseinrichtungen sowie Wissenschaftler*innen. Der Bericht präsentiert Empfehlungen und eine Reihe von Politikoptionen für die Verbesserung der Arbeitsbedingungen und beruflichen Entwicklungsmöglichkeiten, eine stärkere Verknüpfung von Mittelvergabe und Personalpolitik, inklusivere Governance-Strukturen, die Förderung von Chancengleichheit und Diversität, ein besseres Personalmanagement, mehr intersektorale und internationale Mobilität sowie eine breitere Evidenzbasis zu wissenschaftlichen Laufbahnen.

Anglais

Le niveau de vie moyen des Tunisiens a augmenté de façon continue depuis plusieurs décennies tandis que la pauvreté et les inégalités ont largement diminué grâce à la mise en oeuvre de nombreux programmes sociaux. L’accès aux infrastructures de base telles que l’eau potable ou l’électricité a également été développé. Néanmoins, le taux d’emploi demeure faible, surtout pour les femmes; environ un tiers des jeunes est au chômage et le travail informel est répandu. Il est urgent de promouvoir des formations répondant aux besoins des employeurs et de favoriser l'emploi des femmes. L’allégement des cotisations sociales pesant sur le travail salarié permettra la création d’emplois de qualité. La mise en oeuvre de la stratégie d’inclusion financière facilitera l’accès au financement. Les disparités régionales en termes de chômage et de niveau de vie entre les régions côtières et les régions de l’intérieur sont importantes. Une nouvelle politique de développement régional, valorisant les atouts spécifiques de chaque région autour du développement de pôles urbains, est nécessaire. La Constitution de 2014, qui prévoit l’accroissement de l’autonomie et des compétences des collectivités locales, représente une opportunité pour réaliser cet objectif.
This Working Paper relates to the 2018 OECD Economic Survey of Tunisia
(www.oecd.org/eco/surveys/economic-survey-tunisia.htm).

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