1887

Browse by: "PRE-2005"

Index

Index par titre

Index par année

/search?value51=igo%2Foecd&value6=2004&sortDescending=true&value5=1850&value53=status%2F50+OR+status%2F100&value52=theme%2Foecd-39&value7=&value2=&option7=&option60=dcterms_type&value4=subtype%2Freport+OR+subtype%2Fbook+OR+subtype%2FissueWithIsbn&value60=subtype%2Fbookseries&option5=year_from&value3=&option6=year_to&publisherId=%2Fcontent%2Figo%2Foecd&option3=&option52=pub_themeId&sortField=prism_publicationDate&option4=dcterms_type&option53=pub_contentStatus&option51=pub_igoId&option2=&operator60=NOT

La deuxième édition complète de ces Principes vise à aider les pouvoirs publics, l'industrie et les collectivités dans le monde entier à anticiper les accidents résultant de catastrophes technologiques et naturelles ou de sabotages et impliquant des substances dangereuses. Elle aborde les thèmes suivants : prévention des accidents et quasi-accidents chimiques ; préparation aux accidents par l’élaboration de plans d’urgence, d’une communication avec le public, etc.; mesures à prendre pour faire face aux accidents et réduire autant que possible

Anglais, Chinois
  • 12 nov. 2004
  • OCDE
  • Pages : 309

New forms of governance are emerging. Government, business and civil society are increasingly seeking ways to develop and pursue economic development strategies and solve socio-economic problems jointly. Regional strategic platforms, partnerships, open governments and other agents of change help release the potential of their area thanks to better co-ordination, and adaptation of public policies to local conditions.  This book examines how the new forms of governance overcome administrative, political and financial obstacles and impact local prosperity and the quality of life. These new approaches are illustrated with the results of some of the ambitious initiatives taken by Belgium, the Czech Republic, Mexico, Norway, Slovenia, Spain and Sweden.

Français

This comprehensive review of France's regulatory policies and institutions provides a detailed overview of how regulation has evolved in France along with an expert assessment of its performance. Specific issues including regulatory governance, competition policy, and market openness along with two specific sectors - civil aviation and telecommunications are addressed in separate chapters.  Each chapter presents a list of policy options for consideration.  The performance and appraisal chapter compares France with other OECD countries and an appendix shows in tabular form how regulation is evolving in France on a sector-by-sector basis.

Français

This comprehensive review of Mexican regulatory policy outlines progress made by Mexico since the 1999 review conducted by the OECD, and makes recommendations for further reforms aimed at promoting investment and boosting productivity and competitiveness.  In particular, the review examines the government's capacity to assure high quality regulation, the extent of market openness, and the performance of regulatory agencies for energy, water, financial services, and telecommunications.  A special chapter looks at electricity, for which OECD recommends important changes.

 

Français
  • 28 oct. 2004
  • OCDE
  • Pages : 228

L'avènement de la société de l'information a modifié les attentes des citoyens, les structures et les cultures organisationnelles. Les pouvoirs publics suivent le mouvement et adoptent les outils et les pratiques de travail de la société de l'information pour demeurer en mesure de faire face aux besoins des citoyens et pouvoir tirer les pleins bénéfices de l’administration électronique. Les initiatives en matière d’administration électronique recentrent l’attention sur plusieurs questions : comment les institutions peuvent-elles collaborer plus efficacement entre elles pour essayer de résoudre des problèmes communs? Comment cibler davantage l’usager et comment tisser des liens avec des partenaires du secteur privé ?

Anglais
  • 20 oct. 2004
  • OCDE
  • Pages : 152
The OECD Territorial Review of Mexico City highlights the region’s great potential for further growth, which is linked to the concentration of headquarters, educational establishments and research facilities, as well as high levels of FDI and rich cultural resources. However, it also reveals that this growth is constrained by low levels of human capital, inadequate infrastructure and widespread, acute poverty. The current governance framework, characterised by modest co-operation, also remains a sticking point for the region’s development.
En s’appuyant notamment sur l’expérience de la France, cet ouvrage examine si la bonne gouvernance d’entreprises génère la croissance. Il en ressort que c’est l’ensemble des institutions de gouvernance de la société dans leur interaction – gouvernance d’entreprise et gouvernance publique – qui compte. Il démontre que notre manière de juger de la qualité des institutions de gouvernance d’un pays doit donc être totalement repensée. Une gageure que cet ouvrage relève avec brio.

« Un essai aussi riche que pénétrant dont les réformateurs du monde en développement ont beaucoup à apprendre. »
 - Dani Rodrik, John F. Kennedy School of Government, Harvard University.

 « Brillant exercice d’histoire économique comparée. Les enseignements de la reconstruction de la France au lendemain de la Seconde Guerre mondiale sont d’une importance capitale pour les responsables politiques des pays émergents d’aujourd’hui. »
 - Daniel Cohen, Professeur, École Normale Supérieure et journaliste au Monde.

 

Anglais

Drawing notably on the experience of France, this book examines whether good corporate governance generates national growth.  It finds that it is a society's entire governance culture  -- corporate and public governance together rather than either of them alone --  is what matters.  The book shows that we must change the way we judge the quality of a country's institutions of governance, and proposes a striking new way to do so.

  "A highly informative and insightful essay which has much to teach policy reformers in the developing world."

 - Dani Rodrik, John F. Kennedy School of Government, Harvard University.

  "A brilliant exercise in comparative economic history.  The lessons of French reconstruction after World War II are of a critical importance to the policy makers of the emerging world today."

 - Daniel Cohen, Professor, École Normale Supérieure and Columnist, Le Monde.

 

Français

C'est en décembre 1997 que la Finlande a signé, en compagnie de trente-trois autres pays, la Convention sur la lutte contre la corruption d'agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales (la Convention de l'OCDE). Après la promulgation de la loi de transposition nécessaire, la Finlande a ratifié la Convention de l'OCDE et déposé son instrument de ratification auprès de l'OCDE en décembre 1998.

Sont étudiées dans ce rapport les dispositions juridiques et les institutions en place en Finlande pour combattre la corruption d'agents publics étrangers et mesurer l'efficacité de ce dispositif. On y examine les mécanismes introduits tant au sein des administrations publiques que dans le secteur privé pour prévenir et détecter des faits de corruption d'agents publics étrangers. Ce rapport traite aussi de l'efficacité des mécanismes d’enquête et de poursuite de l’infraction de corruption étrangère et des infractions connexes notamment en matière de fraude et de blanchiment d'argent. Le rapport se termine avec des recommandations spécifiques, aussi bien en ce qui concerne la prévention et la détection que les poursuites et les sanctions appliquées en pratique. On y trouvera également les prescriptions juridiques essentielles destinées à dissuader, prévenir et combattre la corruption telles qu’elles ont été communiquées par la Finlande lors du processus d’examen.

L’examen de la mise en œuvre par la Finlande des dispositions anti-corruption de l’OCDE entre dans le cadre d’un mandat plus large du Groupe de travail de l’OCDE sur la corruption dans le cadre de transactions commerciales internationales. Ce groupe est chargé d’une surveillance et d’un suivi systématiques et détaillés de l’ensemble des pays signataires de la Convention de l’OCDE sur la lutte contre la corruption étrangère. Jusqu’ici, le Groupe de travail a examiné l’application et la mise en œuvre de la Convention en Bulgarie, en Finlande, en Allemagne, en Islande et aux États-Unis. D’ici 2007, les examens des 30 autres pays seront réalisés.

Anglais

C'est en décembre 1997 que l'Allemagne a signé, en compagnie de trente-trois autres pays, la Convention sur la lutte contre la corruption d'agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales (la Convention de l'OCDE). L'Allemagne a transposé la Convention dans son droit interne en promulguant la Loi sur la lutte contre la corruption d'agents publics étrangers. À la suite de l'adoption de cette loi, l'Allemagne a été le troisième pays à avoir ratifié la Convention de l'OCDE et elle a déposé son instrument de ratification auprès de l'OCDE en novembre 1998.

Sont étudiées dans ce rapport les dispositions juridiques et les institutions en place en Allemagne pour combattre la corruption d'agents publics étrangers et mesurer l'efficacité de ce dispositif. On y examine les mécanismes introduits tant au sein des administrations publiques que dans le secteur privé  pour prévenir et détecter des faits de corruption d'agents publics étrangers. Ce rapport traite aussi de l'efficacité des mécanismes d’enquête et de poursuite de l’infraction de corruption étrangère et des infractions connexes notamment en matière de fraude et de blanchiment d'argent. Le rapport se termine avec des recommandations spécifiques, aussi bien en ce qui concerne la prévention et la détection que les poursuites et les sanctions appliquées en pratique. On y trouvera également les prescriptions juridiques essentielles destinées à dissuader, prévenir et combattre la corruption telles qu’elles ont été communiquées par l'Allemagne lors du processus d’examen.

L’examen de la mise en œuvre par l'Allemagne des dispositions anti-corruption de l’OCDE entre dans le cadre d’un mandat plus large du Groupe de travail de l’OCDE sur la corruption dans le cadre de transactions commerciales internationales. Ce groupe est chargé d’une surveillance et d’un suivi systématiques et détaillés de l’ensemble des pays signataires de la Convention de l’OCDE sur la lutte contre la corruption étrangère. Jusqu’ici, le Groupe de travail a examiné l’application et la mise en œuvre de la Convention en Bulgarie, en Finlande, en Allemagne, en Islande et aux États-Unis. D’ici 2007, les examens des 30 autres pays seront réalisés.

Anglais

Les États-Unis ont été le premier pays à mettre hors la loi les actes de corruption d’agents publics étrangers dans les transactions commerciales commis par leurs ressortissants et par les sociétés relevant de leur droit grâce à l’adoption du Foreign Corrupt Practices Act (FCPA) de 1977.

Vingt ans plus tard, les États-Unis ont signé, en compagnie de trente-quatre autres pays, la Convention sur la lutte contre la corruption d’agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales (la Convention de l’OCDE sur la lutte contre la corruption). Le Congrès des États-Unis a réagi à la signature de la Convention en amendant le FCPA en octobre 1998. Par la suite, les États-Unis ont ratifié la Convention de l’OCDE et déposé leur instrument de ratification auprès de l’OCDE à la fin de 1998.

Sont étudiées dans ce rapport les dispositions juridiques et les institutions en place aux États-Unis pour combattre la corruption d'agents publics étrangers et mesurer l'efficacité de ce dispositif. On y examine les mécanismes introduits tant au sein des administrations publiques que dans le secteur privé pour prévenir et détecter des faits de corruption d'agents publics étrangers. Ce rapport traite aussi de l'efficacité des mécanismes d’enquête et de poursuite de l’infraction de corruption étrangère et des infractions connexes notamment en matière de fraude et de blanchiment d'argent. Le rapport se termine avec des recommandations spécifiques, aussi bien en ce qui concerne la prévention et la détection que les poursuites et les sanctions appliquées en pratique. On y trouvera également les prescriptions juridiques essentielles destinées à dissuader, prévenir et combattre la corruption telles qu’elles ont été communiquées par les États-Unis lors du processus d’examen.

L’examen de la mise en œuvre par les États-Unis des dispositions anti-corruption de l’OCDE entre dans le cadre d’un mandat plus large du Groupe de travail de l’OCDE sur la corruption dans le cadre de transactions commerciales internationales. Ce groupe est chargé d’une surveillance et d’un suivi systématiques et détaillés de l’ensemble des pays signataires de la Convention de l’OCDE sur la lutte contre la corruption étrangère. Jusqu’ici, le Groupe de travail a examiné l’application et la mise en œuvre de la Convention en Bulgarie, en Finlande, en Allemagne, en Islande et aux États-Unis. D’ici 2007, les examens des 30 autres pays seront réalisés.

Anglais

La Bulgarie est l'un des quatre pays non membres de l'OCDE à avoir signé en décembre 1997 la Convention sur la lutte contre la corruption d'agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales (la Convention de l'OCDE), en compagnie des trente pays de l'OCDE. Par la suite, la Bulgarie a promulgué une loi de transposition de la convention au moyen de la Loi portant amendement du code pénal bulgare. La Bulgarie a ratifié la Convention de l'OCDE et déposé son instrument de ratification auprès de l'OCDE à la fin décembre 1998.

Sont étudiées dans ce rapport les dispositions juridiques et les institutions en place en Bulgarie pour combattre la corruption d'agents publics étrangers et mesurer l'efficacité de ce dispositif. On y examine les mécanismes introduits tant au sein des administrations publiques que dans le secteur privé pour prévenir et détecter des faits de corruption d'agents publics étrangers. Ce rapport traite aussi de l'efficacité des mécanismes d’enquête et de poursuite de l’infraction de corruption étrangère et des infractions connexes notamment en matière de fraude et de blanchiment d'argent. Le rapport se termine avec des recommandations spécifiques, aussi bien en ce qui concerne la prévention et la détection que les poursuites et les sanctions appliquées en pratique. On y trouvera également les prescriptions juridiques essentielles destinées à dissuader, prévenir et combattre la corruption telles qu’elles ont été communiquées par la Bulgarie lors du processus d’examen.

L’examen de la mise en œuvre par la Bulgarie des dispositions anti-corruption de l’OCDE entre dans le cadre d’un mandat plus large du Groupe de travail de l’OCDE sur la corruption dans le cadre de transactions commerciales internationales. Ce groupe est chargé d’une surveillance et d’un suivi systématiques et détaillés de l’ensemble des pays signataires de la Convention de l’OCDE sur la lutte contre la corruption étrangère. Jusqu’ici, le Groupe de travail a examiné l’application et la mise en œuvre de la Convention en Bulgarie, en Finlande, en Allemagne, en Islande et aux États-Unis. D’ici 2007, les examens des 30 autres pays seront réalisés.

Anglais

C'est en décembre 1997 que l’Islande a signé, en compagnie de trente-trois autres pays, la Convention sur la lutte contre la corruption d'agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales (la Convention de l'OCDE). En août 1998, l'Islande a été le premier pays à ratifier la Convention de l'OCDE et à déposer son instrument de ratification auprès de l'OCDE.

Sont étudiées dans ce rapport les dispositions juridiques et les institutions en place en Islande pour combattre la corruption d'agents publics étrangers et mesurer l'efficacité de ce dispositif. On y examine les mécanismes introduits tant au sein des administrations publiques que dans le secteur privé pour  prévenir et détecter des faits de corruption d'agents publics étrangers. Ce rapport traite aussi de l'efficacité des mécanismes d’enquête et de poursuite de l’infraction de corruption étrangère et des infractions connexes notamment en matière de fraude et de blanchiment d'argent. Le rapport se termine avec des recommandations spécifiques, aussi bien en ce qui concerne la prévention et la détection que les poursuites et les sanctions appliquées en pratique. On y trouvera également les prescriptions juridiques essentielles destinées à dissuader, prévenir et combattre la corruption telles qu’elles ont été communiquées par l’Islande lors du processus d’examen.

L’examen de la mise en œuvre par l’Islande des dispositions anti-corruption de l’OCDE entre dans le cadre d’un mandat plus large du Groupe de travail de l’OCDE sur la corruption dans le cadre de transactions commerciales internationales. Ce groupe est chargé d’une surveillance et d’un suivi systématiques et détaillés de l’ensemble des pays signataires de la Convention de l’OCDE sur la lutte contre la corruption étrangère. Jusqu’ici, le Groupe de travail a examiné l’application et la mise en œuvre de la Convention en Bulgarie, en Finlande, en Allemagne, en Islande et aux États-Unis. D’ici 2007, les examens des 30 autres pays seront réalisés.

Anglais

This report surveys the legal provisions and the institutions in place in Iceland to combat bribery of foreign public officials and evaluates their effectiveness. It examines the mechanisms introduced, in both the public and private sectors, to prevent and detect acts of bribery of foreign public officials. It also reviews the effectiveness of mechanisms for investigating and prosecuting the offence of bribery of foreign public officials and related offences such as fraud and money-laundering. The report concludes with specific recommendations regarding prevention and detection, as well as prosecution and punishment. Key legal provisions to deter, prevent and fight corruption as submitted by Iceland to the review process are also included.

Français

This report surveys the legal provisions and the institutions in place in the United States to combat bribery of foreign public officials and evaluates their effectiveness. It examines the mechanisms introduced, in both the public and private sectors, to prevent and detect acts of bribery of foreign public officials. It also reviews the effectiveness of mechanisms for investigating and prosecuting the offence of bribery of foreign public officials and related offences such as fraud and money-laundering. The report concludes with specific recommendations regarding prevention and detection, as well as prosecution and punishment. Key legal provisions to deter, prevent and fight corruption as submitted by the United States to the review process are also included.

Français

This report surveys the legal provisions and the institutions in place in Bulgaria to combat bribery of foreign public officials and evaluates their effectiveness. It examines the mechanisms introduced, in both the public and private sectors, to prevent and detect acts of bribery of foreign public officials. It also reviews the effectiveness of mechanisms for investigating and prosecuting the offence of bribery of foreign public officials and related offences such as fraud and money-laundering. The report concludes with specific recommendations regarding prevention and detection, as well as prosecution and punishment. Key legal provisions to deter, prevent and fight corruption as submitted by Bulgaria to the review process are also included.

Français

This report surveys the legal provisions and the institutions in place in Finland to combat bribery of foreign public officials and evaluates their effectiveness. It examines the mechanisms introduced, in both the public and private sectors, to prevent and detect acts of bribery of foreign public officials. It also reviews the effectiveness of mechanisms for investigating and prosecuting the offence of bribery of foreign public officials and related offences such as fraud and money-laundering. The report concludes with specific recommendations regarding prevention and detection, as well as prosecution and punishment. Key legal provisions to deter, prevent and fight corruption as submitted by Finland to the review process are also included.

Français

This report surveys the legal provisions and the institutions in place in Germany to combat bribery of foreign public officials and evaluates their effectiveness. It examines the mechanisms introduced, in both the public and private sectors, to prevent and detect acts of bribery of foreign public officials. It also reviews the effectiveness of mechanisms for investigating and prosecuting the offence of bribery of foreign public officials and related offences such as fraud and money-laundering. The report concludes with specific recommendations regarding prevention and detection, as well as prosecution and punishment. Key legal provisions to deter, prevent and fight corruption as submitted by Germany to the review process are also included.

Français

In October 2001, the Stability Pact and the OECD launched the Regulatory Governance Initiative (RGI) to strengthen the institutional, knowledge and process capacities for developing and implementing more efficient and effective regulation, supportive of sound and competitive markets. The RGI is one of the policy implementation initiatives under the Investment Compact (the South East Europe Compact for Reform, Investment, Integrity and Growth) of the Stability Pact.

This report of the Regulatory Governance Initiative provides an assessment on the progress of regulatory governance reforms in South East Europe (SEE), and the remaining reform challenges. It includes the Governance Action Plans developed by the SEE countries. Short-term reform priorities identified by the countries provide the basis for the Agenda for Regional Action, an overview of main governance reform trends in the SEE region and recommendations for the successful implementation of reforms. The report responds to the decision, taken by the Ministers from South East Europe (SEE) at the meeting in Vienna in July 2003, to place major emphasis on reviewing progress in the area of governance at their 2004 Ministerial meeting. It aims to inform policy-makers, donors, investors and the international community of progress in regulatory governance reforms in South East Europe. Practitioners in the region can draw on this report as a guide for their work in the future.

  • 12 juil. 2004
  • OCDE
  • Pages : 480

Les gouvernements sont parmi les principaux émetteurs de titres d’emprunt sur le marché mondial des capitaux. Cette édition fournit des informations quantitatives sur les titres d’emprunt d’état pour les 30 pays membres de l'OCDE en vue de répondre aux besoins analytiques des utilisateurs tels que les pouvoirs publics, les spécialistes de la gestion de la dette et les analystes de marché.

Les statistiques sont présentées selon un plan d’ensemble normalisé pour permettre une comparaison entre les différents pays. Les notes par pays donnent des informations sur les émissions de titres d’emprunt dans chacun des pays, ainsi que sur le cadre institutionnel et réglementaire dans lequel s’inscrit la politique de gestion de la dette et les techniques de vente. 

This is a required field
Please enter a valid email address
Approval was a Success
Invalid data
An Error Occurred
Approval was partially successful, following selected items could not be processed due to error