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Située dans la mer des Caraïbes, la Guadeloupe est un département français d'outre-mer et une région européenne ultrapériphérique. Dans la série des examens des politiques de transformation économique, ce rapport examine les opportunités et les défis de cette région qui cherche une voie de développement économique plus durable. Il identifie des actions prioritaires dans plusieurs domaines, notamment la bioéconomie et l'économie circulaire, les secteurs créatifs et les énergies renouvelables. Ce Gros plan enrichit notre compréhension de la diversité des voies de développement, y compris celles des petits États insulaires en développement (PEID). Il est le fruit d'un vaste processus d'examen par les pairs auquel ont participé des acteurs publics et privés de Colombie, des pays des Caraïbes et d'autres régions ultrapériphériques de l'UE.

Anglais

L'Allemagne a continué à améliorer ses performances environnementales au cours de la dernière décennie. Elle s'est fixée des objectifs climatiques ambitieux visant à atteindre la neutralité climatique d'ici 2045 et à parvenir à des émissions négatives après 2050. Toutefois, l'Allemagne devra accélérer encore son action climatique, en particulier dans les secteurs du bâtiment et des transports. La triple crise de l'énergie, du climat et de la biodiversité appelle des solutions intégrées et systémiques. En réponse à la crise énergétique, l’Allemagne a pris une série de mesures d’une ampleur historique. Celles-ci devraient accélérer massivement sa transition vers l'énergie verte au cours des années à venir. L’Allemagne renforce également son engagement en faveur de l’adaptation au changement climatique à tous les niveaux de gouvernement, et a lancé un programme ambitieux visant à encourager les investissements dans des solutions fondées sur la nature.

Il s’agit du quatrième Examen environnemental de l’Allemagne. Il propose 28 recommandations pour aider l’Allemagne à améliorer ses performances environnementales. La présente version abrégée contient le résumé, de même que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport. Le rapport complet est disponible en anglais et en allemand sur le site Internet de l’OCDE.

Allemand, Anglais

Première économie mondiale, les États-Unis ont progressé dans la réduction de plusieurs pressions environnementales tout en conservant l’un des produits intérieurs bruts par habitant les plus élevés au monde. Les émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques, les prélèvements d’eau et la consommation intérieure de matières y ont été découplés de la croissance économique et démographique. Les niveaux de consommation élevés, les pratiques agricoles intensives, le changement climatique et l’étalement urbain continuent toutefois d’exercer des pressions sur le milieu naturel. Malgré l’accélération récente de l’action publique face au changement climatique, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour atteindre l’objectif de neutralité en gaz à effet de serre d’ici à 2050. Par ailleurs, les États-Unis figurent parmi les principaux producteurs de déchets marins, lesquels ont de graves conséquences pour les populations et l’environnement. Le présent rapport contient 30 recommandations visant à aider les États-Unis à améliorer leurs performances environnementales, et accorde une attention particulière à l’enjeu des déchets marins et à la problématique transversale de la justice environnementale. Troisième Examen environnemental consacré aux États‑Unis, il propose une évaluation indépendante, fondée sur des données factuelles, des performances environnementales du pays au cours de la dernière décennie. La présente version abrégée contient le résumé, de même que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport. Le rapport complet est disponible en anglais sur le site Internet de l’OCDE.

Anglais

La rapide croissance économique et démographique que connaît Israël et son fort degré d’urbanisation continuent d’exercer des pressions significatives sur l’environnement. Le pays a relevé ses ambitions en matière de climat ces dernières années, mais n’est pas parti pour atteindre ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. De nouvelles mesures s’imposent pour mieux protéger la biodiversité, combattre la pollution de l’eau et s’adapter aux effets du changement climatique. Israël a pris une série de mesures importantes au service de ses ambitions de réduction à zéro des déchets et de circularité de l’économie. Il doit toutefois redoubler d’efforts pour améliorer la gestion des déchets et mettre l’économie dans son ensemble sur la voie de la circularité. L’examen formule 24 recommandations qui visent à aider Israël à améliorer ses performances environnementales, et accorde une attention particulière à la gestion des déchets et à l’économie circulaire.

Avec ce deuxième Examen environnemental d’Israël, l’OCDE propose une évaluation indépendante, fondée sur des données factuelles, des performances environnementales du pays au cours de la dernière décennie. La présente version abrégée contient le résumé, de même que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport. Le rapport complet est disponible en anglais sur le site web de l’OCDE.

Anglais

En tant que pays mégadivers, le Costa Rica est connu dans le monde entier pour avoir réussi à inverser la déforestation et à poursuivre un modèle de croissance fondé sur l'utilisation durable de ses ressources environnementales. Cependant, la consommation d'énergie et les émissions de gaz à effet de serre qui en découlent ont augmenté au cours de la dernière décennie. Les voitures particulières sont une source majeure et croissante d'émissions affectant le climat et la qualité de l'air. L'élimination des déchets repose encore sur les décharges et une grande partie des eaux usées n'est pas traitée. Le vaste réseau de zones protégées du Costa Rica et son programme pionnier de paiement pour les services écosystémiques ont contribué à réduire la perte de biodiversité et à accroître la capacité de séquestration du carbone par les forêts. Toutefois, davantage doit être fait pour lutter contre les pressions exercées sur la biodiversité par le développement des infrastructures et des établissements humains, le tourisme, l'agriculture et la pêche. L'ampleur des investissements nécessaires pour atteindre les Objectifs de développement durable exige d'améliorer l'efficacité des dépenses publiques, de mobiliser les financements privés, d'appliquer strictement les réglementations et de fournir des incitations adéquates.

Il s'agit du premier Examen des performances environnementales du Costa Rica par l'OCDE. Il évalue les progrès réalisés par le pays en matière de développement durable, avec un chapitre spécial consacré à la biodiversité, et fournit 52 recommandations. La présente version abrégée contient le résumé, de même que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport.

Anglais

Le Portugal a réussi à découpler plusieurs pressions environnementales de la croissance économique entre 2013 et 2019. Il a joué un rôle de premier plan dans l'approbation de la loi européenne sur le climat et a adopté la Loi-cadre portugaise sur le climat en 2021. Celle-ci doit être rapidement mise en œuvre pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, améliorer la résilience aux effets du changement climatique et protéger les écosystèmes. Le Portugal a intensifié ses efforts d'adaptation, mais doit en faire davantage pour faire face aux multiples menaces, notamment l'érosion côtière, les inondations, les sécheresses et les feux de forêt. Le pays est à la traîne en matière de gestion des déchets. Par ailleurs, l'augmentation des prélèvements d'eau douce dans les régions du sud, où l'eau est rare, est préoccupante.

Il s'agit du quatrième examen des performances environnementales du Portugal. Il fournit une évaluation, fondée sur des faits, des progrès du pays vers ses objectifs environnementaux au cours de la dernière décennie. Les 26 recommandations visent à aider le Portugal à améliorer ses performances environnementales, en accordant une attention particulière à la neutralité carbone. La présente version abrégée contient le résumé, de même que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport. Le rapport complet est disponible en anglais sur le site web de l’OCDE.

Anglais

Au cours de la dernière décennie, le Royaume-Uni a réduit plusieurs pressions environnementales tout en développant son économie. Anticipant sa présidence de la Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques en 2021, il a montré la voie en relevant ses ambitions nationales. Cependant, la pollution atmosphérique, la détérioration des actifs naturels et les objectifs manqués en matière de biodiversité sont autant de sujets de préoccupation. Des efforts supplémentaires sont nécessaires pour réduire à zéro les émissions nettes de gaz à effet de serre d'ici 2050, se préparer au changement climatique, inverser la perte de biodiversité et mettre en place une économie circulaire plus économe en ressources. Le renforcement de la coordination entre les gouvernements britannique et décentralisés, ainsi que l'amélioration de la cohérence entre les politiques sectorielles et environnementales seront essentiels.

Ceci est le troisième Examen environnemental du Royaume-Uni. Il évalue les progrès réalisés vers la croissance verte, avec un chapitre spécial consacré à la gestion des déchets et des matières et l'économie circulaire. La présente version abrégée contient le résumé, de même que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport. Le rapport complet est disponible en anglais sur le site web de l’OCDE.

Anglais

La Norvège a accompli des progrès sur la voie de la croissance verte au cours de la dernière décennie. Le pays est aux avant-postes dans de nombreux domaines environnementaux et investit massivement dans le développement technologique et l'innovation pour soutenir sa transition verte. À l’échelle nationale, la Norvège s’est fixé des objectifs environnementaux ambitieux dans tous les secteurs, y compris dans la lutte contre le changement climatique. Le pays a pour ambition d’atteindre la neutralité climatique à l’horizon 2030. Bien qu’il ne soit pas membre de l'Union européenne, le pays s’est employé à aligner son action sur de nombreux règlements et objectifs de l'UE, parfois même de manière plus stricte que les États membres. Toutefois, malgré ses avancées, la Norvège reste confrontée à de multiples défis, notamment en ce qui concerne sa transition vers des modes durables de consommation de même que sur le sujet de la protection de la biodiversité. Le rapport formule 30 recommandations adaptées à la Norvège pour lui permettre d’améliorer ses performances environnementales, notamment dans le domaine de la gestion de l’aménagement du territoire et de la biodiversité.

Avec ce quatrième Examen environnemental de la Norvège, l’OCDE propose une évaluation indépendante, fondée sur des données factuelles, des performances environnementales du pays sur la dernière décennie. Cette version abrégée reprend le résumé, l'évaluation et les recommandations officielles du rapport publié ainsi que l’annexe avec les mesures prises pour mettre en œuvre certaines recommandations de l’Examen environnemental de la Norvège publié par l’OCDE en 2011. Le premier chapitre résume les principales tendances environnementales et évalue l’efficacité environnementale et l’efficience économique de la panoplie de mesures – budgétaires, économiques, réglementaires et volontaires – mises en place. Le deuxième chapitre propose une analyse approfondie de la gestion de l’aménagement du territoire et de la biodiversité en Norvège. Le rapport complet est disponible en version anglaise sur le site internet de l'OCDE.

Anglais

La Finlande s’est forgé une solide réputation de leader dans le domaine de la politique de l’environnement et du développement durable. Elle s’est engagée à parvenir à la neutralité carbone à l’horizon 2035 et à faire œuvre de pionnier en instaurant la première économie circulaire au monde. La réalisation de ses ambitieux objectifs n’est toutefois pas pleinement sur les rails. Les émissions de gaz à effet de serre ont baissé durant la dernière décennie, mais elles devront diminuer à un rythme bien plus rapide pour que l’objectif soit atteint. La production de déchets et la consommation de matières ont continué d’augmenter, tout comme les déperditions d’éléments nutritifs dans les masses d’eau. La biodiversité subit des pressions imputables à l’agriculture et au vaste secteur forestier du pays. Des mesures ciblées sont nécessaires pour créer des incitations appropriées, stimuler l’investissement et l’innovation et orienter la reprise économique après la crise du COVID-19 vers une transition verte. La Finlande devrait passer de l’élaboration de bonnes stratégies à une mise en œuvre efficace et cohérente. Il s’agit de mettre en place les bonnes politiques, de réunir des ressources suffisantes et de préserver un large consensus dans l’opinion publique.

Ceci est le troisième Examen environnemental de la Finlande. La présente version abrégée contient le résumé, de même que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport, qui reposent sur les trois chapitres consacrés aux tendances et développements récents, à la gouvernance et à la croissance verte, ainsi que sur le chapitre thématique détaillé portant sur la lutte contre le changement climatique. Le rapport complet est disponible en anglais sur le site web de l’OCDE.

Anglais

La Lituanie a vu de nombreuses pressions exercées sur l’environnement s’amplifier sous l’effet de sa rapide croissance économique. Elle s’est fixé d’ambitieux objectifs de lutte contre le changement climatique à moyen et long termes. Les politiques en vigueur ne permettront toutefois pas de les atteindre. Les émissions de gaz à effet de serre totales n’ont pas baissé au cours des dix dernières années, et celles des transports ont même augmenté rapidement. La Lituanie doit faire fond sur les progrès impressionnants réalisés dans l’abandon de la mise en décharge pour réduire la production de déchets et s’engager sur la voie de l’économie circulaire. Elle doit par ailleurs s’attaquer à la pollution de l’eau par les éléments nutritifs qui est imputable à la hausse de la consommation d’engrais et aux carences dans l’épuration des eaux usées. Ces efforts appellent une meilleure prise en compte des questions d’environnement dans les politiques sectorielles et une approche de la gestion de l’environnement à l’échelle de l’ensemble de l’administration.

La Lituanie a entrepris d’apporter une série de modifications bénéfiques à la fiscalité liée à l’environnement. Elle devrait en revanche enrayer la tendance à la baisse des dépenses publiques d’environnement. Parmi les priorités, il conviendrait d’investir davantage dans les transports en commun et l’amélioration des conditions de circulation à pied et à vélo, afin de favoriser un report vers les modes de transport durables.

Ceci est le premier Examen environnemental de l’OCDE consacré à la Lituanie. La présente version abrégée contient le résumé, de même que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport, qui reposent sur les trois chapitres relatifs aux tendances et développements récents, à la gouvernance et à la croissance verte, ainsi que sur le chapitre spécial portant sur les mobilités durables. Le rapport complet est disponible en anglais sur le site web de l’OCDE.

Anglais

La Belgique a progressé en découplant plusieurs pressions environnementales de la croissance économique, en améliorant l’épuration des eaux usées et en étendant les zones protégées. Les régions ont atteint des niveaux élevés de récupération et de recyclage et ont été les pionnières des politiques d'économie circulaire. Toutefois, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour progresser vers la neutralité carbone, réduire la pollution de l'air et de l'eau, enrayer la perte de biodiversité et consolider les résultats des initiatives d'économie circulaire. Le renforcement de la coordination entre le gouvernement fédéral et les régions, et entre les régions, ainsi que l'amélioration de la cohérence des politiques seront des facteurs clés de progrès.

À mesure que l'urgence COVID-19 se fait moins pressante, les efforts de redressement devraient viser à remettre le pays sur la bonne voie pour atteindre les objectifs de développement durable. Investir dans les infrastructures vertes et à faible émission de carbone, promouvoir l'économie circulaire, renforcer le prix du carbone et supprimer progressivement les subventions néfastes à l'environnement devraient être des priorités.

Ce rapport est le troisième Examen environnemental de la Belgique. Il évalue les progrès réalisés vers le développement durable et la croissance verte, avec des chapitres spéciaux sur la biodiversité, la gestion des déchets et des matières et l'économie circulaire.

Cette version abrégée contient le résumé, ainsi que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport, qui reposent sur les trois chapitres consacrés aux évolutions et faits récents, à la gouvernance et à la croissance verte, ainsi que sur les deux chapitres qui examinent en détail la problématique de la biodiversité, et celle de la gestion des déchets et des matières et l'économie circulaire. La version intégrale du rapport est disponible en anglais sur le site de l’OCDE.

Anglais
  • 13 nov. 2020
  • OCDE
  • Pages : 180

Le Luxembourg a progressé dans le découplage des pressions environnementales de la croissance économique, dans l’épuration des eaux usées et dans la gestion des déchets et des matières. Il s’est aussi placé comme un centre international de la finance verte. Mais il demeure l'une des économies à plus haute intensité carbone et matière de l'OCDE. Le pays est un carrefour pour le trafic de marchandises et attire quotidiennement des milliers de navetteurs transfrontaliers. Cela exacerbe les émissions de gaz à effet de serre, la pollution de l’air et la congestion routière. L'étalement urbain, la fragmentation des paysages et l'agriculture exercent de fortes pressions sur la biodiversité.

Pour orienter son économie vers un modèle plus vert, le Luxembourg s’est fixé des objectifs environnementaux ambitieux. Verdir la fiscalité, donner des signaux de prix plus forts, encourager l’éco-innovation et l’économie circulaire, intégrer la biodiversité dans toutes les politiques, et investir dans des infrastructures bas-carbone et la mobilité durable, devraient être des priorités.

Ce rapport est le troisième Examen environnemental du Luxembourg. Il évalue les performances en matière de croissance verte et de développement durable, avec des chapitres spéciaux sur deux enjeux majeurs : la qualité de l’air et la mobilité, et la biodiversité.

Anglais
  • 27 nov. 2017
  • OCDE
  • Pages : 244

La Suisse a travaillé à l'amélioration de la performance environnementale de l'agriculture, de l'énergie et des transports. Le pays a l'une des plus basses intensités en gaz à effet de serre de l'OCDE, et s'est montré très innovant dans la réhabilitation de ses rivières. Cependant, les pratiques de consommation peu durables de la population et les quantités de déchets urbains qui en découlent, ainsi que le nombre d'espèces menacées , sont préoccupants. En tant que pôle financier, la Suisse a un rôle clé à jouer dans la promotion de la finance verte.

Ce rapport est le troisième examen environnemental de la Suisse. Il évalue ses progrès en matière de développement durable et de croissance verte, avec des chapitres détaillés sur le traitement des eaux  et sur la conservation et l'utilisation durable de la biodiversité.

Allemand, Anglais, Italien

Cette publication est la version abrégée du troisième Examen environnemental de la Nouvelle-Zélande. Elle contient le résumé, ainsi que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport, issues des trois chapitres sur les tendances et développements récents, la gouvernance, la croissance verte, ainsi que des deux chapitres détaillés sur la gestion des ressources en eau et le développement urbain durable. La version intégrale du rapport est disponible en anglais sur le site de l’OCDE.

Anglais
  • 18 juil. 2017
  • OCDE
  • Pages : 52

Cette publication est la version abrégée du troisième Examen environnemental de la Corée. Elle contient le résumé, ainsi que l’évaluation et les recommandations officielles du rapport, issues des trois chapitres sur les tendances et développements récents, la gouvernance, la croissance verte, ainsi que des deux chapitres détaillés sur les déchets, la gestion des matières et l’économie circulaire, et sur la justice environnementale. La version intégrale du rapport est disponible en anglais sur le site de l’OCDE.

Anglais
  • 02 août 2013
  • Agence internationale de l'énergie
  • Pages : 226

Seit der letzten Prüfung der deutschen Energiepolitik durch die IEA im Jahr 2007 hat die Bundesrepublik zwei Grundsatzentscheidungen getroffen, die ihre Energiepolitik in den kommenden Jahrzehnten leiten werden. Im September 2010 hat die Bundesregierung das Energiekonzept verabschiedet, eine umfassende neue, langfristige und integrierte Strategie für die Entwicklung der Energieversorgung bis 2050. Nach dem Reaktorunfall von Fukushima Daiichi im März 2011 wurde dann der beschleunigte Ausstieg aus der Kernenergie bis 2022 beschlossen, wobei mit der sofortigen Stilllegung der acht ältesten Kraftwerke begonnen wurde. Diese Entscheidung führte zur Verabschiedung einer Reihe neuer Politikmaßnahmen zur Umsetzung der sog. Energiewende, mit der die erneuerbaren Energien zur tragenden Säule der künftigen Energieversorgung werden.

Für diesen ehrgeizigen Umbau der Energieversorgung muss bis 2030 die Hälfte der Stromerzeugung aus erneuerbaren Energien stammen. Deutschland muss daher mit der Entwicklung kosteneffizienter marktorientierter Konzepte fortfahren, um die erwartete Expansion der dargebotsabhängigen erneuerbaren Energien zu begleiten. Außerdem müssen Kosten und Nutzen gerecht und transparent, unter besonderer Beachtung der privaten Haushalte, auf alle Markteilnehmer verteilt werden.

Die Expansion der erneuerbaren Energien muss in Zukunft parallel zum zeitnahen Ausbau der Übertragungs- und Verteilungsnetze erfolgen. Zudem bedarf es eines stabilen Regulierungsrahmens, um langfristige Finanzierungsmöglichkeiten für die Netzbetreiber zu gewährleisten. Darüber hinaus gilt es, Deutschlands Kapazität zur Deckung des Spitzenlastbedarfs auf mittlere Sicht weiter genau zu beobachten.

Deutschlands energiepolitische Entscheidungen haben zwangsläufig Auswirkungen über die Landesgrenzen hinaus und müssen im Kontext eines umfassenderen europäischen energiepolitischen Rahmens und in enger Fühlungnahme mit den Nachbarländern getroffen werden.

Dieser Bericht analysiert die energiepolitischen Herausforderungen, vor denen die Bundesrepublik steht, und liefert Empfehlungen dazu, wie ihre Energiepolitik weiter verbessert werden kann. Er soll Deutschland Orientierungen auf dem Weg hin zu einer sichereren und nachhaltigeren Energieversorgung der Zukunft geben.

Anglais
  • 28 juin 2007
  • Agence internationale de l'énergie
  • Pages : 202

Nur wenige Länder können einen so starken Effekt auf die Energiepolitik in Europa ausüben wie Deutschland. Auf Grund ihrer Größe und strategischen Lage spielt die Bundesrepublik eine entscheidende Rolle auf den Energiemärkten der Region, weshalb eine vernünftige Energiepolitik und starke Energiemarktgestaltung unerlässlich sind. Diesbezüglich macht die Bundesrepublik weiterhin bemerkenswerte Fortschritte. Sie hat die Reform ihrer Strom- und Erdgasmärkte fortgesetzt, einen Zeitplan für die Beendigung der Kohlesubventionen aufgestellt, ist im Begriff, wichtige Klima- und Umweltziele zu erfüllen und hat die Themenkreise Energie, Effizienz und Umwelt im Rahmen ihres EU-Ratsvorsitzes und ihrer G8-Präsidentschaft ganz oben auf die weltpolitische Agenda gestellt. Die Internationale Energie-Agentur (IEA) begrüßt diese Anstrengungen.

Gleichwohl bleibt noch einiges zu tun, um Deutschlands Energiepolitiken und -märkte weiter zu verbessern. Der geplante Ausstieg aus der Kernenergie in den kommenden Jahren hätte erhebliche Auswirkungen auf den Energiemix des Landes und gibt daher Anlass zu Besorgnis in Bezug auf Versorgungssicherheit, Wirtschaftlichkeit und Umweltverträglichkeit, für Deutschland ebenso wie für Europa insgesamt. Und auch wenn bereits Fortschritte erzielt wurden, muss doch mehr getan werden, um wirklich gleiche Bedingungen für alle Marktteilnehmer und damit die Voraussetzung für die Entwicklung von Wettbewerb auf den Strom- und Gasmärkten zu schaffen. Dazu bedarf es einer effektiven Trennung der Netzaktivitäten und starker Befugnisse für die Regulierungsbehörden. Die Umweltpolitik des Landes schließlich fördert zwar die Erfüllung ehrgeiziger Zielvorgaben, ist jedoch mit hohen Kosten verbunden – und gelegentlich geraten Maßnahmen in verschiedenen Politikbereichen miteinander in Konflikt.

Diese Veröffentlichung befasst sich eingehend mit den energiepolitischen Herausforderungen, vor denen Deutschland steht, was durch eine kritische Analyse anhand von Vergleichen mit nachahmenswerten Beispielen aus anderen IEA-Ländern und Empfehlungen zur Verbesserung der Politik ergänzt wird. Damit soll Deutschland der Weg in eine nachhaltige Energiezukunft aufgezeigt werden.

Anglais
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