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Panorama des comptes nationaux 2011

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La publication Panorama des comptes nationaux présente des statistiques utilisant une approche par indicateur, en insistant sur les comparaisons entre pays. Le but, ici, étant de rendre les comptes nationaux plus accessibles et instructifs, et en même temps d'avoir l'occasion de présenter le cadre conceptuel sous jacent et les questions de comparabilités inhérentes, pour chaque indicateur.

Ce livre inclut le service de StatLink unique de l'OCDE, lequel permet aux lecteurs de charger des versions Excel des graphiques et des tableaux. Ces liens StatLink se trouvent en bas de chaque tableau et graphique.

La large sélection présentée a également pour objet d'inciter les utilisateurs à porter leur attention sur d'autres indicateurs que le célèbre PIB. La publication se compose de six chapitres clefs, et fournit des indicateurs concernant respectivement les revenus, les dépenses, la production, l'administration publique et le capital.

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Actifs et passifs financiers

Le montant des actifs et passifs financiers détenus par les administrations a une importance politique et économique considérable. Les actifs représentent une source de revenus supplémentaires à la disposition de l’État et une source de fonds dans laquelle il peut puiser sans nécessairement accroître les passifs, par exemple à titre de levier supplémentaire pour protéger sa monnaie lorsque les marchés monétaires exercent des pressions à la hausse prohibitives sur les rendements des obligations entre autres. Les passifs pour leur part reflètent les dettes accumulées par les administrations et donnent de ce fait une indication sur la nature structurelle du service de la dette (qui vient alourdir le déficit public). Ceci est important car en règle générale, plus le montant des passifs est important, plus le risque de défaillance perçu est fort (et donc plus la prime de risque exigée par le marché est élevée). Ce cycle peut finir par forcer les gouvernements soit à réduire les dépenses, soit à relever les impôts. L’importance de la dette brute des administrations publiques et, en particulier, l’importance d’un niveau durable d’endettement, se reflète dans les critères de Maastricht, où elle constitue l’une des deux mesures citée dans la Procédure de déficit excessif.

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