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Ce répertoire contient des renseignements sur plus de 1 700 organisations non gouvernementales (ONG) s'occupant de l'habitat et du développement urbain. Les profils des ONG donnent une description détaillée de leurs objectifs, de leurs activités éducatives et de leurs actions dans les pays en développement. Des index croisés permettent d'identifier "qui fait quoi et où" dans les domaines de l'habitat et du développement urbain.

Ce répertoire constitue un guide détaillé, indispensable pour les acteurs, les planificateurs du développement et tous ceux qui sont intéressés par les questions de l'habitat. Dernier en date d'une série du Centre de Développement de l'OCDE sur les activités des ONG des pays Membres dans le domaine du développement, ce répertoire paraît dans le sillage de la Conférence internationale Habitat II de juin 1996.

Cette publication est le fruit d'une collaboration entre quatre partenaires : à Nairobi, le Centre des Nations Unies sur les établissements humains-Habitat (CNUEH-Habitat) ; à Genève, le Service de liaison non gouvernemental des Nations Unies (SLNG) ; à Paris, le Groupe de recherche et d'échanges technologiques (GRET) et le Centre de Développement de l'OCDE. La Coalition internationale pour l'habitat (HIC), située au Mexique, a également été associée au projet.

Découvrir ce qui motive le civisme fiscal - la volonté intrinsèque de payer l'impôt - peut grandement aider les gouvernements à concevoir des politiques fiscales et à les administrer, en particulier dans les pays en développement où les taux de conformité sont faibles. Ce rapport s'appuie sur des recherches antérieures de l'OCDE pour identifier certains des principaux moteurs socio-économiques et institutionnels du civisme fiscal dans les pays en développement, et cherche à vérifier les preuves du contrat social en examinant l'impact des services publics sur le civisme fiscal. Il utilise également de nouvelles données sur la certitude fiscale comme point d'entrée pour explorer le civisme fiscal des entreprises, où la recherche existante est très limitée. Enfin, le rapport identifie une série de facteurs liés au système fiscal susceptibles d'affecter la prise de décision des entreprises, la manière dont ils varient d'une région à l'autre, et suggère quelques domaines de recherche future. Dans l'ensemble, le rapport fournit une série de suggestions pour la poursuite des travaux et la manière dont les considérations relatives au civisme fiscal peuvent être intégrées dans des stratégies holistiques de conformité fiscale.

Anglais

Au cours de ces trois dernières années, les multiples crises mondiales et l’impératif de plus en plus urgent de limiter le changement climatique ont mis les modèles actuels de coopération pour le développement à rude épreuve, sans doute la plus rude depuis des décennies. L’objectif d’un monde meilleur pour tous semble plus difficile à atteindre, compte tenu des nouvelles tensions budgétaires, de l’impératif de fournir des biens publics régionaux et mondiaux, des besoins humanitaires exacerbés et des contextes politiques toujours plus complexes. La critique des racines, de la motivation et du fonctionnement du système international de l’aide se traduit par des appels à un changement radical, qui se manifeste, par exemple, dans les mouvements visant à s’attaquer à l’héritage colonial et au racisme dans ce secteur.

Cette édition du rapport Coopération pour le développement, qui marque son 60e anniversaire, dresse un état des lieux de ces défis, et propose des pistes à suivre pour l’avenir selon quatre lignes d’action : honorer les engagements, financiers et autres, déjà pris, soutenir une transformation pilotée à l’échelon local dans les pays partenaires, moderniser les modèles d’activité et pratiques de gestion financière, et rééquilibrer les relations de pouvoir dans la prise de décisions et les partenariats à l’échelle internationale. Ce rapport s’appuie sur les réflexions de chefs d’État, de dirigeants d’organisations internationales, de praticiens, d’universitaires et de la société civile, en mettant particulièrement l’accent sur les voix qui représentent des expériences variées et des points de vue de pays à revenu faible ou intermédiaire et de leurs populations.

Anglais

La question de la confiance entre les entreprises multinationales (EMN) et les administrations fiscales est un élément essentiel du système fiscal, mais relativement peu étudiée. S'appuyant sur des recherches antérieures de l'OCDE sur le civisme fiscal, qui mesurent les perceptions et les attitudes des contribuables à l'égard du paiement des impôts et de la fraude fiscale, ce rapport présente de nouvelles données sur la façon dont les administrations fiscales perçoivent le comportement des EMN en matière de conformité fiscale. En mettant l'accent sur les défis auxquels sont confrontés les pays en développement, ce rapport compile ces données avec des données antérieures sur les perceptions des entreprises multinationales, et les résultats d’un ensemble de tables rondes régionales sur le civisme fiscal, organisées entre les administrations fiscales et les entreprises multinationales. Après avoir répertorié un certain nombre de défis liés à la confiance, à la transparence et à l'ouverture, le rapport présente un éventail d'approches visant à renforcer la confiance, à améliorer la communication et à établir des relations plus efficaces entre les contribuables et les administrations fiscales.

Espagnol, Anglais

Intelligence artificielle, robotique, Internet des objets ... : la transformation numérique révolutionne les économies et les sociétés. Dans cette économie mondiale numérisée, les pays à revenu faible ou intermédiaire peinent à trouver leur place, à cause d'un manque de capacités et de compétences numériques, mais aussi du fait de la fragmentation des règles mondiales et régionales. Qui plus est, les déficits de gouvernance et l'usage malveillant de la technologie numérique y représentent une menace pour la stabilité politique, la démocratie, les droits de l'homme et l'égalité.

L'édition 2021 du rapport Coopération pour le développement appelle à mettre le principe d'inclusion au cœur des processus de technologie numérique, ainsi que des normes et standards qui sont en train d'émerger. Avec les données les plus récentes et les analyses d'experts gouvernementaux, des organisations internationales, des universités, des entreprises et de la société civile, le rapport offre aux organismes de développement international les conseils et bonnes pratiques pour mettre les individus, les communautés et les objectifs de développement durable au centre de la transformation numérique.

Les profils des pays francophones (Belgique, Canada, France, Luxembourg, Suisse) et des institutions de l’Union européenne sont disponibles en français, et les autres en anglais.

Anglais

Face aux défis interdépendants de notre époque, il convient d’adopter, dans le domaine de la gouvernance publique, une démarche cohérente et pluridimensionnelle. Le Cadre d’action de l’OCDE en matière de bonne gouvernance publique offre à tous les niveaux d’administration un outil intégré de diagnostic, d’orientation et de comparaison qui a pour objectif d’améliorer la qualité de la gouvernance publique — objectif qui revêt une importance stratégique immédiate pour les pouvoirs publics, à l’heure où il leur faut gérer la crise liée au COVID-19 et préparer une reprise durable et inclusive. Ce Cadre d’action s’appuie sur les instruments juridiques adoptés par l’OCDE dans ce domaine, et sur les enseignements tirés depuis dix ans à la faveur des Examens de l’OCDE sur la gouvernance publique et d’autres examens nationaux ou sectoriels. La première partie de ce Cadre d’action évoque l’importance des valeurs fondamentales de la gouvernance et passe en revue les éléments catalyseurs d’une bonne gouvernance publique que les pouvoirs publics peuvent mettre en place pour réussir leurs réformes. La deuxième partie du Cadre d’action présente une vue d’ensemble des outils de gestion et des instruments d’action qui peuvent améliorer la qualité et l’impact de l’action publique aux différentes étapes de son cycle. Dans chaque chapitre, les responsables publics trouveront une liste de questions stratégiques sur lesquelles ils pourront s’appuyer pour évaluer les capacités institutionnelles et décisionnelles de leur administration dans des domaines essentiels de la gouvernance publique.

Allemand, Anglais

Les effets dévastateurs du coronavirus (COVID-19) sur les pays en développement ont mis à l'épreuve les limites, l'ingéniosité et la flexibilité de la coopération au développement, tout en révélant de bonnes pratiques. Cette 58e édition du rapport Coopération pour le développement présente les premières réflexions des dirigeants, des membres de l'OCDE, des experts et de la société civile sur les implications du coronavirus (COVID-19) pour la solidarité mondiale en 2021 et au-delà. Le rapport suggère des pistes d'action pour l'ensemble de la communauté internationale du développement en vue d'une action audacieuse et d'une réforme systémique. L’objectif est de mettre en place des systèmes nationaux et internationaux résistants, capables de faire face aux chocs mondiaux et de fournir et protéger les biens publics mondiaux, tout en poursuivant les actions de fond en faveur du développement durable. Il comprend également un panorama actualisé de la coopération pour le développement, étayé par les données de plus de 80 fournisseurs, membres de l’OCDE et du Comité d'aide au développement, mais aussi d’autres pays ou encore des fondations philanthropiques.

Anglais
  • 10 nov. 2020
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 300

À l’heure où de nombreux pays de la région MENA cherchent à accélérer leur croissance économique et à construire des sociétés plus stables et plus ouvertes, ce rapport soutient qu’une plus grande autonomisation économique des femmes est l’une des clés pour atteindre ce double objectif. Il affirme qu’en dépit des difficultés rencontrées par certains pays pour garantir aux femmes un accès égal aux opportunités économiques, des progrès sont en cours et peuvent être renforcés par des actions politiques ciblées, inclusives et coordonnées. S’appuyant sur les conclusions d’un premier rapport de suivi publié en 2017, le présent rapport analyse les réformes législatives, politiques et institutionnelles récentes en faveur de l’autonomisation économique des femmes en Égypte, en Jordanie, au Maroc et en Tunisie et cherche à identifier les facteurs de réussite qui ont contribué à ancrer ces réformes. Il fournit par ailleurs des exemples concrets et des outils pratiques à l’intention des décideurs politiques pour les aider à transformer les politiques publiques en actions efficaces pour l’autonomisation économique des femmes.

Arabe, Anglais

Cette 57e édition du rapport analyse les enjeux de l’articulation de la coopération pour le développement avec les priorités mondiales les plus urgentes, comme la lutte contre le changement climatique ou les conséquences de la trop lente mise en oeuvre du Programme 2030 pour les Objectifs de développement durable. Le rapport propose aux membres de l’OCDE et aux autres acteurs du développement des données, des analyses et des exemples pour les aider à redynamiser le débat public au niveau national, et porter au moyen d’une coopération renouvelée les solutions dont le monde a besoin. Enfin, il appelle à un changement de cap pour la coopération au développement au vingt-et-unième siècle. Il comprend également un panorama actualisé de la coopération pour le développement, étayé par les données de plus de 80 fournisseurs, membres de l’OCDE et du Comité d'aide au développement, mais aussi d’autres pays ou encore des fondations philanthropiques. Ce rapport est complémentaire aux web books : Les profils de coopération au développement.

Anglais

Lorsque les États membres des Nations Unies ont approuvé l’Agenda 2030 pour le développement durable en 2015, ils ont convenu que les objectifs et les cibles du développement durable devaient être atteints pour toutes les nations et tous les groupes de la société. Les gouvernements et les autres parties prenantes de l’agenda 2030 assument ainsi l'ambition de ne laisser personne de côté. Cette ambition apparaît de plus en plus souvent dans les politiques de développement, les priorités de la communauté internationale et les actions de plaidoyer de la société civile.
 
Comment garantir, dans les faits, que personne ne soit laissé de côté ? Les décideurs politiques, la société civile et les entreprises demandent plus de clarté. Concrètement, qu’est-ce que cela implique pour la conception et la mise en œuvre des politiques économiques, sociales et environnementales ? Comment adapter les politiques de coopération au développement, la programmation et les mécanismes de responsabilisation ? Qu'est-ce que les gouvernements, les partenaires au développement et la communauté internationale devraient faire différemment pour que la poursuite des objectifs de développement durable améliore la vie de tous, et en premier lieu celle des plus défavorisés ?
 
Le Rapport Coopération pour le développement 2018 : Agir ensemble pour n’oublier personne répond à ces questions et à bien d'autres. Il s’appuie sur les données les plus récentes pour montrer ce qu‘être « laissé de côté » veut dire. Tout en adoptant un large éventail de perspectives, l’ouvrage tire les leçons des politiques publiques, des pratiques et des partenariats qui fonctionnent le mieux. Il propose un cadre d’action holistique et innovant pour garantir que les politiques et les outils de coopération au développement soient à la hauteur de l’enjeu : n’oublier personne.

Anglais
  • 30 juil. 2018
  • OCDE
  • Pages : 143

Comprender de mejor manera como los inmigrantes influyen en la economía de Costa Rica puede ayudar a los responsables de la elaboración de políticas públicas a aprovechar al máximo los efectos positivos de la inmigración, y a mitigar los negativos. Este informa revela que los efectos de la inmigración son variados, pero que su incidencia económica es limitada. La inmigración tiende a reducir la tasa de empleo de la población autóctona, pero no afecta los ingresos laborales. Se calcula que la proporción del valor agregado producida por los inmigrantes es superior a su proporción en la población. En 2013, la contribución de los inmigrantes a las finanzas gubernamentales fue menor que la de la población autóctona, mientras que los gastos públicos fueron similares entre las dos poblaciones. Las políticas que tienen como objetivo facilitar la integración, aumentando el acceso de facto a los servicios públicos y al mercado laboral, pueden impulsar la contribución económica de los inmigrantes.

Cómo los inmigrantes contribuyen a la economía de Costa Rica es resultado de un proyecto realizado por el Centro de Desarrollo de la OCDE y la Organización Internacional del Trabajo, con el apoyo de la Unión Europea. El proyecto se propuso analizar varios efectos económicos – en el mercado laboral, el crecimiento económico y las finanzas públicas – de la inmigración en diez países socios: Argentina, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Ghana, Kirguistán, Nepal, la República Dominicana, Ruanda, Sudafrica y Tailandia. Las pruebas empíricas proceden de una combinación de análisis cualitativos y cuantitativos de fuentes de datos secundarias y en algunos casos primarias.

Anglais
  • 05 juil. 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 178

Los efectos recientes de la inmigración en la economía argentina parecen ser limitados, pero positivos. En promedio, la inmigración no está asociada ni con la pérdida de empleo ni con una disminución de los ingresos de la población nacida en Argentina. Por el contrario, la inmigración altamente calificada está asociada con ingresos laborales en aumento entre los egresados de la universidad, y la inmigración de mujeres poco calificadas viene con una mayor participación en la fuerza laboral de las mujeres autóctonas poco calificadas. Se calcula que la contribución de los inmigrantes al valor agregado es inferior a su participación en la fuerza laboral, pero superior a su proporción en la población. Se calcula también que la contribución de los inmigrantes a las finanzas públicas en 2013 fue mínima. Más políticas migratorias y no migratorias, así como una mejor coordinación entre diversos ámbitos de políticas, podrían fomentar aún más la integración y la contribución económica de los inmigrantes.

Cómo los inmigrantes contribuyen a la economía de Argentina es resultado de un proyecto realizado por el Centro de Desarrollo de la OCDE y la Organización Internacional del Trabajo, con el apoyo de la Unión Europea. El proyecto se propuso analizar varios efectos económicos —en el mercado laboral, el crecimiento económico y las finanzas públicas— de la inmigración en diez países socios: Argentina, Costa Rica, Côte d'Ivoire, Ghana, Kirguistán, Nepal, la República Dominicana, Ruanda, Sudáfrica y Tailandia. Las pruebas empíricas proceden de una combinación de análisis cualitativos y cuantitativos de fuentes de datos secundarias y en algunos casos primarias.

Anglais
  • 12 juin 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 151

Comprender mejor la manera en la que los inmigrantes influyen en la economía de la República Dominicana puede ayudar a los responsables de la elaboración de políticas a aprovechar al máximo los efectos de la inmigración. Este informe revela que los efectos de la inmigración en la República Dominicana son variados, pero que su incidencia económica es limitada. Aunque los inmigrantes parecen reemplazar a los trabajadores autóctonos en el mercado laboral, al verse incrementada la competencia, no se ha detectado repercusión alguna en los ingresos laborales de la población autóctona. Se calcula que la proporción del valor agregado producida por los inmigrantes es cercana a su proporción en la población. Asimismo, los inmigrantes hacen aportaciones positivas al presupuesto del Estado, ya que pagan más impuestos indirectos, pero se benefician del gasto público en menor medida que la población autóctona. Las políticas que tienen como objetivo facilitar la integración de los inmigrantes y una mejor inserción de la inmigración en diferentes políticas sectoriales, son factores que podrían impulsar la contribución económica de los inmigrantes en la República Dominicana.

Cómo los inmigrantes contribuyen a la economía de la República Dominicana es resultado de un proyecto realizado por el Centro de Desarrollo de la OCDE y la Organización Internacional del Trabajo, con el apoyo de la Unión Europea. El proyecto se propuso analizar varios efectos económicos –en el mercado laboral, el crecimiento económico y las finanzas públicas – de la inmigración en diez países socios: Argentina, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Ghana, Kirguistán, Nepal, la República Dominicana, Ruanda, Sudáfrica y Tailandia. Las pruebas empíricas proceden de una combinación de análisis cualitativos y cuantitativos de fuentes de datos secundarias y en algunos casos primarias.

Anglais
  • 19 avr. 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 212

Cómo los inmigrantes contribuyen a la economía de los países en desarrollo es resultado de un proyecto realizado por el Centro de Desarrollo de la OCDE y la Organización Internacional del Trabajo, con el apoyo de la Unión Europea. El informe abarca diez países socios: Argentina, Costa Rica, Côte d'Ivoire, Ghana, Kirguistán, Nepal, la República Dominicana, Ruanda, Sudáfrica y Tailandia. El proyecto denominado Evaluación de la contribución económica de la migración laboral en los países en desarrollo como países de destino (ECLM por sus siglas en inglés) tenía como propósito el de proporcionar pruebas empíricas —tanto cualitativas como cuantitativas—  de las diversas formas en las que los inmigrantes influyen en sus países de acogida.

El informe demuestra que la migración laboral ejerce un impacto relativamente limitado tanto sobre el rendimiento de los trabajadores autóctonos en el mercado laboral, como en el crecimiento económico y las finanzas públicas de los diez países socios. Esto implica que la percepción según la cual la inmigración genera efectos negativos, muchas veces no se justifica. Esto significa también que la mayoría de los países de destino no potencian lo suficiente el capital humano y los conocimientos que los inmigrantes brindan. Las políticas públicas pueden desempeñar un papel fundamental para fomentar la contribución de los inmigrantes en el desarrollo de los países de acogida.

Anglais, Français
  • 29 mars 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 142

L'immigration a des effets positifs, quoique limités, sur l’économie de la Côte d’Ivoire. Sur le marché du travail, les immigrés ne semblent pas peser négativement sur les salaires ou les conditions de travail de la population active autochtone. Les immigrés génèrent par ailleurs une valeur ajoutée supérieure à leur pourcentage dans la population et leur présence semble augmenter la productivité des entreprises informelles. Les estimations portant sur la contribution fiscale nette des immigrés varient pour leur part en fonction des hypothèses adoptées. Des politiques publiques visant à accroître les effets positifs de l’immigration supposent d'investir davantage dans l’intégration des immigrés et de relever le défi de l'informalité.

Comment les immigrés contribuent à l'économie de la Côte d'Ivoire est le fruit d’un projet mené conjointement par le Centre de développement de l’OCDE et l’Organisation internationale du travail (OIT), avec le soutien de l'Union européenne. Le projet vise à évaluer l’impact économique de l’immigration sous différentes dimensions – marché de l'emploi, croissance économique et finances publiques – dans les dix pays partenaires du projet : Afrique du Sud, Argentine, Costa Rica, Côte d' Ivoire, Ghana, Kirghizistan, Népal, République dominicaine, Rwanda et Thaïlande. Cet examen s’appuie sur une combinaison d’analyses quantitatives et qualitatives de données primaires et secondaires.

  • 29 mars 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 218

Le rapport Comment les immigrés contribuent à l’économie des pays en développement est le fruit d’un projet mené conjointement par le Centre de développement de l’OCDE et l’Organisation internationale du travail, avec le soutien de l’Union européenne. Il couvre les dix pays partenaires – l’Afrique du Sud, l’Argentine, le Costa Rica, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Kirghizistan, le Népal, la République dominicaine, le Rwanda et la Thaïlande – de ce projet, « L’évaluation de la contribution économique des migrations de travail dans les pays en développement comme pays de destination », visant à apporter des preuves empiriques – à la fois quantitatives et qualitatives – des multiples façons dont les immigrés influent sur leurs pays d’accueil. 
 
Ce rapport met en avant l’impact relativement limité des migrations de travail sur les performances des travailleurs autochtones sur le marché du travail, la croissance économique et les finances publiques dans les dix pays partenaires. Cela signifie que la crainte que les immigrés génèrent des effets négatifs s’avère souvent injustifiée, mais aussi que la plupart des pays de destination ne tirent pas suffisamment parti du capital humain et de l’expertise que les immigrés ont à offrir. Les politiques publiques peuvent jouer un rôle déterminant pour accroître la contribution des immigrés au développement de leur pays d’accueil.

Espagnol, Anglais

O relatório tem como principal foco a cobrança pelo uso de recursos hídricos no Brasil. Avalia o seu estado atual e os desafios de implementação. Proporciona orientações para o avanço da implementação da cobrança no País como instrumento econômico e financeiro de gestão, visando prevenir e responder a situações de conflito pelo uso da água e de poluição, contribuindo para a segurança hídrica, e, consequentemente, favorecendo o crescimento econômico e o bem-estar social. O relatório evidencia a necessidade de informações, a aproximação da cobrança ao planejamento da bacia e a aplicação eficiente dos recursos arrecadados. O relatório inclui uma avaliação de três estudos de caso: o Estado do Rio de Janeiro, a Bacia do rio Paraíba do Sul e a Bacia do rio Piancó-Piranhas-Açu. Conclui com um plano de ação com etapas de implementação prática e delimitação de funções: quem pode fazer o quê para implementar as recomendações a curto, médio e longo prazo.

  • 27 nov. 2017
  • OCDE
  • Pages : 216

O relatório tem como principal foco a cobrança pelo uso de recursos hídricos no Brasil. Avalia o seu estado atual e os desafios de implementação. Proporciona orientações para o avanço da implementação da cobrança no País como instrumento econômico e financeiro de gestão, visando prevenir e responder a situações de conflito pelo uso da água e de poluição, contribuindo para a segurança hídrica, e, consequentemente, favorecendo o crescimento econômico e o bem-estar social. O relatório evidencia a necessidade de informações, a aproximação da cobrança ao planejamento da bacia e a aplicação eficiente dos recursos arrecadados. O relatório inclui uma avaliação de três estudos de caso: o Estado do Rio de Janeiro, a Bacia do rio Paraíba do Sul e a Bacia do rio Piancó-Piranhas-Açu. Conclui com um plano de ação com etapas de implementação prática e delimitação de funções: quem pode fazer o quê para implementar as recomendações a curto, médio e longo prazo.

Anglais

Este informe describe un cambio de paradigma en las políticas de seguridad vial, liderado por un pequeño grupo de países, conforme a los principios del Sistema Seguro. Un Sistema Seguro está basado en la premisa de que los accidentes de tránsito son predecibles y prevenibles, y de que es posible transitar hacia cero muertes y lesiones graves por accidentes de tránsito. Ello, sin embargo, requiere reconsiderar de manera fundamental la gobernanza y la implementación de las políticas de seguridad vial.
 
En el afán de contener la epidemia de muertes por accidentes de tránsito, las Naciones Unidas han establecido la meta de reducir a la mitad el número de víctimas fatales para 2020. Cada año, 1,25 millones de personas pierden la vida en accidentes de tránsito y hasta 50 millones sufren lesiones graves. Los accidentes de tránsito matan a más personas que la malaria o la tuberculosis, y se encuentran entre las diez principales causas de muerte. Su costo económico estimado oscila entre el 2 y 5% del PIB en muchos países. Escrito por un grupo internacional de expertos en materia de seguridad vial, este informe ofrece mejores prácticas y un punto de partida para que los líderes gubernamentales, administraciones públicas, el sector privado y la academia tracen sus propios caminos hacia un Sistema Seguro.

Anglais

L’édition 2017 du rapport Coopération pour le développement a pour thème « Données et développement ». Les « données massives » et l’« internet des objets » sont bien plus que de simples expressions à la mode : la révolution des données transforme le mode de fonctionnement des économies et des sociétés dans le monde entier. Les Objectifs de développement durable conjugués à la révolution des données offrent de nouvelles opportunités : des données plus nombreuses et de meilleure qualité peuvent contribuer à encourager une croissance inclusive, à combattre les inégalités et à lutter contre le changement climatique. Ces données sont également cruciales pour mesurer et suivre les progrès réalisés au regard des Objectifs de développement durable.

Il est incontestable que ces données sont fondamentales pour faciliter le développement. Cependant, on continue d’observer des carences inquiétantes au niveau des données de base concernant la population et l'environnement, ainsi qu’une faible capacité des pays en développement à produire les données dont les responsables de l’action gouvernementale ont besoin pour produire des résultats concrets, visibles et durables dans le domaine du développement. Parallèlement, l'investissement dans le renforcement des capacités statistiques – qui représentait environ 0.30 % de l’APD en 2015 – ne constitue pas une priorité pour la plupart des fournisseurs d’aide au développement.

Un leadership politique fort, davantage d’investissements et une action plus collective sont nécessaires si l’on veut remédier à la "fracture des données" qui fait obstacle au développement. Avec l’avènement de la révolution technologique, les pays en développement et les donneurs ont une chance unique d’agir pour stimuler la production de données et leur utilisation au profit des citoyens. Ce rapport propose des actions prioritaires et recense les bonnes pratiques qui aideront les responsables de l’action publique et les fournisseurs d’aide au développement à combler la fracture mondiale des données, en particulier par le renforcement des systèmes statistiques dans les pays en développement. En un mot : de meilleures données pour des meilleures politiques, et une vie meilleure.

Anglais
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