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L'enseignement supérieur à l'horizon 2030 -- Volume 2 : Mondialisation

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Des flux croissants de connaissances, de personnes et de capitaux traversent les frontières nationales, alimentant à la fois la collaboration et la concurrence au niveau planétaire. Ces effets de la mondialisation ont un impact de plus en plus marqué sur l'enseignement supérieur. Quel avenir se profile donc pour l'enseignement supérieur au niveau international ? Quels sont les obstacles à surmonter et les chances à saisir qui découlent de la mondialisation ? Comment les différents pays et institutions peuvent-ils s'adapter au mieux aux évolutions futures et en tirer parti ?

En s'appuyant à la fois sur des analyses quantitatives et qualitatives, cet ouvrage offre un point de vue global et structuré sur ces questions essentielles. Il explore le thème des formations supérieures internationales dans la perspective des étudiants, du personnel enseignant et de la mobilité des établissements, en apportant un éclairage spécifique sur la recherche universitaire. La question de l'enseignement supérieur est également examinée sous l'angle de la prestation de services, du financement, de la gouvernance et de l'assurance-qualité, l'accent étant mis sur l'utilisation de modèles inspirés des mécanismes du marché. Cet ouvrage couvre la plupart des pays de l'OCDE, ainsi que de nombreuses économies non membres de l'Organisation, et offre au lecteur des réflexions spécifiques sur la Chine, l'Inde et la coopération européenne.

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Financement et inscriptions dans l'enseignement supérieur

du modèle public au modèle privé ?

Centre for Educational Research and Innovation

Ce chapitre a pour objet de déterminer si, conformément à une idée répandue, le financement et la fourniture des services d’enseignement supérieur dans les pays de l’OCDE sont passés, ces dix dernières années, de la sphère publique à la sphère privée. Dans un premier temps, l’auteur compare les volumes d’inscriptions respectifs du secteur public et du secteur privé pour en conclure que la baisse du nombre d’inscriptions dans les établissements publics est restée limitée, et que ses répercussions positives sur le secteur privé à but lucratif n’ont été que marginales. Il analyse ensuite les changements opérés dans le financement de l’enseignement supérieur du point de vue des établissements, des étudiants et des pouvoirs publics. Cette analyse montre que les étudiants sont les seuls à avoir ressenti un recul des subventions publiques. Enfin, ce chapitre met en évidence un certain nombre d’autres raisons expliquant l’idée répandue selon laquelle le modèle d’enseignement supérieur public serait en perte de vitesse.

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